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Olivier Marchal et les Pépito : pleurer flic

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J'ai vu quelques uns de ces films, mais je n'avais pas remarqué, jusqu'alors,  qu'il était aussi bon  comédien ...

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Si omar Sy vit au USA cela ne l'exonere pas de payer ses impots en France sur la part de ses revenus en perçu en France ....Tout ses cachets perçu en France sont donc imposés en France

Consterné, encore une fois par la sottise primaire, brutale, bourrée@ de certitudes inébranlables de toutes ces réactions farcies d'antiracisme en pleine exaltation.


 Il est vrai qu'on amalgame à tout va, depuis Floyd, comme si cela avait quelque chose à voir, le racisme US et la torgnole ( éventuelle ) à ce gamin piqueur de scooter, ou plus encore le feuilleton Adama, tellement douteux quand on regarde d'un peu près le dossier. 


Je comprends qu'il en chiale, Olivier Marchal quand il pense à ses collègues d'autrefois et d'aujourd'hui, confrontés tous les jours à une société qui s'affole. Et surtout, à ce pouvoir qui ne maîtrise plus rien, qui godille entre le dérisoire et l'odieux. Tous ces flics qu'on a incités à éborgner du Gilet Jaune, et qu'on lâche maintenant parce que c'est le tabou du racisme qui menace dans la rue: ne peut-on comprendre qu'ils en perdent un peu la tête ?


Qui ne voit pas la grossièreté des manipulations, la noire hypocrisie de cette famille de délinquants,  l'opportunisme ou l'insondable naïveté de ceux qui se placent dans son sillage ?


 Désolé, mais je continuerai à faire davantage confiance à nos gendarmes et flics. Quand le pouvoir saura tenir un cap, avec intelligence et fermeté, sans doute aura-t-on moins de bavures , et certainement saura-t-on mieux les traiter.



Je lis, j'écoute et j'essaie de comprendre.

Je mets donc en vis-à-vis, l'article "Olivier Marchal et les Pepito" de Daniel Schneidermann sur le site d'arret sur image et celui publié par Michel Onfrey sur le site de Front Populaire, "Eloge de la police".

Ce qui rassemble ces 2 articles en particulier, et tous les débats public sur le sujet depuis la mort de George Floyd et/ou l'intervention de Camilla Jordana chez Ruquier, c'est l'absence de pondération des propos de ceux qui les tiennent. Non qu'il ne sont pas intelligent, mais tous semblent portés par un élan qui les obligent à l'excès.

Tout cela est tout de même emprunt de mauvaise foi. Soit pour aller vite, droit au but. Soit pour protéger/se protéger. Soit pour militer. Et il n'y a donc pas selon moi d'un côté ceux qui ont raison et de l'autre ceux qui on tort.

Bref, rien de neuf sou le soleil. Ces débats ont déjà eu lieu, mais une chose importante fait désormais la différence et change selon moi notre perception de faits : certains de ces actes de violence sont  filmés et il n'est du coup pas illégitimes de penser que beaucoup d'autres ne le sont pas.

Alors bien sur que la violence est le quotidien des délinquant et de la police. C'est une évidence. Mais quand cette violence caractérisée est attisée par la haine du flic du black ou de l'arabe, les protagonistes d'une scène de violence doivent pouvoir en rendre compte devant la justice. Et la justice n'est ni BFM, ni le grand public, ni Olivier Marchal, ni Christophe Castaner.

Dans l'article de Daniel Schneidermann, l'excès consiste en ne pas croire en la sincérité d'Olivier Marshall. Ce qu'il dit avoir vécu marque très probablement sa vie. Et son jugement s'en trouve certainement altéré.

Dans son article, Michel Onfrey revient sur ce jeune homme voleur de scooter, puis blessé par sa confrontation avec la police. Ici, pas de caméra pour voir ce qui s'est passé. On peut tout imaginer sur la façon dont les choses se sont déroulées. Il y a aussi, à l'évidence, une relation de cause à effet entre le vol du scooter et le visage tuméfié de l'adolescent. Au mieux, celui-ci s'est débattu avec éclat et la police a fait comme elle a pu pour le maîtrisé. Au pire, les policier ont cédés à leur instinct. Mais au nom de quoi le prix à payer pour la vol d'un scooter devrait exonérer le voleur et la police de rendre des compte et de faire valoir leurs droits ?

De quoi cette violence policière moderne est-elle le nom ? Petit entretien de l'historien du Média Julien Théry avec Paul Rocher, auteur de Gazer, mutiler, soumettre.

je vais pas défendre marchal, le chouineur du polar mélo, mais je trouve qu'il faudrait aussi pouvoir entendre ce qu'il dit, comprendre de quoi il parle. 

les flics (et les gendarmes, en zone rurale), c'est aussi eux qui vont au charbon quand plus personne y va, quand les assistants sociaux et les éducs sont aux abonnés absents, quand les hôpitaux psy ont foutu leur malade à la porte après trois jours de neuroleptiques dans les fesses, quand l'école laisse filer l'absentéisme et "l'évaporation" des élèves, quand ça chie n'importe ou et que "le système" fait pas face, c'est les flics qu'on appelle, et qui viennent. pas toujours, pas toujours tout de suite, ok, mais c'est une bonne part de leur boulot et personne d'autre ne le fait : l'alcolo, le psychotique qui disjoncte, la castagne à la maison, les viols, les accidents... ils en brassent, de la souffrance, de la violence, de la merde sociale et relationnelle, ils sont aussi bien formés, payés, considérés, que le éboueurs, les égoutiers, les filles de salle...  et ils sont, dans ces fonctions là, bien plus souvent que tout le monde sur ce forum ne semble le savoir, calmes, humains, attentifs, secourables, protecteurs... 

il m'est arrivé d'aller porter des chocolats au gendarmes pour les remercier d'une intervention, ils étaient au bord des larmes, personne fait jamais ça... 


je dis pas ça, entendons-nous bien, pour servir de justification ou de compensation à tout ce que nous savons du racismes, des déni de droit, de la violence, du rôle dégueulasse que joue souvent la police. Mais si on parle de problèmes systémiques, je trouve qu'il faut comprendre le système dans son ensemble. et prendre en compte tous ses aspects, sans édulcorer, mais sans caricaturer.

Bonsoir, 

Je pense qu'il voulait plutôt dire "l'arme de flic" ..... Mais on peut toujours se tromper, comme il y a présomption d'innocence, même quand on a la preuve de la culpabilité de l'impétrant .....

L'image du policier.


Les syndicats de policiers ( et leur ministre) s'émeuvent des propos de Camilla Jordana, qui offenseraient la police


Pourquoi ne sont-ils pas si prompts à réagir devant l'image du policier que donnent, chaque soir, les séries télévisées ?


Un florilège de comportements déviants et délictueux : violation de domicile au moyen de fausses clés, arme mise dans la main du suspect abattu par un policier, pièce à conviction détournée et replacée sur le lieu de la perquisition, etc ...


Pas de réaction, est-ce le respect absolu de la liberté d'expression des auteurs de série ?


Ou bien, pas de réaction parce que ces pratiques seraient si naturelles dans la police IRL qu'il ne viendrait même pas à l'idée de les contester ou les contredire.


Pourtant, il serait possible de saisir le CSA et demander l'insertion, au générique , d'un avertissement.


Pas simplement la ritournelle " Toute ressemblance..." 

Mais un avis plus circonstancié  " Oeuvre de pure fiction. Dans la vie réelle, de tels comportements entraineraient l'annulation de toutes les procédures et la révocation de leurs auteurs "


Chiche ??


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Ce qui est bien avec l'info, c'est qu'on interroge toujours ceux qui justifient l'ineptie et la violence de la police sous tous les tons et toute la gamme des émotions. Toujours les mêmes syndicats porte-parole de la violence institutionnelle et les anciens qui rappellent avec nostalgie le bon vieux temps où cogner s'inscrivait dans l'ordre des choses. N'est-il pas possible de nous trouver d'autres flics qui ne confirment pas du tout cette propagande et dénoncent cette dérive fascistoïde. A@I en a déjà invité (il a aussi invité des beaucoup plus perméables à la violence). Continuez à donner de l'écho à ceux qui s'opposent à la fatalité de la brutalité si vous voulez que les choses changent. Rendez-les visibles.

Pepitos, flics... Est-ce la source d'inspiration de la chanson de Sébatien Tellier "Pepito bleu" ?

Pour moi Olivier Marchal est avant tout un très bon réalisateur.  J'aime tous ses films. Dsl

France 3 ce soir , plus de 2h30 de flics "Tandem" , France 2 demain 15 minutes de flics "un si grand soleil" , France 3 jeudi 1h30 de flics "Cassandre" , vendredi France 2 2h45 de flics "Candice Renoir", samedi France 3 92 minutes de flics "les mystères du bois galant" , Lundi France 2 ...rebelote 2h50 de flics , mardi France 3 rebelote 2h30 de flics...


...et dans la journée , les flics pour les horodateurs , les flics pour les contrôles des papiers , des cartes grises , les flics sur les parking des grandes surfaces , les flics qui roulent sirènes hurlantes , les flics sur une intervention des pompiers , etc etc etc !


Bref , les flics ................. partout , tout le temps !

Moi, ce qui me gène le plus, c'est que les flics (et les gendarmes)+ ou - racistes nous tapent dessus avec notre pognon... ce sont des fonctionnaires, payés avec nos impôts (et la TVA) !!! Je n'ai jamais payé pour que la France claque tout son pognon à tabasser des jeunes dans les quartiers, des gilets jaunes ou des vieilles dames, des syndicalistes ou des petits garçons... pareil pour que les stocks d'armements soient pleins ! 

JE NE PAIE PAS D'IMPOTS POUR LA REPRESSION NI POUR DE l'ARMEMENT... je crois que, ce soir, je vais préparer un carton qui irait dans ce sens là pour l'hommage à G. Floyd.

Olivier Marchal soutient ses amis flics jusqu'au bout comme son pote Michel Neyret (numéro 2 de la police judiciaire de Lyon) condamné pour corruption et association de malfaiteurs. Flic un jour , flic toujours.

Catastrophiquement déboulonné -en morceaux- par les propos du shériff Olivier Marchal.


Sous ses Pépitos larmoyants, les pépites niaiseuses de la scotomisation des faits de violences à répétition. 


Nier le racisme et la brutalité en groupe, c'est de l'ultra violence.  Grave !


   

Olivier Marchal ,c'est lui qui a défendu le commissaire Neyret,un ripou lyonnais qui trafiquait avec la mafia Lyonnaise et qui a été lourdement condamné. Alors sa morale d'ancien flic ...


"s'il n'était pas stupide il ne serait pas policier" Charles de Gaulle. 


Ok, ça n'apporte pas grand chose mais c'est rare d'avoir l'occasion de sortir celle-là du Grand Charles car, curieusement, elle n'est pas très souvent utilisée dans la bouches de nos Gaullistes :) Il faut bien se faire plaisir de temps en temps 

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Olivier Marchal a laissé tomber le métier de policier, pour le scénariser, tirer de son expérience des fictions filmées.
Il a de ce métier une vision romancée.
Mais malgré cela, comment parvient-il à éluder aussi facilement les violences policières, en particulier celles qu'ont subi les GJ, éborgnés, mutilés ? A minimiser le racisme qui pourrit sa profession et dont de nombreux reportages ont pu témoigner ?

Du pur déni de sa part, un aveuglement coupable. Le fossé qui sépare fdo et citoyens, leurs victimes potentielles à des degrés divers, n'est pas près de se combler.


En tant que citoyen, je suis rassuré de savoir qu'une sanction sera "systématiquement envisagée en cas de soupçon avéré".  Ouf !

beaucoup de policiers sont racistes, qui en doute ? mais faire ce constat n'est pas suffisant. Ceux que la police a massacrés , éborgnés,  humiliés  , tués ( cf Rémi Fraisse ).. les Gilets jaunes, les soignants, les pompiers, les écologistes   sont plutôt blancs,  pas spécialement "colorés".  Je pense que les policiers aiment ça , humilier et faire mal . Pouvoir se laisser aller à ses pires instincts  avec le sentiment de faire son "devoir" : quel pied !  Et je pense surtout qu'ils sont les défenseurs inconditionnels du pouvoir quel qu'il soit . Je me demande si Juillet 1942 serait  impossible aujourd'hui ...


Ah oui, c'était dans les hashtags tendances de twitter hier soir. 

On a eu de la chance hier matin c'était J.K. Rollin qui a osé associé les réglés aux femmes 


Est ce que le hashtag de ce soir sera la chronique de demain? Suspense ;-)

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Il ne faut pas tout mélanger; Gabriel a été victime d'une maladresse ( très bien expliqué dans le texte de Samuel Gontier ci dessous ) : 


https://www.telerama.fr/television/tf1-a-deux-doigts-de-denoncer-les-violences-policieres,n6651541.php


Sinon, Olivier MASCHAL nous gratifie toujours dans ses films ( en tant que scénariste ou de réalisateur ) de flics au bout du rouleau pour lesquels on fait appel à notre empathie pour les comprendre et les excuser ... là, on est dans la réalité, mais son discours ne change pas, et ce n'est pas très étonnant !


Policier un jour, policier toujours 


Les policiers sont là pour protéger et servir ...... (le pouvoir en place )

J'ai vu quelques uns de ces films, mais je n'avais pas remarqué, jusqu'alors,  qu'il était aussi bon  comédien ...

"Un soupçon avéré". Suis-je ignorant ou est-ce un nouveau concept castanérien ?

Gilbert CESBRON : "Le métier de policier, comme celui de soldat, est dangereux pour l'âme car le devoir s'y concilie avec les mauvais instincts"

Le problème c'est que les policiers ont oublié leur devoir. Ce n'est pas totalement de leur faute : moins de personnels, missions de maintien de l'ordre pour lesquelles ils ne sont pas formés, ordres de ne pas faire de quartier (on vous couvre, c'est l'antienne de la hiérarchie et des juges)

Restent les mauvais instincts.

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