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Tribunes sur le Covid : cacophonie des scientifiques

Quel bazar ! Avant ou après les dernières annonces gouvernementales, médecins et universitaires ont rivalisé de tribunes... qui se contredisent, entre critique d'une politique jugée anxiogène et avertissements sévères aux Français. On les a lues pour vous.

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Sur France culture, il y a quelques années déjà : De l'imposture en science dans l'émission La Marche des sciences par Aurélie Luneau  :


De tout temps, si les avancées scientifiques ont généralement participé au progrès de la civilisation en marche, elles se sont aussi conjuguées avec des fraudes, des impostures, des canulars et autres dérives de la nature humaine. Des situations qui, tout au long de notre histoire, ont pu jeter le trouble dans l'opinion publique et perturber notre rapport à la science. Des manipulations de résultats scientifiques aux extraterrestres, du tout génétique au clonage humain, en passant par la théorie des races, l'affaire de l'homme de Piltdown en 1912, celle du professeur Hwang, célèbre chercheur de Séoul et fraudeur professionnel du clonage humain en 2006 ; le catalogue des tromperies, volontaires ou maladroites, a de quoi alimenter le débat. Aussi, à l'occasion de la parution récente du livre de la physicienne Aleksandra Kroh, « Petit traité de l'imposture scientifique », paru chez Belin science, et en compagnie du biologiste moléculaire et généticien Bertrand Jordan, également directeur de recherche au CNRS, auteur notamment du livre « Les imposteurs de la génétique », publié au Seuil, nous allons nous interroger sur les mécanismes qui ont généré et favorisé ces impostures. Quels facteurs ont régulièrement précipité le monde scientifique dans ces situations de fragilité et de vulnérabilité ? Comment fonctionne cette machinerie subtile ? Et en seconde partie d'émission, vers 14h48, Pierre Lamarque, ethnologue et directeur artistique du festival Jean Rouch sera avec nous pour nous en dire plus sur la programmation de cette 29è édition du festival du film ethnographique. Un événement qui a lieu à l'auditorium du Muséum national d'Histoire Naturelle de Paris, du samedi 27 mars au lundi 5 avril, avec des récits de vie magnifiques, dans la veine de Jean Rouch !


Ecouter aussi actuellement :


Radiographies du coronavirus, la chronique Par Nicolas Martin                                        

Du lundi au vendredi à 8h55

A la fois instructif mais quelle conclusion pathétique alors que c'est le problème...Les cas augmentent...Mais les cas de quoi?? Y'a des putains d'indicateurs pour évaluer la nature et la prévalence d'une maladie c'est le nombre de malades et de morts vous êtes pas foutus de faire une règle de trois, il y a 0.17% de morts dans les Pyrénées orientales liés au covid depuis février ! Il y a 5 personnes en réanimation toujours dans ce département soit 30 % de l'effectif global des lits de réanimation et on va passer en rouge écarlate et on a été confiné 2 mois ! Vous ne voyez donc pas que c'est structurellement les 71 000 lits hospitaliers détruits depuis 2007 qui est la base du problème !


Il vous manque une tribune importante me semble -t-il datant de la même période :


Message d’alerte international de professionnels de santé aux gouvernements et aux citoyens du monde
Publié le 11/09/2020 sur France Soir


http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-politique-monde/message-dalerte-international-de-professionnels-de-sante-aux?fbclid=IwAR26mcB-nxG7EKmX0otPI6pKWhXkVDv1rd04qj97tj7RFwwUr32t-9-W_kU

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Excusez moi de vous demander pardon, les humains, mais puis-je vous aider en quelque manière ?

Il faut faire attention à ne pas réduire la communauté scientifique aux membres qui s'expriment dans la presse généraliste. Il y a là un cas classique de biais de sélection, les personnalités médiatiques n'étant pas forcément les plus brillants scientifiques (mais souvent les plus financées)...

Le job des scientifiques est de communiquer via des articles scientifiques, dans des revues scientifiques. Certes avec son lot d'études de qualité diverse, mais l'accumulation des études permet souvent de finir par trancher pour ou contre telle hypothèse.


S'il existe beaucoup d'études de qualité discutables, c'est lié à plusieurs mécanismes, principalement (à mon sens) la pression et l'évaluation quantitative de la production scientifique d'un chercheur (publish or perish). Mais il ne faut pas négliger le financement lié aux publications scientifiques (les publis rapportent des financements aux établissements de santé : https://www.ifct.fr/index.php/en/la-recherche/item/2065-sigaps-pour-quoi-faire-et-pour-qui) qui fait que publier des bouses en quantité peut permettre de rapporter gros au final - c'est d'ailleurs le fond de commerce de l'IHU de Raoult, entre autres, et pour des sommes (deniers publiques) de plusieurs ordres de grandeur supérieures aux conflits d'intérêt qu'on reproche, à titre d'exemple, au SPILF (conflits d'intérêt qu'on a raison de questionner).

Et si on nous laissait décider tout seuls comme des grands, puisque de toute façon, il y a "cacophonie", tant chez les scientifiques que chez les politiques : ceux qui craignent le virus se confinent, ne sortent que si c'est absolument nécessaire et en évitant les rues et lieux bondés ainsi que les heures de pointe, se masquent, s'hydroalcoolisent les mains et tout ce qu'ils veulent, se font livrer à domicile, privilégient les livres, les disques, l'internet et (éventuellement) la télé pour se distraire et se cultiver. 


Et les autres, vivent leur vie.


Tout cela dans la joie, la bonne humeur et la fraternité. À quoi bon prendre la vie au sérieux puisque de toute façon nous n'en sortirons pas vivants (A. Allais)

"Pendant ce temps, les cas augmentent, exponentiellement".


Mais des cas de quoi ? Que penser de tous ces porteurs sains de virus ?


Une épidémie c'est une augmentation significative du nombre de malades et de morts. Depuis deux ou trois mois les statistiques officielles donnent une moyenne de 20 décès par jour pour le covid.


Pour une mise en perspective : c'est 3 fois moins que les décès sur la route, 10 fois moins que les suicides, 30 fois moins que les morts par AVC, 40 fois moins que les décès dus à l'alcool ou à à la pollution...

J'avoue m'être désintéressé de cette question en raison justement de cette cacophonie générale. Je ne suis pas scientifique : je suis donc non équipé pour lire et surtout comprendre les revues scientifiques. Je ne suis pas politicien : je n'ai aucun intérêt direct ou indirect à recommander ceci ou cela.


Par contre.


Je suis un piéton parisien qui constate avec surprise (et satisfaction) que le port du masque en extérieur, pour inconfortable qu'il soit, m'a "guéri" des mes allergies au pollens ! :)

J'ai certes les lunettes un peu embuées mais je ne pleure plus et n'éternue plus. J'envisage donc de le conserver au-delà de l'épidémie. Sûrement que d'ici-là, il existera des modèles plus ergonomiques.

Au fait, il n'y a pas de cacophonie dans les journaux scientifiques. Les connaissances sur la maladie progressent, on traite mieux les malades, et si on n'a pas encore de vaccin ou de remède, ce n'est pas faute d'avoir essayé.


Il y a la cacophonie habituelle dans les journaux alimentée par le peu de culture scientifique des journalistes, politiques et aussi de l'immense partie de la population. Le covid étant devenu un sujet politique, les gens y collent leur opinion politiques et ne soucient guère des faits.



Pour quiconque fait l'effort de s'informer un peu, les choses sont assez clairs:

1) Il y a bien une deuxième vague, avec une augmentation exponentielle des cas détectés (doublement toutes les 2 semaines environ): l'épidémie progresse donc beaucoup moins vite qu'en mars (ou c'était un doublement tous les 3-4 jours), sans doute grâce aux gestes barrières.

2) Les politiques (et la plupart des média) n'y comprennent que dalle. Le gouvernement ne fait rien d'efficace pour lutter contre la maladie, espérant simplement que les hopitaux ne seront pas submergés par la deuxième vague comme ils l'ont été par la première (pour le moment, ca va encore)

3) On est loin d'en avoir fini avec cette maladie. Pas de sortie de crise à l'horizon.



Pff, c’est pas simple, cette pandémie.


Autant je comprends que des gens, même des experts, aient peur, autant les chiffres démontrent que ça se termine, en tout cas en Europe.

Les graphiques épidémiologiques de l’OMS sont clairs :

- entre le 1er mars et le 1er juin : 2 millions de cas, 180.000 morts

- entre le 1er juin et le 10 septembre : 2,8 millions de cas, 47.000 morts

Le nombre de cas a été multiplié par 2,5 quand le nombre de décès était divisé par 4.

Et la région Europe de l’OMS compte 900 millions de personnes, où en moyenne depuis plus de trois mois (12 semaines), 500 (cinq cents) personnes meurent par jour du Covid (la courbe est stable, pas de baisse ni d’augmentation significatives).

Sans ce battage médiatique, tout le monde s’en foutrait que 10 Madrilènes aient perdu la vie aujourd’hui (j’invente pas les chiffres ici non plus).


Ne regardons surtout pas la Suède. Suivons plutôt sur l’Espagne avec son port du masque obligatoire dès 6 ans depuis le 21 juin (12 semaines) et ses 300.000 cas depuis lors. Lorgnons sur l’Australie et son lock-down de ouf pour une poignée de malades…


Mais après, oui, malgré ce décompte plutôt rassurant sur le plan statistique, et cet exemple encourageant, il n’est pas exclu que toute la population « âgée » européenne soit contaminée et vienne faire exploser les systèmes sanitaires des pays.


Peut-être. Peut-être pas.


Toutes les décisions « sanitaires » actuelles sont prises au nom de ce « peut-être ». Aucune au nom du « peut-être pas ».


La balance bénéfice/risque est complètement faussée.



Les journalistes auront à apprendre de cette crise. Ils ont démontré qu'ils relayaient sans recul tout et son contraire. Une hypothèse : l'absence de culture scientifique qui leur fait gober n'importe quelle analyse du premier expert venu. Plutôt que de se faire expliquer, puis d'expliquer à son tour, le journaliste de base préfère des termes bien jargonneux (taux d'incidence, cluster, prévalence, PCR...). Il se régale de cette ambiance anxiogène et contradictoire. Mais répète la propagande d'Etat, pour prendre moins de risques.


Les courbes étant bien fichues pour démontrer qu'il faut avoir peur, la terminologie étant bien compliquée, on attend la deuxième vague depuis 4 mois. Comme elle ne vient pas, on l'invente de toute pièce en respectant le principe de la prophétie auto-réalisatrice : regardez le nombre de masques dans la rue, si ce n'est pas une preuve que le virus continue à être très menaçant !


Si besoin est, on rappellera aux inconscients "anti-masques" (après les avoir affublés d'un nom en -iste, complotiste, révisionniste, extrémiste, négationniste,...) que des gens sont morts. Avec des témoignages bien sentis, qui vous tirent une larme (les derniers mots du mourant, la fille qui n'a pas pu dire au revoir à son père, le papi intubé et la mamie qui meurt avec la peur dans les yeux). Après cela, difficile d'exercer son esprit critique...


Prenons les masques en extérieur. Il y a six mois, ils étaient inutiles voire dangereux comme chacun sait. Le pire, c'est que c'est sans doute vrai (si on examine la littérature à ce sujet) ! Les pharmaciens encouraient des amendes ou des peines d'emprisonnement s'ils en donnaient à leurs clients. Six mois plus tard, il faut les mettre en plein air, tout le temps. Sous peine d'amende ! Que s'est-il passé ?


1) Hypothèse 1 : il n'y avait pas de masque en mars et il était nécessaire de mentir pour ne pas affoler la population. Admettons que ce soit même pour une bonne raison. Il reste que ce sont les mêmes qui sont toujours en place. Comment faire confiance à ceux qui nous ont menti ?


2) Hypothèse 2 : ignorance et/ou incompétence de la part des comités scientifiques et des experts. Admettons aussi que que le virus était nouveau. Admettons enfin, dans cette deuxième hypothèse qu'on continue à leur faire confiance puisque ce sont toujours les mêmes aux commandes...


Il s'est donc passé quelque chose pour qu'ils changent d'avis et imposent le masque en plein air. Mais il faudrait dire quoi : où sont les études qui montrent que c'est la solution à adopter ? Réponse : nulle part. Pas un journaliste n'a demandé des preuves, des explications pour expliquer le phénomène. Seul traîne une infographie avec des pourcentages invérifiables de deux personnes en vis-à-vis avec ou sans masque...


Où est-ce que cela nous mène ? Et jusqu'à quand ? Demandez autour de vous. Vous obtiendrez la réponse : jusqu'à ce qu'on ait un vaccin. 3 milliards de personnes confinées x 500 Euros la dose, ça donne des idées. Même si c'est 10% de ce chiffre... Ce ne sera pas perdu pour tout le monde... Mais on aura mis, dans l'intervalle, le Lancet et les journaux grand public au même endroit : à la poubelle.


Exigeons la fin de ce comité scientifique pipeau, acoquiné à Bigpharma, incompétent et/ou menteur et demandons aux journalistes de faire leur travail : enquêter, douter, vérifier, publier. Informer, quoi.

Les trois positions sont légitimes, défendables, justes et bonnes.

Il y a juste que même dans un petit (géographiquement) pays comme la France aucune décision prise dans ce contexte à Paris ne peut être strictement applicable partout ET tout le temps.

Que chacun prendre ses responsabilité ET ses risques.

La seule position Gouvernementale à avoir est de donner des consignes générales, diffuser les informations aussi précises qu'on a, de la plus grande finesse qu'on a, et laisser les entités territoriales correspondantes prendre les décision locales.

C'est sûr que la centralisation politique en prend un coup, mais l'alternative est qu'elle prenne un coup plus dur parce que plus violent et anarchique si les Citoyens se rebellent contre de décisions prises trop loin d'eux.

Apres lecture de votre article ,qui m'afflige...Je ne commenterai qu'une chose votre affirmation "les cas augmentent exponentiellement" Vous savez ce qu'est une exponentielle ? Vous avez lu les chiffres de France santé ? Je vous rappel juste deux trois chiffres qui font consensus qui donnent une idée de la réalité : Taux de mortalité 0,5% ,97% des personnes testés sont négatifs , moins de 20 morts par jour ,elle est ou votre épidémie ?....Bref ,sous prétexte n'analyse votre article est bourrée de sous entendu ...Je trouve étrange votre objectivité PS : réviser aussi la notion de Taux d'incidence...

On voir clairement l'exponentielle se dessiner (en espérant bien entendu que cela ne va pas se confirmer) avec, par exemple, la somme du nombre d'entrées en réanimation sur une semaine. Entre la semaine passée et 2 semaines plus tôt : ce nombre a doublé.

Désole je ne veux pas de polémique mais comprendre... Je ne comprends pas une exponentielle se dessine mais ou ? Si le nombre de réanimation double sur deux semaines ,ce n'est pas forcement un signe d'exponentielle deux points formes une droite... Et prendre en compte le nombre de sortie ,de décès donne aussi des indications... plusieurs paramètres sont nécessaires pour tirer des conclusions...Je trouve que l'article remplit de sous entendu cela me gêne....La question n'est pas ci pro ou anti c'est juste de faire preuve d'esprit critique...

https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees 

Si on compte le cumul des nouvelles entrées en réanimation du Lundi au Vendredi

S31 : 91

S32 : 106

S33 : 111

S34 : 158

S35 : 173

S36 : 257

S37 : 358 (semaine dernière)

Si vous tracez simplement la courbe ,la linéarité n'est pas moins probante que exponentielle...Il y a une augmentation en réa mais le nombre de décès reste stable ...On peut aussi prendre comme hypothèse que l'on prend en réa des malades moins grave...Pour le nombre de retour à domicile ,il est variable...Le nombre d'hospitalisation est stable .... Alors cela ne semble pas si simple de dire l’épidémie reprend de façon exponentielle ...Merci pour le liens...

Prenez les cas détectés, l'exponentielle est bien plus visible.


Pour les cas en réanimation/mort, il est encore trop tôt pour conclure.

le déni ce sera jusqu'au bout; il y a déja 40 morts par jour et j'en ai déjà entendu me dire que "ils étaient pas vraiment morts du covid" parce qu'ils avaient des comorbidités.

La détection montre quoi ?


On multiplie des fragments de virus par milliards et on a un positif ! 


Qu'est-ce que ça montre ? Qu'il est ACTUELLEMENT contagieux ? Qu'il a été contagieux il y a 2 mois ? Qu'il n'a jamait été ni malade ni contagieux ? Qu'il va être contagieux ?


Bref, on ne peut rien tirer de tests PCR avec des taux d'amplification trop sensibles.

Le test PCR montre que vous êtes porteur du virus.


Donc vous que vous êtes potentiellement contagieux le temps de la "maladie" (généralement entre 1 et 4 semaines); la contagiosité variant beaucoup d'un individu à l'autre.

Tiens, on voit aussi trainer sur ASI cette rumeur des faux positifs.

Le gouvernement, tout en multipliant les appels à la responsabilité individuelle, se prépare à l'éventualité d'une nouvelle catastrophe sanitaire. Et ça ne plaît pas à tout le monde. 


Le gouvernement se prépare à rien du tout. Le gouvernement a décidé de sacrifier délibérément les gens au profit de l'économie; tout en faisant peser toute la responsabilité sur les individus. 

D'un coté on a "il se passe rien; c'est la dictature sanitaire" (le déni quoi); de l'autre on a "c'est de votre faute si l'épidémie explose" (la culpabilisation). Où sont les vrais mesures politiques concernant l'école? les moyens pour les mener? le retour au télétravail massif? les limitations ou fermetures locales sur les endroits les plus contaminants? (bars; restos; foires...). Pour améliorer la politique de dépistage; c'est en Mai qu'il fallait s'y prendre; là c'est déjà trop tard; les capacités de tests sont largement dépassés partout au point de devenirs inutiles (deux semaines pour avoir des résultats autant se mettre en quarantaine directement).

 Je suppose qu'on va voir fleurir une floppée de mesures inutiles (ça a déja commencé avec la fermeture des plages en PACA à 20h; c'est sur que c'est sur les plages en soirée en automne qu'on va plus se contaminer). Bref on ne fera rien qui nuit à l'économie; et rien qui demanderait un peu d'investissement; et on a va attendre tranquillement que le système de santé sature (à ce moment là peut-être qu'ils se mettront à paniquer et nous faire le coup du confinement militaire. peut-être).

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