Aux limites du système finkielkraut
Il n'allait tout de même pas laisser passer les obsèques de Johnny !
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1. Elle est préparée. les mots sont pesés. AF lit des notes. Il dit lui-même qu'il n'intervient qu'une fois par semaine pour se laisser le temps de la réflexion.
2. On connaît AF. Il dénonce Renaud Camus seulement quand celui-ci tient des propos antisémites. Avant, quand il parle de grand remplacement. Il est un de ses amis. Il est celui qui a parlé d'équipe de foot "black, black, black"....
3. Il est "philosophe" (enfin normalement), académicien. Il connaît la force des mots et sait qu'il emploie un voc d'extrême droite.
4. La petite phrase de l'émission mise en exergue par causeur est la phrase tronquée.
Pour élargir la polémique,
A chaque fois que qqn dit un truc raciste, on dit qu'il faut attendre une décision de justice pour savoir si cela est vraiment le cas. Ce qui alimente une polémique, fait parler de la personne etc... Le temps de la condamnation est tellement lointain qu'on a oublié la polémique. Il semble important aujourd'hui d'être capable de définir le racisme précisément et surtout a priori. Qu'est-ce qu'un acte raciste ? Qu'est-ce qu'un propos raciste ? Qu'est-ce qu'une politique raciste ?
Je pense qu'il serait très intéressant que ASI fasse une émission sur ce sujet. Nous parlons tout le temps de polémiques autour de ce thème mais jamais on ne revient sur les définitions ou du moins les différentes conceptions.
Je trouve plus saine la position anglo-saxonne. On est libre de tenir des propos racistes mais on est aussi libres de ne pas les diffuser ou de les combattre. Cette posture permet à la société de s'emparer du sujet, d'y réfléchir en profondeur.
Réponse à Alain.
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http://www.lefigaro.fr/musique/2017/12/09/03006-20171209ARTFIG00107-hommage-a-johnny-hallyday-notre-descente-des-champs-elysees-avec-les-bikers.php
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hells_Angels
Sur la guitare de la croix de Johnny le symbole des hells angels ?
Monsieur Finkielkraut, voilà un sujet de recherches pour vous.
Article dans Le Canard enchaîné de cette semaine: Harley privatise le biker. . Bref, ce sont eux qui ont fait la loi dans le défilé, adoubés par les pouvoirs publics.
Et ce ne sont pas des anges.
[quote=Pierre Bourdieu]Le problème que je pose en permanence est celui de savoir comment faire entrer dans le débat public cette communauté de savants qui a des choses à dire sur la question arabe, sur les banlieues, le foulard islamique... Car qui parle (dans les médias) ? Ce sont des sous-philosophes qui ont pour toute compétence de vagues lectures de vagues textes, des gens comme Alain Finkielkraut. J'appelle ça les pauvres Blancs de la culture. Ce sont des demi-savants pas très cultivés qui se font les défenseurs d'une culture qu'ils n'ont pas, pour marquer la différence d'avec ceux qui l'ont encore moins qu'eux. […] Actuellement, un des grands obstacles à la connaissance du monde social, ce sont eux. Ils participent à la construction de fantasmes sociaux qui font écran entre une société et sa propre vérité
Il faudrait surtout cesser de commenter les tirades délirantes de cette vieille crotte paranoïaque de Finkie et de cette clocharde avinée de Lévy.
Ça méritait bien l'Académie, comme Jean d'Ormesson,
Tout cette séquence grotesque se termine en fanfare et feux d'artifices de bêtise. J'espère que les Balkany iront fleurir sa tombe, à Johnny.
(J'entrevois une possibilité d'une start-up de charters à Saint-Barth sur le modèle Royal Caribbean, sexy or what, Mr. Macron ?)
Et puis il vieillit, et il retourne à son défaut initial.
Le problème, c'est qu'il y a d'autres imbéciles pour l'écouter...
Et pour la gouverne de Finkie et de DS, la prochaine fois que vous regarderez des foules à la télé, sachez qu'il y a des "non-souchiens" à la peau aussi blanche, si ce n'est plus, que les "JE SUIS JOHNNY".
Qu'il aille enfin soigner son début de parkinson et sa petite tête dans un EPHAD, et qu'on double aussi sec le salaire des malheureux qui devront se farcir ses radotages à notre place.
Quant à moi, je vais écouter Van der Graaf Generator.
Ce terme me fait penser à "sang-de-bourbe".
Phénomène de société dérivé du blues et adulé des jeunes générations, le rock and roll n'a pas encore marqué son époque; comme tel il reste instable, bruyant, outrageux et arrogant.
Finkielkraut aurait adoré. :)
[quote=DS]On est aux limites extrêmes de la pensée finkielkrautienne.
Ben déjà que le début fait pas envie...
Mort de rire :-)
M'enfin !?? Ils ne savent pas..??!!
Vraiment..?!
Ils ne savent que ça fait longtemps que Johnny est un vieux con..?
Pas coyab'!! :-D
Au premier rang les premiers de cordés me paraissaient très haut du peuple et moins blanc que les bikers (quoique eux aussi à sillonner la France prennent des couleurs) .
Encore une analyse sociologique très biaisé de nôtre ami finki la kraut et son nom à dormir dehors ..
J.H. rappelle le développement de la télé,celle de deGaulle avec une seule chaîne et aussi les années 60 sans sida et presque sans chômage. Pour mémoire on entendait J.H. à la radio (en particulier sur "salut les copains") mais on avait droit aussi à Maurice Chevalier qui nous donnait des leçons de Twist,Luis Mariano,Georges Guetary quand on ne nous ressortait pas Edith Piaf...
Comme J.H. était une partie d'un phénomène générationnel de Renaud (qui a l'âge de Finkielkraut) à Dutronc, Polnareff,Eddy Mitchell et tant d'autres on peut alimenter la nostalgie facilement. A propos dans 6 mois "68" aura 50 ans et l'armistice de 1918 aura 100 ans.
Il semble alors que la vraie question qui hante Alain Finkielkraut, à l’occasion des décès quasiment concomitants et des obsèques non moins concomitantes de Johnny et de Jean d’Ormesson, soit de savoir combien de personnes éplorées (souchiennes et non-souchiennes) il sera possible de croiser à l’enterrement d’Alain Finkielkraut ?
Il n’est malheureusement pas aisé de tenter de répondre à cette question. Il sera plus abordable de s'attaquer à cette autre question bien plus existentielle : pourquoi les humains sont-ils mortels ?
Imaginez donc un seul instant qu’ils fussent immortels. Quelle horreur, mais allo quoi ! Il y a réellement de quoi vous réconcilier avec l’idée de la mort au bout du parcours….
( sur présentation de la carte d'auditeur de Radio-J ) ?
Raciste les propos je sais pas mais le personnage je me suis fait mon idée.
On va pas rentrer la dedans les accusations de racisme sont contreproductives elles détourne l'attention sur des questions annexes.
Ce qui me débecte m'horripile me rend nerveux d'année en année c'est notre système médiatique et ça façon d'accepter ou non des point de vue qui divisent !!!
Un système inique qui fait le tri entre la dangereuse pensée décoloniale la plus radicale du type indigène de la République et la respectable pensée néo coloniale de Finkielkraut et ses semblables.
Toute personne qui aura le moindre débat avec le PIR sera frappé d'indignité à vie et pourra même être vu comme complice des attentats .
Toute personne qui dialoguera avec la pensée finkienne pourra continuer à évoluer dans le champ culturel et médiatique sans être l'objet d'aucune censure c'est même le contraire.
Le thème du deux poids deux mesure est un impensé de Daniel Schneiderman et du site arrêt sur image qui se revendique de l'analyse critique des médias.
Si bien qu'on ne peut même pas identifier les critères de ce traitement différencié afin éventuellement de réclamer un peu de justice et d'équité.
Pourquoi ce tabou?
Quant à Johnny Halliday, tout a été dit et son contraire et on regrette finalement que d'autres sujets n'aient pas les mêmes faveurs.
Où est le Finkielkraut d'autrefois, comment se fait-il que la macération dans son propre jus l'ai aigri à ce point, lui qui donnait des ailes aux pensées
Et puis il y a cette phrase énigmatique (peut-être un commentateur pourra m'aider) : "Le divertissement, autrement dit, prend presque toute la place, mais il ne fait plus lien. Il ne remplit plus la fonction sociale que lui reconnaissait Proust"
Il est sûr qu'à Cabourg ou dans les beaux quartiers huppés qui servirent de salon à Marcel, le divertissement était plus choisi bien que Marcel comme Toulouse-Lautrec ne rechigna pas à se fondre avec le divertissement populaire mais ce n'est certainement pas de ces divagations passagères dont parlait Proust. De quel lien social Marcel parlait-il donc ?
Il est vrai aussi qu'à l'époque les non-souchiens étaient constitués de sauvages comme les Bretons et autres tribus qui commençaient à massacrer la langue Française qu'ils apprenaient de force
En tous les cas Fielkie est désormais un immortel, et être con pour l'éternité ce doit être dur à la longue.
--
euh si complétement, ses élucubrations qui n'ont ni queue ni tête avaient même pour unique but de taper sur les musulmans. ça ne l'empêche pas d'être aussi ultra-réac, misogyne, anti-jeunes, de mépriser les "petites gens" et d'amalgamer dans un grand tout la "sous-culture" rock (rap ou jazz tant qu'on y est) qu'il imagine homogène parce qu'il n'as jamais eu l'intention de s'y intéresser. on se demande d'ailleurs ce qui l’intéresse dans la vie à part cracher sur l'islam et les musulmans. c'est mon voisin du dessous facho avec son berger-allemand qui vous guette depuis son oeilleton et qui gromelle que "c'est la faute aux arabes si c'est sale ici" quand vous le croisez dans l'escalier (et que vous l'évitez soigneusement parce qu'il est aussi à quatre grammes). sauf qu'il se trouve une tripotée d'imbéciles pour lui tendre un micro, une émission, et une place dans une maison de retraite cinq étoiles ("l'Académie Française").
Parce que de plus en plus, la pensée (sic) d'A. Finkelkraut m'apparaît comme un entassement de nostalgies cimentées par la peur et les pulsions haineuses.
De là à en faire un système...
Finky pourrait avantageusement s'inscrire à un stage de "savoir être" à Pôle Emploi !
Il atteint enfin la réduction suprême, s'auto-détruisant en disparaissant. Le phagocytage graal!
Du grand art.
Pschitttt! Y'a plus.
Philosophe d'échoppe, de comptoir.
Au fait, c'est quoi un souchien ?
Denis Laferrière, François Cheng, Amin Maalouf sont-ils des souchiens ?
Je ne suis pas certain qu'il faille réagir à toutes les provocations de ce type, et de ses équivalent.e.s.
Mais, si vous le faites, encore moins pour dire "Raciste, sur ce coup-là, non."
parce que rien que la phrase "Les non-souchiens brillaient par leur absence", ça ne vous suffit pas ?
Disons que "non-souchiens" = "non blancs". Cette phrase fait donc le reproche à des gens non-blancs de n'avoir pas été présents quelque part.
Autrement dit, cette phrase regrette que la vie des non-blancs ne soit pas régie par les blancs : que ces derniers ne puissent pas décider où les autres doivent être et à quelle heure.
Pourtant, il y avait des blancs parmi les absents à l'événement où il fallait être, mais aucun reproche ne leur est formulé, à eux.
Bref, il s'agit d'une discrimination caractérisée faite dans le reproche adressé à des gens - en fonction de leurs origines - de ne pas avoir été à tel endroit à tel moment.
[large]
"Jazz Is the Teacher (Funk the "Preacher)"[/large] James Blood Ulmer.
https://www.youtube.com/watch?v=f5vpJ9AURck
Je ne sais pas ce qu'a voulu dire Finkielkraut, mais que le rock soit essentiellement blanc n'est pas propre à Johnny, ni à la France....
Comment exister, comment briller alors que D'Ormesson et Johnny sont partis.
Il redoute surtout qu'une idole comme Sheila meure un jour après lui et lui vole son dernier jour de gloire.
Putain, il manque de pot. En plus il est à L'Académie Française et va travailler sur l'inclusif petit blanc non souchien, non genrée, non musicien.ne....
L'impossible quadrature.
Aucun malheur dans tout cela, juste, la transformation ou l’evolution de la société au fil des générations et des ruptures qu’elles provoquent dans le cours du temps.
Bref, c’est toujours faire société...
NTM est ringard auprès de la jeunesse populaire depuis le début des années 2000 au moins.
C'est pas beaucoup plus exotique que bon nombre de soit-disant français de souche, et surement pas plus que Finkie et ses parents polonais.
Issus pour la plupart de milieux populaires, et très populaires dans ces mêmes milieux ; mais très rarement à la TV où ils ne sont diffusés qu'exceptionnellement, au contraire de Johnny, simulacre de rockeur déjà has been à 25 ans, qui est un pur produit du marketing télévisuel et de l'industrie culturelle la plus putassière.
Vous voulez un moyen rapide de démasquer un.e futur.e vieux.ille con.ne de 35 ans ?
Une personne affirmant qu'elle aime le rap, mais celui de NTM et d'IAM uniquement, "parce qu'il y a rap et rap, celui d'avant qu'avait des choses à dire et celui de maintenant qu'est analphabète", a environ 95% de chances d'être un.e futur.e vieux.ille con.ne (selon une étude américaine).
simulacre de rockeur déjà has been à 25 ans
tellement has been qu'à cet âge là, il choisit Jimi Hendrix pour sa première partie
Est-ce que j'ai dit qu'ils étaient potes ?
Je rappelle simplement qu'en 1966, Johnny Hallyday choisit Jimi Hendrix pour faire sa première partie. Et qu'à cette époque, ce choix n'avait rien d'évident, rien de has been, mais au contraire, tout de l'avant-garde.
Par ailleurs, en 66, on ne peut pas dire qu'Hendrix était un inconnu dans le milieu du rock n' roll. Et on a vu peu après, cf. l'épisode Antoine, comment Johnny pouvait réagir à la "nouveauté".
Hallyday c'était une belle tête avec rien dedans, le poulain idéal de l'industrie musicale, celui dont la consistance est si molle qu'il est capable d'interpréter avec "sincérité" n'importe quelle bouse conçue par un concessionnaire culturel un peu malin.
En admettant qu'on puisse placer les musiques populaires sur un continuum allant de la production autonome innovante à la fabrique des tubes par des producteurs suivistes, Hallyday serait tout, tout à droite, proche de l'idéal-type d'une industrie culturelle qui méprise ses "clients" au prétexte de les séduire.
On vous comprend. :-)
l'air du temps
Il a bonne mine votre air du temps: Hendrix à l'Olympia en première partie de Johnny, c'est juste le premier enregistrement connu de Jimi Hendrix Experience. Sur l'échelle de la connerie, vous êtes entre l'ado rebelle à deux balles et la petite bite qui compense avec sa grosse voiture: vous ranger de toutes vos forces aux côtés de l'intelligentsia gauche-caviar en injuriant Johnny Hallyday ne rendra pas vos goûts plus sûrs.
En tout cas votre prose démontre qu'une écoute excessive du blond à la grosse bécane peut conduire à envisager toute discussion comme un concours de bite.
Vroum vroum.
L'assimilation de l'industrie musicale à la musique populaire, donc de toute critique des dégueulis de cette industrie à du mépris pour la culture populaire, est insupportable.
Il y a, en revanche, beaucoup de mépris dans l'attitude consistant à épargner Johnny sous prétexte que les classes populaires l'aiment (et dans quelle proportion, ça reste à prouver), comme si celles-ci n'étaient bonne qu'à aimer de la merde mystifiante et stéréotypée ; comme s'il n'y avait pas des pans de la culture populaire qui seraient novateurs, authentiques, produits de manière autonomes, ou du moins un peu moins aliénés.
J'adore écouter des merdes qui caressent les oreilles dans le sens du poil (c'est fait pour), mais je suis prêt à admettre de ces artistes sont des mystifications/teurs dans me sentir agressé dans mon petit ego.
D'ailleurs vous vous lancez seul dans de crasses injures, et quand on joue à votre jeu, vous levez votre petit pouce boudiné pour me donner du "votre prose". Retournez jouer avec votre pelle et votre seau, et votre intime conviction que tirer sur une ambulance fait de vous un homme.
Je vous repose la question: quelles sont vos motivations ? D'ici, ça ressemble à une petite bite zemourienne qui s'achète à peu de frais la panoplie du justicier impartial. C'est misérable, mais ma foi pour le coup, ça, c'est bien dans l'air du temps.
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Enfin les rappeurs sont sans doute en tête par défaut car le public qui n'écoute pas du rap est divisé entre un très grand nombre de chapelles musicales isolées, on ne va pas voir des fans de death metal écouter de l'electro pop ni des fans de rock psyché écouter du punk, ou de tekno de la chanson à textes ; et qu'il y a moins de facteur bouche à oreille local pour plébisciter les artistes de ces genres dont le public est bien plus dispersé.
De plus se baser sur les artistes français contemporains me semble inadapté à déterminer l'attrait de certains styles, dont l'intérêt n'est pas les paroles ou où elles sont rarement en français, ou encore de musiques comme le reggae ou le rock psychédélique dont les fans sont surtout dans le culte d'artistes étrangers d'une petite période terminée depuis des décennies, mais que ça n’empêche pas d'être très populaires dans la jeunesse (je dirais à vue de nez que le reggae est sans doute la musique la plus populaire, dans cette génération comme les précédentes, parce que c'est celle qui sera le plus généralement appréciée, au moins à l'occasion, par des gens de toutes les tribus entre deux morceaux de leur style favori).
Enfin le rap dans les coins ruraux comme le mien (bon les Landes aussi, un pays de "souchiens" comme dirait l'autre) me semble plutôt vu comme de la musique de parisiens et de vieux par la génération actuelle (sauf quelques groupes anglophones et qui se classent plutôt dans le hip hop alternatif avec éléments electro que le rap pur, comme Die Antwoord ou Jack Ü), les jeunes (y compris ceux des hlm) me semblant plutôt se diviser entre fans d'electro, de metal et de reggae/ragga/dub. C'est plus chez les 40 ans et plus que le rap français est encore à la mode par ici, la spécificité de la dernière génération me semblant surtout consister en un retour du metal bien hardcore genre Gojira (au détriment de toute musique à textes qu'il s'agisse de rock genre Noir Désir ou de rap), et une plus grande popularité de toutes sortes de mélanges électro (-punk/-pop/-rap) qui étaient plus vus comme de la musique de bourges il y a 20 ans (au détriment à la fois de la tekno pure et de toute musique non électro).
Autrement, si ce que dit Finkie est vrai, on nous aurait menti samedi? Toute la France ne se serait pas rassemblée dans un grand élan d'hommage unanime? Merdalor, on ne peut donc pas croire BFN, LCI, Fr2, TF1, ... et tous ces médias à pastille verte avec plein de vrais journalistes dedans?
Ca ne me semble pourtant pas bien compliqué: artiste apparu dans les années 60, figure d'une culture populaire trouvant son public dans les classes ouvrières la plupart du temps. Qui composait la classe ouvrière à cette époque? Des petits ''souchiens" , enfin non, des italiens des polonais des espagnols, des français...
C'est un effet mécanique, tout simplement.
Le classe ''populaire'' francaise change en fonction des flux de migrations. La musique populaire évolue en fonction des gens qui la compose.
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Quant au peuple de "petits blancs" (terme qui d'ailleurs renvoie à l'époque coloniale), ce sont surtout des vieux pas trop dans le besoin qui ont rendu hommage à "l'idole des jeunes".
Peut-être, mais connard , oui!