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Omicron : Polony dédramatise, un médecin et un épidémiologiste répondent

Lundi 3 janvier, sur France Inter, la directrice de "Marianne" Natacha Polony a remis en cause dans un billet d'humeur l'affolement autour d'Omicron, et la vaccination des enfants. Surpris par ses assertions, le médecin Christian Lehmann et l'épidémiologiste Mahmoud Zureik, membres du collectif Du côté de la science, lui répondent.

Commentaires préférés des abonnés

On a bien compris votre position sur le COVID. Pour démonter une thèse qui ne vous plaît pas , vous faites intervenir 3 personnes qui conforteront votre position, notamment C Lehmann confrère de D Schneiderman à Libération ,un peu le chouchou ici à A(...)

« Qui a envie d'aller en réanimation et d'être intubé ?  Il vaut mieux tout simplement éviter d'en arriver là ! Cette logique est bizarre. »


mais c'est quoi cette réponse ??? N. Polony avance seulement l'idée que les chiffres des hospitalisations(...)

D'un côté une journaliste qui se situe sur le plan de la santé mentale en dénonçant le traitement politique des informations médicales qui impactent la vie sociale...

De l'autre côté des médecins focalisés sur l'épidémie qui argumentent pied à pied et(...)

Derniers commentaires

Ben ça, c'est violent, très violent pour beaucoup d'entre-nous.

"Vaccination des enfants : l'accord des deux parents est un «obstacle», pour Alain Fischer

Sur RT France : https://francais.rt.com/france/94454-vaccination-enfants-accord-deux-parents-obstacle-alain-fischer "

Bonjour,


Dans l'interview, il est dit ceci : 

Mahmoud Zureik : "Les enfants développent peu de formes graves, mais il y a de plus en plus d'hospitalisations de 6-11 ans depuis novembre. Une étude en pre-print sud-africaine (qui n'a pas encore été révisée par les pairs, ndlr) suggère que les enfants seraient plus à risques d'être hospitalisés (mais avec moins de formes graves) avec Omicron qu'avec Delta : parmi les personnes hospitalisées lors de leur vague Omicron en novembre et décembre derniers, 18 % étaient des enfants et adolescents, comparé à moins de 4 % avec les autres variants


Je suis allé voir la dite source, et il est écrit ceci : 

"About 4.9% of cases were admitted to hospital during the fourth wave compared to 18.9% and 13.7% during the second and third waves (p<0.001"


Donc l'inverse de ce qui est dit, à savoir que le variant Omicron est moins dangereux que les précédent variants. Par ailleurs, sauf erreur de ma part, à aucun moment il fait mention d'enfants dans l'article cité.

C'est bien de citer les articles, mais c'est mieux de ne pas déformer les propos de l'article.

Je sais que n'est pas la rédaction qui a dit cela, mais il aurait été pertinent à mon sens que la rédaction commente le contenu de l'article et de l'interview, car je ne suis pas sûr que tout le monde va le lire.

Bonne journée.





Ah enfin une bonne nouvelle , Dominique Seux vient de faire faire l"apologie de notre système de santé , qui marche a merveille ! Ce mec est une merveille télécommandée , faudra l'empailler celui là!

Christian Lehmann et Mahmoud Zureik, tous deux signataires de la tribune du 25 Decembre qui demandait le report de la rentrée scolaire. Tant qu'à interviewer 2 professionels de santé, ça aurait peut-être été plus pertinent de s'assurer qu'ils aient des positions un tant soit peu divergentes, histoire d'apporter un peu de nuance et un semblant de débat.


J'encourage aussi tout le monde à lire la réponse (plutôt cinglante) qui a été faite à cette tribune par les sociétés de pédiatrie : POSITION CONJOINTE DE LA SFP, DU CNPP, DE L'AFPA, DU GFRUP ET DU GPGSE SUR LA RENTREE SCOLAIRE DE JANVIER 2022 DANS LE CONTEXTE DE LA CRISE COVID-19.


Juste pour bien clarifier (au cas où il y aurait un doute) que ces deux personnes re représentent pas un consensus, et que s'ils sont du côté de la science, de toute évidence la science à plusieurs côtés.

Bon, un médecin et un épidémiologiste qui font partie d'un collectif qui s'appelle "du côté de la science"..."du côté de la science", sérieusement???? rien qu'avec ça je passe à autre chose ...sans déc, s'appeller du côté de la science...fallait oser...mais comme disait Audiard...

« Alors pourquoi ne pas conseiller le vaccin pour les enfants » parce que le CCNE a dit que les parents se trouvaient devant un pari à double incertitude Par exemple…

On lui dit à Mahmoud Zureik que si c’était la santé des gens qui est le but premier on aurait éviter de laisser les vaccinés se balader partout sans se tester ? On aurait évité de dire que le,masque n'était plus obligatoire avec les pass sanitaire ? Je ne suis pas médecin mais ça je l’ai compris depuis juillet 2021… On aurait équiper les classes, mis des moyens de remplacement ? Embaucher du personnel soignant ? Etc

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Le professeur Grimaldi , apparement un grand professeur , moi je sais pas j'y connais rien en professeur , a posé la question a un million "Faut il réanimer ceux qui ont participé a la casse de l'hôpital publique ?"


D'accord pour réanimer 


Pas d'accord 

Heu... je suis très bête.

J'ai entendu dire qu'il y avait eu 1 millions de mort du Covid dans le monde.

J'ai aussi entendu dire qu'il y avait eu 1,4 millions de mort dans des accidents de voiture.

Heu... ne faudrait il pas aussi interdire les voitures?

Il parait aussi que les piscines sont mortelles...

Bon amusement, je regarde le spectacle.

C’est bizarre que les trois posts à plus de suffrages soient tous en faveur de la dame incriminée, non ?


Sinon, il n’y a pas qu’elle, avec Pujadas sur LCI c’est un vrai festival de « tout va bien Madame la Marquise » et cela sur tous les sujets, encore hier soir à propos d’Omicron…

Enfin de l'optimisme !



Tyra Grove Krause, qui dirige le département d'épidémiologie de l'Institut national du Sérum du Danemark, a annoncé la fin de la pandémie sous deux mois, lundi à la télévision. Son optimisme se fonde sur les conclusions d'une étude conduite par son organisation.

Encore deux mois à serrer les dents avant un tassement de l'épidémie, faute d'individus à infecter ou d'aptitude à causer des formes graves, et un retour à la vie normale? C'est le diagnostic qu'a posé ce lundi à la télévision l'épidémiologiste la plus éminente du Danemark à la télévision.


Tyra Grove Krause dirige le département d'épidémiologie de l'Institut national du Sérum, une position qui fait d'elle la plus importante sommité de son pays en la matière. Et c'est d'ailleurs à elle qu'est revenue ce lundi la responsabilité de présenter aux médias les enseignements de la nouvelle étude conduite par son organisme portant sur les risques d'hospitalisations entraînés par Omicron comparativement à Delta.

Devant les caméras de la chaîne Danish TV 2, elle a expliqué que ce danger était plus faible de moitié et a lancé, comme l'a repéré notamment le site News.com

"Je pense qu’on en a pour deux mois, et puis j’espère que l’infection commencera à se calmer et que nous retrouverons une vie normale."

Une perspective qui peut sembler indécente de prime abord tant le Danemark traverse actuellement une mauvaise passe sanitaire. La semaine dernière, il a connu en moyenne plus de 20.000 infections quotidiennes, ce qui a fait de lui, proportionnellement, la nation la plus touchée par l'épidémie actuellement. 

Mais l'addition du caractère relativement bénin de ce variant - plus indulgent que les souches précédentes - et sa diffusion rapide permet justement de nourrir un espoir inédit, d'après l'étude révélée par Tyra Grove Krause. "Omicron est là pour rester. Il va conduire à une propagation massive de l’infection au cours du mois à venir. Quand ce sera fini, nous serons en meilleure position qu’auparavant", proclame ainsi le document, cité ici par le Daily Mail

Entendre toujours autant de conneries après 2 ans de pandémie est vraiment désespérant... Respect à tous les personnels hospitaliers au bout du rouleau qui la subissent, eux, de plein fouet cette connerie. Bon courage, à défaut d'une année... 

Je ne comprends vraiment rien à la façon dont les grands medias traite la crise sanitaire.

Un exemple avec le Monde


"Covid-19 : malgré les critiques, l’exécutif fait le choix de vivre avec Omicron

Déterminé à éviter toute mesure restrictive « à l’ancienne », le gouvernement a pris la décision de laisser se propager le virus, ce qui l’oblige à un suivi continu des effets de la cinquième vague sur l’état des hôpitaux."

" pris la décision de laisser se propager le virus" alors que va vers un passe sanitaire, qu'on ferme les boites, que le masque revient dehors. Et que évidemment, on ne reviendra pas au confinement, car ça créerait des tensions conséquente dans le pays ("A l'ancienne", mon cul).

Franchement, je ne comprends pas. Quelqu'un peut-il m'expliquer le sens de l'article du Monde (au moins pour la partie lisible pour les non-abonné.es ? C'est une vraie demande.


c'est juste le en même temps : faire du coercitif en faisant croire qu'on en fait pas !


CQFD

Oui :) mais l'aspect qui me fascine, c'est que le Monde semble trouver ça crédible !

Jamais l'article ne se pose de question ! passe vaccinal = laisser filer le virus ? Vraiment ? Pas de confinement = laisser filer de virus ? Pas plutôt la peur de mini insurrections ?
C'est ça qui me déstabilise, même de la part du Monde !

La dernière fois, dans le même canard, lors d'un chat avec les internautes, on pose la question "pourquoi pas de vaccin obligatoire". Réponse du Monde "parce qu'on manquera de moyens pour contrôler tout le monde" et circulez. Le Monde citait le gouvernement (ou les autorités sanitaires, je ne sais plus, j'avoue)  et la réponse lui convenait !
On aurait pu s'attendre à ce que le quotidien soulève les dépenses d'investissement qu'implique une loi sur la vaccination obligatoire, l'obligation d'aller chercher les populations à risque, la responsabilité politique (et peut-être pénale) devant le peuple, autant de chose dont ne veut pas la gouvernance française depuis 40 ans. Mais j'ten fous, rien du tout : c'est qu'on pourra pas contrôler tout le monde, point. Le Monde approuve.

Que quelqu'un m'explique : c'est moi qui ne comprends pas ???


laisser filer le virus pour "sauver l'économie" oui c'est absolument et de manière transparente le parti-pris du pouvoir sur cette vague omicron (et ça l'était déja avant; avec des limites); en misant sur les données préliminaires de "moindre dangerosité" d'omicron. Un nouveau "pari" en somme très risqué.

il faut arrêter la binarité confiner/pas confiner; les mesures qui s'imposent impliquent de se concentrer sur la qualité de l'air (filtration; aeration; mesure de taux de C02); le port de masques FFP2 generalisé; et les testes itteratifs (et salivaires de préférences). Vu la situation il était aussi évident qu'il fallait FERMER l'école; les bars et les restos; ne serait-ce que pour une ou deux semaines (avec les incidences actuelles aller au resto c'est comme jouer à la roulette russe avec six balles en terme de risques de contamination. donner cours à une classe de 25 aussi). Maintenant dites moi ou j'ai parlé de confinement là.

Le pass vaccinal s'inscrit dans la stratégie du tout vaccinal poussé par le pouvoir; avec toujours cette illusion de la solution unique et miracle et l'illusion "qu'on pourra revenir à une vie normale". On sait que ça ne marchera pas. On ne reviendra pas à la vie normale. ça n'empeche pas qu'il faudrait vacinner tout le monde; enfant compris; au moins une fois; mais ça ne suffira pas; et de toute manière on ne peut pas concevoir de politique de santé publique sans prendre en compte les réticences (ou alors il faut être capable d'aller chercher les gens).

Le vaccin permet de réduire les formes graves et la mortalité; efficacement; durablement. La vaccin permet aussi "en bonus" de réduire le taux de contagion pour une durée limitée. Pour une politique à long terme il faut se concentrer sur la première partie de l'equation; et ne pas compter sur la réduction de la contagion; et investir dans d'autres politiques de réductions des risques (donc; principalement qualité de l'air; comme on a réduit les contaminations au début du XXe siècle en s'inquiétant de la qualité de l'eau; et port du masque selon situation); et comprendre que c'est ça le seul "nouveau normal" qu'on peut espérer.

Ce que je ne digérerais jamais; c'est que les "anti-tout" et le gouvernement; avec la complicité d'une partie de la population (ceux qui sont "vaccinés alors c'est bon"); on fait collectivement et en toute conscience le choix d'une société eugéniste.

Je pense que l’indifférence aux morts du Covid est liée au fait que ce sont les immigrés (Maghreb, Afrique subsaharienne, Asie) de classe inférieure (éboueur, femme de ménage, caissière, etc.) qui ont été et qui sont touchés (forte surmortalité en 2020).

Au moment où cette statistique avait été annoncée, j’avais lu un commentaire sur le site du Figarot, toujours pas effacé après 24 h : « Qu’ils crèvent la gueule ouverte ! ».


Je pense que des gens comme Natacha Polony (et ceux de not’ gouvernement) sont au courant, ils sont très informés. Si ce n’était que des personnes de leur classe sociale et de leur origine qui mourraient, ils changeraient de discours.

Voici les statistiques définitives de l’INSEE concernant les surmortalités liées au Covid en 2020 et début 2021. Elles datent du 25 novembre 2021.

Sur le plan médiatique, je n’ai trouvé qu’un seul site d’information qui parle de ces inégalités face au Covid en novembre 2021, La Croix. :(

Je n’avais pas conscience de ça, merci pour les liens! 

(Il y a la loi à la con je suis grossière que les commentaires les plus instructifs arrivent trop tard pour être approuvés, et seront peut-être pas tellement lus, c’est bien dommage) 

Pour aller dans votre sens, rappel de la citation de Christophe Barbier à l'annonce de la mort de Devedjian :
« La mort de Patrick Devedjian signe un tournant dans cette épidémie. »

Autant j'approuve votre commentaire précédent, autant je me permet une remarque sur celui-ci 


Ce que je ne digérerais jamais; c'est que les "anti-tout" et le gouvernement; avec la complicité d'une partie de la population (ceux qui sont "vaccinés alors c'est bon"); on fait collectivement et en toute conscience le choix d'une société eugéniste.


En effet, l'immense majorité de la population se contente du "journal de 20h" (ou équivalent) pour s'informer et ils ont pris pour argent comptant les slogans diffusés l'été dernier comme "je me vaccine pour protéger les autres".

Le mois dernier (décembre 2021), j'ai croisé plusieurs personnes de mon village très surprises d'apprendre qu'on pouvait être contaminant en étant vacciné.e (iels avaient 'appris' de Castex qu'on pouvait ôter les masques au cinéma), et qui s'étonnaient de connaître des personnes malades du covid malgré les 3 doses de vaccin.


Résultat : iels avouent ne plus rien comprendre (j'ai essayé de préciser les choses) et, après avoir été dans les premier.e.s à se faire vacciner, regimbaient à l'idée de la 3e dose.


Une des grosses erreurs du gouvernement a été de présenter la vaccination comme "le retour à la vie d'avant" et je ne pense pas que ces gens sont complices, ils ont été abusés.

Je pense que Le Monde enregistre le fait que le pass vaccinal ne touchant qu'une petite partie de la population qui était déjà très contrainte par le pass sanitaire et que le masque en extérieur ne sert presque à rien, la France ne prend donc presque aucunes mesures de freinages. Les pays voisins, sans aller jusqu'au confinement, ont pris de multiples mesures comme repousser la rentrée scolaire.

Il l'enregistre en douce, non ? Et ça crée de la confusion.

En revanche, jene comprends pas le sens de la phrase " le pass vaccinal ne touchant qu'une petite partie de la population qui était déjà très contrainte par le pass sanitaire " Pourquoi, une "petite partie" ?

Les non-vacciné ne sont qu'un faible effectif aujourd'hui, tout simplement :)

Sinon je pense qu'il ne faut pas compter sur Le Monde pour prendre des positions tranchées contre le gouvernement, c'est un journal "bien élevée" :))

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D'autres trouveront ces mesures déjà trop fortes. 


les mesures prises vont toutes dans le sens d'un allégement des contraintes; plus de quarantaine des cas contacts; plus de fermetures de classe. c'est une stratégie assumée.

La seule mesure sensé prise est autour du télétravail; même si on sait le peu de contrainte en verité qui pesera sur les entreprises. Et evidemment les bouffoneries genre "interdiction de boire debout" et "masques à l'exterieur" c'est pour se donner l'illusion d'agir mais à part emmerder le monde ça ne sert pas à grand chose. Sur l'histoire de l'interdiction de manger quand les trois quarts des gens savent pas ou veulent pas mettre un masque comme il faut c'est aussi très illusoire. Demander aux gens de faire un minimum attention aux autres apparement c'est vraiment beaucoup trop demander (imaginez on pourrait faire confiance aux autres pour ne pas bouffer pendant 2h de trajet juste pour pas mettre un masque).

(D'ailleurs boire et manger avec un masque en securité c'est possible si vraiment on veut; on inspire; on enlève un coté du masque; on met dans sa bouche; on remet le masque; on expire et on ingère. Enfin bon je sais que j'en demande vraiment beaucoup trop là)

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C'est surtout une approche politique, en ce concentrant sur l’individu on s'attaque à des angles que la politique ne peu pas vraiment atteindre, donc qui n'est pas efficient dans un débat.

Par exemple déplorer qu'il n'y ait pas plus de gens convaincu d'office par le vaccin en France c'est bien, mais politiquement on en fait quoi?

J'ai l'impression que vous en avez autant contre le gouvernement que contre la population, vos contemporain.es. Entre les bouffonneries de Castex et les-gens qui n'ont pas la décence de faire attention, s'agit-il d'une responsabilité partagée à égalité ?

Je vous demande ça, car je pense que quand le peuple manque de décence, c'est que le pouvoir a versé le premier sang. Je n'imagine pas que les deux plongent ensemble dans des attitudes irréfléchies et toxiques.

Tout de même, une politique de santé en France qui n'existe pas, tout par de là, non ? Mes questions ne sont pas de l'ironie condescendante envers vous, du tout.


J'ai l'impression que vous en avez autant contre le gouvernement que contre la population, vos contemporain.es. Entre les bouffonneries de Castex et les-gens qui n'ont pas la décence de faire attention, s'agit-il d'une responsabilité partagée à égalité ?


Non je ne dis pas ça. ça n'enlève pas non plus la responsabilité individuelle des gens; et; c'est une réaction humaine; je suis excédé par certains comportements; même si j'essaye d'en comprendre les causes.


Plus largement je suis excédé parce qu'il n'y au aucun mouvement collectif (syndicat ou parti par exemple); en particulier à gauche; qui a pris à coeur de se poser simplement la question de la protection des plus fragiles; et que tout ce petit monde à tendance à raisonner; avec l'extreme-droite; uniquement en terme de "protection des libertés". Si le pouvoir fait n'importe quoi ne lui est opposé aucun contre discours clair et cohérent; tout discours opposé à la politique sanitaire de l'état tombant invariablement par récupération dans le marasme de la confusion; du complotisme et de l'eugénisme. 

(à part quelques prises de positions éparses comme celle-ci au hasard lue il y a quelques jours).

Et regarder la situation internationale permet de comprendre qu'on est assez isolé dans cette tendance; malheureusement au coude à coude avec les états-unis, et encore; les messages de leaders de gauche americains sont mille fois plus claires qu'ici.




*(quand je parle de situation internationale je pense par exemple au Brésil où La population s'est soulevée contre Bolsonora PARCE qu'il les avait laissé mourrir et POUR l'accès au vaccin. Bolsonaro qui aujourd'hui est accusé de crise contre l'humanité par le parlement Brésilien pour la gestion de sa crise et avoir promu des traitements dangereux et inneficaces)

Il existe un goulot d’étranglement de l'information qui sont les grands médias français. Non seulement aucun grand titre de la presse ne s'oppose officiellement (comme aux EU) à la politique sanitaire de Macron mais son opposition de droite et d'extrême droite est citée. Des initiatives de gauche pour la protection des plus fragiles ne sont jamais citées dans la presse. La gauche s'égosille au Parlement, dénonce le totalitarisme sanitaire pour aucun résultat concret... on peut le voir sur son fil d'actu Facebook si on clique sur PC, LFI ou EELV...

La gauche, la vraie propose jour après jours de cibler les plus faibles, de faire des roulement horaire dans les entreprise, des purificateurs d'air. Pas entendue, pas reprise.
Ok, elle ne descend pas dans la rue. C'est pas le pire des choix ; elle aurait beaucoup à perdre à défiler avec les gogoles antivaccin. Ruffin et Phillipot, Lea Salamé rêve de ça toute les nuits..

Juste un truc, quand-même, la protection des libertés, c'est de gauche. La gauche, la vraie, le martèle à l'Assemblée. C'est juste qu'on entend davantage Charles Consigny aux Grandes Gueules (l'émission bien nommées) parce que, comme toujours, le choix médiatique.

La gauche, la vraie propose jour après jours de cibler les plus faibles, de faire des roulement horaire dans les entreprise, des purificateurs d'air. Pas entendue, pas reprise.
Ok, elle ne descend pas dans la rue. 


Certains le font; ils sont discrets; même sans parler de grands médias français, que je ne regarde pas plus que l'asinaute moyen. La FI parle de purificateurs; tant mieux; ça n'excuse pas la confusion sur tout le reste. Certains syndicats ont aussi décidé de relayer la propagande antivax; et c'est très moche (en particulier aux Antilles où la population a des raisons de se révolter). Par contre on est loin de quelque chose qui pourrait ressembler à un élan populaire, les positions sont trop atomisés; et la droite rafle la mise à tous les coups. La protection des libertés c'est un truc de gauche; d'accord; reste que c'est une conception de la liberté qui prend en compte l’intérêt général, et peut-être que j'ai une vision biaisée parce que je regarde pas les débats à l'assemblée mais je vois pas toujours cette idée mise en avant.

Et vous ne la verrez pas, parce que les grands médias ne vous la montreront pas.

oui et je vous dis que je ne regarde pas les grands médias. Je suis des militants; occasionnellement des spécialistes (médecins; épidémio); y compris dans d'autres pays (europe; USA; asie); ainsi que des médias webs de gauche. Les gens qui ont les choses les plus interessantes à dire sont rarement les élus ou responsables politiques de premier plan. Et chaque vois que je vois passer des discours de Mélenchon (au hasard); c'est pour dire une connerie.

Que les conneries ? Vous êtes maudite ;)

Et aussi, le coupable, le patient zéro de la culpabilité, la poule avant l’œuf, c'est la gouvernance Française. Ça transcende tout le reste.  Avec une politique sanitaire, des hôpitaux où on investi de l'argent, pas d'antivax, pas de Roult, pas de Phillipot, pas de complotiste. Mais des soucis, des jours compliqués, ceci dit, oui.
Je raisonne de cette façon.
Mais là, je parle d'un autre monde.

oui; peut-être; sans doute; mais on est là.

Et dans ce monde là, le notre, établir une hiérarchie des responsabilités est essentiel pour s'en sortir. 1 péter l'autocratie française, 2 mettre une fessée cul-nul à Phillipot.

qu'est-ce que vous entendez par "eugénisme" ?


l'eugénisme c'est quand on considére que c'est normal que les vieux et les plus fragiles crèvent; que "c'est la vie";  et qu'on est près à prendre aucune mesure (pour l'état) ni faire aucun effort (pour les individus) pour empêcher que ça arrive. 

Dans un registre différent je classerais aussi là dedans les médecins qui actuellement proposent de ne pas soigner les non-vaccinés; même si ce n'est pas à proprement parler de l'eugénisme.

Juste pour pinailler, j'aurais tendance à appeler ça du malthusianisme (laissons la nature / sélection naturelle faire crever les gens) plus que de l'eugénisme (sélectionnons nous-même les "meilleurs" selon nos critères). Ça m'a fait tiquer quand j'ai lu le terme de "crypto-eugénisme" dans ce texte : https://paris-luttes.info/personne-ne-doit-etre-oublie-ni-15576

Vu qu'iels ne définissent pas le terme, je ne sais pas bien comment le comprendre (en dehors de ça je rejoins l'analyse du texte dans les grandes lignes).

Oh ! je me souviendrai que c'est en vous lisant que j'ai vu iel(s) dans une phrase. C'est-à-dire hors polémique.
Donc, ça existe bien. Et ça passe très bien :)

ce n'est pas non plus du malthusianisme, dont l'axe est la limitation des naissances, et pas du tout "en laissant faire la nature" !

Oui en y repensant vous avez raison, ce n'est pas vraiment du malthusianisme non plus. Comment pourrait-on alors décrire cette attitude, et les propos de la catégorie "il faut bien que les vieux meurent un jour", "je fais confiance à mon immunité naturelle" ? Et qui ne sont pas uniquement des constats sur le monde (oui, tout le monde meurt un jour) mais autant de soi-disant arguments pour minimiser la pandémie. Je ne connais pas toutes les positions des soi-disant "résistants / réfractaires" à certaines positions (perso je m'intéresse spécifiquement aux questions de vaccination au delà de la question covid en tant qu'ancien antivax), mais il y a un schéma récurrent et présent, une position qui n'est d'ailleurs pas nouvelle, puisqu'on retrouvait peu ou prou le même registre dans des discours antivax depuis le 18e siècle (je viens de finir le bouquin de F Salvadori et PH Vignaud sur l'histoire de la résistance vaccinale). Je vais continuer à chercher mais je cherche également à caractériser ces points là.

Et point de détail, la majorité des gens que j'ai entendu avoir cet argument étaient des personnes en bonne santé vivant en France (la maladie c'est loin, toussa). C'est en cela qu'a minima j'ai tendance à dire qu'il s'agit d'une position validiste.

Bon, je ne parle que d'un point spécifique (la vaccination) et d'un type d'argument précis (cette forme d'appel à la nature / providence par des personnes valides) et je n'en ferais pas des généralités. Mais autant il ne faut pas le généraliser, autant il ne faut le minimiser en bottant en touche ("ça ne représente pas toutes les positions", etc.). C'est un registre argumentatif que l'on retrouve avec une certaine fréquence (pas du tout marginalement).

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Et ?

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Oui

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Euh bah oui justement je disais qu'"eugénisme" me semblait pas adapté, donc je vois pas trop pourquoi je le confonderais.


Pour le fait qu'il s'agisse d'une position validiste, effectivement je maintiens mes propos pour l'instant, je peux expliquer pourquoi. Je l'affirme pour le cas des personnes qui affirment par choix décider de ne pas se vacciner et faire confiance à la nature agrémenter de "c'est une gripette", "je suis en bonne santé je risque rien", etc.

1) en ce qui concerne l'aspect factuel du bénéfice risque individuel et collectif, je vais pas détailler ici mais il me semble assez clair que se vacciner est supérieur à ne pas se vacciner pour la très grande majorité des adultes (pour soi comme pour les autres - et je ne parle là que sur le plan médical).

[je connais moins le sujet mais j'ai l'impression que c'est transposable aux autres mesures -> masques, confinement, distance soiale, éviter les rassemblements, etc.]

Une personne qui bute sur ce premier point, pas de souci elle ne défend pas une position validiste si elle est mal informée et qu'elle se retrouve à exagérer les risques du vaccins et minimiser ceux de la maladie. Ça c'est dans le registre "subir de la désinformation". Être hésitant et avoir peur, par ailleurs, n'est pas une position validiste non plus. Dans ce cas il est important d'accompagner, informer, rassurer (pas vraiment la politique de santé publique actuelle on dirait)

2) mais prendre une décision ne relève pas du scientisme et les valeurs et idéologies de toutes et tous (ainsi que d'autres déterminants culturels) jouent dans la balance guidant le choix. Pour celles et ceux qui s'estiment bien informer (d'accord sur 1) et  qui disent ne pas faire leur choix par peur, mais qui invoquent des rapports à la nature (ce que je mentionne plus haut), dans ces cas là, oui je redis que pour moi il s'agit d'une forme de validisme. Et qui doit être tout autant à déconstruire que d'autre rapport aux privilèges.

Donc lorsque des personnes blanches et en bonne santé, qui ont toujours vécu dans un pays où les maladies sont moins présentes entre autre grâce à l'amélioration des conditions de vies, à la vaccination et à diverses mesures de prévention, viennent dire "c'est une gripette, le vaccin ne sert à rien, je fais confiance à mon système immunitaire", et que ce n'est pas elles qui sont vielles, en surpoids, immunodéprimées, et/ou qu'elles ont des imaginaires où tu es "responsable de ta santé" (ce qui n'est pas une erreur à 100% mais qui pose plein de problème dans les registres de la santé dite "naturelle et holistique").

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Étant donné les divergences scientifiques ( une chose est vrai à l’instant T, fausse à T + 1) , une chose est vraie pour tel variant, fausse sur tel autre etc

Parmi les problèmes importants dans le traitement des questions scientifiques, il me semble que déjà le "vrai/faux" c'est prioritaire. Déjà, penser en terme de vraisemblance, quantifier l'incertitude et le niveau de preuve/confiance c'est central (mais pas rassurant, et ça suppose d'exprimer l'étendue de notre ignorance). Penser en terme de vraisemblance, et aussi et surtout d'identifier les méthodes et résultats qui permettent de soutenir telle ou telle affirmation, déjà ça aiderait pas mal.

Autre point : dans les domaines scientifiques, j'ai souvent constaté un décalage entre ce que les gens perçoivent comme une "controverse scientifique" et l'état réel des débats et controverses dans cette discipline. Et le traitement médiatique, souvent fait par des journalistes ou essayistes qui maîtrisent mal leur sujet, est trop souvent caricatural et ne rendant pas compte de l'état des connaissances et incertitudes scientifiques.

On voit un peu la même chose pour les questions relatives au réchauffement climatique (autre domaine que je ne connais pas en détail) : il y a encore plein de gens qui pensent qu'il y a encore débat sur sa réalité, et c'est alimenté par des climato-négationistes qui peuvent eux-même être des scientifiques respectables par ailleurs (je pense à Benoît Rittaud, mathématicien et bon vulgarisateur - qui porte la parole des "climato-réalistes").

Maintenant, pour rester sur la question de la vaccination, je suis désolé mais non il n'y a pas tant que ça de divergence : globalement les discours des épidémiologistes, médecins, virologues, vont peu ou prou dans le même sens : la balance bénéfice risque est nettement positive. Entre se vacciner ou ne rien faire, pour un adulte en bonne santé, il y a peu d'ambiguïté. Certes, l'effet sur tel ou tel variant, le niveau de protection, la réduction de la transmissibilité selon les contexte, ça évolue et ça fait évoluer, il n'y a pas de problème. Et on en apprend plus tous les jours. Genre effectivement les vaccins n'étaient pas évalués sur leur durée de protection dans les études de Pfizer et Moderna, on fait ça par la suite, les connaissances évoluent. On apprend que c'est pas ouf, qu'il faut faire une dose de rappel, ou que c'est pas prioritaire, il y a d'une part des débats scientifiques et d'autres qui sont politiques. C'est compliqué et on fait avec. Mais, alors je sais pas vous, mais de toutes les personnes non-vaccinées avec qui j'ai discuté, les arguments avancés relevaient ou bien de points idéologique contre lesquels je suis opposé (cf message précédent) ou bien sont alimentés par les discours de désinformateurs. Combien de personnes j'ai entendu parler des "injection géniques expérimentales", de "qu'est-ce que tu en sais de ce qu'il y a dedans". Et je parle de vrais gens proches, et oui ça m'énerve qu'iels me sortent du Perrone, du Fouché, du Décoder l'Éco ou autre réseau de désinformateurs complètement pété (là je le dis vulgairement, mais pour ceux que j'ai étudier je peux développer longuement du pourquoi c'est pété ce qu'ils racontent). Après, je comprend que les gens ne soient pas habitués à traiter de l'information scientifique, mais je ne comprend pas pourquoi ils préfèrent faire confiance à des "blouses blanches" qui font des vidéos youtube qu'à leur proches qui font de la science.


Dernière chose : quand vous parlez de "confrontation intelligente des différentes thèses", comment vous faites, si l'un vous dit A et l'autre vous dit B pour savoir lequel des deux est le plus vraisemblable ? Celui qui est le plus convaincant ment peut être, ou qui utilise des procédés rhétoriques pour l'emporter. Il y a plein de scientifiques compétents nuls à l'oral et pas convaincants, mais techniquement très pointus. Dans ce cas comment évaluer ?

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Ça serait contreproductif si je cherchais à débattre ou à faire changer d'avis quelqu'un. Ce qui n'est pas le cas ici. Sinon un truc que je trouve contreproductif c'est de ne pas appeler un chat un chat. Alors on peut faire de la novlangue post-moderne pour tenter des "chacun sa vérité" et autres billevisées ineptes mais à moment donné (et je dit ça après avoir longuement écouté tout ce petit monde) faut le dire et l'accepter qu'une partie de ces gens racontent n'importe quoi et que ça crée de la peur, du ressentiment et de la colère chez des gens, basé sur du flan.  Et je parle bien là des cas qui racontent vraiment n'importe quoi. C'est ouf de croire qu'il y aurait une symétrie dans la valeur des thèses. Ça serait comme supposer que les thèses créationnistes et évolutionnites se valeraient en biologie, ou bien des climato-sceptiques vs des climatologues. Les gens qui pensent que ce sont des thèses pour lesquelles "toutes les opinions se vaudraient" ne connaissent peut être pas très bien les sujets. Et on a le droit de ne pas connaître les sujets, ce n'est pas un problème, le souci c'est qu'on a des boussoles cassées pour savoir à qui ou quoi se fier. D'où l'importance d'une éducation populaire et critique des sciences et des techniques.

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Alors sur le traitement médiatique des informations scientifiques, j'avoue que je n'ai pas beaucoup suivi ce qui se disait dans les médias télévisuels. Mais par exemple, et vous parlez des modèles mathématiques, je n'ai pas beaucoup vu de vulgarisation et sensibilisation à la modélisation mathématiques (modèles descriptifs, prédictifs, etc.) dans les médias. Et pour le coup effectivement. D'ailleurs vous parlez des "projections mathématiques qui se sont révélées fausses", et (ce n'est pas que vous, et à ce propos je ne fais pas spécialement d'hypothèses sur vos positions) en fait c'est tout à fait normal. Tous les modèles sont faux, c'est le principe.


L'information "telle projection est fausse" n'est pas très pertinente en soi. Tous les modèles sont faux, mais certains sont utiles. Parce que oui, clairement, modéliser un système complexe c'est pas évident, c'est imparfait, c'est une réduction idéalisée d'une classe de phénomènes. Si on prend l'exemple de la météo, on est d'accord pour dire que c'est faux comme modèle (et genre à 15 jours près ça dit sûrement n'importe quoi). Mais localement, dans un certain contexte c'est tout à fait pertinent. Je vais pas étendre plus loin, et les détracteurs des modèles mathématiques ne vont pas exprimer des critiques pertinentes et nuancées des modèles utilisés et de leurs limites en terme de prédiction. Par contre, des discours contre les modèles mathématiques qui sont faux "parce que ce sont des modèles mathématiques", oui c'est problématique. Je vais pas rentrer dans les types de modèles et dans les détails ici mais je trouve qu'au contraire en terme de modélisation on a eu des progrès scientifiques très important ces derniers temps sur ces sujets (un exemple de source là dessus : https://www.pourlascience.fr/sd/epidemiologie/avec-le-covid-19-la-modelisation-des-epidemies-s-ouvre-aux-donnees-massives-22563.php)


Et sinon oui, les bêtises du gouvernement et le n'importe quoi du gouvernement avec son autoritarisme paternaliste habituel sont également à contredire et combattre. Prendre les gens pour des cons et les "emmerder", ça ne va pas nous aider.


Et sur les sujets compliqués (choix politiques, vaccination des enfants, etc.), oui clairement il faut pouvoir avoir et trouver des espaces pour en parler calmement. Et sans pour autant se refuser à dire "c'est faux" lorsque c'est mérité (mais oui c'est pas agréable à entendre, la bienveillance c'est bien mais faut pas pousser)

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Non. Ça c'est faux. Merci de ne pas insulter les gens qui font de la modélisation, merci.

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Les projections mathémtiques n'engendrent pas des politiques sanitaires. Ce sont des hommes et femmes politiques qui engendrent des politiques sanitaires. Ils ne bitent rien aux modèles mathématiques et s'en servent mal et et quand ça les arrange. Exemple classique : https://www.mediapart.fr/journal/france/090421/covid-jean-castex-presente-des-projections-trafiquees-aux-parlementaires

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Ah ah ah. Merci bien d'avoir répondu en parallèle. J'espère que ça donnera un indice au monsieur (on est quand même plusieurs à dire la même chose sur les modèles ...)

J'ai regardé le papier que vous avez mis. Mouais. Gros décalage entre le fait qu'il présente tous ses biais au début (ce qui est très honnête et c'est top, il oublie aussi sûrement quelques éléments) et que par ailleurs sa conclusion est tranchée et sans nuance. Il faudrait que je regarde plus en détail mais au niveau méthodo je ne suis pas non plus convaincu (mais je vais pas avoir d'avis tranché sans avoir creusé plus avant le dataset et les modèles employés). Qui plus est, je ne suis pas convaincu que l'auteur (unique) soit particulièrement spécialiste du domaine. Il fait de la recherche en bioinfo (donc il ne dit pas non plus n'importe quoi sur les modèles de ML employés), pas de l'épidémiologie ou de la démographie. J'ai des gros doutes sur la pertinence de sa méthode mais pourquoi pas. Vous savez dans quelle revue ce preprint a été soumis ? Je n'ai pas trouvé (et effectivement je suis passé à côté je l'ai pas trouvé sur arxiv)


"Et pourquoi utiliser des outils si on sait qu'ils sont faux ?" -> parce qu'ils sont utiles. Ils sont faux parce qu'ils approximent (plus ou moins bien) une représentation simplifiée et idéalisée du réel. La question n'est pas tant de savoir si ils sont "vrais ou faux", mais quelle est la qualité de prédiction, le niveau de confiance, l'erreur attendue d'approximation. Je ne sais pas spécifiquement

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Alors non c'est pas "on connaît tous depuis le CM2". C'est au contraire un point que beaucoup de gens ont du mal à comprendre et qui a fait couler beaucoup d'encre en philosophie des sciences depuis des siècles.


Sinon je viens de voir passer une analyse détaillée du papier que vous avez citer (oh, étonnement ! c'est une des études qui circule pas mal chez les "covido-sceptiques". C'est marrant parce que je vois rarement circulé tous les autres papiers (genre des dizaines par semaine sur axiv) qui sont plus nuancer et avec des conclusions moins provocantes et catégoriques.


Le lien vers le thread de Thiabud Fiolet (ah oui j'oubliais selon Mucchielli c'est un inféodé de Big Pharma :D ) : https://twitter.com/T_Fiolet/status/1479789567330893824

Vous remarquerez qu'il y a des éléments similaires avec ce que je disais. Et avec plus de détails sur le contenu technique. Vous savez, dans une population d'universitaire, il y a aussi des conspi, des fachos, des gauchistes, enfin bref, plus ou moins la même que dans tout groupe social, iels ne sont pas épargnés.


Quand au modèle de Fergusson. Ok, mais pourquoi aquand on parle de modélisation, c'est toujorus cet exemple qui ressort (et qui part ailleurs ne me choque pas plus que ça) ? Et les autres modèles ? Ceux qui sont moins écartés, plus proches ? Les dizaines d'équipes de modélisateurs à travers le monde qui produisent un paquet de modèles, vous les regardez également ?

Juste pour pinailler, j'aurais tendance à appeler ça du malthusianisme (laissons la nature / sélection naturelle faire crever les gens) plus que de l'eugénisme (sélectionnons nous-même les "meilleurs" selon nos critères).


la frontière est un peu floue mais en tout cas du validisme ça oui

ce n'est pas ça, l'eugénisme. C'est viser l'amélioration de la race par la sélection génétique. Est-ce exprès que vous collez cette étiquette, fausse et extrêmement péjorative, sur tout un spectre de positions à l'égard de la vieillesse, de la maladie et de la mort, non seulement très différentes de l'eugénisme, mais bien plus nuancées que ce que vous développez là.


Moi, oui, pour être peut-être plus vieille que vous, pour avoir vu mourir pas mal de mes proches, et vieillir, et devenir fragiles, oui, je pense que la mort nous attend et que "c'est la vie", je pense que dans une société il ne faut jamais sacrifier la jeunesse aux vieux, qu'une société doit protéger son avenir. Je pense qu'on doit soigner, protéger, retarder la mort si possible, mais pas à n'importe quel prix, pas à tout prix.

On peut discuter de toutes les options possibles, mais pas si je suis, d'entrée, considérée comme une cynique égoïste et sans cœur parce que je pense que, quoi qu'on fasse, on n'est pas tout puissant devant la vieillesse, la maladie, et la mort inéluctable. 


Moi aussi j'ai des proches pour qui je me fais du souci, mais pas seulement des vieux et des malades : des jeunes, aussi, que je vois privés, dans la panique actuelle, de beaucoup de choses essentielles à leur santé et à leur développement. 


Justement le "pas à n'importe quel prix", il y a quand même des choses à dire. Pourquoi tant de gens trouvent que se vacciner ou porter un masque est un "prix énorme" ? C'est aussi parce qu'il y a du monde qui pousse pour raconter n'importe quoi et souffler sur les braises des peurs des gens. Et si ces gens ont de l'audience c'est aussi parce que les institutions sont à la ramasse. J'en parlais récemment avec un exemple : si les pseudo-thérapeutes ont autant de succès, c'est aussi parce que le système de santé publique est à la ramasse : quand tu met plus d'un an à avoir un RDV avec un psychiatre, évidemment que te tourner vers une personne sympa qui habite à deux pas et qui a un rendez-vous dans la semaine c'est plus facile.

Si les conspis et antivax ont autant de succès ce n'est pas parce que les gens sont "bêtes et irrationnels", c'est que les conditions dans les structures de nos société sont présentes pour les produire.

Cette notion de "coût", notamment par rapport à la vaccination (oui encore une fois, mais c'est parce que c'est le sujet qui m'importe), est un sujet vachement compliqué et j'ai pas de réponse toute faite, mais je trouve qu'il y a une énorme exagération qui est faite sur ce sujet (en tout cas chez les antivax modernes que je connais c'est à dire depuis la fin du 20e siècle)

Porter un masque est un prix énorme surtout en extérieur  because 135 euros.
Porter un masque est un prix énorme pour les pauvres gamins à la récréation.



Le "coût énorme" est assez subjectif en fait. Pour les 135€, je ne comprend pas (mais je suis assez bête), ce n'est pas plutôt le fait de ne pas le porter qui coute 135€ ?

C'était mon propos, oui :)


 oui, je pense que la mort nous attend et que "c'est la vie", je pense que dans une société il ne faut jamais sacrifier la jeunesse aux vieux, qu'une société doit protéger son avenir. Je pense qu'on doit soigner, protéger, retarder la mort si possible, mais pas à n'importe quel prix, pas à tout prix. 

On peut discuter de toutes les options possibles, mais pas si je suis, d'entrée, considérée comme une cynique égoïste et sans cœur parce que je pense que, quoi qu'on fasse, on n'est pas tout puissant devant la vieillesse, la maladie, et la mort inéluctable. 


Moi aussi j'ai des proches pour qui je me fais du souci, mais pas seulement des vieux et des malades : des jeunes, aussi, que je vois privés, dans la panique actuelle, de beaucoup de choses essentielles à leur santé et à leur développement. 


Merci ! 

ce n'est pas ça, l'eugénisme. C'est viser l'amélioration de la race par la sélection génétique. 


par la séléction génétique ou l'élimination des plus faibles. Vous avez bien les positions que vous voulez sur votre propre mortalité mais c'est pas le sujet; à l'échelle de notre société on a des moyens d'actions pour protéger les gens du covid; et on fait le CHOIX, en tant que société; et pour des raisons très superficielles et de confort; de ne pas les appliquer. Et je ne parle pas seulement des gens agés; je parle par exemple de jeunes immunodéprimés qui ne sortent plus de chez eux; je parle des gros; de ceux dont certain diront "ils ont une mauvaise hygiène de vie" (..alors du coup ils peuvent crever); sans oublier les covid longs; qui frappent un peu n'importe qui au hasard. Si vous avez un problème avec le terme eugénisme; on est à minima face à ce qu'on appelle le validisme. Simplement là on ne s'en cache plus du tout. 


Et pour le "pas à n'importe quel prix; pas à tout prix"; là ça nous mène tout droit au fatalisme; comme si ce qu'on peut faire maintenant relevait de l'insurmontable alors qu'on parle de mesures concrètes et pas si compliquées à mettre ne place et de quelques menus adaptations dans sa vie. Est-ce que les quelques dizaines de millions d'euros d'investissement pour la qualité de l'air vous semblent insurmontable par rapport à des milliers de vies? Pour reprendre l'exemple individuel mettre un FFP2 correctement et sur son museau dans le métro pendant 10 minutes c'est une atteinte insurmontable à notre mode de vie?

Mais là c'est moi qui devient fataliste; si on est pas fichu de faire ça alors avec ce qui nous arrive sur la gueule avec le réchauffement climatique on est effectivement foutu.


je n'ai rien contre ce que vous préconisez là. Et il y a beaucoup à faire, et qui n'est pas fait.

Je dis simplement que non, ce n'est pas du cynisme que de se poser, à chaque fois, la question du coût social et humain de chaque mesure prise — et surtout de chaque mesure imposée.



Aujourd'hui en première page du Monde: "L'explosion du nombre d'infectés par la variant Omicron a conduit l'exécutif a réduire les durées d'isolement des cas positifs et des cas contacts".      On atteint une certaine perfection, je trouve, dans le "vivre avec"

Oui ! Et il faut lire dans le même genre un autre papier du monde, lunaire.

https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/01/04/covid-19-malgre-les-critiques-l-executif-fait-le-choix-de-vivre-avec-omicron_6108092_823448.html

" le gouvernement a pris la décision de laisser se propager le virus"

Ah... ? Et le pass vaccinal, le masque en extérieur, c'est.. Ben le Monde ne nous propose pas d'explication, parce que tout ça lui semble parfaitement normal.

La perfection, oui...


le truc d'autant plus insupportable avec ce gouvernement; et ce sur tous les sujets; c'est qu'ils se donnent l'air de faire quelque chose et font en même temps tout le contraire. Ils se donnent l'air progressistes. Ils se donnent l'air féministes. Ils se donnent l'air de vouloir écouter la science et protéger la population d'un virus mortel. Ce n'est pas tant de l'incohérence que de la communication (très mal maitrisée) pour essayer de couvrir leur action réelle. Le pass vaccinal et le masque c'est à nouveau des purs effets de communication (quelque soient les effets négatifs d'ailleurs). Le storytelling depuis le début de l'année c'est "vaccinez-vous et vous retrouverez la vie d'avant". Donc on continue là dedans envers et contre tout, même si on sait que ça marche pas. c'est d'une certaine manière assez cohérent. de toute façon il leur reste quatre mois à tenir.

Je pense que le gouvernement y parvient parce qu'il a tout les grands médias avec lui. Aucun grand titre de presse n'oserait s'opposer frontalement à Macron et sa logique de casse. Même pas CNEWS, qui est pourtant le bras armé de l'opposition de droite à Macron.
Quand on a BFM dans des milliers d’endroits publics, quand depuis deux des milliers d'articles enchaînent sans faillir le "tour de vis", "ce qui interdit demain", "que faut il retenir des nouvelles restrictions", il est impossible de répliquer efficacement.
 
Quand le président de la République peut venir à la télé parler et repartir sans être interroger et que souvent l'intendance découvre les punitions en même temps que nous, comment oser une voie différente ? La peur de passer pour un complotiste est un vrai frein.

C'est un peu comme la politique de la violence policière pour briser les mouvements sociaux : la majorité ne revient plus, une minorité résiste, mais ce sont pas les meilleurs.

Je pense vraiment qu'il faut parler d'un couple politique média. Sans le second, le premier n'est rien.

pour prolonger votre conclusion, c'est comme pour le merdier lié au climat :


l'article se réfugie derrière la "caution" scientifique et oublie de faire de la politique. Car l'intervention de Polony - même avec ses imprécisions et ses erreurs -  est politique. Comme celle de JLM à l'assemblée nationale contre le passe vaccinale et qui pour moi est la seule parole crédible sur la politique sanitaire.

aucun de ces medecins, epidemiologiste n'a de credibilité dans la mesure ou on ne les jamais entendu en 2019, avant le covid lors des mobilisations contre le copermo, la T2a et la fermeture des services . 


[url=https://zupimages.net/viewer.php?id=22/01/y0bs.jpg][img]https://zupimages.net/up/22/01/y0bs.jpg[/img][/url]


Deja en 2010, la presse parlait de vies en danger dans les urgences engorgées. 


Ou étaient ces gens là? qu'on-t-il dit?   alors qu'ils se taisent au lieu de venir nous dire comment nous devons gerer nos vies et nos libertés.


Je n'aime ni Polony, ni ses idées rances, ni son journal nationalo-conservateur.
Ceci étant dit, son billet ne me choque pas. Et je suis content d'avoir pu lire les réponses des spécialistes, qui me expliquent très bien pourquoi elle a tort (avec des nuances entre eux sur le dernier point d'ailleurs).
Ce que j'aimerais, moi, pour 2022, c'est qu'on puisse débattre vraiment.
On peut rêver de ce calme-là, pourquoi pas?

"mais pas dans un train, hein, on est assis tout pareil mais c'est très différent." ...on peut penser que Polopolo n'était pas dans le TER Paris-Strasbourg de 16h35 ce 2 janvier...nombre de passagers debout !


"Je refuse 2022 , on ne sait pas ce qu'elle contient , on manque de recul !"

Le risque de COVID long est le grand oublié une fois de plus. Je suis stupéfait que ces deux médecins ne le mentionnent même pas. Avec les variants précédents on a constaté un très grand nombre de personnes qui souffrent encore 6 mois après la contamination (entre 10 et 50% selon les études), principalement sous forme de fatigue chronique et difficulté respiratoire qui peuvent être extrêmement invalidantes, pour certains peut-être à vie. Il est trop tôt pour dire si Omicron va causer les mêmes dégâts mais les centaines de milliers qui s'infectent joyeusement en se disant que c'est sans danger feraient mieux d'y réfléchir.  Polony, Pujadas et tant d'autres qui cherchent à dédramatiser Omicron porteront une lourde responsabilité s'il cause autant de COVID longs. Pour l'instant, c'est toujours une prudence maximale qui s'impose.

Merci pour ce papier. Ce texte, l'intervention de Polony et la réponse des médecins sont salutaires pour plusieurs raisons.

Déjà parce qu'en France, la parole médicale est démonétisée parce qu'inaudible.

Donc que deux médecins répondent à Polony, c'est autant de pédagogie de gagnée (à voir la visibilité de ces deux-là comparé à l'audience de FI).
Mais avec cette nuance que beaucoup pourront penser que la parole Lehmann et Zureik n'a pas plus de valeur que celle d'autres "spécialistes" affirmant sur le même ton... le contraire .

Aussi parce que le contexte, rappelé par Polony, est une absence volontaire de politique de santé par Macron pour casser le modèle social français. La journaliste détonne dans son propre milieu, médiatique, en critiquant le fond de la politique sanitaire.

Pour ma part, la somme du papier d'Emmanuelle, Polony et le duo de toubibs me livrent une sorte de vérité.

C'est plus fort que moi, j'aurai toujours un doute quand des professionnels se donnent, au-delà de leur compétence propre, pour mission de communiquer dans les médias sur la pandémie : j'ai peut-être tort mais ces deux là ont l'air d'avoir clairement en tête que l'objectif (convaincre les gens de vacciner leurs enfants) est plus important que la présentation des données scientifiques dans leur complexité. De fait, certains médecins médiatiques ont honnêtement avoué lors de cette pandémie mettre parfois l'accent sur certaines infos et en occulter d'autres pour pousser à la vaccination et c'est parfaitement humain voire compréhensible, mais c'est plus honnête de le faire savoir. 


Là, je ne peux que rester sur ma faim quand ce Professeur d'épidémiologie constate que dans l'étude Sud Africaine citée 18% des hospitalisations liée à omicron concerneraient les enfants contre 4% pour le variant beta. Or, à sa lecture, nulle trace d'une affirmation selon laquelle omicron s'attaquerait plus aux jeunes. La conclusion de cette étude ne concerne que la population générale dans la province du Gauteng : avec omicron, il y a moins d'hospitalisations (4,9% des cas contre 18,9 et 13,7% dans les 2 vagues précédentes), et les hospitalisés ont, eux, 73% de chances en moins d'avoir des affections graves qu'avec le Delta, tous âges confondus. Tirer des informations qui ne sont pas dans les conclusions d'une étude paraît toujours suspect. En effet, si les auteurs n'ont pas jugé utile de tirer une telle conclusion sur les enfants, c'est peut-être qu'elle n'est pas significative... de plus, la différence entre omicron et beta étant le taux de vaccination des personnes à risques, là serait peut-être si elle existe, la cause d'une moindre représentation des vieux par rapport aux enfants dans les populations hospitalisées dans la dernière vague omicron ? Sujet toujours infiniment compliqué à traiter avec plus de prudence à mon avis. 


En tout cas moi, je ne suis toujours pas convaincu du bénéfice pour les enfants de cette vaccination contre le covid. Mais au moins cette fois, ce n'est pas un journaliste scientifique qui déclame des grandes certitudes, je salue l'effort d'ASI ;)

D'un côté une journaliste qui se situe sur le plan de la santé mentale en dénonçant le traitement politique des informations médicales qui impactent la vie sociale...

De l'autre côté des médecins focalisés sur l'épidémie qui argumentent pied à pied et qui semblent oublier que la santé est un phénomène qui concerne aussi bien le corps que l'esprit ( le mental)...

Au final, un dialogue de sourds... Rien de bon ne peut en résulter actuellement et cela n'augure rien de bon pour   la suite étant donné l'incohérence des mesures qui impactent nos vies où plus rien ne paraît exister que ce fichu virus qui ressemble de plus en plus à un trou noir.

Resaisissons nous : les réponses actuelles politiques et médicales sont avant tout technocratiques et sont si sûres d'elles-mêmes qu'elles étouffent toutes les autres aspirations à la vie en disant vouloir sauver nos vies !

ASI a eu le défaut avec "ce débat" de rentrer dans une polémique stérile ... j'en attend mieux !

« Qui a envie d'aller en réanimation et d'être intubé ?  Il vaut mieux tout simplement éviter d'en arriver là ! Cette logique est bizarre. »


mais c'est quoi cette réponse ??? N. Polony avance seulement l'idée que les chiffres des hospitalisations/réa sont plus pertinent que cette surenchère sur les chiffres de contamination... A t'elle dit qu'elle voulez que les gens se retrouvent intubé ?

Quelqu'un pourra m'expliquer le rôle du CO2 dans cette histoire. En quoi connaître le taux de CO2 dans un pièce est-il important ? Le virus a des problème de respiration ? Ou se nourrit du CO2 ?

Nous savons tous que Madame Polony a   poursuivi  ses études à la Faculté de Médecine de Rochefourcat...


( sans jamais les rattraper )

Ras le bol de ces disputes entre TRissotin(e) et DIafoirus

On a bien compris votre position sur le COVID. Pour démonter une thèse qui ne vous plaît pas , vous faites intervenir 3 personnes qui conforteront votre position, notamment C Lehmann confrère de D Schneiderman à Libération ,un peu le chouchou ici à ASI .

Des procédés dignes de certains médias que vous critiquez tant.

Il y a d'autres aussi éminents spécialistes qui pensent différemment.

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