166
Commentaires

Sauver l'économie ? "L'argent de la BCE va à la finance"

Après la crise du coronavirus, pour remettre l'économie sur ses pieds, il va bien falloir "donner un coup de collier", "faire un effort", "ne plus compter ses heures de travail". Et toutes ces centaines de milliards dépensés par les Etats pour empêcher les entreprises de couler, il va bien falloir les rembourser un jour. Telle est la petite musique que nous commençons à entendre de la part du patronat et de certains dirigeants politiques. Et il est vrai qu'il n'est pas trop tôt pour commencer à se demander si on pourrait réinventer le fonctionnement de l'économie. Nos invités : David Cayla, Economiste Atterré, co-auteur de "La fin de l'Union Européenne" (avec Coralie Delaume) ; Anice Lajnef, ancien trader ; et en fin d'émission, Jezabel Couppey-Soubeyran, économiste. Et nous concluons par une chronique de Laélia Véron.

Commentaires préférés des abonnés

Bon, on va pas se mentir, c'était atroce. 

J'ai trouvé Lajnef inintéressant et insupportable. Mauvaise pioche !

C'est d'autant plus dommage que JCS est très compétente et un dialogue/débat entre elle et Cayla aurait permis de mieux approfondir le sujet



Merci à Leila de remettre "l'église au centre du village" (pour rester dans la métaphore de la religion) je suis impressionné par ses interventions surtout par la vitesse elle est capable de produire une analyse aussi pertinente

Derniers commentaires

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Je voulais mettre un commentaire à l'époque mais j'ai oublié pour faire une proposition suite à "l'erreur de casting" cité plus bas. 

Si vous cherchez un trader repenti, bon vulgarisateur, il y a le youtubeur heu?reka qui fait énormément de vulgarisation économique, de très grande qualité selon mon avis personnel qui vaut évidement généralité :)


ici : https://www.youtube.com/channel/UC7sXGI8p8PvKosLWagkK9wQ/videos


Voila voila...

Pourquoi inviyrt à un débat censé éclairer le spactateur un ancien trader allumé incapable de participer à une discussion ?


Moi, j'aimerais savoir s'il existe un droit international qui permettrait aux victimes de demander des indemnités aux criminels dont elles sont les victimes. Donc, pourquoi ne peut-on pas demander à la Chine de payer pour les dégâts qu'elle a causé à la planète en laissant échapper ce coronavirus, en l'accusant d'homicide involontaire et de mise en danger de la vie d'autrui ??

Mais je rêve sans doute, comme au temps d'Esope, il y a 2500 ans, le droit du plus fort est toujours le meilleur. Et il en a qui parlent de Progrès ? s'il existe, je me demande bien qui l'a rencontré ....

L'émission n'était pas à la hauteur "d'arrêt sur image". De tout évidence le trader "presque repenti" n'était pas à la hauteur : incapable d'échanger sereinement, incapable de mener un raisonnement, incapable de synthétiser ses propos. De toute évidence, il comprend quelques mécanisme de marché (impact de la baisse des taux) mais il ne comprends rien à la nature de la monnaie comme dette (il faut vraiment qu'il lise Orléans et Aglietta...) ni au rôle des banques centrales dans la régulation de l'économie. Cette "erreur de casting" m'a surtout interrogé par l'absence de réaction de Daniel, qui n'a pas eu l'air de prendre conscience, pendant l'émission, de la vacuité d'essayer d'échanger avec ce trader sur autre chose que sur sa pratique professionnelle. Comment mettre au même niveau un économiste adoptant des méthodes scientifiques, avec un gogo pour qui tout ce qui ne relève pas de "sa" vérité n'est que complot et affabulation ? Il faut vraiment qu' "arrêt sur image" évite d'inviter ce genre de professionnels de tweetos... 

L'émission est incompréhensible, brouillonne. Le vocabulaire économique ne m'est pas particulièrement familier et les invités font tout pour le rendre complexe. J'arrête de regarder au bout de 30 minutes. C'est la première fois que cela m'arrive depuis que je suis abonnée et je regarde toutes les émissions. 

Lison

L'attitude de l'ami trader était proprement insupportable. Personnellement j'ai plus tendance à faire confiance à un scientifique qui prend ses précautions plutôt qu'à un ex(?) capitaliste incapable de se remettre en question, vaniteux et qui en plus tient un discours si simpliste que ça aurait pu être le mien quand j'avais 16 ans et que je collais des stickers Front de Gauche au lycée.. Pas besoin d'avoir été dans la finance pour tenir ses propos, d'ailleurs il avoue lui même qu'il ne comprenait rien à ce qu'il faisait lorsqu'il manipulait les sommes.

J'aurais préféré un peu plus de recadrage de la part de DS, pourquoi avoir laissé le champ libre à Ladjnef pour couper et finir par énerver Cayla (qui est d'ailleurs resté remarquablement calme, bravo à lui)? 

L'intervention de Laelia en revanche, était parfaite, comme souvent. 

À la semaine prochaine ! 

Super intéressante cette émission même si elle ne fait qu'aborder des débuts de perspectives très différentes. 

Bon point de départ pour aller lire leurs réflexions. 


Juste, je n'ai pas très bien compris le débat sur la morale, la politique et l'économie de la part de David Cayla. 


Il est "économiste atterré"... et il ne fait pas de politique? Si j'ai bien compris, "Les Economistes atterrés" sont un projet politique qui a été l'origine de cette initiative. Un groupe d'économistes souhaitant valoriser un autre point de vue sur l'économie que celui des libéraux. Si ça n'est pas politique, qu'est-ce donc? Et il n'y aurait aucun mal à cela. 


Du reste, toute pensée recèle un sous-jacent politique. Mais la pensée économique de surcroit! Les économistes libéraux et alternatives ont au moins ce point commun de vouloir se défendre en permanence de toute politique, de vouloir se parer des oripeaux de la science, de l'objectivité, de la neutralité. Personne n'est dupe. 



Daniel Schneidermann, avec tout le respect que j'ai pour vous, compte-tenu que je suivais déjà toutes vos émissions quand elles étaient diffusées sur France 5, vos interventions sont littéralement insupportables. Vous organisez un débat sur une chaîne où le temps n'est pas compté. On n'est pas sur France 2, TF1 ou BFM où les intervenants n'ont que 10 secondes pour développer un propos. Vous passez votre temps à les interrompre, vous nous faites perdre le fil du raisonnement de chaque intervenant. Difficile de se faire une opinion sur la validité de leurs arguments puisque vous ne leur permettez jamais d'aller jusqu'au bout.
Apprenez à vous taire, faites confiance à vos abonnés qui sont curieux de comprendre les mécanismes économiques et n'attendent pas que vous leur fournissiez un gloubigoulga prédigéré.
J'espère que votre stress n'est imputable qu'à un "effet déconfinement" mais il ne sert manifestement pas le propos de votre émission. Je ne m'infligerai pas d'en regarder davantage. J'ai craqué au bout de 33 minutes.

Ça rassure de voir que nos amis les néolibéraux sont égaux à eux-mêmes.

Pendant une micro-seconde on aurait pu croire qu'ils aient une révélation sur leur propre connerie, mais non, ils restent sur leurs fondamentaux. On repart pour un tour de 2008.


Bruno Le Maire appelle toutes les entreprises à réduire leurs dividendes.

 Mais au Danemark, " un amendement prévoit que les sociétés immatriculées dans des paradis fiscaux figurant sur la liste établie par l'Union européenne ne seront plus éligibles à des aides publiques.

  En outre, les sociétés qui demanderont à bénéficier d'une extension de l'aide publique devront s'engager à ne verser aucun dividende et à n'entreprendre aucun programme de rachats d'actions sur les exercices 2020 et 2021".


https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/pas-d-aide-publique-au-danemark-pour-les-entreprises-enregistrees-dans-des-paradis-fiscaux-e31fe564be65963d15ce370a66738a6c


Pendant ce temps, la banque d’Angleterre finance directement l'état sans passer par les banques.


https://www.boursorama.com/videos/actualites/covid-19-ce-nouveau-tabou-monetaire-qui-vient-de-sauter-8bb60423e6e717220a17c2559c816b96

Note pour une prochaine émission confinée :
Un bouton "chut je re-pose ma question" pour Daniel ce serait pas mal, histoire de limiter les pépins en cas de débat qui monte un peu  dans les tours.

Les visiconférences c'est déjà pas évident (avec des décalages qui parasitent méchament les conversations), mais alors une émission qui propose un débat complexe en visioconférence, niveau challenge ça se pose là.

Sujet intéressant dans tous les cas, malgré les difficultés diverses et variées :)


Bonjour,

Je vais vous avouer que je n'ai rien compris ou presque.

Je n'ai pas cette formation.

Il nous faut donc des émissions ou des sites de vulgarisation.

En rendant plus accessible les principes de l'économie. En redonnant les éléments fondamentaux de l'économie. Vous savez les choses qui vont sans dire mais qui vont mieux en le disant ou en le redisant.

Éduquer, éducation, éducatif: trois mots importants me semble-t-il.

Intuitivement, empiriquement, je mesure bien l'ampleur de l'arnaque. Par contre, je suis incapable d'exprimer en argumentant en profondeur ce que constate objectivement au quotidien.

Il ne faut pas laisser ce thème aux "experts" qui peuvent nous enfumer comme il veulent.

C'est une nécessité démocratique.

Rendez accessible "la finance" qui a été l'ennemie de certains à une époque.

Pour que nous puissions ensuite manifester avec des arguments encore plus solides.

S'il vous plait.

Très déçu par ce que je viens de voir : invitez Bernard Friot, ses propositions peuvent être une solution à tous les problèmes soulevés (dette des états, relance de l'économie, incitation à consommer local, justice sociale...). Puis inviter un ancien traider qui au bout de 16 ans, de son propre aveu, n'a rien compris à la monnaie, ça en dit long sur ses capacités à réfléchir sur un sujet aussi complexe que celui-ci.

Bonjour tout le monde,


je ne suis pas très calé en économie mais je ne comprends pas très bien le problème de canaliser l'usage de l'argent distribué à des personnes (physiques ou morales): n'est-ce pas le principe même des ticket repas, chèque livre ou autre foodstamp ? Est-ce parce que ça ferait trop "coupon de rationnement" que l'on se refuse d'aider les foyers les plus modestes à accéder aux produits de première nécessité ? Est-ce compliqué d'émettre des bons qui ne puissent être dépensés que chez des producteurs locaux ou petits commerces et non dans une grande surface (dont les enseignes sont connues et peu nombreuses) ?


Bonne journée.

Frustration à la vision de cette vision où la question de la socialisation des banques (qui continuent de faire  des bénéfices contre l'intérêt général) n'a même pas été évoquée alors que cette solution radicale (qui prend le problème à la racine) est entre autres défendue par Lordon.


On ne va pas se mentir  : exproprier les actionnaires du systeme financier mondial ne sera pas une garden party, mais les arguments avancés par le CADTM sont solides et méritent au moins de faire l'objet d'un débat contradictoire de qualité.



https://www.cadtm.org/Pour-affronter-la-crise-capitaliste-multidimensionnelle-il-faut-exproprier-les 

 

Ben moi j'ai bien aimé Anice Lajnef... mais des coupures en fin d'émission ne m'ont pas permis de suivre la fin ! 

Je vais essayer de voir ça aujourd'hui... et pour rêver un peu sur l'avenir, je vous propose le dernier "Lordon sorti du four" : https://blog.mondediplo.net/orientations

Cette relance via l'endettement européen par hélicoptère d'État ne devrait elle pas alimenter une baisse de la TVA sur les échanges intérieurs ?

 J'attends d'ASI des émissions d'analyse des médias, d'"Arrêt sur image". Pour les débats entre économistes, il y en a partout, pas besoin d'ASI. N'oubliez pas votre raison d'être , ou c'est moi qui vous oublierai bientôt!

Ah bon ? Cayla se prétend économiste atterré et ose dire : "je suis un économiste universitaire : je ne fais pas de morale". C'est un argument inepte. C'est d'ailleurzs ce que disaient les pédocriminels dans les années 70, genre Matzneff "Laissez votre gamin avoir du sexe avec moi : allons, arrêtez avec votre morale sexuelle bourgeoise passéiste ! ".  Perversité pure.


La question n'est pas de " moraliser " avec rigidité (économie ou sexualité) c'est d'avoir CONSCIENCE des destructions produites par ces actes criminels et d'oser DIRE NON, cet acte est INTERDIT car c'est ABUSIF. La limite est atteinte. 


"Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien ". Edmund Burke.

@dav_cayla est tout simplement imbuvable. Il se réfugie derrière des livres et reproche à

@AniceLajnef de ne rien avoir compris. On peut ne pas être d’accord avec le concept de monnaie pleine mais dans ce cas il faut argumenter, pas faire un procès d’intention.

Ça ne m’arrive pas souvent mais j’ai laissé tomber l’émission à la 26 minute.

@dav_cayla est dans la droite ligne des atterrés : atterrant !!! 

Et comme souvent, hélas en matière d'économie, @d_schneidermann m'a semblé totalement dépassé par le sujet

je suis a la moitié du visionnage et j'attendais cette émission depuis longtemps car l'aspect sanitaire (le confinement et l'argent magique) de cette crise est surréaliste au regard des pandémies bien plus mortifères qu'on a eut depuis les années 50.   


Par contre sur la forme les antagonismes rendent la lecture penible au point de devoir faire des pauses.

Très bonne idée d'avoir invité Perceval. 


J'espère d'autres émissions avec des personnages de Kaamelott.

Pour ma part j'ai trouvé cette émission intéressante, ok Lajnef interrompait souvent mais c'est la fougue de la jeunesse qui est passionnée par ce sujet sauf qu'il parait au final plus agressif, dommage!

Là où je suis déçu c'est que je ne comprends pas pourquoi Cayla en tant qu'économiste atterré ne remet pas en cause le financement de l'Etat via les marchés financiers?? c'est la cause première de notre dette publique : depuis la mise en place de ce fonctionnement (illégitime car l'argent est un bien commun qui doit être contrôlé de façon démocratique) à la fin des années 60, nous avons payé 1500 milliards d'intérêts soit les 2/3 de notre dette publique. Chaque année nous payons 40 milliards d'impôts qui sortent des caisses de l'Etat pour payer ces intérêts...pendant "qu'il n'y a pas d'argent" pour nos services publics et notamment l'hôpital...on voit le résultat actuellement!

Je ne suis pas du tout d'accord non plus avec Cayla quand il dit que l'économie est une science : certainement pas !!

L'économie est à la frontière de différents domaines comme la sociologie, l'histoire...et est conditionnée par les choix politiques! Habituellement ceux qui disent que l'économie est une science ce sont les économistes libéraux qui nous disent "circulez y a rien à voir" ,vous ne pouvez pas comprendre si vous n'êtes pas un "expert" c'est-à-dire...un économiste.

La solution de Mélenchon est tout à fait intéressante pour "supprimer" la dette (même s'il faut l'accord de l'Allemagne...où alors une sortie de l'UE des pays du sud (France, Italie, Espagne, Portugal, Grèce) pour mettre en place cette gestion de la dette) mais ensuite il faut bien sûr que les Etats ne se financent plus sur les marchés financiers mais directement auprès de la banque centrale à taux zéro voir sans même rembourser l'argent crée par la banque centrale dans des cas exceptionnels...comme le fait de payer les salaires et les charges des entreprises pendant le confinement.

Ce serait de la monnaie hélicoptère en permanence pour l'Etat encore qu'avec ce terme on a l'impression que cet argent "vient d'en haut", d'une générosité exceptionnelle de la banque centrale alors que c'est juste le fait que l'argent retrouve son statut de bien commun.

Pour revenir à l'exemple de l'achat d'un appartement, on pourrait très bien avoir un service public du "crédit" (après avoir nationalisé ou socialisé les banques) qui avancerait l'argent sans faire payer des intérêts, juste une somme fixe (un pourcentage de la somme demandée) pour pouvoir payer les frais de ce service public (salaires, bâtiments, réseau informatique...) ce qui rejoindrait un peu la proposition de Bernard Friot qui propose de remplacer le duo crédit/dette par le duo cotisation/subvention (ce qui a très bien marché pour créer les CHU par exemple).

Certainement que la proposition de salaire à vie de Bernard Friot est la plus aboutie (salaire basé sur la personne et ses compétences et non pas sur le poste occupé) mais avant que les esprits soient près à ce genre de solution, ça risque de prendre longtemps!

Toujours est-il que l'argent peut être un instrument de domination (quand il est contrôlé par quelques-uns) ou alors un instrument d'émancipation et de réalisation de nombreuses choses quand il est contrôlé démocratiquement comme un bien commun.

Ce qui est rageant c'est que le système actuel a réussi à nous faire croire que nous pouvons manquer d'argent (alors qu'il n'y a rien de plus facile à créer) alors que nous ne nous préoccupons pas de ce que nous ne maîtrisons pas et qui sera amené à manquer si on ne met pas en place une économie circulaire : les matières premières, l'énergie...

En tant qu'universitaire en sciences humaines, si souvent méprisées car ne servant supposément "à rien", etc... Je suis tellement contente de l'intervention de Laélia Véron qui vient élever le niveau d'un coup à la fin!


Comme quoi, les sciences du langage, ça peut réellement apporter quelque chose à un débat. Là où le financier et l'économiste s'embrouillent, n'arrivent pas à débattre,  elle vient remettre tout en perspective de manière magistrale.


Bravo à elle, c'était sans aucun doute une de ses meilleures interventions!

Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins. Si on a quelques notions d'économie, à part l'intervention de Laélia Véron, très raffrai- et enri-chissante, on n'apprend rien. Si on n'en a pas, on a probablement toujours rien compris. Et au bout, la seule question qui me reste c'est : ce Anice Lajnef, on est vraiment certain qu'il est ou a été trader, parce qu'au regard de ses connaissances à la fois historiques mais aussi théoriques - et non idéologiques - je reste très suspicieuse quant au CV (que je n'ai d'ailleurs pas trouvé) de ce monsieur.  @Daniel Sneidermann avez-vous vérifié les références de cette personne ?

Pour ma part, la personne que je trouve à la fois claire, pédagogue et sérieuse par ses propositions sur le sujet serait Gaël Giraud. Si cela vous est possible, invitez-là pour un échange. Ainsi, la compréhension du problème sera à la fois audible mais aussi accessible au plus grand nombre.

Encore une émission d'ASI sur l'économie qui est incompréhensible. Le problème récurrent c'est que DS ne panne rien au sujet, et donc est incapable de poser les bonnes questions et fini toujours à la traine des invités. Je n'attends évidemment pas de DS qu'il maitrise tous les sujets, par contre j'attends qu'il ne fasse pas comme si il maitrisait tous les sujets comme le font les éditocrates. Il faut arrêter de faire des émissions sur l'économie ou alors vous faire aider par quelqu'un de compétent dans le domaine qui va vous aider à interroger les invités. Vous êtes vraiment un excellent interviewer dans plein d'autres domaines mais il faut assumer ses lacunes.

Tout d'abord, merci d'exister, et de continuer à faire des émissions, c'est plus que salvateur, et ça vaut toujours la peine.

Après, effectivement, cette émission était un peu dure à regarder, car les intervenants sont partis en confrontation d'idéologie, plutôt que de répondre au sujet et aux questions.
Argh !

Par contre, y'avait aussi un manque de temps pour vraiment expliciter tout un tas de concepts, et de visions, qui sortent de l'ordinaire.
Vulgariser/résumer des courants de pensée, c'est un gros boulot en soi, ça ne s'improvise que très rarement "en live et en 2 x 30 secondes" (même pour la boutade, sauf intervenants particulièrement rôdés à cet exercice).

J'imagine que la réflexion a déjà été faites en amont, mais ça serait bien de tenter d'autres formes de débats ?
Préparer les questions à l'avance, avec les intervenants, pour qu'ils puissent bosser des réponses plus claires et qui se perdent moins ?
Les inciter à prendre des notes précises, en live, pour les points qu'ils veulent soulever, et forcer des pauses régulières entre chaque intervention pour qu'ils aient le temps de structurer leurs propos ?
Apporter + de "chapitres" dans l'émission, pour vraiment laisser un temps de présentation, clarification des terminologie, développement des concepts clés ?
Peut être faire un montage final, pour recentrer l'émission ? (tout en laissant l'émission brute non-montée en accès à ceux qui veulent le détail, afin de ne prêter le flanc aux attaques à postériori du type "vous avez coupé ce que j'ai vraiment dit" ?)

Je ne sais pas, mes pistes cela semblent sacrément bancales, trop poussives et insuffisantes, évidemment.

Mais il doit bien exister un chercheur quelque part qui a réussi à pondre des formes de débats plus constructives que celle ci, où l'on est trop tenté de se tacler entre intervenants sur des divergences idéologiques.
(alors que chacun amenait des éléments de débats pertinents, pourtant)

Chacun peut approfondir les concepts économiques de cette emission, trop courte pour être didactique mais intéressante pour les pistes qu'elle ouvre. A ce jour le QE, alias la planche à billet, a surtout servi à la finance casino, sans utilité pour l'economie réelle. Face à la crise mondiale gigantesque qui s'installe  nous aurons probablement la baisse des revenus et l'austérité. Au final, toutes les classes vont payer, surtout les plus pauvres, car dans un monde globalisé, une dette ne disparaît pas comme celle des nobles au moyen-age qui finançaient les frasques du roi et les croisades.

Atterrée par l'économiste atterré qui dit : suis pas là pour faire de la morale !!! ouai normal, l'économie est absolument amorale et immorale, souvent les économistes aussi. hé hé. Anice Lajnef, lui, m'a bien plu, en fait. Il est cash. Pas ce circonvolution académico-glinglin, droit au but. Merci. Faut dire que ce genre de sujet pour moi, me paraît toujours abscons mais là, j'y ai entrevu des pistes de réflexion. C'était pas mal. 

Ai-je rêvé ? Lajnef a taillé un short à Mélenchon à 53 minutes 13 secondes le traitant quasiment de Don Quichotte ou de moulin à vent de la "gauche" ? Une voiture balai du PS pour éviter que son électorat sur reporte sur le PC, voire le NPA ou LO comme aux européennes de 1999 ou aux présidentielles de 2002.  JLM n'a rien négocié avec Hollande alors qu'il avait plus de 11% des voix. Il aurait pu être au second tour en 2017 s'il avait été un vrai politique.

émission "équilibree", tous les intervenants ont été décevants.....


Bravo à toute l'équipe d ASI pour continuer les débats toujours passionnant, malgrès le défi technique et la froide distance de l'outil informatique ! Je vous adore ! 

Emission ratée

J'en suis venu à sérieusement douter du CV de ce "trader" pendant l'émission. Je suis assez étonné par sa manière de parler d'économie et de finance, il est largement en dessous de tous les autres traders que j'aie pu entendre (même si son positionnement politique m'est plus sympathique). J'ai fini par trouver péniblement un papier d'Euroweek, une publication financière, dans laquelle traîne son nom, comme ancien trader de la Sogé et de Barclays sur les indices de volatilité.

Du coup, c'est vraiment un trader, et c'en est presque plus effrayant haha

et bien voilà : il suffit d'inviter un trader pour comprendre qu'il n'ont rien compris à l'économie.


éclairant.


mais par pitié, merci de ne plus l'inviter.

En fin d'émission, il ne reste plus que de Daniel et deux invités : en plus d'Anice Lajnef, il y a Jezabel Couppey-Soubeyran pour nous parler de la "monnaie hélicoptère". Tout ce beau monde semble d'accord sur un point que je résumerais ainsi : les nouvelles unités monétaires qui sont injectées, il ne faut pas qu'elle le soit à destination des sans-dents.

Illustration à 1h 06min 06s, où Daniel lance un extrait vidéo :


Ya eu peu, encore, de sujets grands publics - sur les chaînes de télévision - sur cette idée qui est peut-être encore trop récente ; Adèle Bellot en a néanmoins trouvé un sur une chaîne de télévision belge.
Cette chaîne de télévision a procédé à un micro-trottoir dans la rue en demandant aux gens "Voilà, si on vous donnait 20.000 euros, qu'est-ce que vous en feriez ?" On écoute juste un petit échantillon des réponses.


Puis, suite à cet extrait :


On voit bien que ce ne serait pas forcément une solution géniale, un certain nombre de gens les épargnerait et ne les réinjecterait pas dans l'économie.


Alors, Scoop : si le micro-trottoir avait concerné un Revenu de Base par création monétaire, les réponses auraient été du même acabit. Et pourtant, toutes les expérimentations sur le Revenu de Base (aux Etats-Unis, en Namibie, etc.) ont montré bien autre chose. Embêtant.


Dans ce cri d'amour soudain pour le micro-trottoir, j'y ai entendu assez distinctement "Déjà qu'ils ont le droit de vote, ces crétins...".  


Mais à quoi ça peut mener de mettre en circulation des unités monétaires non seulement via une dette mais en plus avec demande d'intérêt, hormis monter un maximum de gens les uns contre les autres ?


Faisons une expérience de pensée :
Imaginons qu'un paquebot coule. Les occupants parviennent à rejoindre une île inhabitée. Personne ne vient les récupérer, ils doivent s'organiser. Au bout d'un moment, pour faciliter les échanges et les choix faits au sein de la communauté, le besoin d'une monnaie se fait sentir. Comment devrait-elle mettre en circulation les unités monétaires ? Via une dette ? Avec demande d'intérêt ? Sérieusement ?

Ou serait-il juste que toute unité monétaire nouvellement créée soit divisée en parts égales destinées à chacun des membres de cette communauté ?

Et serait-il juste que des unités monétaires soient créées régulièrement afin que des générations ne soient pas lésées par rapport à d'autres ?

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Solution avec la monnaie hélicoptère, c'est qu'elle soit versée en monnaie locale qui favorise les circuits courts et le respect de vivant

Perso, j'ai bien aimé l'ex trader repenti fougueusement énervé. 


Je vais lui filer mon adresse ; seul le cash sera accepté de sa part. Merci.


Le "débat" était confus, Daniel Schneidermann l'a rendu vraiment strange, bravô.


Et vive Daniel Schneidermann  !


Dur dur le confinement ! j'avais déjà entendu Cayla... pas convaincant. Lajnef et "sa religion" monétaire.... franchement insupportable !

Sinon... une autre perspective : le salaire à vie et l'économie de la lutte des classes  de Bernard Friot.


"Un jour j'irai vivre en Théorie, car en théorie tout se passe bien". Pierre Desproges

Dommage que M. Lajnef n'ait pas joué le jeux du format des réponses longues sans interruption et n'ait pas été capable de défendre de manière intelligible le point de vue de ceux qui pensent que le système de financement par dette, au coeur de l'idéologie capitaliste, doit être aboli. 


Il est louable que vous n'ayez pas invité un "expert" sur le sujet que nous entendons déjà sur d'autres médias alternatifs (tel Bernard Friot pour le financement par subventions ou Eric Toussaint pour le caractère illégitime et assujetissant des dettes). 


Mais j'aurais aimé entendre sur le sujet Benoît Borrits, qui est, il me semble, rare dans les médias. Il a pourtant le mérite de présenter un système économique complet, se passant du principe de la dette. Son livre "Au-delà de la propriété" propose en particulier un système basé sur l'experience historique constitué d'entreprises et de banques sans fonds propres (donc sans propriété), en gestion coopérative (mixte travailleurs-consommateurs), disposant de fonds grâce à un système d'investissement socialisé. 


Si vous n'avez pas lu son livre, je vous le recommande vivement.


Bien à vous.

Insupportable émission, au point que j'ai fini par l'arrêter à la moitié (ce qui m'était jamais arrivé, je crois, sur une émission d'@si).


Peut-être est-ce parce que c'est sa première intervention média, mais il faudrait prévenir Anice Lajnef qu'il est pas sur BFM ou sur twitter, et qu'on attend pas de lui la polémique : on attend des interventions refroidies, calmes, scientifiques, pas ces envolées plein d'emphases et d'effets réthoriques moisis. En face, la morgue de David Cayla qui se conduit en professeur n'aide pas à poser les conditions d'un débat sain, où les intervenants se conduiraient en adultes, en acceptant que la personne en face a une position et un avis différents.

Bref, c'était atroce, merci à @su de mieux choisir ses invités pour éviter de nous réinfliger des combats de coqs de ce type à l'avenir - pour ce genre de trucs on a déjà Pascal Praud.

L'art oratoire n'est pas donné à tout le monde. C'est dommage pour Lajnef qui est incapable de porter une explication sur ses idées. Il ne porte que sa vision, tel un militant (de lui même ou de d'idées d'autres je ne sais pas), en balancant les idées finales sans explicité les raisons qui l'ont amené à ses conclusions. Un homme d'action, pas de réflexion.  il a peut être des idées mais détruit tout par sa posture. Impossible de tenir le visionnage sans grande souffrance.

Est-il un militant de l'UPR ?

Je suis assez d'accord sur la synthèse, qui ne porte que sur le comportement de Lajnef, cependant: cet antagonisme fut une vraie DIVERSION, qui nous a clairement détourné des questions de base. On observe ça se prolonger dans les commentaires.

Mais arrêtez de couper vos invités toutes les 10 secondes, vous rendez votre propre émission insupportable/impossible à regarder. Ce travers est de plus en plus envahissant au fur et à mesure des semaines. Prenez sur vous.

Merci à Leila de remettre "l'église au centre du village" (pour rester dans la métaphore de la religion) je suis impressionné par ses interventions surtout par la vitesse elle est capable de produire une analyse aussi pertinente

Gérard Lauzier, "Les Cadres", Dargaud, 1981. Un bon cru.

Hors problème technique, émission interessante par la confrontation de point de vue opposés.

Autant pour moi les 2 intervenants avaient de fortes lacunes, mais des propos intéressants.  Je soulève la médiocrité de l’économiste de l’OFCE qui n’arrive pas à imaginer qu’un choix économique valable pourrait être de faire sauter les cadres de l’UE, pour lui, on ne peut trouver des solutions que dans ce cadre, et par conséquence il ne cherche pas vraiment de solution hors du cadre. L’intervenante « hélicoptère » a bien remis des choses en place.

Et votre journaliste qui d’habitude est plutôt sur l’interprétation (sémantique, de l’image ou autre) a été très bonne en rappelant à la fin que l’économie c’est aussi qui détient les moyens de production ...

Je suis toujours (un peu, beaucoup…) gêné  par ces traders qui après s'être grassement enrichi sur le dos de la bête viennent nous dire combien le système auquel ils ont têté et grâce auquel ils se sont mis à l'abri financièrement pour plusieurs centaines d'années  , est négatif, antidémocratique et injuste, même si au demeurant ils peuvent avoir des propos intéressants.

Quant à votre autre interlocuteur atterré, il ne casse pas trois pattes à un canard ! en terme de d'économie il a été peu explicite...heureusement qu'il n'était pas en plateau avec Daniel ...

Brouillonne, cette émission et pas seulement pour des questions techniques.


J'ai cru voir du Fiorantino (et c'est pas un compliment !...)

Les discours sur les moyens techniques, on s’en fout un peu, surtout lorsque ça fait l’impasse sur les buts (les moyens sans les buts, ça n’a aucun sens…)


Il eut probablement été préférable de mettre en valeur les motivations idéologiques, politiques ou philosophiques (voire même peut-être théologiques, je ne sais pas) des intervenants.

Certes, ils n’auraient pas été d’accord, mais on l’aurait vu tout de suite et on aurait compris pourquoi, tout aurait été clair.


Mais là, pour moi, c’est du brouillard…

Douloureux manque de rigueur analytique et manque de pédagogie pour une sujet il est vrai vaste et complexe, je veux bien croire que les conditions à distance n’aident pas mais dur dur quand même. Un nouveau Lordon serait bienvenue pour éclairer la crise qui est et celle qui vient 

Un économiste (dit atterré) qui ne veut pas faire de politique (ni de morale)... Ces homologues "mainstream" ne se gêne pas eux... Il faut sortie de sa bulle de temps en temps...

Bon, j'ai TOUT regardé :-) Pas toujours inintéressant, parfois, oui, parfois confus. J’ai apprécié les recadrages de Cayla, notamment sur la dette et la monnaie. Ses concepts sont solides. En outre, je pense que 90% de ce qui a été dit d'intelligent dans cette émission l’aurait été en 2008. Ca a été dit, en fait en 2008. On est en 2020. Ce sont les mêmes discours. 12 ans...


Et donc, après l’analyse, on fait quoi ? Les moyens d’actions pour modifier les rapports de force ne sont pas présentés. Se faire plaisir à penser avoir raison, ça soulage mais ça ne suffit pas. 2008 l’a montré. Si on veut faire autre chose que rêver :


Option 1 : On sort du cadre. On troque, on vise l’autarcie, l’absence de monnaie et de dette. C’est la fin de l’investissement de long terme. Si la collectivité n’emprunte pas, ne parie pas sur l’avenir, elle ne peut pas construire de ligne de chemin de fer ou d’hôpital. C’est l’option survivaliste ou autarcique. C’est pas mon délire car pour moi, c’est égoïste. Ca fonctionne peut-être pour les adultes en bonne santé. Un certain temps. Pas pour les vieux, les handicapés, les malades, les plus fragiles.


Option 2 : on agit dans le système actuel en espérant le changer substantiellement ou même ne fût-ce qu’un peu. Il y a trois moyens à mon avis. Il faut les utiliser :


  • 1. Le vote. Bah oui, c’est bête. En vrai, ça marche mal mais faut essayer quand même et ne pas se décourager. Il y en a qui ont des idées de changer assez fortement le système.

  • 2. La consommation. Je reçois de l’argent tous les mois, ça me donne du pouvoir. Qu’est-ce que j’achète, qu’est-ce que je n’achète pas ? Chez qui ? Chaque euro dépensé a de l’impact. En choisissant ce que j’achète, je pèse en favorisant les entreprises qui produisent le produit acheté ou opèrent le service concerné. C’est un pouvoir. Il faut l'utiliser.

  • 3. L’épargne. Si j’ai de la chance de pouvoir épargner, je peux choisir ce que ça devient. Le pire, c’est de le laisser sur un compte quelconque entre les mains d’une banque. Là, je ne choisis rien. Il y a d’autres possibilités aujourd’hui pour de l’argent dont on n’a pas besoin à court terme et que l’on peut se permettre de perdre au moins en partie:

  • * Le crowfunding ou le crowlending qui me permet d’investir ou prêter avec un risque parfois faible, parfois élevé dans/à une jeune entreprise dont l’objet me convient.

  • * Les placements en bourse. A mon avis, il faut fuir les fonds de placement, sauf s’il s’agit de fonds très spécialisés dans une direction vraiment intéressante (ex : fonds spécialisés d’une banque éthique/durable). Sinon, il faut arrêter de donner de l’argent aux traders qui se rémunèrent à hauteur de 2% chaque année sur les fonds de placement. Il est démontré que ces traders sont incapables de battre les indices boursiers généraux, càd que la gestion active ne bat pas la gestion passive. Il existe des traceurs (ETF ou trackers) qui reproduisent l’évolution des grands indices avec des frais beaucoup plus faibles (0,2% à 0,4%), càd de l’argent qui ne va pas dans la Mercedes ou Porsche de fonction d’un trader. A partir de là, il faut trouver les fonds durables qui donc sélectionnent les entreprises les plus « vertueuses ». Ce n’est pas parfait. Le but, c’est de faire mieux que de laisser son argent dormir sur son livret A. Là, on a la possibilité de penser que, oui, peut-être, Microsoft c’est mieux que Amazon et d’investir son argent en conséquence.

Vous avez, ne fût-ce qu'un peu d'argent, tous. C'est un moyen d'action. Action!


PS : quel choc d’apprendre, via sa chronique rafraichissante et intéressante, que Laélia Véron fait partie de la secte des prononciateurs du « c » et du « t » dans « suspect » au masculin :-P

Première partie d'émission un peu tendue, un peu technique, un peu conflits d égos, un peu "on est pas du même monde cher (faut) ami". Clairement David Cayla considère Anice Ladjnef comme un intrus. Anice est un passionnel quasi amateur citoyen militant. David lui fait de la science économique objectif. Et... Daniel rame à grandes brassées tantôt dans l'eau tantôt dans l'air (on t en veut surtout pas Daniel).

Au bout on comprend vaguement qu'un paquet de nos décideurs "serrent des fesses" pour appliquer la moins mauvaise des recettes  connues pour sauver la boutique économie monde. Le problème, c'est que le p'tit virus nous emmène... en terre incognita et là... ça risque d'être chaud. Ai je un peu compris?

Bon, on va pas se mentir, c'était atroce. 

bon ..25eme minute...je comprenais à peu près les fils twitter de mr lajnef mais en itw ici je pige plus keudz, j'ai le sentiment d'un vague potage. je vais tenter de m'accrocher mais je cherche le fil...Cayla est plus clair ou bien c'est juste moi?(je ne parle pas du fond, pour le coup...mais globalement, le capitalisme financiarisé mondialisé robotisé, on se doute bien que c'est pas fait pour le bonheur des peuples hein)

Les traders "repentis" me gonflent , mais alors à un point ...

En complément, la vision de la Grande Bretagne. https://www.boursorama.com/videos/actualites/covid-19-ce-nouveau-tabou-monetaire-qui-vient-de-sauter-8bb60423e6e717220a17c2559c816b96

Il existe déjà une monnaie alternative qui fonctionne à la façon d'une monnaie hélicoptère: la monnaie libre, G1.
Dans la G1, la monnaie est créée chaque jour directement sur le compte des utilisateurs à la façon d'un revenu universel. La G1 est encore jeune et perfectible mais c'est très cool, se faire un compte ne coûte rien... et rapporte des G1 chaque jour.

Pour les curieux et curieuses: https://forum.monnaie-libre.fr/t/00-intro-guide-du-debutant-en-monnaie-libre-g1-june/2777

Pas vu l’émission même si je crains le pire, mais plus que jamais, il nous faut « penser à la Friot ». Bien voir que ce déversement financier (la seule « solution » que le capitalisme peut envisager face à une crise de l’emploi) sera le prétexte ultime à toutes les politiques austéritaires à venir.


Je ne sais pas ce que va donner « le monde d’après », mais si les travailleurs ne vont pas à la castagne, Aldous Huxley comme tant d’autres dystopiques vont se retourner dans leur tombe !


On a déjà des dirigeants fascistes dans à peu près tous les pays riches (France, USA, Russie, Angleterre, Allemagne, etc). En France, on a pu éborgner des manifestants pépouze pendant un an. Le confinement est passé comme-une-lettre-à-la-poste (celle d’avant sa privatisation). Les français eux-mêmes commencent à demander à être pistés. Je vous laisse imaginer la suite.


Chopper le CoViD ça va être des vacances à côté.

Ça démarre curieusement. 


Dans son introduction, Daniel Schneidermann s’interroge sur « la reconstruction économique »

Mais qu’est-ce qui a été détruit, si quelque chose a été détruit ?


Les outils de production ? Les routes, autoroutes, et voies ferrées ? Les écoles, les lycées et et les universités ? Les labos de recherche ? 


Rien n’a été détruit, sinon la béatitude de ceux qui sont du côté du manche et qui entendent bien y rester.


Petite remarque sur l’art du fond d’écran : Lauzier, c’est un économiste ?

J'ai trouvé Lajnef inintéressant et insupportable. Mauvaise pioche !

C'est d'autant plus dommage que JCS est très compétente et un dialogue/débat entre elle et Cayla aurait permis de mieux approfondir le sujet



Bonjour, désolé je vous aime bien mais là c'était une castatrophe... Je vois un titre intéressant, je me rabonne pour regarder en faisant du vélo. Déjà la vidéo coupe régulièrement, Viméo a du mal à suivre manifestement. Ca peut couper et reprendre tout seul, mais non là ça coupe et ça reprend jamais, obligé de descendre du vélo pour recharger la page. De nos jours ça la fout mal ce genre de plantages.

Et sur le fond du débat, c'était affligeant. Questions complexes, on parle des fondements: la dette, la monnaie, le capitalisme. Ca demande du temps et de la préparation pour expliquer, de la pédagogie, de la clarté. Il n'y avait rien de tout ça, interventions hachées, coupées, pas le temps de répondre. Quand on est habitué aux vidéos d'Heureka, qu'on a lu Sapiens de Yuval Hariri qui décrit l'avènement du système de façon limpide, ce qui est présenté là est confus au plus haut point, voire totalement farfelu pour ce qui est de M. Lajnef (mais décrire un système alternatif en 30 secondes comme vous lui demandez, c'est impossible, donc je lui laisse le bénéfice du doute). 

Bref, j'ai perdu une heure, tant pis.

Désolé mes amis d'Arrêt sur Images mais une fois de plus vous passez à coté du sujet car s'il y en a un qui a osé, commencé à en parler et depuis un certain temps c'est encore Mélenchon comme il avait très clairement fait le diagnostic de la situation sanitaire même avant la dernière campagne présidentielle. Il en a fait le sujet exclusif de son intervention à l'AN aujourd'hui même. Mais chut  faut jamais en parler !!! Et les journalistes vous allez faire votre boulot un jour !!!!

pas encore vu, mais le me titre me fait peur. Peur d'être à nouveau déprimé sur le monde d'après ! Je vais d'abord aller voir Ruffin !

La réalité est la suivante: la baisse des émissions de CO2 montre assez que le monde d'avant ne peut pas revenir. L'impact de deux mois de confinement? à peine suffisant pour nous mettre dans les clous de l'accord de Paris. Loin d'être une épouvantable catastrophe, c'est le minimum de ce que nous devons faire.


Nous devons continuer à travailler moins, utiliser moins de ressources, et surtout, surtout, partager les richesses. Ce coup-ci, il n'y a pas d'alternative: il nous faut une révolution, un changement radical. Et certes ce n'est pas avec les profiteurs de l'ancien monde qu'on créera le nouveau. Qu'on les foute tous dehors!

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Offre spéciale
3 mois pour 3 € puis 5 € par mois

ou 50 € par an (avec 3 mois offerts la première année)

Sans engagement
Devenir
Asinaute

5 € / mois
ou 50 € / an

Je m'abonne
Asinaute
Généreux

10 € / mois
ou 100 € / an

Je m'abonne
Asinaute
en galère

2 € / mois
ou 22 € / an

Je m'abonne
Abonnement
« cadeau »


50 € / an

J'offre ASI

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.