Gauche : la preuve par les Hauts-de-France
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on s'en fou des arrière-pensées derrière cet accord !
c'est bien qu'ils l'aient fait
il serait bon qu'à Lyon, par exemple, ils en prennent tous de la graine
Pour avoir une proche dans le mouvement de Hamon, ben...c'est pas gagné !
d'ailleurs (...)
"Mais vous avez une autre solution, pour éviter de se retrouver dans un second tour de style 2017 ? "
Oui :
- Ne pas voter pour Macron au premier tour.
- Changer le système électorale, le régime présidentiel, la 5ème république.
Daniel, si vous voulez de(...)
Changer le système électorale, le régime présidentiel, la 5ème république.
pour cela, encore faut-il prendre les rênes du pouvoir au préalable... à moins de faire une révolution armée, mais là, on n'est jamais certain de ce que ça va donner ensu(...)
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"Alors qu'une première déflagration vient déchirer, avant même sa naissance, le nouveau média Blast, lancé par Denis Robert (lire notre enquête) il n'y a pas assez de bonnes nouvelles à gauche pour se payer le luxe de bouder celle-ci. "
La bonne nouvelle dans ce domaine, c'est que tout à l'air d'enfin bien se passer au Média.
Sinon, tout à fait d'accord, on a besoin d'alliances à gauche, mais sur un.e candidat.e et un programme vraiment de gauche et écologiste.
"..Une reproduction pour la présidentielle est tout sauf évidente ? Je le sais bien (il n'est qu'à voir l'allégresse d'Hidalgo à taper sur ses alliés verts et Insoumis). .."
Pas certain ce point de vue. Tout a commencé avec les soucis du super-écolo Denis Baupin, . Les vertes/rouges/féministes élues du Conseil de Paris croient à un coup tordu de Soeur Anne, pour ls éliminer de la Mairie de Paris.
Les vertes/rouges/boboïstées ne gagnent pas la mairie de Paris, et ne comprennent pas. Gagner à Bordeaux, ou à Marseille (pour laisser la place) ou à Lyon pour s'emmêler les cantines , et ne s'adjuger la kapitale?
Donc pleuvent après l'élection, les accusations envers l'adjoint à la culture, les harangues des féministes en délire, pour stopper l'ambition présidentielle de Soeur Anne. La subtilité politique des verts ...suffit de regarder l'itinéraire de Dany (le rouge) pour comprendre comment ils fonctionnent;
Entre nous soit - dit, cette pseudo "union d'une gôche hautaine de France" n'est pas reproductible.
Et le grand Duduche (Jadot) va bien réussir à tout casser question union. Il a toute ma confiance pour ce boulot. Sandre Regol me semble posséder d'énormes qualités, dans les débats, dans l'analyse, une discrétion dont il faut se méfier. Elle sait tout faire cette dame passementière. Un régal cette Dame Regol. Elle ne rigole pas, mais son sourire délicieux, laisse glisser tous les mots qui sufisent, elle encecle l'adversaire, et hop coup de pattes fendant l'air.!!
Et Mélenchon, notre tribun fabuleux ( le seul de tous les politiques à bien parler , à émouvoir) , mais infréquentable, va lui aussi s'arranger pour rouler à gauche à fond la caisse, sans respecter les panneaux Stop ou Ralentir.
Et MLP, va se mélanger les prénoms, bonne deuxième, donc derrière , donc dernière.
Le premier? pas encore cité, selon moi,
ni Bertrand, ni Boris Vian-Macron, ni Plastic Bertrand, ni Msieur Talonnette, ni Msieur Pépère; ni Paixcrasse, . J'ai une petite idée.
Un regret, quelques personnalités comme François Ruffin, qui doit être bien déçu de son mandat de député- dépité, n'arrivant pas à balayer les costard-cravettes de l'Assemblée, malgré sa tenacité.
Allez banco on fait ça!
Mais qui est la personnalité la plus sexy à gauche? faudrait faire un sondage je pense... Attendez, mais qui est à gauche? Faudrait faire un sondage là aussi auprès des gens qui s'estiment de gauche... Est ce qu'on met dans la gauche les gens "de gauche et de droite" parce qu'on sait que le ni-ni ne fonctionne plus autant tenter le et-et? Du coup si il y a divergence, je propose que ce soit celui ou celle qui présente le mieux qui soit candidat.
Le programme? Pfff les programmes c'est pour les faibles, les divergences que de le façade évidemment, mettons nous d'accord pour dire que la misère c'est pas bien, que l'écologie c'est bien et mettons ça comme valeur commune pour un projet... Les projets ça suffit pour être élu... On appellerait ça "le projet commun", et on aurait un slogan du type "Combattre la misère par l'écologie". C'est bien ça. Comment? pfff ne nous embarrassons pas des détails, ok?
Mais après, que le peuple de gauche ne se plaigne pas, la gauche a été élue!
Euh... j’aimerais rappeler que François Ruffin, député de la Somme (appartenant aux Hauts de France), est également pour le retour du train de nuit, et appelle depuis longtemps à une union de la gauche et des écologistes....
Je n’ai pas fouillé mais je ne serais pas étonné que ces deux là aient milité ensemble ou du moins fréquenté les memes cercles.
Comme quoi s'appeler "Les hauts-de-France" ça donne des ailes ! Bravo !!!
Ca tombe bien , Macron fait du Lepen , Lepen fait du Macron , et la gauche part en ordre de bataille , whaou , peut être de vraies élections pour 2022 .Et la droite , elle est où la droite , son coeur balance ? Et la déflagration s'étend du centre a l'extrême droite , façon puzzle ...hum , va y avoir des courants d'air avec toutes ces vestes qui vont se retournées a droite .
Cette nouvelle m'a mis en joie. Tout soupçon d'espoir à gauche est bon à prendre. On va pas être regardant. :-)
J'ai regardé les sondages d'OpinionWay. Il y a peu d'espoir face à Xavier Bertrand dans les Hauts-de-France et Pécresse en IDF, à moins que l'union crée une forte dynamique qui déjoue tous les pronostics. Je n'ai pas trop regardé ailleurs.
Du coup, pour moi, tout l'enjeu des régionales est de faire une expérimentation grandeur nature pour les présidentielles de deux scenarii - l'union dans les Hauts-de-France vs. la désunion en IDF - et en tirer vite les leçons pour la suite.ça ressemble à la période : élections européenne/manon Aubry... ça ne me rassure pas du tout.
Votre mémoire vous joue des tours, Daniel ! Karima Delli était sur le plateau de Ligne j@une, il y a quelques siècles de cela ;-) :
https://www.arretsurimages.net/emissions/ligne-jaune/jean-francois-kahn-entre-le-journalisme-et-la-politique-pas-de-ligne-j-une
Tant mieux pour les Hauts de France, mais c'est aussi le énième exemple de parlementaire européen expérimenté qui laissera son mandat en plan pour retourner à la politique hexagonale.
Habitude souvent déplorée (probablement aussi chez @si), sauf quand elle nous arrange.
Oui, j’ai lu ça hier soir, une très bonne nouvelle, mais faire attention, en cas de victoire, qu’il n’y ait pas d’entourloupe à la Printemps Marseillais, avec changement de têtes quelques mois plus tard, si vous voyez ce que je veux dire...
Sinon, Karima Delli, je l’entrevoyais à la CIP-IDF dans les années deux mille, et je crois qu’elle fait du bon boulot à l’Assemblée Européenne.
Bref, si cette réunion des blases pouvait se faire à la prochaine présidentielle, ce serait tout bénef.
Tous ensembles bien sûr !
Mais pas de cacophonie trois jours avant le scrutin, merci.
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"Mais vous avez une autre solution, pour éviter de se retrouver dans un second tour de style 2017 ? "
Oui :
- Ne pas voter pour Macron au premier tour.
- Changer le système électorale, le régime présidentiel, la 5ème république.
Daniel, si vous voulez des idées on peut vous en donner. ;-)
"Que cette liste des Hauts-de-Seine réalise un bon score, et vous les verrez soudain réfléchir, les grands chefs à plume, à Paris." Alors même toute unie, la gauche dans les hauts-de-seine ça doit pas faire lourd :) Désolé Daniel, d'habitude je fais une suggestion de correction mais là c'était vraiment tentant!
Il est possible que les "grands chefs à plumes " commencent à avoir peur de se retrouver "à poil "....
J'ai un peu de mal avec ce passage:
"il n'est qu'à voir l'allégresse de Hidalgo à taper sur ses alliés verts et Insoumis "
.... Les Insoumis ne sont plus, depuis pas mal de temps, dans la majorité municipale parisienne.
Belle "déclaration d'amour "pour Karima. Dans la situation actuelle c'est un espoir.
Après le soutien d'Hidalgo ,j'aimerais mieux pas. Espérons qu'elle ne suive pas le chemin de Canfin, Pompili, Derugy, Con bendit, Hulot et les autres.
Bon vent quand même. Et puis il est temps de dégager Bertrand , qui ici a donné les clés de l'environnement aux chasseurs
Oui c'est une bonne chose....réjouissons-nous ! Souhaitons que cette liste soit élue massivement ....en espérant qu'il ne se passe pas ensuite la même chose qu'à Marseille et que la tête de liste ne cède pas sa place à un socialo du sérail qui ira ensuite, (et pas en train de nuit lui) pleurer dans le giron de la girouette en chef.
Quant à Blast et ses bisbilles , il est utile de rappeler peut-être les accointances de Rénahy et Montebourg (socialo) entres autres....
Franchement j'en ai marre de ces égos imbéciles qui mettent en danger toutes alternatives de changement véritable dans ce pays.
Mmmouais... Karima Delli c'est quand même typiquement ce que votre ami Taha nomme "une Arabe de service".
on s'en fou des arrière-pensées derrière cet accord !
c'est bien qu'ils l'aient fait
il serait bon qu'à Lyon, par exemple, ils en prennent tous de la graine
Pour avoir une proche dans le mouvement de Hamon, ben...c'est pas gagné !
d'ailleurs si Hamon et Melenchon avaient fait un ticket commun en 2017 la fin de l'histoire aurait peut-être ( je dis bien peut-être ) été différente
oui, mais avec des "si"...
"La première déflagration de Blast" évoquée dans l'article de Daniel est sur Facebook et donc non accessible pour les non inscrits. Si une âme charitable peut m'expliquer de quoi il s'agit, je la remercie d'avance.
J'ai accédé à la publication de Maxime Renahy sans me connecter à mon compte Facebook :
POURQUOI J’AI QUITTÉ BLAST
Chères amies, chers amis,
Vous avez été nombreux à m'envoyer des messages de sympathie dans les jours suivant ma démission de BLAST. Je vous en remercie chaleureusement.
Certains d'entre vous me demandent aujourd'hui de fournir des explications sur la cause de mon départ de ce média, peu de temps après l'avoir cofondé. Vous avez raison de me faire remarquer que mon annonce était laconique. J'ai effectivement eu des réticences à m'épancher sur les désaccords rencontrés au sein de Blast, ne souhaitant pas créer d'agitation sur les réseaux sociaux.
Votre demande m'a beaucoup questionné... Faut-il ou non évoquer de tels désaccords ? Faut-il évoquer notre incapacité à nous unir, alors même que le climat politique se dégrade de jour en jour ? Ne serait-ce pas faire le « jeu du pouvoir », comme on l'entend souvent ?
Je crois cependant que nous devons avoir la même exigence de transparence et de vérité vis-à-vis de nous-mêmes que celle que nous demandons à l'exécutif ou aux multinationales. Comment peut-on raisonnablement espérer un changement de société en recourant aux méthodes qu’utilisent ceux que nous critiquons.
Parce que je vous ai encouragés à soutenir Blast, je me dois de vous faire part ici d'un certain nombre de raisons ayant provoqué mon départ de ce média.
- Alors que Denis Robert se dit « garant de l'indépendance de Blast », j'ai constaté que les conditions de cette indépendance n'étaient absolument pas réunies.
Denis Robert a souhaité à plusieurs reprises que Blast, entreprise de presse solidaire, soit soutenue par le principal donateur anonyme d'Anticor. L’association anticorruption Anticor est présidée par Élise Van Beneden, qui est également l'une des fondatrices de Blast.
Ce donateur, qui a été présenté à Denis Robert par Elise Van Beneden afin d'aider Blast, a une grande partie de ses actifs dans les paradis fiscaux (Luxembourg, Singapour, Suisse). Il a fait fortune en créant un logiciel permettant aux fonds spéculatifs et aux fonds d’investissements – en somme la finance la plus agressive – d’être plus profitables à l’échelle internationale. Il a proposé à Blast de grosses sommes d'argent provenant du Luxembourg : 100 000 euros à la création du média sous forme de participations au capital, puis 20 000 euros par mois pendant un an, sous forme de dons. Soit 340 000 euros pour commencer.
Au cours d'une rencontre, ce « généreux philanthrope » nous a indiqué être un soutien d'Arnaud Montebourg pour l’élection présidentielle. Notons pour définir le périmètre du candidat Montebourg, qu’une de ses sociétés est partiellement détenue par un actionnaire luxembourgeois. Le mécène a précisé qu'il aimerait que nous investiguions sur Anne Hidalgo, rivale d’Arnaud Montebourg, ainsi que sur Patrick Drahi. Il a également demandé que nous enquêtions sur la gestation pour autrui (GPA), à laquelle il paraissait très opposé. Denis Robert lui a par la suite proposé, en échange de son soutien financier, une réunion tous les quinze jours avec un membre de l'équipe de Blast, afin qu’il puisse suivre en primeur les enquêtes du « pôle investigation »... Ce travail d’information au donateur était supposé m’ échoir...
Dès que j'ai pu vérifier le pedigree et les motivations de ce donateur, je me suis fermement opposé à toute implication financière de sa part, convaincu que le soutien d'un tel financier, quel qu'en soit le montant et les modalités, a toujours des effets délétères sur le fonctionnement d'un média - ou de n'importe quelle entreprise - comme j'ai pu le constater dans mes enquêtes.
J'ai aussitôt fait part des informations dont je disposais à son sujet à l'ensemble de l'équipe de Blast, en présence de Denis Robert. Tous les membres de l'équipe, à l'exception de Denis, ont partagé mon avis, estimant à raison que ce mode de financement était totalement incompatible avec un appel aux dons citoyens. Il y a eu quelques discussions fermes à ce sujet. Mais Denis est revenu à la charge, nous informant dans une seconde visioconférence qu'il avait demandé au donateur de faire transiter par un compte français l'argent luxembourgeois destiné à Blast. Et qu'une somme de 100 000 euros, tronçonnée en plusieurs dons, arriverait finalement sur Kiss kiss bank bank plutôt que sous forme de parts sociales afin de garantir l'anonymat du donateur.
- En outre, la modestie des ressources de nombreux donateurs ne me semblait pas prise en considération (certains sont au RSA, smicards, retraités précaires…). La SCIC me semblait garantir une décence dans les écarts de salaires au sein de l'entreprise. Ces écarts avaient été fixés de 1 à 3 par écrit dans les statuts que j'avais signés. Cette décision a été remise en cause par une nouvelle proposition de Denis Robert afin de permettre un écart de rémunérations allant de 1 à 10. Cette délibération a été votée par neuf voix contre trois. Denis Robert a voté pour. Elle permettra au plus haut salaire de l'entreprise d'atteindre 14 000 euros nets par mois (estimation basse). Est-ce vraiment à l'image des valeurs que nous défendons ?
Cette décision suit de quelques jours seulement l’un de mes messages aux fondateurs dans lequel je demandais que les associés renoncent à toute distribution d'intérêt aux détenteurs de parts sociales, afin que les éventuels bénéfices réalisés par l’entreprise soient entièrement réinjectés dans la SCIC. J’avais également demandé de retirer des dispositions statutaires qui auraient permis aux associés de réaliser une plus-value sur la revente de leurs parts après 5 ans. Est-ce pour compenser le fait de ne plus avoir de distribution d'intérêt, que deux jours plus tard Denis Robert proposait et faisait voter cette augmentation des plus hauts salaires ?
- J'ai par ailleurs ressenti de forts doutes quant au fait que l'investigation soit réellement la priorité de Blast. Les exigences de mon ex-employeur (formulées dans un contrat de travail qui me fut remis alors que la relation de travail était déjà entamée depuis trois semaines) m'auraient seulement permis de réaliser un travail de commentateur politique et non pas un travail d'investigation.
En tant que « responsable du pôle investigation » et seul salarié de ce prétendu pôle, il m'était en effet demandé de superviser les enquêtes de dix pigistes et de leur fournir des sujets. Tout cela à un rythme qui me paraissait effréné pour une seule personne et incompatible à mon sens avec un travail d'enquête sérieux. Je devais, parallèlement à ce travail, réaliser personnellement deux enquêtes vidéos par mois et écrire dix feuillets.
Si j'ai toujours été prêt à assumer avec plaisir d'importantes charges de travail, je reste néanmoins convaincu que le temps de l'investigation ne peut en aucun cas être subordonné à de telles exigences. Aucune des enquêtes ayant fait naître ma vocation journalistique (notamment celle du Boston Globe sur la pédophilie dans l'église, brillamment racontée dans le film « Spotlight ») n'aurait été possible si elle avait été soumise de manière aussi excessive à la pression de la périodicité et à un tel manque de moyens humains.
Voilà en conclusion la situation pour le moins étonnante à laquelle j'ai été confrontée.
Je me sentais très engagé dans la création de ce média. J'y avais de bonnes relations avec l'équipe, un salaire confortable de 2500 euros net fois treize mois, en CDI, et la certitude de participer activement à un média libre, novateur et indépendant. Ne me reste que la certitude d’y avoir vu se perpétuer l’ancien monde.
J'ai tenté la conciliation à de nombreuses reprises mais Denis Robert percevait mes remarques comme d'agaçants « ultimatums ». Il m'a donc fallu prendre acte de ces divergences trop importantes.
Il est attristant de constater de telles manœuvres dans un média présenté comme indépendant. Si je les révèle aujourd’hui, c’est parce je suis convaincu que la crise écologique, morale, sociale et économique ne pourra être surmontée qu’en mettant justement fin à ces pratiques, d’où qu’elles viennent. Je poursuivrai mes investigations et partagerai mes méthodes d'enquête par d'autres moyens.
A bientôt,
Maxime Renahy
Besançon le 11 mars 2021
MERCI ! très intéressant point de vue qui ne manque pas de lucidité et qui semble profondemment honnête ( je ne connais pas le bonhomme )
C'est une pointure en ce qui concerne le monde financier (dans lequel il commencé sa carrière) et particulièrement les affaires d'évasion fiscale, de montages financiers douteux, etc.
Tellement bon que la DGSE va très vite s'offrir ses services pendant quelques années avant qu'il ne devienne carrément journaliste et lanceur d'alerte.
Il a rencontré Denis Robert lors de l'affaire Clearstream (si je ne me trompe pas) et ce dernier l'a fait venir au Média quand il en est devenu le rédacteur en chef.
Lorsque Le Média finira par éjecter Denis Robert (pour en partie exactement les mêmes raisons que l'affaire Vinciguerra en cours !), Maxime a suivi Denis. C'est sa seule erreur à ce jour je dirais... ;-)
Merci! En effet très interessant
Et si on veut entendre tous les sons de cloches, en tapant par exemple " blast communiqué " on a accès à Tweeter et à la réponse de l'équipe de Blast.
Merci beaucoup Adrien.
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Il manque la deuxieme partie.
Pour compléter l'article, un communiqué que Denis Robert a publié dans la journée en guise de réponse :
Sacré Robert ! Que de circonvolutions pour essayer de noyer le poisson de l'affaire, à savoir un irrésistible besoin de financer son nouveau média, quitte à se compromettre dans des accords troubles avec un milliardaire dont l'agenda politique est très clair : dézinguer un rival économique (Drahi) et dézinguer une adversaire (Hidalgo) afin de propulser un "associé" politique en la personne de Montebourg !
Denis s'est perdu, à mon grand dam. Celui qui a sruvécu à l'affaire Cleastream en héros, se fourvoie dans ses tentatives de revenir sur le devant de la scène médiatique. Pathétique monde d'avant qui se donne ainsi à voir !
Post de Maxime Renahy expliquant son départ. Un bref résumé :
- le principal donateur (jusque 340000 euros négociés sous différentes formes de transactions) est issu de la finance luxembourgeoise et aurait commencé à proposer des sujets d'investigations (dont des personnalités médiatiques / politiques)
- il s'oppose aux dernières décisions prises qui encadrent la plage des salaires, ratio revue à la hausse (de 1 à 3 avant, 1 à 10 maintenant)
- il estime que le projet "investigation" de ce média est hors norme en terme de quantité de travail pour le seul salarié de ce pôle (lui)
Merci à Guilhaume également pour la synthèse.
Vous oubliez le point central, de loin le plus croustillant en plus ! Hervé Vinciguerra (le généreux "mécène" dont il est question) fait des pieds et des mains pour soutenir depuis un bon moment la candidature d'Arnaud Montebourg aux prochaines présidentielles.
Et c'est précisément dans ce cadre précis qu'il "investit" dans les médias, et Blast en premier lieu, afin d'en orienter la ligne éditoriale pour (dixit Maxime Renahy) "détruire" médiatiquement Hidalgo (rivale politique évidente de Montebourg sur le marché des décombres du PS) et Drahi (probable rival économique de Vinciguerra) !
Mais au lieu de dénoncer ça et de même en faire une enquête à charge, comme le préconisait Maxime Renahy à Denis Robert, celui-ci s'est vautré pour aller à la soupe bien juteuse...
Pour couronner le tout, Juan Branco vient de faire une sortie sur Twitter pour soutenir et appuyer Maxime Renahy, et pour révéler de nouveau au passage comment Montebourg était venu il y a quelques temps faire une proposition au nom de son "mystérieux bienfaiteur" (sans lui donner son nom bien sûr) de 100 000€ pour qu'il travaille en tant qu'avocat à "démolir" Drahi "par tous les moyens légaux possibles" !
Pour finir ce palpitant tableau, je vous invite à lire cet article que Le Média vient de publier, un peu plus tôt que prévu (vous lirez pourquoi dans l'incipit), et qui dresse un portrait bien reluisant du personnage principale de toutes ces intrigues.
John Le Carré n'a qu'à bien se tenir, la relève est là ! Et lui n'est pas prêt de se relever en même temps... ^^
Et il me semble que la très longue réponse de Denis Robert est parfaitement floue sur ces points précis. L'article du Média sur Vinciguerra, par contre, est assez détaillé. Et confirme le texte de Renahy.
Blast ca sentait deja un peu le petard mouillé, trop beau trop vite pour etre vrai. Finalement Le Média semble mieux s'en sortir que toutes les copies proposées par leur créateur à l'ego boursouflé je veux dire Denis Robert et Aure Lancelin.
Aure Lancelin est une intervieweuse , LE MEDIA est un journal , nuance.
Les copies que sont Quartier Général et Blast.
C'est certain ! "Égo", c'est bien le mot de fin de toutes ces histoires...
Et vive Le Média, première coopérative audiovisuelle de France ! ;-)
Ccou Cobalt, voici:
"Que cette liste des Hauts-de-Seine réalise un bon score, et vous les verrez soudain réfléchir, les grands chefs à plume, à Paris."
Hauts-de-France : 5 départements ( Aisne, Nord, Oise, Pas-de-Calais, Somme) - 6 millions d'habitants