JO d'hiver en France : "Les lobbies du ski sont très puissants"
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J'incite vivement à voter pour rendre cette émission libre d'accès et pour la faire circuler. Il est important de faire pièce à ces mercantis qui se foutent des conséquences de leur politique de prédation. Les contre-arguments aux boniments de ces ma(...)
Excellente émission. Aucun pilote dans l avion. Gabegie. déni climatique, déni de démocratie, vision promethénne. On est mal. Émission de salubrité public.
Donc le syndrome de l'ile de Pâques arrive plus vite que prévu ? comme je suis surpris !
. Ce que propose Wauquiez avec ses zemmouriens ses lobbyistes, ses paumés anxieux du court terme, ça porte un nom: écocide. Et tout ça comme les jeux Olympiques d(...)
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Le slogan de WeSnow : "la neige à énergie positive"
Encore heureux ! On était à deux doigts de la neige quantique. ;o)
Un grand merci pour cette remise des pendules à l'heure.
Mais où sont les neiges d'antan ?
Avoir vingt ans à Grenoble en 1968, ça vous tournait la tête.
Pour être né là dedans, y avoir poussé et vieilli, je ne suis peut-être pas bien placé pour émettre un avis impartial.
Mais le voila quand même, mon avis.
L'industrie des sports d'hiver est concomitante à ce que l'on appelle les trente glorieuses, débordant un peu avant (les années trente) et plus après, puisqu'aujourd'hui encore et malgré l'évidence, les grandes stations se livrent à une fuite en avant effrénée.
J'écris l'industrie des sports d'hiver, parce que c'est devenu une industrie, avec ses sites de production (les "stations"), ses marchés amont, aval et connexes (les remontées mécaniques, l’immobilier en stations, le matériel de ski, les vêtements, l'acheminement vers les stations). J'en oublie sûrement dans la liste, merci de compléter.
Et dans un contexte dominé par la recherche du profit à court terme, cette industrie est en train de subir ce qu'avant elle l'industrie du charbon puis de l'acier ont subi au beau pays de France : L'épuisement de la matière première et la concurrence mondiale.
La vallée de la Romanche, celle de la Maurienne aujourd'hui, c'est comme la vallée de la Fensch ou les mines du Nord Pas de Calais. il y a vingt ou trente ans.
C'est comme ? Non, c'est pas tout à fait comme.
Parce que l'industrie des sports d'hiver est devenue une industrie du luxe. Les clients de l'industrie des sports d'hiver sont riches. Ils ne connaissent pas les frontières ni les plafonds de carte bleue.
Alors, malgré l'évidence, les quelques happy few abrutis qui décident du sort des régions de montagne ont décidé que l'on allait faire comme si, juste parce qu'ils oublient que ces riches qui leur laissent quelques dollars avant d'aller voir ailleurs vont sûrement aller voir ailleurs.
Et c'est tant mieux.
Ce que je retiens, c'est la fin. Quid des quelques 150 ou plus (c'est le chiffre approximatif que j'ai retenu de mémoire), donc quid de ces 150 friches? Qui va se charger de les ramener à leur état naturel? Et qui va payer? Logiquement ça devrait être ceux qui s'en sont mis plein les poches, ou bien qui ont imaginé un projet pas valable en croyant à la poule aux oeufs d'or? Je pose la question, mais en réalité je connais la réponse: soit ça restera en l'état, bonjour la beauté de la montagne!, soit ça sera les contribuables qui paieront....dont 85% n'ont pas les moyens d'aller faire du ski... Encore une fois les pauvres paieront pour les riches.
Je mets de coté les aspects JO.
Émission intéressante mais beaucoup de choses dites sont des raccourcies ou des simplifications de la réalité. Par exemple non la neige de culture (et non artificielle!) n'est pas majoritaire en France, contrairement à l'Italie ou l'Autriche. Nous sommes autour 30% (en surface d'exploitation) et c'est essentiellement à moyenne altitude et en avant saison qu'elle est utilisée.
Par ailleurs, il ne faut pas confondre la vision véhiculée par les médias, essentiellement parisiens et la réalité. Oui, les grosses stations sont des machines à sous, oui les petites stations de basse et moyenne altitude vont devoir soit disparaître, soit trouver un autre modèle (et la question est posée, un autre modèle n'est peut-être pas souhaitable). Mais le ski ne se résume pas aux personnes qui viennent pratiquer une semaine par an...Un ski d'altitude, un ski de rando existent et sont eux moins menacés que le ski de station (ils le sont, mais dans une bien moindre mesure). J'invite les lecteurs.rices à lire les quelques références ci-dessous:
https://www.montagnes-magazine.com/actus-samuel-morin-les-enjeux-adaptation-changement-climatique-montagne-fortement-transverses
https://www.montagnes-magazine.com/actus-avenir-stations-ski
Ces deux articles de vulgarisations émanent de travaux du National de Recherches Météorologiques (CNRM) qui est une unité mixte de recherche de Météo-France et du CNRS.
Un lien ami a fait un bilan carbone du ski en France. Résultat ´ c’est l’acheminement des skieurs qui est le plus principal générateur de gaz à effet de serre. Donc s’ils voyageaient tous en train, ce serait un moindre mal. Car le ski d’hiver c’est mal. On est d’accord.
Une émission très intéressante . On voit que le ski a généré de très importants revenus et emplois. Il va être difficile d'assurer la transition , même si vos invités fournissent quelques pistes de réflexion .
Corruption à tous les niveaux, partout, tout le temps. Il faut demander la fin définitive des jeux olympiques. Ces trucs ruineux ne servent à rien, encouragent le dopage dans le sport amateur et le nationalisme. A dégager !
Modeste proposition : Le ski à roulettes peut, lui, se pratiquer en l'absence d'enneigement ce qui ouvre pas mal de pistes en moyenne montagne !
Merci pour cette superbe émission !
Emission salutaire notamment pour noter la place démesurée accordée au ski dans les médias.
Sinon, concernant les JO d'été comme d'hiver, le CIO a de plus en plus de mal à trouver des candidats. Je n'étais pas au courant des projets de référendum en Suisse et Suède (merci ASI !). Mais, il me semble que les pays sont en position de force plutôt que l'inverse... Par exemple, la France pourrait ne pas exonérer d'impôts l'organisation des jeux (de même pour l'UEFA ou la FIFA quand l'euro ou la coupe du monde foot sont organisés en France). Surtout que ces jeux ont un coût direct sur les finances publiques pas couvert par l'organisation (songez par exemple, au surcoût sûrement faramineux pour assurer la sécurité des JO de Paris qui n'est bien sûr pas prévu dans le budget des JO).
Mais, bon, tant qu'il y a des ravis de la crèche, genre Laurent Wauquiez ou Renaud Muselier pour faire n'importe quoi pour attirer les JO....
En tout cas, le fait que des candidatures aussi engageantes pour le pays ne soient pas débattues démocratiquement est un scandale.
Quant aux investissements promis dans les transports par exemple, soit ces investissements sont utiles hors JO et on ne devrait pas avoir besoin des JO pour les "vendre" aux citoyens (cela prouve que la politique est tombée bien bas) soit ils ne sont pas utiles et on ne devrait pas faire un investissement énorme pour... 2 semaines.
Par exemple, améliorer les transports en région parisienne, ce sont des investissements utiles. On ne devrait pas avoir besoin des JO pour cela.
Pour les JO d'hiver, là, par contre, on va investir pour conforter un modèle voué à l'échec. Ce n'est pas ce qu'on appelle un investissement d'avenir.
c'est fou malgré le réchauffement climatique qui nuit très grandement à l'activé du ski il y a une fuit een avant vers toujours plus de capitalisme.
Super émission, en plus j'ai vraiment l'impression qu'il y avait un vide à comblé que le sujet du ski sport de riche.
Ce que je ne comprends pas dans l'histoire, c'est à quel moment les habitants n'ont pas la main?
Si les communes des stations ont par exemple 2000 habitants, 6000 lits d'hébergement, 10% de résidences principales, 85% résidences secondaires. Pourquoi donc elles n'ont pas eu la possibilité de maitriser l'urbanisation, en prenant en compte les habitants qui votent pour eux, et les saisonniers qui ne sont pas en vacances? Les habitants (en vrai 1/3 max est là depuis au moins 20 ans) ne peuvent plus se loger? et la mairie n'est pas assez puissante? Ce n'est pas que la faute que des lobby du ski.
(Un cas que j'ai vu, un peu sans trop creuser j'avoue, où l'état s'en mêle, pour favoriser la fuite en avant vers + , peut-être pour mieux, on sait pas, mais en tout cas il y a eu du béton de coulé en masse. : la cour des comptes qui tombe sur une petite commune de station qui garde un maire, et n'en ferait vraiment pas assez, avec ses 100 habitants, pour gérer mieux la délégation de service public de la société des remontées mécaniques... alors que d'autres délèguent leurs mairies à la station qui est contente. Les années qui suivent, paf on change la société des remontées, paf du béton.)
Et même, ce n'est pas que la faute des lobby du ski qui viendraient d'ailleurs, du monde économique, semer leur gangrène.
Une grande partie des montagnards ont toujours été volontaires pour plus d'équipements. Ils en sont fiers. Les ascensions, ça les bottent.
vous savez qu'on peut choisir de voter dans la commune où on n'a qu'une résidence secondaire ?
Non je ne savais pas.
J'ai donc regardé la différence d'inscrits entre les présidentielles et les municipales, toujours sur un seul lieu pris au pif.. Et ça n'explique pas.
Que les choix d'aménagement des montagnes et des sites vivant du tourisme se fassent au détriment des populations (Paris inclus) ne se résoudra pas par l'opposition touristes agresseurs/ résidents à l'année victimes.
Parce que le conflit des choix est déjà là, localement, entre habitants des montagnes.
Je ne cherche pas à accuser personne, loin de moi l'idée, je cherche le truc pourri dans le royaume qui fait que tout fonctionne de travers.
Le touriste-roi marche de concert avec le local qui s'enrichit sur son dos. Les opposer est vain.
Aux municipales ceux qui parle de "toujours plus" raflent les sièges, "entreprendre mais avec plus d'humanité" est envoyé paître.
Et aux présidentielles, face aux sommets, petites fleurs, crânes de moutons, bout de bâtons de ski cassés, et autres marmottes de téléphériques, le tout jonchant l'herbe qui clame enfin "j'existe" vers mai/ juin, il semble que la préoccupation majeure des presque 2000 votants est l'immigration, l'ordre totalitaire, bien plus que l'environnement.
Si il n'y avait autre chose qui cloche, le lobbie du ski n'aurait pas gain de cause.
bien sûr, c'est un faisceau de facteurs.
Parmi les "natifs" il y a des propriétaires terriens et immobiliers ravis de voir les prix exploser, il y a des entrepreneurs btp, des professionnels du tourisme et des commerçants "de saison", il y a des saisonniers logés sur place de longue date et propriétaires, qui n'ont pas besoin de camper, etc.
Il y a aussi la compète débile entre commune skiables et communes sans, les premières toujours contentes de rafler des tas de subventions, les élus qui se vantent de choper un maximum d'argent public pour les routes (celles qui amènent les touristes aux stations, toujours plus belles et mieux entretenues que celles qui mènent aux petits villages de péquenots) et pour toutes sorte "d'aménagements", il y a toute la bureaucratie qui se nourrit du tourisme, de "l'image" enneigée de nos belles montagnes, des "événements" sportifs, des études d'aménagement...
il y a des élus et des décideurs parfois un brin limités de la comprenette, qui ne se demande jamais si c'est forcément rentable (pour ne parler que d'économie) d'attirer toujours plus de touristes et d'augmenter la "désirabilité" et "l'attractivité" de leurs "territoires" (de leur petite féodalité...)
Il y a l'illusion fortement répandue que "hors le tourisme pas d'emploi"...
Car l'emploi est, il me semble, bien plus que l'immigration, est la préoccupation majeure.
Merci de vos explications. Vous êtes sur le terrain plus que moi!
Oui bien sûr sur que l'emploi est vital. Je cherchais à comprendre pourquoi des personnes votent au premier tour Zemmour ou MLP, dont l'emploi n'est pas le cheval de bataille, à 1600m d'altitude et assez loin des itinéraires alpins de migration et des émeutes de quartier, et c'était donc une explication ironique.
ah, là, il y a peut-être des motifs plus profonds, moins directs, moins conscients.
Une de mes hypothèses (j'ai ressenti ça un jour en arrivant dans les immenses parkings devant l'embarcadère pour Porquerolles) l'hypothèse, donc, c'est que les gens qui vivent dans des régions envahies par le tourisme, par les "aménagements" touristiques comme par les touristes eux-mêmes, par la foule en saison, ses comportements et ses attentes si décalés, si différents de ceux de la vie quotidienne, et les traces et les déchets hors saison, les gens qui sont envahis, qui ne se sentent plus chez eux, ces gens là qui n'osent pas dire, pas penser que le tourisme leur pourrit la vie (parce qu'ils en vivent et croient qu'il ne saurait en être autrement), ces gens lorsqu'ils entendent quelqu'un parler de "grand remplacement", ça leur cause. Ça dit une vérité d'eux, de ce qu'ils ressentent, et peu importe alors qu'il s'agisse des migrants ou des skieurs...
l'an dernier une corse qui venait de passer trois heures à faire quelques dizaines de kilomètres au cap corse pour rentrer chez elle me dit "on doit pas dire ça mais quand même, tous ces touristes !" on doit pas dire ça...
Au passage, je sais pas comment les briançonnais ont voté zemmour, mais beaucoup d'entre eux ont fait des maraudes pour accueillir les réfugiés qui passent par le col de l'échelle, et les ont hébergés, soignés, nourris, accompagnés dans le parcours du combattant administratif...
Les motifs plus profonds, inconscients, c'est que les télés font le taf : leur seriner à longueur d'antenne que les coupables sont les immigrés, les assistés, les chômeurs, les plus pauvres qu'eux, et effectivement les touristes en dehors dequels on leur fait croire point de salut.
Et aussi depuis trente ans, je vois ça dans nos coins de campagne déserts (et déshérités de tout, surtout services publics), ceux qui achètent les maisons trois fois le prix - des anglais, ou des parisiens pour résidence secondaire - les locaux les villipendent, mais certains étaient bien contents de prendre leur pognon ...avant de se rendre compte que leurs gosses ne peuvent plus se loger à force d'avoir explosé les prix...
Je ne suis pas sûre qu'il n'y ait partout qu'un seul et même motif au vote d'extrême droite.
Et parfois, les locaux qui restent c'est justement ceux qui n'ont pas pris le pognon, qui ont tenté de rester paysans, commerçants, artisans, etc., sans vendre leur baraque et leurs terrains (après avoir noyauté la mairie pour qu'ils passent en constructible...)
bon bref, c'est le merdier.
pour revenir à Briançon, c'est Mélenchon qui arrive en tête au premier tour, et si macron passe de 25 à 60% entre les deux tours, je pense que beaucoup sont des votes contre lapen.
Dans les villages c'est très variable, mais c'est pas les plus déserts/deshérités/bouts-du-monde qui votent le plus à l'extrême droite ou à droite, c'est surtout les "villages-stations". (je parle là juste des hautes alpes, que je connais un peu. En savoie, en plus du tourisme y a les frontaliers...)
"J'ai donc regardé la différence d'inscrits entre les présidentielles et les municipales"
Ce qui ne sert à rien, car personne ne change son lieu d'inscription entre chaque élection. En conséquence, certains résidents secondaires votent aussi à la présidentielle. Parmi eux, on trouve des propriétaires terriens et immobiliers qui, fortune faite, sont partis vivre sous d'autres cieux.
Plus généralement, vous noterez que, bien que les riverains aient le plus à en subir les nuisances actuelles et probablement à venir, il est rare de trouver des municipalités opposées au nucléaire aux environs immédiats des centrales. Les retombées sont si énormes que ce serait Don Quichottesque.
Oui! Je ne sais pas ce que j'ai cru. J'ai fini par trouver l'info.
Ça ne devrait pas exister,
- pour des raisons récentes: ça favorise l'abstention, ça créé des déplacements inutiles
- et pour des raisons de toujours de respect de l'égalité des citoyens, puisque des habitants éphémères ayant le même poids local que des habitants permanents, c'est inégalitaire.
Le vote par procuration a été grandement facilité (sous Sarko ?).
il ne s'agit pas d'opposer les touristes et les habitants, mais le tourisme et le "habiter" un pays. le tourisme, aux doses actuelles, est une calamité.
C'était mon ressenti en regardant l'émission, l'impression que le tourisme est une calamité tombée du ciel dont sont victimes les habitants à l'année. C'est exagéré comme ressenti sans doute et je voulais juste dire que beaucoup s'est construit avec les habitants du pays.
Mais votre commentaire ci-dessus montre qu'on en est au stade où ça vous tombe dessus sans que vous n'en puissiez mais.
À Paris, ou partout c'est le cas. Et plus on fait mine de consulter, moins on se préoccupe des gens, de l'usage. J'ai constaté le cas il n'y a pas longtemps, rénovation d'une grande place dans un bourg un peu stylé, réduction de la partie voiture à sens unique, ok, petits pavés anti roller, ok, pas de banc, ok. Et pas de place pour se croiser face à face entre piétons grâce à d'ingénieux parterres (+ de couvre-sol écorces pilées que de plantes). Une chicane pour piétons! Ils craignent qu'on marche en excès de vitesse? On peut disparaitre, nous les gens, si on dérange sur l'image...
je vais rarement à paris, mais les dernières fois j'ai été effarée de le voir transformé en immense parc à touristes.
Dans quelle sens ?
J'ai l'impression que la politique de la ville va dans le bon sens en augmentant les espaces piétons et cyclistes.
L'enfer de Paris c'est plus le logement avec airbnb qui fait exploser les prix.
Et les permis de construire ? Combien d’immeubles construits sans permis ou en violation du permis ? Dans des couloirs d’avalanche par exemple ? Il n’y a pas de neige sur les pistes mais il risque d’y en avoir dans les chambres. Bonjour la sécurité des JO dans de telles conditions.
On apprend plein de choses (horribles, mais merci quand-même), émission votée.
J'ai halluciné devant autant d'aberration.
C'est désespérant.
Du coup - maso :( - j'ai poursuivi avec l'article de Reporterre mis en lien et attaqué les articles de février que j'avais zappés...
La série : https://reporterre.net/Le-ski-quel-avenir-face-au-defi-climatique (clic droit)
Eric Charlie Adamkiewicz @ 57min10: "Pour moi très clairement c'est ce qui s'est passé avec la suite de l'histoire de La Cluzaz"
Question:
C'est quoi cette histoire de La Cluzaz?
émission passionnante
il faudrait que tous les habitants des Alpes la voit
élue pour libre accès
Une émission à charge par les lobbies écologistes.
Excellente émission. Aucun pilote dans l avion. Gabegie. déni climatique, déni de démocratie, vision promethénne. On est mal. Émission de salubrité public.
En France, le référendum est à l'initiative du Président de la République. Le dernier en date à eu lieu, il y a 18 ans et a été dénoncé très rapidement par le Parlement convoqué en Congrès par le Président de la République.
Par ailleurs, le siège du CIO se situe à Lausanne (canton de Vaud, Suisse). J'imagine que les institutions suisses ont de quoi négocier fermement pour obtenir les JO d'hiver (si tel est l'enjeu).
Emission passionnante ! L'intervenante est au top !
Bonjour,étant près de l'Italie,un idée.
Interessante émission avec deux repenti·e·s, dommage qu'il n'y ai pas eu plus de radicalité et de propositions pour arrêter ce saccage.
Donc le syndrome de l'ile de Pâques arrive plus vite que prévu ? comme je suis surpris !
. Ce que propose Wauquiez avec ses zemmouriens ses lobbyistes, ses paumés anxieux du court terme, ça porte un nom: écocide. Et tout ça comme les jeux Olympiques de Paris en s asseyant sur la démocratie.
Allez, spécialisons nous dans les JO du zbeul toutes saisons
J'incite vivement à voter pour rendre cette émission libre d'accès et pour la faire circuler. Il est important de faire pièce à ces mercantis qui se foutent des conséquences de leur politique de prédation. Les contre-arguments aux boniments de ces marchands d'illusions méritent d'être connus.