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Pour lutter contre CNews et TF1, les médias indés doivent-ils fusionner ?

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Il me semble que le principal handicap qu’ont les médias indépendants c'est le lieu de diffusion  . Le Web. Quand les mainstream ont la télé, la radio, ou le papier pour leur propagande. C'est là que s’informent , la majorité des électeurs ( le (...)

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vous etes plutot verre a moitie vide. si la réponse a la question est effectivement "non pas de fusion" elle est directement suivie par l'annonce de la maison des medias libres qui sans fusionner mutualise a fond les ballons, c'est quasi la moitié du(...)

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Je trouve ça super, mais vous pensez que c'est une bonne idée de mettre tous les médias indés de gauche dans le même bâtiment ? Sincèrement? 😅

Il n’y a pas moyen plutôt de mutualiser une partie de ces  moyens (technique, compta etc.) tout en restant physiquement dispersés? ce serait quand même moins risqué par les temps qui courent…

Il est souhaitable que des journaux unissent leurs forces et pour ma part j'attends l'hebdo pluraliste de gauche, et je pense qu'outre ce regroupement actuel,  Le jour, Basta,  Politis , Médiacritique, et Reporterre et autres journaux écologiques pourraient y contribuer...

Mais jamais ces journaux ne feront le poids face  aux armées médiatiques qui se  sont levées pour garantir la suprématie   des systèmes politiques de  droite et  de cette société marchande illimitée et totalitaire.

Jamais leur guerre idéologique n'a été aussi âpre et ils sont en train de la gagner.

Sommes-nous à un temps ou le  combat contre la concentration des médias et de la presse est encore possible?

En tous les cas, je ne lis jamais assez la dénonciation d'un pouvoir politique. totalement partie prenante, voire aux ordres de cette politique de concentration décidée par une poignée de milliardaires.

« Mais jamais ces journaux ne feront le poids face  aux armées médiatiques (...) »

C’est juste. 

En plus de limiter la concentration des médias (et là, peut-être que cesser d’accorder des subventions à des groupes qui font des superprofits pourrait faire diminuer le cumul des jouets), il y a un grand besoin de lutter contre la désinformation des médias mainstream.


La dénoncer ne suffit pas. Il faudrait réagir à chaque fois pour faire cesser l’impunité. 

Sauf que pour porter plainte, il faut de l’argent. Ou alors est-ce qu’une asso pourrait chapeauter des actions de groupe, si on peut arguer que l’information fiable fait partie des liberté et droits fondamentaux ?

Ce qui est sûr, c’est qu’il ne faut pas attendre que d’autres le fassent à notre place.


Est-ce que des asinautes ont des éléments sur cette question ?

Sans vouloir trop systématiquement en rajouter dans la onvatouscrevitude, intenter une action contre le mensonge et la désinformation suppose d'avoir un référentiel de vérité. Le plus près dont l'humanité s'en est rapprochée, c'est avec le peer review académique et certains organismes de debunking. Mais c'est mort. Tué par le bullshit frankfurtien institutionalisé par la droite américaine et adopté avec enthousiasme par les militantismes de droite et de gauche. Aujourd'hui, aucun référentiel consensuel. Pour tout le monde, tout ce qui "contredit" est "mensonge" prouvable par le simple fait que ça "contredit". L'université est "antisémite" et "woke", les site de debunking sont "vendus" et "atlantistes", quant à un quelconque arbitrage juridique, il nécessite une séparation des pouvoirs à l'agonie. Sans parler du "grok/chatGPT a dit que", qui s'installe dans les quotidiens, et du populisme croissant des "libertés d'expression" hypocrites.


Il manque le soubassement nécessaire pour trier le vrai du faux : un intérêt collectif, social, culturel, pour cette distinction.

Parlons-nous de la même chose ?


Côté médias, c’est sûr que certains procédés manipulatoires permettant de « dire sans dire » échapperont toujours à une critique opérante, puisque difficilement démontrables.

Et même si la vérité unique n’existe pas, qu’il y a toujours des points de vue situés et orientés, parfois on a quand même la possibilité de s’appuyer sur ce qu’on appelle les faits

Exemple récent et spectaculaire, celui donné par DS concernant le Premier ministre espagnol et une prétendue menace d’envoi de bombe nucléaire sur Israël. Dans ce cas, des faits vérifiables existent et peuvent être opposés à une déclaration publique mensongère.

C’est là qu’il y a une fenêtre pour agir.


Je ne pense pas vous apprendre que le pouvoir est une question de dynamique réciproque et pas quelque chose que l’on posséderait « en dur ». 

Se résigner, c’est abdiquer son pouvoir pour le laisser à d’autres. Comment s’étonner ensuite que les bénéficiaires de cette impunité en profitent ?


D’accord sur le fait que c’est l’attentisme du plus grand nombre qui permet actuellement à la stupidité de diriger le monde et qu’il y a toute une culture de l’impuissance individuelle à déconstruire pour espérer agir (démarche d’autant plus compliquée que les structures institutionnelles du pouvoir sont érigées pour aller dans le sens inverse, ce qui favorise l'immobilisme vu la distance à parcourir).

En plus, très certainement, des conséquences de cette tendance reconnue à adapter notre point de vue à nos actes plutôt que le contraire (voir ou *) et qui actuellement pourrait amener à produire de la justification pour s’éviter d’avoir à agir plutôt que de s’avouer sa soumission (toujours cet inconfort lié à la dissonance cognitive). 


* p. 15-16, c’est une expérience que j’ai vu passer dans un article de Marc Gozlan sur le site du Monde mais je ne retrouve pas la source.


« Les gens » ne sont pas stupides ni indifférents. Nous sommes juste très malléables avec une inertie prononcée – au sens mécanique, et dont profite en face une grosse machinerie qui pousse à fond dans cette direction.


Je reconnais que souvent l’obstacle paraît infranchissable, mais d’autres sont parti·es de bien plus loin que nous, avec bien moins d’accès au savoir et sous la tutelle de la religion qui conditionnait tout un système de pensée basé sur la sujétion et l’asservissement. Nous devrions pouvoir y arriver aussi.


Il faudrait se presser par contre. Et ne pas se contenter d’être des « sympathisant·es » regardant de loin.

Ce n’est pas parce que nous regardons ailleurs que le mur n’approche pas. Et à qui me reprochera mon propos anxiogène, je répondrai que c’est bien en-deça de ce que vivront les personnes qui viendront après nous (dont une partie sont déjà là). 

Nous le leur devons. Sinon nous aurons laissé détruire l’environnement et perdu ce que d’autres avaient conquis pour nous. Leur enfer sera de notre responsabilité.


Du coup, est-ce que des personnes ont des informations sur les possibilités existantes en cas de mensonge avéré, d’un point de vue citoyen ?

Ce dont je parle est beaucoup plus spécifique et pragmatique. Je me base sur les mécanismes de la dictature qui se met en place aux USA, mais effectivement on peut développer avec Joule/Beauvois (ou Clément, Bronner, Breton, Pohl, Cohen, etc). Une démarche juridique implique d'avoir un référentiel, objectivé, consensuel, à partir duquel déterminer ce qui est un mensonge et ce qui est une vérité (ou tout au moins une honnêteté). Ce référentiel-là disparaît. Il est redéfini par le pouvoir (notamment la cour suprême) mais également par les polarisation culturelles en bulles mutuellement disqualifiantes, qu'il s'agisse de croyances mainstream (grands médias aux ordres) ou de contre-cultures (différents réseaux idéologiques et identitaires). Juridiquement, il est difficile de faire valoir une vérité par un pouvoir qui cesse d'être indépendant, et/ou qui se réfère à des expertises qui cessent d'être indépendantes (les antivax placés à différents échelons du département de la santé par Kennedy Jr). Et si les conservateurs au pouvoir imposent déjà leur interprétation du réel au point d'y articuler leurs violences légales (licenciements, arrestations, expulsions), les progressistes n'y opposent pas pour autant la légitimité d'une vérité objective : j'ai assez travaillé dans des contextes militants pour avoir pu y mesurer l'indifférence pragmatique ("stratégique") au réel, les "il ne faut pas que ceci se sache" et les "on s'en fout de si c'est vrai ou pas". Avec deux conséquences majeurs : la perte d'une légitimité objective face aux conservateurs qui ont bon dos de dénoncer les manipulations progressistes pour excuser les leurs (comme réciproquement), et la dévalorisation du réel chez les progressistes qui voient la manipulation comme un simple moyen justifié par la fin, une façon de combattre "le feu par le feu". Cela va au-delà du factuel (énoncer A en sachant non-A), et s'étend avec complaisance à toutes les formes de paresses cognitives étudiées par les auteurs pré-cités. Une complaisance consciente (brasser large dans l'électorat disponible) ou pas (se faire du bien en démarrant au quart de tour sur un hashtag). Avec au final, la "gauche" raoultienne ou poutiniste, le féminisme misandre et assumé tel, les différentiels de vigilance entre sous-textes islamophobes et antisémites (niés ou assumés comme justifiés par des rapports de domination), etc. Et les exemples dans le forum abondent, de doubles standards et de syllogismes bancals invisibilisés par les préconceptions, les narratifs pré-existants, les conformismes sociaux, les gratifications émotionnelles, etc. Toute la panoplie.


Donc d'une part il s'agirait (pot de terre contre pot de fer) de recourir à la justice contre une justice qui décide elle-même de son référentiel de vérité, d'autre part il s'agirait le le faire en s'arc-boutant sur un sol rendu lui-même gluant et instable par les démagogies et anti-intellectualismes "de gauche". Eh bin je n'y crois absolument pas. Normalement je m'en tiens à la formule de Franquin ("les pessimistes ont raison, surtout quand ils se taisent") pour éviter d'y ajouter les prophéties auto-réalisatrices, mais en ce moment, surtout depuis l'invasion de l'Ukraine, je n'ai plus d'indulgence pour la gauche. Elle s'est suicidée en se complaisant dans les mêmes structures cognitives et rhétoriques que la droite, en cherchant à combattre la bêtise par la bêtise et le mensonge par le mensonge, elle a co-construit cet univers du faux, de la facilité et de la superficialité qui est, fondamentalement, un univers de droite quoi qu'on y proclame, elle est co-responsables des règles du jeu où s'affrontent progressistes et conservateurs, et qui favorisent ces derniers.


S'il fallait se battre sur le plan de la vérité (et, à la base, il le fallait), c'est avant tout en l'imposant chez soi, méthodologiquement, éthiquement. Même si cela avait été fait, on partirait perdant devant un pouvoir qui décide du vrai et du faux. Mais au moins, on partirait avec une légitimité objective, un espoir en une reconnaissance de long terme, une distinction morale fondamentale, qui a aujourd'hui disparu de tous les camps.


      

Pour ma part, c'est au moment du covid que j'ai hélas constaté qu'une bonne partie de la gauche tenait un discours anti-science, anti-vax, et ce d'autant plus grave que ce n'était pas un sujet politique. Savoir quelles méthodes étaient les plus efficaces pour lutter contre la propagation de cette maladie, c'était un débat scientifique et technique, pas politique. Et pourtant, rien que sur les forum d'ASI, on a vu prospérer les propos complotistes, antivax, pro-raoult (écrits bien souvent par les mêmes personnes qui se présentent comme des militants de gauche).



Je souscris à vos propos sur la nécessité de privilégier la vérité et l'objectivité, même si je ne me fais pas d'illusion: les facilités rhétoriques impressionneront toujours plus que la rigueur scientifique.

Je vous avais écrit une réponse argumentée avec des questions, qui attendait d’être postée. Et puis j’ai lu l’article d’Élodie Safaris sur le grand n’importe quoi qui a entouré le tweet de Faure et mon cerveau a dégoupillé.

Je vois à quoi j’échappe en évitant la télé et les réseaux sociaux. 

Et maintenant j’ai la rage (pas pour Faure, bien fait pour lui, ça le fera peut-être réfléchir).

Ces imbéciles qui ne voient pas plus loin que le bout de leur porte-monnaie nous amènent droit à la mort. Leurs enfants les maudiront, et les enfants de leurs enfants, mais il sera trop tard.


Ça ne change rien au fait qu’il est temps d’agir et d’empêcher la désinformation qui sert ces riches à l’esprit déficient confits dans leur cynisme, puisque la classe politique corrompue et trop occupée à ses propres intérêts ne fera rien.


Il est plus que temps de réfléchir aux conséquences de la concentration du pouvoir entre les mains d’une pseudo-élite (généralement pas les couteaux les plus aiguisés du tiroir).

Ainsi qu’à ses propres responsabilités quand on pense l’injustice sociale et climatique tout en consommant multinationales et en laissant les machines à pognon des milliardaires polluer son cerveau parce qu’on « s’informe » sur BFM / CNews / X...

Et j’espère que ça fera passer le goût du totalitarisme à qui se croit du bon côté du manche. 


Ou alors faire péter le pop-corn et reconnaître sans ciller qu’on a choisi de regarder le monde se péter la gueule sans rien faire.

Comment ? Ça fait un moment que je me pose la question.


Tout. Il faut tout faire, être sur tous les fronts.

- manifester

- bloquer

- saboter son travail, toujours en choisissant ses cibles avec soin, l’idée n’étant pas d’empirer l’existence de la population

- repenser sa consommation pour apporter son soutien à qui construit le monde qu’on veut voir advenir et boycotter massivement les autres (ne pas hésiter à communiquer pour massifier la dynamique)

- interpeller son/sa député·e pour exiger une information fiable, la fin de l’impunité des pyromanes et des limites à  la concentration des médias (ainsi que la fin des subventions aux groupes qui sont par ailleurs bénéficiaires)

- de manière générale reprendre le contrôle sur les décisions de l’Assemblée en réduisant la distance entre les « serviteur·trices » de l’État et la population qui les emploie (en les soutenant quand nécessaire, ce qui augmentera leur poids)

- et bien sûr faire connaître ses positions autour de soi et permettre à ces idées d’exister dans le débat public (perso je vais me faire des pancartes pour que chacun de mes déplacements soit une mini-manifestation, peut-être que ça déliera les langues sur mon passage et permettra des échanges)


Cesser de se faire traiter comme des enfants par toute cette classe de privilégié·es payée bien trop cher au vu de leur valeur et de leurs capacités.


Pour commencer.

- Il manque un site qui liste tous les médias indépendants de gauche et leurs articles qui s'empilleraient aucfur et à mesure qu'ils seraient publié sur leurs sites respectifs, comme le fait google, microsoft, ...bref tous les espaces de droite qui diffusent leurs pensées.

- Il manque un site pour proposer des offres de contenus payants plus accessibles : les médias libres de gauche se veulent pour le peuple, mais qui peut s'abonner et lire la production de tous ces médias aujourd'hui sauf des richous?

- il manque une offre culturelle centralisée et simple pour avoir toutes les émissions des uns et des autres, aussi simple que d'allumer sa TV ou youtube, donc un site commun, sinon vous ne toucherez que des classes éduquées et ayant du temps libre pour trouver les différentes émissions et contenus


...bref, votre indépendance (entendre, votre facilité et nombrilisme, votre peur de devoir composer, faire de temps en temps des concessions, comme tout le monde en fait tous les jours) se fera à ce prix et probablment au prix de la disparition de certains de ces médias.

C'est à l'image des forces politiques de gauche aujourd'hui...

REMETTRE LES VALEURS DE COOPéRATION et DéLIBéRATION au centre de la culture est urgent.

Ne pas entrer dans la boucle infernale des médias d'extrême droite,et "d'Extrême Centre,"mais comme le dit Mr Dufrêsne, avec son intervenant-e- en fin d'interview, Que Faire.

Mutualisation des moyens entre journaux, c'est quand même vachement mieux qu'un seul et même journal avec ce risque d'un manque de pluralité. Comme ça se fait entre association dans une même ville. Plein d'asso, parfois qui n'ont rien à voir entre elles, mais qui se donnent des coups de mains, que ce soit matériels ou humains. 

Pas encore vu ce débat, mais je pose une question à ceux qui l'on vu : est-ce qu'il a été question de faire de la concentration des médias, notamment aux mains de milliardaires comme Bolloré, une question politique ?

C'est là tout l'enjeu. Parce que ce n'est pas en "fusionnant" (pour employer ce mot du milieu des affaires) les marginaux que ça va régler la question.

Fusionner ?

Quel mot étrange sous la plume d'un site qui se veut critique du discours médiatique dominant.


Fusionner, c'est employé par les financiers pour justifier l’absorption d'entreprises par d'autres juste pour les faire disparaître du terrain de jeu.


Fusionner,  c'est se mettre en état de fusion et passer de l'état solide (on se cogne dans l'état solide) à liquide.


Fusionner c'est créer la confusion.



Vous auriez pu utiliser les termes de regroupement ou  d'union.


Alors, pourquoi ce fusionner ?




la fusion est un terme employé par de grandes entreprises prédatrices pour devenir deux fois plus grosse au risque de payer plus d'impôts et ne plus avoir de subvention, c'est pourquoi ils ont inventé le trou noir de la holding qui leur permet de se vendre leur propre bien tout en en restant bénéficiaire, ne plus payer d'impôt, continuer à toucher les subventions grâce à leurs multiple sociétés suffisamment petites pour ne pas dépasser le chiffre d'affaire plafond!

l'Arcom a bouffé son chapeau en supprimant des chaînes que nous retrouvons reproduites intégralement sur d'autre ou de nouvelles, plus des canaux réservés aux fournisseurs d'accès pour leur pub!

Le Média a été refoulé faute de masse critique, il est clair qu'une offre groupée aurait plus de chance de réussir!

Il me semble que le principal handicap qu’ont les médias indépendants c'est le lieu de diffusion  . Le Web. Quand les mainstream ont la télé, la radio, ou le papier pour leur propagande. C'est là que s’informent , la majorité des électeurs ( le ventre mou notamment).

Donc ce serait bien que vous ayez un canal de diffusion identique. 

Concernant le vocabulaire, dites plutôt presse indépendante que libre. Ça rappelle un peu trop l'école libre.

Etre parrainé par O Legrain est gênant. Ne faites jamais confiance à un millionnaire.  Surtout quand il a favorisé les putschistes, Ruffin,Autain ou Corbières pour détruire LFi

Par contre mutualiser les moyens paraît une bonne idée. 

C'est un des paradoxes de la gauche actuelle: après une longue analyse, on montre que la mainmise des milliardaires sur les grands média favorise la droite. Mais dès qu'il s'agit de proposer une alternative, chacun veut faire son petit truc dans son coin. Résultat: audiences confidentielles, des journalistes qui vivotent et aucune chance de concurrencer les grands média. Dommage.



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