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Mon dimanche avec Jean "des preuves" Quatremer

Ce week-end, pendant que vous baguenaudiez dans l'espoir de l'été, heureux mortels, que faisais-je ? J'échangeais des mails avec Jean Quatremer, correspondant de Libé à Bruxelles.

Derniers commentaires

Je ne pense pas que JQM soit stupide ou inculte, j'en pense tout le contraire. Par contre, qu'il soit de mauvaise foi dès qu'on a l'outrecuidance de pointer certains aspects bof bof de l'UE, c'est un fait. Ok l'UE n'est peut-être pas responsable de tout, mais dédouaner systématiquement l'UE en pointant l'intergouvernementalisme, ou en noyant le poisson dans la compléxité (bien commode) de la structure des institutions européennes, c'est pas ultra crédble non plus. Il y a une juste milieu que Cédric aka JQM (qui n'hésite pas à fustiger les 'anonymes' cachés derrière des pseudos quant il le fait lui-même) ne semble pas connaître. Dans les Coulisses de Bruxelles, on est soit un défenseur admirateur béat de la construction européenne soit un anti-européen pur jus. Le débat sur la question européenne est tout simplement impossible sur son blog quand on ne partage pas intégralement son opinion. Ceci sans parler des pitbulls récurrents de son blog, auxquels il n'hésite pas à distribuer les bons points, quand bien même ces gens agressent à tout bout de champ, drappés de leur statut de docteur ès sciences largués par la réalité réelle des gens de la vie qui vivent ailleurs que dans des théories obsolètes..
dites, vous êtes gentil et poli avec Quatremer, par rapport à la façon dont il parle de vous....

A ce propos sur son blog, qqun lui répond de manière argumentée et intelligente ("Guillaume"), d'ailleurs, Quatremer commence par lui répondre (en le prenant de haut) puis lâche l'affaire.

je ne comprends pas cet homme : j'appréciais son propos (blog et articles) car je trouvais qu'il donnait des informations sur le fonctionnement des institutions européen, mais j'ai découvert un type borné, hautain et limite haineux.

Un jour, suite à une interview de Trichet où celui-ci sortait une énormité sur le taux de chômage (il disait qu'en 2009, le taux de chômage enFrance était le plus bas depuis 25 ans "plus belle la vie"), j'envoie un tweet à quatremer lui suggérant de faire relire ce genre d'interview pasr ses collègues de libé journalistes écos (c'est un métier, et de mon point de vue, ça suppose un minimum (bac + 5) d'études d'éco.
Il me répond "je suis journaliste éco" et il ajoute que le propos de Trichet est vrai, en me précisant que l'interview date de deux ans aupravant (donc Trichet parlait du taux de chômage de 2007 : déjà pour une journaliste éco, comment dire....). Je vais vérifier sur l'insee (c'est... faux) et surtout, je lis le panégéryque de Quatremer au moment du départ de Trichet où le brave gars (Quatremer) raconte que la 1ère fois qu'il a rencontré Trichet, il touchait pas une bille en économie ("mais ahaha, comme tous les journalistes français et c'est parfaitement normal" - bein non 1) il y a de vrais journalistes écos en France 2) c'est tout-à-fait anormal qu'un mec qui ne touche pas une bille se mettre à écrire des articles sous la dcitée de président de la banque de France puis de la banque européenne) ) et que donc Trichet lui a appris l'économie et qu'il est merveilleux, super sympa, super pédago, etc.... (relire l'article, c'est hallucinant "il a pris le temps de tout m'expliquer" bein oui, neuneu, t'étais un vecteurr de son idéologie, ça s'appelle la communication, mais sûrement pas de l'information).

Me suis un peu moquée de Quatremer sur twitter et quand il a réagi assez violement, lui ai suggéré d'aller en fac d'éco, contrairement à ce qu'il semblait penser, y a de très bons universtaires en économie en France (l'éconaute en a rencontré qqs uns)
Quatremer m'a viré de ses "followers"...

Depuis, je ne peux m'empêcher de me payer sa tête sur l'économie à chaque fois que je peux.

Plus sérieusement et en ce qui conerne la presse, je trouve ça répugnant (je pèse mes mots) que Quatremer puisse/ose se présenter comme journaliste éco et pondre des articles "écos" dans Libé alors qu'il a de très bons collègues spécialistes de l'éco (qui doivent être dégoûtés quand ils lisent ses conneries)
DS a franchi la ligne, j'abandonne la partie : bye bye @si.
Bonne chance à l'équipe (qui se renouvelle régulièrement, n'est-ce pas DS?).
De la différence de traitement, une fois de plus:
Un texte dont l'auteur (DS) sait qu'il aura l'approbation des meutes hurlantes de l'aile gauche du forum d'@SI: une chronique, ie une ouverture vers un espace de forum où l'auteur pourra se voir conforté dans son opinion non argumentée par ses hordes de zélateurs

Un texte qui montre qu'au final, son interprétation était fausse au mieux, de mauvaise foi, au pire: un vite dit, ie pas de moyen pour les @sinaute de commenter (ou, pour l'aile gauche dotée d’honnêteté intellectuelle* de faire son mea culpa).

A quand une analyse critique d'@SI sur les différences de traitement de l'information d'@SI, quand cette information va dans le sens de leur orientation politique ou à son encontre? (A noter que dans cette analyse, un bon point pourra leur être octroyé pour avoir toutefois écrit le vite dit http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=15727, du bout des doigts comme on aurait avant dit du bout des lèvres).

PF

*optimiste, je pense cet ensemble non vide. Je ne doute cependant pas que l'autre partie de l'aile gauche aura à cœur de tenter de prouver que j'ai tort.
On a le droit de détester Quatremer mais de dire que sa réponse est assez bonne en l'occurrence ?
Daniel, à quoi bon tenter un débat rationel avec M. Quatremer? C'est un intégriste de l'UE, il est dans la foi et ne peut pas entendre un argument rationnel. Son Dieu est néolibéral, il lui sacrifiera donc les journalistes.

Mais je m'interroge aussi sur ceux qui bondissent d'ingnation sur la fermeture de l'ERT après avoir gardé le silence sur le reste, pour la seule raison qu'il s'agit ici de média. Pourquoi le néolibéralisme devrait s'appliquer à tout sauf aux journalistes? C'est de la foi ou du corporatisme?
mal placé


pffff, c'est énvervant ce truc !!
bref qui avait raison et qui doit s'auto flageller sur la place publique demain à 9h15? 1 pour DS, 2 pour Quatremer.
Ce n'est pas à Apathie que me fait penser J Quatremer pais plutôt à Alain Duhamel; j'ai même l'impression qu'il le copie physiquement jusque dans la gestuelle, voire la suffisance. Moi non plus je n'aime pas Jean Quatremer
Guy Grasser
l'Europe "Downsize", "Taskforce" et parle donc officiellement une langue qui n'est pas la notre,... Des conseils partout, dont personne ne comprends ce qu'ils font, sans compter, les traités ratifiés contre l'avis des gens...

L'Europe, je peux le prendre comme je veux, ca m'est extérieur.
Ca m'est imposé.
Barroso, on t'emmerde !
Une seule question, pourquoi commence t-on bien, Askolovitch, Apathie, Fourest, Quatremer, Onfray... et finit-on mal ?
J. Quatremer est un journaliste de Libé qui a mal tourné, comme S. July. Après je ne sais combien d'années à Bruxelles, il a perdu toute objectivité à propos de l'Europe, une sorte de syndrome de Stockholm sans doute.Par contre, il est devenu très calé sur l'opposition entre francophones et néerlandophones.

Il n'y a qu'à parcourir son blog pour s'apercevoir de son intolérance à l'encontre de tous ceux qui osent douter de l'Europe. Et n'essayez pas de faire un commentaire un tant soit peu critique sur son blog, il le censure (c'est ce que j'ai constaté à plusieurs reprises pour ce qui me concerne).
Quelle tristesse. Il a pourtant été un bon journaliste, mais ça remonte à l'affaire Cresson, c'est loin maintenant.
Loin de moi l'idée de vous faire peur, M. Schneidermann, mais pour avoir essayé de "discuter" avec le sieur Q ou T (peu importe...), et mesuré son coté sectaire, je crains que vous soyiez catalogué bien rapidement comme "ennemi de la démocratie" ("ennemi du peuple" n'étant plus à la mode). Le pire n'est pas le sieur Q ou T, mais une grosse partie de ses commentateurs réguliers qui me font penser à des ouailles en pamoison devant leur gourou.

Une vraie secte, je vous dis.
De grandes affiches de vitrines achalandées, collées sur les commerces désaffectés d'Enniskilen, ville principale du Comté de Fermanagh, en Irlande du Nord, qui accueille à partir d'aujourd'hui les dirigeants du G8...
Les autorités nord-irlandaises ont déjà dépensé quelques 300 000 livres (350 000 euros) pour cette dérisoire opération cache-misère, et des fonds supplémentaires sont attendus.
Comment osent-ils ? Comment des responsables politiques peuvent-ils consacrer de telles sommes à cette lamentable et révoltante mascarade, dans une région économiquement dévastée, où même l'hôtel de luxe où séjournent les chefs d'Etat, est en faillite ?
Le dimanche 5 mai de cette année, a été organisée à Enniskilen, une marche commémorant le 32e anniversaire de la mort de Bobby Sands.
Ses amis rescapés de l'IRA, spécialistes en bombinettes, n'ont peut être pas tous pris leur retraite...
Pendant la nuit, Quatremer a bieeeeeeen réfléchi, et a trouvé comment échapper au truc : Daniel "j'accuse sans preuve".
Le truc c'est de jouer sur les mots, pasque "downsizing" c'est pas "closure" vous comprenez, et donc la gentille Union Européenne elle demande juste "downsizing", hein, alors voyez comme elle est pas méchante, bande d'europhobes. C'est comme les ordres donnés aux hommes de main par le ponte de la mafia, vous savez, du genre dans un premier temps on dit juste un sibyllin "réglez-moi ce problème une fois pour toute" - puis, dans uns second temps, "ha mais j'ai jamais dit qu'il fallait le tuer, moi".

Bien sûr, ça change strictement rien à l'essentiel, ça reste des politiques structurelles d'austérité imposées aux pays parfaitement catastrophiques, et qu'à force de faire pression pour réduire les budgets publics, le "closure" finit par arriver tout naturellement. Mais Quatremer est bien au-dessus de ça. Quatermer est européen, et journaliste - deux catégories d'être humain qui planent dans les hautes sphères.
Lui qui voulait le respect des identités et aurit vomi cette Eurpe niveleuse et mercantile, aurait-il charclé Jean Despreuves comme il savait le faire dans ses chroniques du Canard ?

http://harmoniques-nuances.blogspot.fr/2013/06/je-ne-puis-servir-les-autres-quen-etant.html
J'ignore si Monsieur Q., que je ne parviens pas à détester (le pauvre homme !), comprend le grec moderne. Moi, si. Et je suivais chaque soir le journal télévisé sur ERT World, diffusé jusque mardi sur le câble.
J'ai donc assisté en direct à la mise en place des MAT (=CRS) près des émetteurs et à la coupure.
Je ne comprends pas en quoi l'ERT ressemble au Quotidien du Peuple. Mais il est vrai que je comprends mal le chinois, tandis que Monsieur Q., lui, si.
Du moins il a l'air.
En même temps, il a l'air d'un journaliste...

Quand je pense que Libération fut autrefois un journal de gauche... Aujourd'hui, même pas cap de se renseigner sur le décalage horaire entre la France et la Grèce : mercredi matin, ils annonçaient que les émissions avaient cessé à "23h10, heure grecque, soit 20h10 GMT". On imagine le pauvre diable en train de regarder où est la Grèce sur Google map avant de faire un (trop) rapide calcul. Bon d'accord, ce n'est qu'un détail...

J'oubliais : même s'il me fait souvent rire, je n'aime pas beaucoup Monsieur Q.
Le degrès de responsabilité de l'UE dans la fermeture du groupe de radio-télé n'est sûrement pas le sujet le plus important dans cette histoire.
C'est plutôt sa réaction après cette fermeture.
Imaginons la même chose en Tunisie, imaginons la même chose en Iran, etc...

Maintenant il tout a fait délectable que le défenseur le plus acharné de l'UE se soit dans les premières heures retrouvé à défendre la décision du gouvernement grec.
Ensuite il s'est agit de tenter de dédouaner l'implication de l'UE dans cette décision.
Ces deux moments distincts suffisent à décridibiliser sa défense.
Si l'UE n'a rien à voir avec cette fermeture, il n'était nul besoin de défendre la décision du gourvernement grec.
Franchement, affirmer que la décision de fermer dernièrement la TV publique grecque résulte d'une décision prise par le Conseil Européen en novembre 2011, alors que depuis, il s'est écoulé un an et demi et qu'il y a eu une dizaine de réunion du Conseil sur la Grèce depuis est un peu ridicule.

Il conviendrait plutôt de vérifier ce que dit par exemple le Conseil Européen à l'issue de sa dernière réunion sur le sujet. C'était le 8 mai 2013. Mais je n'ai pas trouvé comment le vulgum pecus avait accès au document.

Cote document : 9873/13
Titre : COMMUNICATION DE LA COMMISSION Évaluation des mesures prises par la Grèce en réponse à la décision 2011/734/UE du Conseil, telle que modifiée par la décision 2013/6/UE du Conseil visant à renforcer et à approfondir la surveillance budgétaire et mettant la Grèce en demeure de prendre des mesures pour procéder à la réduction du déficit jugée nécessaire pour remédier à la situation de déficit excessif - (Mai 2013)
Date document : 27-05-2013
Date réunion : 08-05-2013
Date d'archivage : 28-05-2013
Pour une fois, je suis d'accord avec Jean Quatremer. Le JO de l'UE est juste un doc qui officialise et entérine les décisions. Ce n'est pas lui (l'UE) l'ordonnateur.
[quote=Daniel Schneidermann]Résumons : Jean demande une preuve. Et quand on lui apporte cette preuve, il s'exclame : "ah, mais c'est pas VRAIMENT l'Europe. Et puis tout le monde le savait. Et puis les Grecs l'ont approuvé".
Discussion de sourds.

Eh, Jeannot la preuve : tu serais pas de la famille d'Aphatie, par hasard ?


Quatremer s'inscrirait ainsi plutôt, et s'illustrerait, au sein de la "logique" du fameux "argument du tonneau", décrit par Freud, consistant à produire une triple au lieu d'une simple réfutation à une accusation. Logique autocontradictoire qui, comme ici, démontre qu'abondance de raisons détruit bonne raison.

Mais, de votre côté, s'il n'y a pas absurdité, il y a tout de même, comme vous le reconnaissez, aussi surdité. Car ce que vous refusez d'entendre c'est qu'il ne suffit pas d'imputer une décision à l'Europe pour en déterminer la nocivité. Celle-ci peut résulter d'autres facteurs aussi, sinon d'abord.

Il y a ainsi: chez votre* Quatremer, déficience par surabondance et, chez vous, carence à cause d'une certaine militance: précipitée.


* Votre Quatremer, car il faut ici se fier à ce que vous en rapportez. Et, au demeurant, pour l'ordinaire, quant à moi, je ne le lis pas.
Typique de J.Quatremer et des libéraux pro-"Europe" : on ergote sur des détails, et des "preuves", et sur du "mais c'est pas ça qu'il a dit exactement", et du "c'est pas ça qu'y a d'écrit à la lettre", et on fait totalement l'impasse sur les structures essentielles de fond. Car enfin, quand bien même ce document issu du Conseil et évoquant l'ERT n'existerait pas, qu'il resterait que l'Union Européenne demande structurellement, par construction, à ses membres d'appliquer des politiques de rigueur, entre autres de réduire les budgets de l'État - alors, ils réduisent, et un jour ou l'autre, fatalement ça tombe sur l'audiovisuel public.

Comme le note F.Lordon :
"On va dessiller Bernard Guetta — et ses amis Complexés avec lui — quitte à ce que la lumière au bout du tunnel finisse par lui apparaître comme les phares du train qui arrive en face.
En matière économique, l’Union européenne n’a pas de politique, au sens très précis d’une possibilité discrétionnaire d’initiative. L’Union européenne n’a pas de politique « conjoncturelle », c’est-à-dire de la politique dont les orientations sont déterminées par les partis « conjoncturellement » au pouvoir, car toute la politique économique européenne a été irrévocablement fixée dans des textes à valeur quasi-constitutionnelle. L’Union n’a donc d’autre politique que de la politique « structurelle », ou pour mieux dire de la politique constitutionnelle, c’est-à-dire de la politique mise sous la forme de règles inscrites dans les traités — et par là même vouées à fonctionner indépendamment de toute donnée proprement conjoncturelle. Les désastreuses politiques d’austérité présentes ne sont en rien l’effet de quelque « décision conjoncturelle » que ce soit.
Elles sont le résultat du fonctionnement mécanique des dispositions du traité de l’UE et du pacte de stabilité. Il n’y a pas de politique conjoncturelle car aucune donnée conjoncturelle ne saurait ajouter quoi que ce soit quand tout a déjà été écrit. Lorsqu’on a organisé l’indépendance de la Banque centrale européenne (BCE), il n’y a plus rien à lui demander puisqu’on lui a donné constitutionnellement pour mission de ne pas répondre [4]. Lorsqu’on a insisté pour graver dans le marbre des traités (Maastricht, Nice, Lisbonne) et de leurs pactes additionnels que les déficits devaient rester inférieurs à 3 % du PIB et les dettes à 60 %, il n’y a plus qu’à s’exécuter puisqu’il n’y a plus rien à discuter — et sous la surveillance renforcée de la Commission.

C’est le propre de la construction monétaire européenne que la politique économique des Etats-membres y est devenue une pure et simple affaire de pilotage automatique."
Vous êtes comme Monsieur Q., D.S. il vous faut des preuves pour finir par admettre que M. Q. est un fanatique de l'U.E.
Nous avons pourtant été nombreux, dont moi, à dire tout le mal que nous pensions de ce monsieur... Même qu'un jour, vous avez usé de votre célèbre cisaille sélective parce que je disais des "monstruosités", démenties par M. Q. (pourtant étayées par un article posé par moi-même du Monde Diplo... vous savez, ce journal "complotiste"... honni par la presse mainstream).
Mais il semble que vous ne teniez compte du point de vue de vos lecteurs que lorsqu'il va dans votre sens. Pour une fois, le vôtre et le mien vont dans le même sens.
Je propose d'établir l'arbre généalogique des Apathies , il y a du boulot ...Mais c'est d'utilité Publique .
Mal placé
Lisez bien :
L’Europe est une région terrestre qui est considérée par les géographes soit comme un continent à part entière, soit comme l’extrémité occidentale du continent eurasiatique, voire comme une des sous-parties du super-continent de l’Afro-Eurasie. Elle est parfois qualifiée de « Vieux Continent », par opposition au « Nouveau Monde » (l'Amérique). Sur le plan culturel, l'Europe a reçu une multiplicité d'influences au cours des âges, et comprend de nombreux pays qui possèdent à la fois un héritage commun, des différences linguistiques, religieuses et historiques, et des apports récents venus depuis la mondialisation. À ce titre, l'Europe est un espace de civilisation forgé par une histoire millénaire. Une communauté de peuples, de différents États, tend à se constituer politiquement avec l'Union européenne.
L'Europe, et plus particulièrement la Grèce et la Rome antiques, est le berceau de la civilisation occidentale. Entre le XVIe siècle et le XXe siècle, les nations européennes ont contrôlé à plusieurs reprises l'ensemble du continent américain, la quasi-totalité de l'Afrique, l'Océanie et de grandes parties de l'Asie. L'Europe est également à l'origine de plusieurs bouleversements historiques majeurs, comme la Renaissance, les grandes découvertes, le siècle des Lumières et la révolution industrielle.

C'est sur Wikipedia, c'est du costaud. On parle effectivement de la Grèce, mais nulle part de l'ERT. CQFD.
Je crois anticiper là où vous allez doucement avec Jean Quatremer. J'ai lu longuement son blog, au moins une paire d'année, j'étais bien convaincu de sa vision et j'ai voté oui oui oui au TCE de mes petites mains en grande partie sous son influence. J'ai tenté de convaincre mes amis altermondialisteuh avec ses arguments.

Et puis je l'ai vu faire des sorties sur divers des sujets "polémiques". J'ai été frappé par ses réponses de plus en plus trollesques, agressives, méprisantes - je précise envers d'autres.

J4M est atteint pour moi de bloggites aigues. On peut se faire un trollage de temps et temps, je ne suis pas le dernier, mais à un moment il faut faire la part des choses, d'abord redescendre dans les tours (il y a des gens en désaccord avec nous mais est ce si grave ?) et puis aller de l'avant. Il est frappant de comparer le comportement sur d'autres libéblog (genre Made in USA) et le sien pour voir l'attitude bien différente.

Personnellement je pense que l'invective ne déshonore que son auteur et que J4M a malheureusement tellement invectivé qu'il est bien déshonoré. Quand aux faits, il n'en a clairement pas la religion. Détail imparable: en général il n'argumente sur ceux ci, mais sur la validité même de remettre en question une doxa. C'est toujours le marqueur absolument nette de ceux qui ne sont pas là pour débattre et pour qui la liberté de parole c'est bien tant qu'on est de leur avis.

Ceci dit, c'est bien d'avoir des défenseurs de la chose européenne. Il servirait juste mieux la cause en étant plus urbain et plus réglo, d'autant que ça lui arrive d'avoir de bons arguments. Il a bien réussi à me déconvaincre sur la durée : les gens autant sur la défensive sont peu convaincants. Et ceux qui n'ont pas l'intelligence de s'en rendre compte l'emploient ils ailleurs, ou en manquent ils simplement ?
Peut-être qu'une partie du "problème européen" vient du fait que les journalistes trouvent le fonctionnement des institutions européennes "trop compliqué". Alors au lieu de pouvoir lire des papiers qui chercheraient à engager la responsabilité de personnes de chair et d'os (ou même d'institutions identifiées), on se retrouve avec des journalistes accusant, tenez-vous bien, l'Europe. Oui juste "l'Europe" (d'où la question : elle a une adresse "l'Europe" ? nan parce que ça fait un moment que je cherche, voyez)

Parce que oui, il s'agit ici une décision du Conseil européen. Et non. Ce n'est pas un petit détail qu'on peut choisir très commodément d'ignorer (ce serait tellement plus simple, n'est-ce pas ?)

Ok. Mais vraiment, le Conseil européen est l'institution la moins fédérale qui soit (enfin, ouvrez wikipedia, je sais pas moi). Une décision du Conseil, ce sont les chefs d'État et de gouvernement qui se mettent d'accord (ils marchent au consensus en général) comme ça se faisait avant l'UE (et comme ça se fera après). Alors ça me paraît un peu abuser de dire que cette décision est "européenne" (et engagerait telle quelle l'UE).

PS Remarque, si vous mettez la main sur un hypothétique memo de la Commission, je suis preneur.
Effectivement les institutions de l'UE sont compliquées, et le texte de DS (ou l'argumentation de J. Quatremer, je ne sais pas trop) comporte quelques petites erreurs.

Au sein de l'Union européenne, plusieurs institutions sont des "conseils". Il faut distinguer, le "Conseil européen" et le "Conseil" également appellé "Conseil des ministres" ou "Conseil de l'Union européenne" (oui je sais, ce n'est pas facile).

Pour faire simple, le "Conseil européen" est une institution de l'UE qui regroupe les chefs d'Etat et de gouvernement des Etats membres et a un rôle de définition des grandes orientations politiques et économiques de l'Union.
A côté, le "Conseil de l'Union européenne" est la réunion des ministres des Etats membres réunis par grands domaines (ministres des finances, ministres de l'agriculture...). Le Conseil de l'UE a un pouvoir décisionnaire ; c'est lui qui adopte, généralement en codécision avec le Parlement européen, les actes à force obligatoire de l'Union, qui vont s'imposer soit aux Etats membres, soit directement aux personnes.

En l'espèce, il s'agit d'une "décision" du Conseil de l'UE, c'est-à-dire un acte juridique à portée individuelle, dirigé vers un nombre limité de personnes expressément désignées, ici l'Etat grec, mais avec portée obligatoire (http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/union-europeenne/action/textes-juridiques/qu-est-ce-qu-decision.html). Ici le Conseil ordonne à l'Etat grec de prendre des mesures de "liquidation, fusion ou réduction de la taille" d'un certains nombre d'entitées publiques, dont la société publique de télévision. Il y a donc bien un acte juridique adopté par l'institution compétente de l'Union européenne contraignant l'Etat grec à liquider, fusionner ou réduire la taille de l'ERT.

En sachant qu'un Etat membre de l'Union qui ne respecte pas un acte à portée obligatoire de l'Union est susceptible de faire l'objet d'un "recours en manquement" devant la "Cour de justice de l'Union européenne" (CJUE, à ne pas confondre avec la "Cour européenne des droits de l'homme", qui est une organisation internationale différente de l'UE, ni avec la "Cour européenne de justice" expression que l'on retrouve dans toute les dépêches AFP traitant de la CJUE mais qui ne correspond à rien) qui peut aboutir in fine à la condamnation de cet Etat membre à une amende. Pour résumer, l'Etat grec était contraint, sous peine d'éventuelles sanctions, de se conformer à ce texte, qui lui imposait, au minimum, de restructurer la télévision publique.
Je viens de consulter en détail le lien donné à propos de la décision.
Sur tous les points avancés par JQ, ce dernier a raison. Je trouve cela juste dommage qu'il n'en débatte pas publiquement et ouvertement.

1) Il faut distinguer les organes institutionnels européens et leur fonctionnement (comme en France). Vous ne pouvez pas reprocher à JQ cela.
Le Conseil (de l'UE) = organe exécutif composé des ministres des pays membres de l'UE (ce qui serait intéressant serait de savoir qu'était la position du ministre français, celui de notre Etat et quelle est la position de son homologue aujourd'hui)

2) C'est le Parlement grec qui a voté ces textes afin de réduire le déficit (avec une UE qui a débloqué des fonds pour les aider et stabiliser aussi les économies liées)

3)
Edit :

3) Lisez en détail le document :
http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2011:320:0028:0031:FR:PDF

Le 10 mai 2010, le Conseil a adopté la décision
2010/320/UE (1
) adressée à la Grèce en vertu de ’article 126, paragraphe 9, et de l’article 136 en vue de renforcer et d’approfondir la surveillance budgétaire et mettant la Grèce en demeure de prendre des mesures pour procéder à la réduction du déficit jugée nécessaire pour remédier à la situation de déficit excessif en 2014, au plus tard. Le Conseil a établi la trajectoire d’ajustement suivante pour la correction du déficit excessif: le déficit public ne doit pas dépasser 18 508 millions d’EUR en 2010, 17 065 millions d’EUR en 2011, 14 916 millions d’EUR en 2012, 11 399 millions d’EUR en 2013 et 6 385 millions d’EUR en 2014.


En septembre 2011, il est devenu manifeste que, compte tenu de l’exécution budgétaire jusqu’en septembre 2011 et dans l’hypothèse de politiques inchangées, l’objectif de déficit pour 2011 serait loin d’être atteint, ce qui compromettrait la crédibilité globale du programme. En octobre 2011, le gouvernement grec a annoncé les mesures destinées à réduire au minimum le dérapage des finances publiques dans le budget 2011 et a présenté un projet de budget 2012 en vue de respecter le plafond pour 2012 fixé dans la décision 2010/320/UE. Ces mesures, qui seront adoptées par voie législative avant la fin du mois d’octobre 2011, ont fait l’objet de discus­sions approfondies entre les autorités grecques et les services de la Commission.

Compte tenu de ce qui précède, il convient de modifier
en conséquence la décision 2011/734/UE, tout en main­tenant le délai pour la correction du déficit excessif,
A ADOPTÉ LA PRÉSENTE DÉCISION:

Beaucoup de catégories socio-professionnelles ont été touchées par ces mesures. Donc, nul besoin de réduire ces décisions à une seule catégorie - et une seule entreprise publique.

h) les dispositions législatives pour la perception à la source
de l’impôt de solidarité
;

l’analyse des résultats de la première phase de l’évalua­tion indépendante du fonctionnement de l’administra­tion centrale, qui donnera lieu à un plan d’action pour la mise en œuvre des recommandations politiques opérationnelles; ces recommandations déterminent les moyens de rationaliser davantage le secteur public et d’en accroître l’efficacité, de définir claire­ment les responsabilités et les structures de commandement des services ministériels, afin notamment d’éliminer les chevauchements de compétences, et d’améliorer la mobilité interministérielle; l’achèvement de l’évaluation, actuellement en cours, du fonctionne­ment des programmes sociaux existants;»;

j) la réforme de l’administration fiscale, par: la mise en place d’une unité réservée aux plus gros contribua­bles; la suppression des obstacles à une administra­tion fiscale efficace en engageant les réformes clés de la nouvelle loi fiscale, notamment le remplacement des cadres qui n’atteignent pas les objectifs de perfor­mance et le réexamen des qualifications des contrô­leurs fiscaux; la mise en service du nouvel organisme de résolution rapide des litiges administratifs pour traiter en urgence les cas les plus graves (c’est-à-dire dans un délai de 90 jours); la centralisation des fonc­tions, et la fusion, d’au moins 31 centres des impôts;

d) l’extension des prescription électroniques à tous les actes médicaux (médicaments, orientation du patient vers un spécialiste, diagnostic et chirurgie) prodigués par les établissements publics de santé et les prestataires sous contrat avec l’EOPYY et les caisses de sécurité sociale; la production de rapports d’audit mensuels détaillés par les établissements publics de santé et les prestataires publics de services de santé; la fixation d’un taux de participation du patient plus bas pour les médicaments génériques dont le prix est nettement inférieur au prix de référence (inférieur à 60 % du prix du médicament de marque), sur la base de l’expérience d’autres États membres; la publi­cation, par les caisses de sécurité sociale, d’un rapport annuel sur la prescription de médicaments; l’adoption de registres d’engagements dans tous les hôpitaux;

e) la mise en œuvre d’un système centralisé d’achat de produits pharmaceutiques et médicaux pour les établis­sements publics de santé par l’intermédiaire du comité de coordination des approvisionnements, avec l’appui du comité des spécifications, en utilisant le système de codi­fication uniforme des fournitures médicales et pharma­ceutiques;

En quoi ces décisions sont-elles jugées "négatives" à long terme pour la Grèce ou n'importe quel autre état membre de l'UE ? Pourquoi les autres états membres, ne prennent-ils pas également ces décisions quant au fonctionnement des institutions et services publics (notamment de santé et fiscaux) ?
Je viens de le lire en détail aussi.
Je n'en tire pas du tout les mêmes conclusions que vous !

Que voulez-vous dire par "distinguer les organes institutionnels de leur fonctionnement " ?
Le Parlement français, à l'instar du Parlement européen, n'ont pas les mêmes fonctions et compétences que l'exécutif français ou Conseil (de l'UE). En particulier, en fonction de leur composition (politique) ou majorité en ce qui concerne le Parlement.

La Commission, à l'instar d'une "gardienne" de l'application des traités et directives au sein de l'UE (en particulier ce qui est lié à l'environnement ou délits transfrontaliers - évasion fiscale, escroquerie etc.) a, à mes yeux, un rôle plutôt positif.

La non validation du Traité soumis au référendum a, à mon sens, davantage créé des difficultés pour harmoniser les législations et gérer les coopérations entre les acteurs/fonctionnaires (agents) des états membres de l'UE...afin de mettre en oeuvre - de manière plus concrète - cette Europe politique, basée sur une Constitution commune.
.. je ne comprends pas ce que vous écrivez.

vous dites : " Le Parlement français, à l'instar du Parlement européen, n'ont pas les mêmes fonctions et compétences que l'exécutif français ou Conseil (de l'UE) "

Evidemment que le législatif et l'exécutif n'ont pas les mêmes fonctions, puisque c'est précisément ce qui les distingue !!

Il n'en demeure pas moins que le 8 novembre 2011 la Grèce a été "mise en demeure" ( je cite le document, je ne l'interprète pas en disant cela) de privatiser 14 services publics et de réduire le service public audiovisuel.

le titre exact du document est "
DÉCISION DU CONSEIL
du 8 novembre 2011
modifiant la décision 2011/734/UE
adressée à la Grèce en vue de renforcer et d’approfondir la surveillance budgétaire,
et mettant la Grèce en demeure de prendre des mesures pour procéder à la réduction du déficit
jugée nécessaire pour remédier à la situation de déficit excessif."

C'est extrêmement clair : le conseil juge le déficit de la Grèce excessif, veut renforcer et approfondir la survelilance budgétaire qu'il exerce sur le Grèce et la met en demeure de prendre certaines mesures.

Ce genre de vocabulaire, on s'attend plus à le trouver dans un accord de fin de guerre, la Grèce étant là en situation de vaincue, que dans le cadre d'une union de solidarité entre états.

Vous pouvez difficilement en conclure, comme vous le faisiez ci-dessus, que la décision n'a aucun rapport avec la troïka !

.. je ne comprends pas ce que vous écrivez.

Personnellement, moi non plus, c'est un véritable charabia incompréhensible...

Pour le reste, je vous rejoints dans votre analyse.
Dans son texte, DS ne distinguait pas le rôle des différentes institutions (Guillaume le précise et développe en dessous).

Le gouvernement et parlement Grèce ont adopté seule ces propositions et mesures parmi tant d'autres - afin de réduire son déficit.

C'est la solidarité entre les états membres de l'UE qui a sauvé la Grèce. Mais de là à rendre la Commission européenne ou "la Troïka", je trouve cela exagéré.

Quelles sont les solutions - pratiques - que vous pouvez proposer par rapport à la situation économique de la Grèce et économies (des états membres européens) liées ?

PS - à propos de la fermeture des chaînes publiques, je cite le texte :

1) Le paragraphe suivant est inséré:
«6 bis. La Grèce adopte et met en œuvre, sans délai, les
mesures suivantes:
(...)
i) les décisions ministérielles de liquidation, fusion ou réduction de la taille des entités suivantes: KED, ETA, ODDY, l’institut national de la jeunesse, EOMEX, IGME, OSK, DEPANOM, THEMIS, ETHYAGE, ERT et 35 autres entités de taille plus modeste;

Précision : sur ce point, je n'ai pas encore eu le temps de lire l'article et interview réalisés par @si. Donc, c'est à partir des éléments présents que je me situe - sur ce point précis.
"C'est la solidarité entre les états membres de l'UE qui a sauvé la Grèce. "
De quelle manière se traduit ce "sauvetage", dans les faits, concrètement, et avec quels résultats sur place ?
Les plans de rigueur qui se sont succédés ressemblent bien davantage à des bouées plombées à mort qu'on lancerait à un naufragé.
Les états membres - et surtout responsables politiques - n'avaient pas le choix... face aux marchés..quoique... en ce qui concerne la régulation/conformité des contrôles..
Comme vous dites: quoique. La porte s'ouvre ici.
Mais vous parliez de sauvetage de la Grèce en employant le passé, et avez dit: "la Grèce est sauvée".
Serait-il possible de savoir sur quels point précis, exactement ?
Ils ne sont plus abrutis par la télé.

Ils mangent moins gras ce qui fait chuter le nombre d'accidents cardio-vasculaires.

Ils ont tous le vécu pour écrire un nouveau "On achève bien les chevaux"* et viser le Pullitzer.

Après consultation express des trois livres sacrés, il est attesté que même dieu ne pourrait faire mieux.




*Même si c'est un film.
Ab : " C'est la solidarité entre les états membres de l'UE qui a sauvé la Grèce "

C'est un GAG ??
La solidarité ?
Qui le a sauvés de quoi exactement ?

Vous plaisantez et c'est au 40.000ème dégré, non ?

Vous en connaissez des grecs ?
Vous lisez un peu ?
Vous regardez des reportages ?

Mesurez-vous à quel point cette affirmation de votre part est méprisante, limite insultante pour les Grecs ?

Je rêve !!!

Ah, j'avais pas vu que Fan avait déjà réagi. Désolée pour la redondance.
Bah ! Il n'aime pas avoir tort, comme tout le monde.

Mais je suis certaine qu'il est suffisamment intelligent pour avoir compris que vous lui aviez fourni la preuve.

En plus, il faut comprendre que si l'Europe disparaissait, il n'aurait plus de boulot.

Brrrfff ! Qu'elle est méchante !!!!
Les empreintes de mon client sont sur l'arme du crime ? sur la détente ? Mais on peut poser son doigt sur une détente sans tirer !
Prouvez que c'est lui qui a tiré...
Des preuves, des preuves... c'est ce que réclament toujours les avocats des truands. Et quand on les leur met sous le nez, ce n'est jamais la bonne.
moi aussi j'aime bien Quatremer. j'ai toujours eu envie de le mettre sur la plage arrière de ma voiture quand je le vois hocher de la tête en souriant comme ça.
[quote=DS]Autant vous le dire, j'aime bien Quatremer.

Ah, l'amour a ses raisons que la raison ignore. Et vous faites ce que vous voulez de vos loisirs.
Le financement et le fonctionnement de :
France Télévisions société anonyme
Radio France société nationale
ARTE France société anonyme
Audiovisuel extérieur de la France

sont-ils vraiment différents du fonctionnement de l'ERT ?
http://www.rfi.fr/europe/20130612-grece-television-ert-economies-troika L'exécutif hellénique n'avait-il pas d'autres choix ? le Parlement hellénique va-t-il ratifier cette décision de supprimer des milliers d'emplois dans l'audiovisuel public ?
L' ERT "quotidien du Peuple" , on a des preuves?
Daniel Shneidermann,

Mêtre le mot journaliste et Quatremer dans la même phrase est un parfait oxymore...

Ne vous occupez pas de tous les âneries qu'il peut proférer, il y a d'autres sujets plus interessant comme la nouvelle crise de l'euro p.e.
La gouvernance européenne (décisions diplomatiques) est un conglomérat de "démocraties" (séparation des pouvoirs).
Les Etats de l'Union européenne obéissent au principe de subsidiarité. http://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_subsidiarit%C3%A9_en_droit_de_l%27Union_europ%C3%A9enne http://europa.eu/lisbon_treaty/glance/democracy/index_fr.htm

En résumé, Jean Quatremer a raison en Droit européen ; et a tort en pratique diplomatique.
Les seules choses qui m'intéressent sur le phénomène Quatremer, c'est de savoir si on le paye ou non pour systématiquement aller dans le sens de L'UE sous sa forme actuelle. Et si oui, quel organisme finance sa croisade?

Si il fait ça gratis, c'est juste un partisan involontaire de l'enfumage, comme tant d'autres : Zemmour, Soral, Sorman etc. etc.

Après qu'il dise n'imp c'est une chose, mais ça forme méprisante et parfois agressive me font plus tellement rire...Sans parler de sa tendance à se présenter comme un justicier solitaire, alors qu'il n'est on ne peu plus dans le système, on trouve ça aussi chez les Zemmour, Soral et compagnie.
D'abord, Quatremer ne s'appelle pas Quatremer, mais Robert Thomas, ou quelquechose dans ce genre. Son pseudo tétramarin lui permet d'alimenter le suicide de l'Europe, par compromission avec la secte libérale. Le lobe politique ( au fond à droite) de son cerveau a été piraté- il y a longtemps, plus c'est vieux plus ça marche- par le libéralisme- qui nous délivre des guerres et nous apporte la prospérité-. L'intérêt de tous est la somme des intérêts de chacun, enrichissez-vous disait Guizot. ya pas de mal à être pauvre.
Bienvenue dans le club des europhobes, une bande dangereuse de nationalistes aux tendances nazies et au couteau entre les dents qui refusent de voir combien nous vivons dans une Europe ultra-démocratique, qui sent bon le sable chaud, l'épanouissement et la liberté. Vous êtes un dangereux anti-démocrate, et je ne serais guère étonné que vous mangiez des enfants au petit déjeuner (étant également europhobe selon les critères de [s]Cédric Thomas[/s] Jean Quatremer [explication], je fais évidemment cela tous les matins après avoir tué quelques bébés phoques: ça fait partie du rituel des europhobes, en même temps que le Quatremer-bashing et la prière cinq fois par jour à Staline et Pol Pot).

Quatremer est un idéologue aveuglé et profondément inculte, pour qui l'UE incarne le camp du Bien, et tous ceux qui osent la critiquer font partie des forces du Mal. Tout ce qui contrevient à cette thèse est nul et non avenu, et ceux qui ont osé émettre des critiques argumentées sur le fonctionnement de l'Europe sont de dangereux sectaires assoiffés de sangs et dénués de cerveau. Et, en bon idéologue, Quatremer est convaincu que ses prêches non seulement contiennent la Vérité, mais qu'ils peuvent convaincre même les sceptiques.

Bref, pour Quatremer, le débat démocratique se résume à un épisode de Bioman [exemple:un épisode fameux de Bioman où Europe, poursuivie par le communiste Hadès, est sauvée par les super-forces de la troïka], qui doit être d'ailleurs la seule production culturelle accessible à son entendement, vu la faiblesse chronique des argumentations de cet éditocrate et l'incapacité de penser plus loin que le cadre libéral et anti-démocratique de la Commission, et plus généralement du fonctionnement institutionnel de l'Europe actuelle.
"The nose in the caca" c'est toujours agréable à voir surtout sur un suppôt Européiste du genre de Quatremer....

Quand à l'information elle même elle ne m'étonne pas, l'Europe est un catastrophe dont ne devrons sortir de toute façon et qui va nous couter vraiment très cher.
La question après ce sera de faire du "passé table rase" surtout au niveau des propagandistes qui ont collaborés à cette catastrophe.

J'éprouve une tel haine pour cette Europe que j’espère vraiment être là quand le moment des grandes explications va commencer.

On veillera à ce que ce soit "sport".
4mers = Apathie ben oui, c'est pas d'aujourd'hui
Bravo ! beau texte...
Malheureusement c'est pas ça qui va lui fermer le caquet, au Quatremer.
gamma
Autant vous le dire, j'aime pas Quatremer
Discuter avec ce pourri de Quatremer, vous n'avez vraiment que ça à faire de votre Dimanche.

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