La Presse libre est-elle "de gauche" ?
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Commentaires préférés des abonnés
Merci pour cette chronique, et merci de lever un coin du voile sur vos échanges internes : je lis en filigrane que vous marchez un peu sur des oeufs. Vous savez bien que vous êtes globalement tous de gauche, et que beaucoup de nous sommes complètemen(...)
Dans ce monde de brutes , n'ayons pas peur de s'affirmer de gauche .
Pour répondre à votre question , la presse libre est elle de gauche?
"Être de gauche c'est d'abord penser le monde, puis son pays, puis ses proches, puis soi ; être de droite c'est l'(...)
Si meme les gens /media de gauche ont peur de dire qu'ils le sont - parce que le mot est en ce moment charger de connotations abusives (extremiste-terroriste etc), on est mal barrer pour faire la resistance.
Il faut revendiquer ce mot haut et fort et (...)
Derniers commentaires
la presse libre est "elle de gauche"?
la presse est elle en chute libre ?
Serez-vous aussi grotesque que CNews, qui refuse contre l'évidence d'être qualifié de chaîne (pour le moins) de droite ?
Oui, bien sûr il est important de bien le "préciser"... de le clarifier même si un vent souffle pour la presse libre plutôt dans un engagement social, humaniste, progressiste, ouvert bref, pas tout à fait à droite!
Et à propos de "Résistance", j'ai eu il y a deux jours un autocollant du SNJ "Informer c'est résister"... et je trouve aussi!
Vous dites 'Solidarité' (et non pas charité), vous dites 'Non-discrimination', si c'étaient des valeurs de droite, ça se saurait...
Avant d’en arriver à la difficulté d’assigner tel organe de presse (ou tel individu) à la gauche ou à la droite, je crois qu’il est d’une nécessité impérieuse de s’accorder (…) sur une définition de chacun de ces bords (du moins de l’un pour en déduire l’autre).
Partant du principe que définir c’est distinguer et par conséquent que la définition la plus effective (la plus efficiente) sera celle qui fait voir la plus nette et la plus grande différence entre la gauche et la droite, j’avance pour commencer qu’il serait hasardeux de recourir à cette notion de valeurs dont personne n’est assuré d’en posséder le monopole.
Plus généralement, je n’adhère point à cette façon de faire qui consiste à s’arroger des qualités pendant que l’on évacue sournoisement le reliquat chez le voisin. J’ai notamment en tête ces prétentieuses appropriations d’après lesquelles on énoncerait par exemple que l’initiative privée serait de droite tandis que l’étatisation serait de gauche ou encore plus fallacieux que l’égalité serait de gauche et la liberté de droite.
Je récuse également qu'à priori l’on prétende que l’État providence soit réputé de gauche tandis que le désengagement de la force publique serait de droite : si l’État-providence permet un meilleur climat des affaires quiconque s’attachant à une meilleure rentabilité de ses investissements serait idiot de le refuser.
C’est ainsi que l’on s’approche d’une définition de notre temps, plus facile à appréhender et qui possède, je crois, le pouvoir de distinction, de discrimination le plus élevé. C’est du moins une définition que comprend sans grand effort, mon petit neveu de 7 printemps à qui j’ai exposé tantôt et qui semble l’avoir saisi avec netteté qu’un gouvernement est de gauche lorsqu’il se préoccupe davantage des citoyens qui n’ont que leur force de travail à vendre et qui espèrent en tirer de quoi vivre convenablement ; qu’à l’opposé, il serait de droite lorsqu’il penche du coté de ceux qui disposent de réserves et qui espèrent les faire fructifier du mieux possible (comme mon neveux l’apprendra plus tard en ponctionnant une part du fruit du labeur du plus grand nombre).
Il ne reste plus qu’à positionner la ligne éditoriale d’un organe de presse entre ces deux pôles pour déterminer s’il est de gauche ou de droite relativement à la moyenne ou à la médiane des positions de l’ensemble des organes de presse en activité (naturellement mon neveu ne comprend pas encore la moyenne ni la médiane). Sorti de là, l’on peu toujours essayer de se dissimuler derrière son petit doigt (bien que je ne sache point encore l’équivalent d’un petit doigt pour un organe de presse).
Et lorsqu’il nous est impossible de situer une ligne éditoriale (ou politique mais ceci est une autre histoire) sur ce continuum du vivre du fruit de son labeur vs vivre de la productivité de ses réserves (vous remarquerez qu’un même individu de nos sociétés contemporaines peut naviguer à la voile des revenus du travail en même temps qu’à la vapeur des revenus de capitaux – n’y voir de grâce aucune connotation et cette précaution ne saurait être située ni à gauche ni à droite selon le principe exposé subséquemment) ; bref quand une ligne éditoriale est impossible à situer sur ce continuum, que peut-on dire de l’organe "ectoplasmique" de presse dont elle est issue – exception faite bien-entendu des contenus purement techniques et encore faut-il que les retombées de ces techniques ne penchent pas d’un côté ou de l’autre ?
Bonne question. Sommes-nous de gauche, personnes libres? Je ne voulais pas me catégoriser, trouvant que d'un point de vue purement idéologique, il y avait un peu de bon et un peu de moins bon des 2 côtés. Ma seule critique de la gauche résidait dans certains projets pour plus de justice ne tenant pas compte de la réalité récente du terrain économique global avec laquelle il faut compter avant de vouloir tout changer.
Avec le temps j'ai observé qu'il y avait plus de gens intelligents à gauche et plus d'imbéciles à droite. J'ai fini par m'étonner qu'une personne dite de droite propose quelque chose de constructif, j'ai fini par m'étonner qu'une personne dite de gauche dise une connerie.
Dans un autre registre, le monde politico médiatique a définitivement achevé sa mue: je ne supporte plus la manière dont les informations sont présentées par la plupart des médias ou personnes publiques. Ils parlent "des extrêmes", ils renversent l'idée de l'extrémisme. Les gauchistes sont devenus les ennemis violents du politiquement correct. Pourtant, jusqu'à preuve du contraire, il n'y a pas d'extrême gauche au niveau du paysage politique français. Qu'on m'amène des preuves.
Être catalogué "de gauche", ce n'est pas un problème du moment que l'on reste indépendant, c'est-à-dire, capable d'enquêter aussi sur les partis de gauche.
Les journalistes ont le droit d'avoir leurs opinion du moment qu'ils conservent une déontologie, une honnêteté dans leur travail (à la différence de CNews qui a une opinion, mais qui ment, déforme en permanence.)
Si asi ne traitait que de la droite et de l'extrême-droite, là vous deviendriez un média "militant" et donc plus indépendant. C'est ce que je reproche à l'Huma que j'aime bien mais où vous ne trouverez jamais d'article critique sur Fabien Roussel par exemple (et pourtant il y aurait de quoi...) L'Huma, média indépendant ou militant ?
Vous avez écrit quelles étaient vos valeurs : Indépendance, Éthique, Inclusivité et égalité, Solidarité.
Et on pourrait ajouter : faire du journalisme, c'est à dire enquêter.
Voilà pourquoi vous êtes de gauche. Et pourquoi je pense l'être aussi. Y a pas à chicaner.
Nous avons vu dans le commentaire de Pekebou la référence à G. Deleuze, très valable, d'ailleurs Lepen Père disait la même chose, en partant de l'autre sens qui aboutissait à quelque chose genre on préfère son ami à un inconnu, ses parents à ses amis etc.. Ce critère de Deleuze est très bien.
N.Bobio dans un ouvrage paru il y a une trentaine d'années disait que certaines idées passaient de droite à gauche et inversement selon les époques, sauf celles qui concernent le principe d'égalité qui de tout temps a demeuré à gauche.
Ne peut-on pas dire qu'un journalisme de gauche a un prisme de lecture des faits, et véhicule une morale de gauche.
Il serait dommage qu'à l'image du mot woke "gauche" devienne péjoratif
Une polemique, meme artificielle, vaut mille affiches publicitaires.
En partant de l’observation que les médias mainstream sont clairement manœuvrés par des gens de droite, la presse indépendante ( comprenons indépendante des pouvoir de l’argent) ne peut être qu’en opposition à la presse mainstream…. Et qu’il y a-t-il enficèle des la droite ?
J'avoue ne pas être sûr que simplement 2 personnes puissent s'entendre sur ce qu'est la gauche. Alors je procède en définissant ce qu'est être de (extrême)-droite : c'est ne pas accepter le réel. Quelque soit le sujet, c'est toujours frappant de voir à quel point les partisans de droite nient les faits (le génocide, le ruissellement qui ne marche pas, l'assistanat des entreprises, l'ineptie sanitaire de la suppression de l'aide médicale d'état, etc.). C'est pourquoi il ne faut débattre avec eux qu'en invoquant des faits, ça suffit à les éteindre. Sans quoi on part dans l'idéologie, es on perd une bonne occasion de voir son adversaire se ridiculiser
Peut être que c'est juste le fait d'être indépendant qui vous classe à gauche.
quand viendra la Saint-Barthélemy, mieux vaut ne pas avoir un signe distinctif sur notre porte!
nous serons jugé sur nos actes, pas sur un bla-bla sans suite, et la dénonciation des turpitudes de l'ED, comme le pseudo-sondage de Sud-Radio commandé à OPIF qui donne l'ED vainqueur en 2027, fait œuvre salutaire!
continuons à éclairer dans la suite des "Lumières"! que vive la démocratie et l'état de droit!
Et ''Libé'', est-il encore de gauche ? Si oui, laquelle ? Réformiste/social'dem libéral, tendance Glucksmann ?
C'était pour prolonger le questionnement de DS ...
Daniel écrit:
Aussi loin que je me souvienne, ni ce site, ni l'émission de France 5 avant lui, ne se sont jamais auto-définis comme "de gauche".
Je vous encourage à voir ou revoir le fameux film de Pierre Carles "Enfin pris?".
J'adorerai un retour sur ce film par l'intermédiaire d'un "Je vous ai laissé parler" dans lequel Daniel inviterait Pierre, et que ce dernier accepte.
Vous qui avez pointé du doigt les compromissions du tandem Legrand- Cohen avec le PS ( ces types qui se croient de gauche) . Pour prouver votre impartialité, vous pourriez dénoncer la compromission du tandem Praud - Sarkozy.
😀
Etre de gauche , c’est traiter les sujets en profondeurs , même ceux de gauches , pendant que sur un site de droite il les caricatures , ou les oblitères . En gros être de gauche , c’est être honnête , être de droite ,c’est être malhonnête .Et ce ne sont jamais les sujets qui sont malhonnêtes , c’est le traitement. Ça me semble cool comme définition .
Si la Presse libre n'est pas de gauche, j'attends que Frontières, Franc tireur et La règle du jeu rejoignent la bande avant de m'abonner.
Si on regarde l'histoire, en 1789 étaient marqués à gauche les anti royalistes. Puis les anti-esclavagiste et les pro vote des femmes. Ensuite, ceux qui luttaient contre les barons voleurs. Puis les congés payés. l'anticolonialisme. Toujours, la droite a représenté le conservatisme des "valeurs" quand la gauche représentait le changement. Depuis toujours, la gauche a eu raison avant les autres. Même le libéralisme économique des années 80, c'était un simple retour à ce qui se faisait avant. Rien de neuf, toujours du vieux à droite. Même du temps de de gaulle, c'est par la poussée des communistes et contre le camp de droite que des mesures progressistes ont été mise en place (avortement, sécurité sociale etc). Oh, ça ne veut pas dire qu'à gauche c'était tout rose. Mais plus on allait à gauche, mieux c'était. Du temps du PCF, fallait aller plus à gauche pour avoir des communistes anti staliniens.
Bref, la différence entre la droite et la gauche? Le progrès. L'idée que l'organisation d'une société est toujours à remettre en cause suivant les aspirations des peuples. La droite? La peur du changement. L'anti révolution.
Certe, je fais dans la réduction d'évènements, mais je crois qu'on ne peut pas trouver mieux pour définir, historiquement, la différénce entre droite et gauche.
Et ce portrait d'Isaline Choury, 83 ans, actuellement embarquée à bord de la Freedom Flotilla Coalition, est-il "de gauche" ?
ce qui est caractéristique de la presse de gauche est plutôt de faire l'impasse sur certaines actualités concernant cette flottille, dont le retrait de Thunberg, Portes et Haenel, et aussi ceci :
Gaza : quand la présence d’un militant queer divise la Global Sumud Flotilla - Boulevard Voltaire
En bref, heureusement qu'il reste les médias de droite pour nous informer des actions menées par la gauche.
Diable. Est ce que Libe ne se demande pas en même temps si tout le reste de la presse non indépendante ne serait pas de droite ?
Je retiens cette phrase, peut-être un effet générationnel : « Déchirée comme aujourd'hui...je préfère regarder ailleurs. »
Je crois que nous allons être nombreuses et nombreux à gauche à regarder ailleurs - par exemple un fil de pêche plongé dans l’eau de rivière ou de mer, aux prochains scrutins.
Sérieusement ? Savoir si on est de gauche ou de droite, est-ce vraiment LA question à se poser en 2025 ?
Définition très excluante de Deleuze de ce que peut-être la gauche.
Je vous renvoie à ce sujet au livre de Didier Eribon « Retour à Reims » dans lequel il constate que cette définition « se situe à l’exact opposé de celle qu’incarnait ses parents » et partant, « les milieux populaires, la classe ouvrière [pour qui] la politique de gauche consistait avant tout en un refus très pragmatique de ce l’on subissait dans sa vie quotidienne. »
Je vous renvoie également aux livres de Miguel Benasayag et notamment à « Pour une nouvelle radicalité »
La gauche ne résume pas en quelques mots elle s’incarne dans l’action.
Bien poser en question le quotidien des gens, révéler, dévoiler, extrapoler, internationaliser tout cela permet de faire une presse de gauche.
Je voudrais ici citer deux journaux essentiels me semble-t-il :
La Décroissance
Le Monde diplomatique
Le statut social n'empêche pas de penser le monde
Et le Diplo que vous citez à juste titre est très international
Justement.
'' Et le ''Diplo'' est très international '', écrivez-vous. Certes, mais pas que !
Lecteur depuis quarante ans, je peux témoigner que le mensuel altermondialiste - d'abord sous la houlette de Claude Julien, ensuite sous celle de Ignacio Ramonet, jusque sous la direction de Serge Halimi -, s'est davantage ouvert, ces dernières années, aux questions de société, du social, de la politique intérieure, de l'environnemental et de la critique (radicale) des médias !
Personnellement, c'est très bien ainsi.
Tout en restant fidèle aux fondamentaux des débuts, comme le NON-ALIGNEMENT.
"La gauche ne résume pas en quelques mots elle s’incarne dans l’action."
BRAVO ! 1000 fois bravo ! On ne saurait mieux le dire !
Que cela serve de leçon à tous les blaireaux de ce forum qui se croient autorisés à distribuer les bons et les mauvais points, comme de dociles héritiers du pire maccarthysme.
Daniel tente de nous vendre l'idée que LPL est centriste :-)))
Quelle pudeur de gazelle quand même ! Z'êtes du centre ? de droite ? si non z'êtes de gauche, ou rien.
En tout cas Libé on ne peut pas les accuser d'être toujours de gauche, ils publient encore des articles de Luc le Vaillant et Jean Quatremer...
J'enseigne le décryptage des médias depuis bon nombre d'années (je précise que j'ai été journaliste et que je connais un peu le milieu). Au début, j'ai été surpris de constater qu'il n'existe aucune "fresque politique" des médias en France. Pourtant, on connait la ligne éditoriale des uns et des autres. On m'a répondu (et cela m'a fait sourire) que les journalistes ne voulaient pas être étiquetté(e)s politiquement...Certes. Alors depuis, je l'ai créée. Et cela permet de mieux faire comprendre ce qui se passe dans les médias lorsqu'une actualité y est décrite. Mes critères sont subjectifs, je le reconnais, mais quand je la montre, je n'ai que (très) rarement des critiques négatives. On parle facilement des médias d'extrême droite, pourquoi ne pas parler de médias à gauche, au centre gauche, centre droit, droite, libéral, chrétien ... Et j'intègre bien entendu les médias 2.0, ceux qui n'existanet que sur le numérique. Et parfois, je réponds "je ne sais pas".
Rappel : un "média neutre" appartient à un milliardaire (ou au gouvernement, à la limite).
Sinon → "média de gauche".
À l'époque où ASI appartenait à un unique propriétaire, l'animateur-producteur milliardaire qui tirait les ficelles depuis son château de Tourraine, c'était un média respectable. Mais depuis que c'est devenu une coopérative (communiste, donc), le média est passé à l'autre bord...
Ce qui est intéressant est que ces médias indépendants sont qualifiés de gauche, mais le traitement de l'info quand il est de droite, n'est pas toujours qualifié de droite.
Je n'ai pas écouté, mais interview sur France inter de Duhamel hier matin d'Arthur !! Et aujourd'hui Glucksman...
la presse de gauche est-elle libre ? oui !
Dans ce monde de brutes , n'ayons pas peur de s'affirmer de gauche .
Pour répondre à votre question , la presse libre est elle de gauche?
"Être de gauche c'est d'abord penser le monde, puis son pays, puis ses proches, puis soi ; être de droite c'est l'inverse".
Gilles Deleuze
Alors ?
Faut pas être faux cul. Assumez. Toutes les valeurs que vous énumérez sont des valeurs de gauche. Même si à droite on peut revendiquer une petite partie d'entre elles.
Laissez tomber donc ce genre de truc, ne tombez pas dans ce piège de chercher à remplacer une étiquette par une autre. N'ayez crainte, à ceux qui vous marqueront très à gauche succèderont très bientôt de ceux qui vous trouveront décevant, pas assez à gauche, donc à ce petit jeu vous devrez godiller dans l'autre sens. Laissez tomber les ayatollahs de tout poil, produisez, investiguez, étonnez, informez nous, soyez exigeants contre nos ennemis mais aussi contre vous-même et aussi vis-à-vis de nous vos lecteurs, nous qui vous jugeons de manière péremptoire sur un tweet, un extrait, nous qui menaçons de nous désabonner dès qu'on est "choqué" par une virgule de travers. Prenez nous à rebrousse poil. Ca sera très bien.
Etre de gauche ? Simplement , ne pas supporter l'injustice ....
Ciel ! Ces débats existenciels ne seraient il pas existentiels ?
nvenons-en.
Refuser de travailler avec une icône, que dis-je un dieu vivant tel que Bernard Arnault ou Vincent Bolloré ne peut avoir qu'une explication: vous êtes jaloux. Et cette jalousie est un marqueur typique de l'extrême gauche. Pour quelle autre raison parler de justice sociale, si ce n'est parce que vous n'avez jamais collaborer avec Xavier Niel?
Quand a Nathalie Loiseau, évidement qu'elle est de gauche. La preuve, elle considère qu'avoir été au GUD était une erreur de jeunesse.
Si meme les gens /media de gauche ont peur de dire qu'ils le sont - parce que le mot est en ce moment charger de connotations abusives (extremiste-terroriste etc), on est mal barrer pour faire la resistance.
Il faut revendiquer ce mot haut et fort et lui faire dire ce quil veut vraiment dire, sans laisser les autres le salire.
Etre de gauche (ethique, attache a l'humain, à la democratie, penser en systeme etc), etre woke (sinteresser aux violences policiers, qux questkons de genre etc). est un argument en votre faveur. Soyons fier et ne doutons plus ✊