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Le Scouarnec : autopsie d'un échec médiatique

Commentaires préférés des abonnés

Merci beaucoup pour cette émission passionnante très bien menée par Alizée Vincent avec à la fois la volonté d'aborder tous les aspects du sujet et la délicatesse nécessaire vu le sujet. Et des invités intéressants notamment Manon Lemoine et Hugo Lem(...)

Merci pour cette émission dont on sent l'émotion monter sans submerger Alizée Vincent (gros coeur pour elle). Passionnant à écouter et avec une belle circulation de la parole et de l'écoute.

Pour rebondir sur les propos des intervenants (et notamment (...)

Vous osez tout...


cl Michel Audiard

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Merci pour votre émission qui a permis d'avancer dans la réflexion de chacun.e des spectateurs - les invités remarquables ont enfin mis l'accent sur la gravité de la situation sociale et politique . l'essentiel.  MERCI à elles.

Il y a quelques jours, alors que je me brossais les dents et laissais mes yeux se promener, j'ai aperçu le petit bracelet tournicoté de ma cadette sur le bord du lavabo. Un bracelet imprimé de caractères rebondis aux couleurs vives, formant de manière si tragiquement banal le mot "princesse". Mais dans sa configuration du moment, et sous l'angle de mon regard, seules les lettres "inces" m'apparaissaient.


Je ne sais pas pourquoi, mais le raprochement des mots princesse et inceste a violemment heurté ma conscience. J'ai craché mon dentifrice, et jeté le bracelet.


Sinon, je trouve l'émission plutôt manquée malgré les efforts de chacun.e.s. J'ai l'impression d'avoir assisté à une tentative d'accouchement, mais comme le machin sortait pas et qu'on aime pas la vue du sang, on a pas osé sortir le scalpel. Et on a renvoyé l'ex future mère chez elle, avec un cadavre dans le ventre.

  J'ai finalement fait l'effort de regarder l'émission.

A mon sens elle tourne en rond, car si plusieurs fois

est évoqué le fait que les journalistes n'ont pas fait leur boulot,

rien n'est dit (ou c'est à peine évoqué) sur les causes de cette absence

de travail.

Dans le diplo de ce mois il y a un article de B. Bréville avec le témoignage

d'un étudiant journaliste : " Avant de faire une info juste, on nous apprend

à faire une info qui va marcher".

    Un deuxième point : Pourquoi s'étonner que le boulot ne soit pas fait

dans une société où les hommes et femmes politiques ont

des relations incestueuses avec les hommes d'affaires,

et les journalistes des "grands médias".

mélange de genre, mélange en tout genre !

 Par contre j'ai été attentif à ce qui est dit à propos des psy.

qui traitent les enfants de menteurs ou bien disent que ce sont des phantasmes.

Ceci non plus n'est pas du boulot, c'est même dégueulasse !

J’en suis à peine étonné, car tout a été fait pour arriver à

cette situation : à force de dire que les psy. ne racontent que des

conneries il fallait bien qu'ils en arrivent à dire des conneries !


Parler d' "inceste heureux", voilà qui mériterait bien une grosse mandale gentillette.

Ce ne sont pas des excuses valables mais peut-être que ce procès était trop proche de celui de Mazan, ou qu'il manquait une victime emblématique (pour nos médias).

Ce qui n'aurait pas dû empêcher de plus médiatiser ce dernier procès, qui en plus met à mal une fois de plus la "théorie" d'un certain parti qui prétend que les agresseurs viennent d'ailleurs et de loin.


Et aucun rapport avec le sujet de l'émission, mais comme c'est sûrement le meilleur endroit pour ça je voulais conseiller l'écoute du "En marge" (France Inter) d'il y a 2 semaines, consacré à N. El Moaddem, intéressant et émouvant:

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/en-marge/en-marge-du-samedi-17-mai-2025-1468250

Et désolé pour le cheveu sur la soupe.

Merci pour cette émission dont on sent l'émotion monter sans submerger Alizée Vincent (gros coeur pour elle). Passionnant à écouter et avec une belle circulation de la parole et de l'écoute.

Pour rebondir sur les propos des intervenants (et notamment de Cecile Cée), je signale la sortie récente d'une magnifique bande dessinée sur l'inceste et le traitement de celui-ci on sein d'une famille : On ne parle pas de ces choses-là de la journaliste Marine Courtade et de la dessinatrice Alexandra Petit. Edité par La Revue Dessinée (dont on ne soulignera jamais assez les bienfaits pour sa revue trimestrielle et ses hors-séries), la BD aborde un sujet dur mais dont la nécessité de le mettre sur la place publique est évidente : Comment parler de l’inceste ? Comment mettre sur le devant de la scène les viols d’un membre de la famille ? Comment éviter que cela se reproduise ? Et surtout pourquoi est-ce ceux qui dénoncent qui sont mis au ban de la famille et de la société ?

Une poignet de question et bien d’autres que Marine Courtade tente de comprendre et de répondre en procédant au même travail de synthèse que Thomas Vinterberg sur son grandiose "Festen". Cette approche si elle s’éloigne de la réalité (notamment en terme temporel) à le mérite de couvrir tous les aspect d’un drame dont les fragmentations causes des blessures terribles et durables.

A travers son expérience de victime qui a voulu faire parler sa famille, la journaliste retrace toute une histoire familiale comme tant d’autres où les secrets et les non-dits construisent une forteresse difficilement prenable afin de maintenir la cohésion d’un groupe dépassant rarement le stade de la sociabilisation de façade. On se réunis souvent, on passe des bons moments mais se connait-on vraiment et parlons vraiment de nous dans (ces) (les) nos familles.

La bande dessinée a également le grand mérite de mettre très bien en image l’environnement et l’histoire familiale tout en se questionnant sur les limites (un agresseur est souvent une victime, une victime ne devient pas forcément un agresseur par exemple). De manière générale, et c’est ce qui fait le très haut intérêt de la BD, le dessin d’Alexandra Petit est remarquable et permet de comprendre aisément toutes les nuances d’un tel drame touchant une grande famille. Voila encore un bel l’exemple pour montrer que la BD, en tant que médium, dispose d’un langage propre capable de faire passer et d’expliquer beaucoup de choses en un trait de crayon.

C’est un récit important, essentiel, dur souvent mais avec aussi un beau rayon de soleil. Parce qu’en parler c’est déjà commencer à détruire les ténèbres que produit le viol d’un membre d’une famille sur un enfant.  

Merci beaucoup pour cette émission passionnante très bien menée par Alizée Vincent avec à la fois la volonté d'aborder tous les aspects du sujet et la délicatesse nécessaire vu le sujet. Et des invités intéressants notamment Manon Lemoine et Hugo Lemonier.

Je trouve que Manon Lemoine, bien aidée par le dispositif de l'émission, arrive parfaitement à faire passer ce qu'elle a à dire et à élargir le débat. Et Hugo Lemonier fait honneur à la profession de journalisme et réussit à bien traduire les problèmes posés par ce procès en général et surtout la façon dont un journaliste peut traiter un tel procès et traiter la parole des victimes.


J'avoue que, pourtant, le sujet de l'émission ne m'intéressait pas tant que ça à la base. La raison en est simple. Les procès sur les "fait divers" (pas sûr que le terme soit bien choisi en l’occurrence)  ne m'intéressent pas du tout en général. Et je n'ai suivi que de très loin ce procès Le Scouarnec. Je fais certainement partie des gens qui font que les médias ne couvrent pas beaucoup le procès car ils pensent que cela n'intéresse pas beaucoup les lecteurs/auditeurs/téléspectateurs (mais c'est un peu le serpent qui se mord la queue).

Je pense d'ailleurs, même si c'est assez terrible à dire que, ce procès arrivant peu après celui de l'affaire de Mazan, les jounalistes et certainement le public éprouve un peu de lassitude. Je sais que c'est terrible mais il y sûrement un peu de ça, même si les 2 affaires n'ont rien à voir sur le plan des faits (et malgré les points communs sur ce que cela révèle de la société).


Je vois quand même deux écueils dans la couverture de ces procès.

Premièrement, ces procès sont couverts (même si imparfaitement) à cause de l'énormité des cas, le nombre de victimes pour Le Scouarnec et le nombre d'accusés (pour une seule victime) dans l'affaire Pélicot, et de l'horreur des faits. Du coup, cela invisibilise les viols et les incestes moins "spectaculaires" qui donnent lieu à des procès pas médiatisés (et souvent pas de procès du tout d'ailleurs). Et cela peut contribuer à cacher l'ampleur du problème. La société peut se rassurer en se disant que Le Scouarnec et Dominique Pélicot ne sont que des "monstres" hors de la société.

C'est justement ce que ne fait pas cette excellente émission d'ASI en insistant sur ce que ce procès devrait révéler sur les problèmes d'inceste et de viol ou de violences sexuelles dans la société et sur le fait que cela n'est pas le cas à cause de la façon dont le procès est couvert.


L'autre écueil, il me semble, est qu'un procès est le procès d'une affaire. La justice doit juger un ou plusieurs accusés et cela n'est pas forcément le rôle de la justice d'élargir le débat. Si les journalistes ne font que suivre et retranscrire le procès, rien de plus n'en sortira. Mais je suis d'accord que cela peut être le rôle des journalistes d'élargir le sujet à ce moment. On peut penser qu'un tel procès qui attire l'attention peut en être l'occasion. On peut aussi penser que ce sujet pourrait aussi (devrait) être beaucoup plus abordé dans les médias et pas seulement à l'occasion d'un procès "hors norme).



Merci pour cette émission qui traite à la fois du traitement média et du sujet lui-même, on y apprend encore plein de choses, même quand on connaît déjà assez bien le(s) sujet(s).

J'avais peur d'une redite de l'émission de Mediapart, mais pas du tout. Les invités ont ici la possibilité de s'exprimer plus en longueur, plus calmement, plus clairement. On comprend mieux les spécificités de l'affaire et ce qui a pu jouer dans le traitement médiatique. Et ce qui se joue encore... et ne se dénoue pas.

MERCI à ASI de tenter de rattraper 4 mois d'invisibilité... une émission à archiver précieusement...

Oserais-je rappeler que nous savons depuis plus d’un siècle que :


  •    - La sexualité humaine se structure universellement sur l’inceste,
  •    - Son passage à l’acte est le tabou absolu, sans exception aucune.


Ces deux principes, énoncés par Freud, sont universels, de tous temps, tous lieux, toutes sociétés confondues.

Il faut les considérer ensemble, à égale valeur.

Il est impossible de n’en retenir qu’un seul et de rejeter l’autre.


Ce que pourtant tente de faire le violeur ou l’incesteur en oubliant délibérément le tabou.

Mais également ce que fait la société, en contournant systématiquement la réalité de la sexualité structurée sur l’inceste.


Dans l’histoire et comment toujours, toute la charge de la compréhension en revient à la victime. 

Ca non plus ça n’est pas optionnel.

Vous osez tout...


cl Michel Audiard

Et oui, ce dont parle Freud ( et Levis Strauss) ce n'est pas de "l'inceste", 

mais de "l'interdit" de l'inceste.

 Tabou... c'est :juste : on ne regarde pas, on n'en parle pas !

Une grosse différence.

Et qui plus est, tout cela ne se passe pas dans la réalité,

mais dans l'inconscient !

Peut-être que "FH" est une IA ! ☺♫♪

♪♫♪♫.....


Merci d'exposer correctement les bases de la théorie freudienne..à laquelle je ne souscris d'ailleurs pas, comme d'autres courants dissidents.


La suite n'est pas une réponse, mais une suite de réflexions...


                                  ***


Mais pour critiquer une théorie, il faut auparavant l'exposer correctement.


Les crimes de lesouarnec sortent complètement du "champ" de la sexualité, ils rejoignent plutôt les crimes de l'affaire dite betharram.


C'est même beaucoup moins putacliquant car il n'y a pas de personnalité politique incluse.


Mais c'est tout aussi terrifiant dans l'acceptation de confier ses propres enfants à des malfaisants, alors que jamais on ne confierait sa bagnole à n'importe quel garagiste.


Qui aurait pu prévoir?


♪♫♪♫♪♫

Malheureusement non, les crimes de Scouarnec ne sortent pas du champ de la sexualité, ils en sont au contraire au centre et c’est bien tout le problème…


Si, comme Sade, Scouarnec s’était contenté de fantasmer dans ses cahiers, ça n’aurait pas posé problème.


Je le répète à nouveau, ce qui est ici condamnable, c’est le passage à l’acte.

On ne passe JAMAIS à l’acte, c’est un interdit absolu.

Vos théories sont aussi fumeuses que sinistres, à mon avis.


Sans majuscule, lesouarnec a "juste" profité de son statut de domination sur des corps d'enfants.

C'est bien autre chose que vos théories oedipiennes.


Et avec la complicité d'institutions.


Qu'il ait fantasmé ou pas, le souci n'est absolument pas là, au nom de quelle théorie, peu importe, ce qui est dramatique est qu'il ait pu nuire aussi longtemps...je sais qu'on manque de médecins mais quand même!


Ce qui ressort de ce que vous dites, c'est que nous sommes tous (et toutes?) animés par de bas instincts et que la plupart d'entre nous arrive à les réfréner?




Je n’ai pas de théorie particulière…


Bien sûr que Scouarnec a profité de son statut de domination sur des corps d’enfant.

Mais pour en faire quoi, sinon en jouir ?

La jouissance est nécessairement viscérale…


Sinon oui, l’humanité toute entière s’est construite depuis les origines, sur la répression de notre pulsionnel (ce que vous nommez « bas instincts »)

C’est même ce qui a signé notre extraordinaire réussite en tant qu’espèce hautement socialisée.


Sauf que cette réussite est fragile, parfois jusqu’à la souffrance.

Ca peut craquer de partout et certains peuvent se dire qu’après tout, il est finalement si facile de céder à la jouissance d’un pulsionnel sans limite.


En revanche, vous avez raison : La justice n’a pas à se soucier des fantasmes du violeur ni de ses justifications.

On ne viole pas, on n’inceste pas, c’est la loi et c’est tout.


A noter ce statut tout particulier de l’inceste au regard des autres crimes de toutes natures.

Il est presque toujours possible de trouver des cas où le meurtre, le vol ou n’importe quels autres délits puissent trouver une « nécessité » permettant de relativiser (ex. autodéfense, guerre, famine, etc.)


Concernant l’inceste, il n’existe aucune condition permettant de le relativiser.

Les incestes « nécessaires, » ça n’existe pas.

Bonjour Sorcière, avec majuscule,

je mets un mot juste par rapport à cette phrase: 

" Mais pour critiquer une théorie,

il faut auparavant l'exposer correctement." 


Je vais parler de ma démarche avec un exemple personnel.

Je sais très bien que parler de soi dans un forum comporte

des risques en retour, risque de ne pas être compris, et pourquoi pas,

pris à parti (pas par toi, je le sais aussi) mais je l'ai été ici par d'autres,

et à vrai dire, je m'en fou !!! cela ne m'a jamais fait un trou ☺


Voici:   J'entreprends il y a presque 50 ans un psychanalyse pour

deux (ou trois...) raisons. 

1) Je viens de finir des études de psychologue clinicien, 

ce qui veut dire que je veux être à même de rencontrer

des "patients"  en étant pas pour eux une nuisance 

au lieu d'un recours.

2) Ma vie personnelle s'est quelque peu compliquée,

ça arrive, sur le plan familial, et je ne vais pas bien.

3) j'ai la chance d'avoir connu un psychanalyste d'une

rare compétence...ça ne court pas les rues, et aujourd'hui

de moins en moins (ça aussi Freud l'avait prévu. Il disait

en substance: L'inconscient aura toujours tendance à se

refermer !)

4) J'ai toujours dans mon existence eu le désir, la curiosité,

d'aller de l'avant, en toutes circonstances, et donc pourquoi

pas avec cette chose mystérieuse pour moi, et pour bien d'autres,

qu'est notre "structure psychique", qui à tendance à nous échapper.


La théorie, j'y viens si on a eu la ténacité de me lire jusqu'ici: 

Avant mon analyse, pour mes études, j'essaie de lire "les écrits"

de Jacques Lacan. Au bout d'une trentaine de pages (sur mille) je renonce,

ne comprenant rien à ce que j'estime alors être du charabia.

Après mon analyse, je lis Lacan, Freud, Levis Strauss, quantité d'autres

écrivains dont je travaille les textes avec des collègues: Psychologues,

médecins psychiatres, philosophes, sociologues, mathématiciens etc...

Il ne s'agit pas de comprendre, mais de vivre les théories...


Etant à la retraite, un peu fatigué de ce long parcours, cela m'amuse

de te raconter tout cela, sans intention de convaincre, juste pour le

plaisir, comme dans la chanson ♫♪♫♪ Bonne journée et amitié . Gé




J'ai envie d'ajouter qu'aujourd'hui je suis triste

de ce qui se passe à Gaza ! Destruction, anéantissement

d'un peuple, sans que cela ne gratouille un tant soit peu

les capitalistes de notre planète en déconfiture, tant ce qui

prime pour eux c'est leur fric et leur nombril !

Autre chose...et cela répondra sans doute, en même temps, 

à la remarque de FH.

Je n'ai pas regardé l'émission sur le violeur et

je me suis éloigné des forums de toutes sortes, sauf à échanger un peu

avec quelques personnes avec lesquelles je peux avoir des affinités.

La raison en est que ce traitement de l'actualité me semble juste

fait pour en éviter un autre qui consiste à dire ce que l'on pense

d'une chose, une seule: à Gaza les israéliens sont en train de commettre

une barbarie sans nom ...

A la clef, quiconque ose ce propos est antisémite !

Bonjour Gé


J'avais bien séparé la phrase soulignée, en fait c'était pour introduire ma propre critique.


Mais je suis du "continent noir"...


Je suis intervenue sur ce fil parce qu'il y était écrit une ineptie, je ne vois d'ailleurs pas du tout ce que cette phrase venait faire dans une discussion au sujet de la non-couverture médiatique du procès d'un pédocriminel détenteur d'autorité.


Ce n'était en aucun cas une critique de la psychanalyse en tant que telle, personnellement je me réfère à d'autres courants...


Et coucou au lapinoù!


🎶🎶🎶🎵🎵

Bon sang, la communication sera toujours

"un sport de combat"

Ce n'est pas grave.

Je viens de comprendre la fonction des trois ***

N'y aurait-il pas de nouveaux ♪♪♪

♪♪ mais plus gros ou plus petits ?

Le lapinoù est preneur de la tech-nique !

Bon sang, dans un forum traitant du sexe

mes blagues à 10 balles vont faire fureur !

Ps: je me souviens de nos échange précédents

à propos des courant de pensée.

Qu'est-ce qu'il fait chaud ici, déjà !


Je viens de regarder l'émission et je comprends

le pourquoi de ta colère après les psy. qui traitent

les enfants de menteurs.

J'ai vu cette génération de psy se mettre en place !

Complètement à côté de la plaque...

Je n'ai rien à ajouter.

Si : il y a peut-être des flics qui ont plus de bon sens,

d'humanité et de cervelles que ces pseudo-lacaniens.

J'ai plus haut donné mon point de vue sur l'émission.

A bientôt



Par "autres courants", je pensais plus particulièrement au concept d'attachement, certes plus récent, porté par les travaux de John Bowlby.


 Bowlby réfute la théorie des pulsions et propose plutôt un ensemble de systèmes innés de comportements ou systèmes motivationnels favorisant les relations et qui sont corrigés quant au but par la réponse de l’environnement.


La théorie des pulsions est terriblement réductrice, voire dangereuse car elle exonère l'entourage.


Quant aux relations "incestueuses"...ce qui importe c'est pour faire quoi?

Sinon, je passe ça au tamis socratique.


🎵🎵🎶🎶

Bonjour Sorcière bien aimée,

Je me dis que ce forum est très sympa !

Il nous laisse tranquillement parler de ce qui nous intéresse.

Sur les 34 commentaires postés:

9 par toi

9 par moi

8 par FH

sauf erreur 26/34...c'est du lourd !

La question posée étant : les médias, l’inceste et le pervers.

De quoi parlons-nous ?

Je connais Bowlby depuis une trentaine d'années.

Pas en détail, puisque j'ai travaillé plus Winnicott, Anna Freud,

Mélanie Klein qui se côtoyaient à l'époque (39/45)…

En France c'est Jennie Aubry, pour ne parler que d'elle,

qui réfléchit à la petite enfance.

Bowlby c’est l’attachement, la détresse de l’abandon,

les liens ! Bien sûr que tout cela est important, mais je ne

vois pas en quoi travailler ces notions nuirait à la « théorie

des pulsions ». "Ça" dit Freud, ça pousse…ceci n’implique pas du tout qu’il ne faille tenir en aucun cas de l’environnement : la mère, son substitut si elle n’est plus là ! Non, mais par contre je sais que certaines

mères peuvent faire des dégâts. Dans l’émission il est dit à un moment

qu’elles savaient, mais ne voulaient pas savoir. Ceci relève du déni, donc de la perversion aussi…

Affaire à suivre

Je n'ai trouvé que cet extrait du film documentaire de Bowlby

ou bien sur un site où on peut acheter le DVD.

☼☺

 




Exact, pour Freud (et la psychanalyse) il s’agit effectivement de l’interdit de l’inceste.

Ou même, plus précisément, de l’interdit du passage à l’acte incestueux, préservant ainsi le fantasme incestueux, fondateur de la sexualité humaine.


Et à nouveau exact, ce fantasme réside dans l’inconscient, jusqu’à émergence sur le canapé, ce qui n’est en rien une obligation, bien au contraire.


Ce qui montre au passage comment opère le viol incestueux, en confrontant la victime à la réalité d’un inconscient qui aurait dû le rester.

Ca fonctionne comme une éviscération. Nous avons tous des viscères. Mais personne ne souhaite en vérifier la matérialité par éventration…


En revanche, je maintiens l’usage du terme tabou concernant le regard de la société sur la question de l’inceste.

Ce qui correspond très exactement à ce que vous proposez : On ne regarde pas, on n’en parle pas.


Sinon, pas trop bien compris, pourquoi serais-je une IA ?

Je rajoute que vous amalgamez inceste et viol incestueux, ce qui ne recouvre pas du tout la même réalité.



Votre délire viscéral est inquiétant!


Avez-vous les moyens de vérifier si vous aviez un cerveau?

Je suis capable de vérifier si j’ai des viscères avec mon cerveau.

L’inverse n’est pas possible…

Au sens anatomique, le cerveau est un viscère.

IA: Plaisanterie de ma part, des fois un peu trop précipitée, 

qui tient au fait que votre premier exposé était peut-être

un peu trop concentré sur quelques notions qui demandent

en réalité des années de travail pour en saisir la portée.

Ah !... Je comprends.

C’est du coup assez flatteur, j’en suis touché !


Je confirme qu’il faut effectivement produire beaucoup d’effort pour parvenir à une synthèse satisfaisante.

Pour ma part, ça m’a demandé un temps assez considérable sur le canapé, un peu ce dont vous témoignez dans votre message à la sorcière « qui n’est pas différente des autres. »

Mais lorsqu’on y parvient, la sérénité obtenue en apuration des passions tristes devient un privilège sans commune mesure…


Suis pas bien convaincu qu’un forum soit le lieu d’en discuter.

Mais si ça vous amuse, vous pouvez me contacter en MP.

Vous me direz pourquoi vous vous présentez sans les dents face aux sorcières…

… C’est pas très malin, non ?


Amicalement,

Je voulais vous envoyer un message privé mais pour

l'heure: impossible, ça ne fonctionne pas !

Je ne sais pas si cela vient de ma connexion,

ou du site

A bientôt

Effectivement, les MP semblent ne pas fonctionner.


Essayer de me joindre à cette adresse : q2io5qjwo@mozmail.com


Il s’agit d’un alias temporaire que je détruirai après contact.

Cela fait un an que les MP ne fonctionnent plus et que le webmaster "est sur le coup"...


Le dernier MP reçu est signé sans les dents d'ailleurs!

Puis-je te déconseiller fortement de donner ton adresse mail à FH ?


Ou une jetable.

C'est bon. J'ai pu regarder l'émission .
Pas de commentaire.

La video s'arrête à 37 : 15 ?? Sa durée est de 1 h 14 annoncée.

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