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Commentaires

Le féminisme du "Média" contredit par sa gestion (de crise)

La quatrième saison du "Média", enfin devenu une coopérative, devait être la bonne après les ères Chikirou, Lancelin et Robert. Mais son nouveau triumvirat dirigeant, mis sous pression par d'énormes pertes, a fait retomber les conséquences de cette crise financière sur les femmes : elles constituent l'essentiel des salarié·es précaires du "Média" et ont des difficultés à permettre à la webtélé d'assumer sa ligne éditoriale "féministe".

Commentaires préférés des abonnés

Article un peu à"charge" quand même.

Rappeler que c'est D Robert qui avait viré A Lancelin à l'époque.

Dommage de voir tant de querelles dans ces médias alternatifs. Blast et Le média s'affaiblissent mutuellement.

Ensemble ils auraient pu construire un (...)

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Dès lors que vos propos lors d'une interview sont tronqués, mieux vaut aider votre interlocuteur à faire de l'enquête avec des sources ouvertes en ce qui vous concerne. En quoi répondre en commentaires est un problème ? C'est pour les gueux les comme(...)

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Je ne suis pas choqué par une réponse ouverte dans les coms, perso. Je pense même que c'est plutôt sain d'avoir des échanges avec des personnes directement impliquées.


Mais ce n'est que mon avis :-)

Derniers commentaires

J'aime Le Média, j'aime ASI, je donne aux deux, alors... je suis désespérée de voir les relations humaines se détériorer à ce point d'une part et des journalistes se complaire dans la rédaction de ce délitement d'autre part!

Bref, c'est un foirage. 

J'ai hâte de lire la suite de cet article pour la saison prochaine.


Pour la direction du Média, avis très personnel : j'imagine que ça pique. Mais essayer de prendre en compte un avis extérieur. Ceux qui vous aiment ne devraient pas se désabonner pour cet article. À priori.

D'un point de vue d'un abonné : je n'ai rien contre Guiraud (même plutôt tendance à l'apprécier). Mais le mettre en avant en tant que chroniqueur, ça dessert un peu le positionnement de votre média, je trouve. On voit très bien vos valeurs. Peut-être pas la peine d'en rajouter ha ha ha. Ou a minima, le mettre un léger contradicteur en face.


Sinon autant l'appeler Le Média des insoumis lol.

Nous voilà complètement convaincus, après sa quinzaine de messages dans le forum, que M. Kouamouo n’a pas du tout un tempérament de harceleur. 


Qu’il sache que nous simple lecteurs, nous lisons l’article une seule fois. Que nous n’allons pas le relire à chaque fois qu’une modification est faite. Donc qu’il sache que son refus de faire un droit de réponse est nuisible à la prise en compte de ses remarques. 

Dommage pour lui.

Oui, un droit de réponse qui est en général annoncé dans le forum, qu’on aurait lu, fait une fois pour toute pour que les nouveaux lecteurs et les primo-lecteurs voient les « erreurs » de l’article et puissent en conclure quelque chose.

M. Kouamouo: mais non (au droit de réponse)

poisson: bah si


On voit bien que écrire tous ces commentaires est une façon de coincer Maurice Midena, de verrouiller toute solution, jusqu’où? Suppression de l’article? Faire virer Maurice Midena :-) ?

Je profite de la présence de Théophile Kouamouo sur ce forum pour poser quelques questions qu'il pourra peut-être transmettre à Taha Bouhafs :

Un des membres de ma famille étant abonné à Marianne, il me fait passer l'hebdo quelques jours après l'avoir lu.

Je ne l'ai jamais considéré comme un journal d'extrême-droite, mais Bouhafs déclarant que ceux qui y écrivent ainsi que ceux qui relaient ses articles sont des fafs, je me demande si la nature de son contenu ne m'aurait pas échappé.

Je commence à avoir des doutes sur les opinions politiques de ce proche qui ne m'avait pourtant jamais semblé diffuser des idées extrémistes. Je crains à présent qu'il ait cherché à m'embrigader.

A lire Marianne pendant toutes ces années, serais-je devenu fasciste à l'insu de mon plein gré ?

Est-il trop tard pour entamer une cure de désintoxication idéologique ? 

Et si c'est encore possible, quelles sont les lectures qui pourraient aider à m'en sortir ?

Il y a certes des choses à reprocher au Média Tv, mais faut-il en inventer ? Interpréter plutot que relater ? 

On dirait qu'avec le départ de Daniel Schneidermann, l'honnêteté a quitté Arrêt sur images.

Fidèle à ma logique de réfutation de cet article de mauvaise foi en toute transparence, je note l'ajout, ce vendredi 28 janvier au soir, "d'une précision sur les conditions du tournage perturbé d'Elsa Margueritat". En réalité, il ne s'agit pas d'une précision mais d'une contestation. Une contestation qui est le fruit d'un dialogue entre Maurice Midena et moi. Un Maurice Midena qui a tellement épousé les thèses de sa source qu'il se retrouve à ramer pour rééquilibrer au bout de la cinquième ou de la sixième modification de son papier. Je vous raconte ce qui s'est passé en coulisses pour arriver à cet "ajout".

Ce vendredi autour de midi, j'ai rencontré au Média Thomas Porcher, qui était le coanimateur avec Elsa Margueritat de L'Instant Porcher. D'emblée, il me dit qu'Arrêt sur Images l'a appelé au sujet du "craquage" d'Elsa lié à un tournage prétendument saboté par des collègues faisant du bruit exprès pour la perturber. Il a dit à Maurice Midena qu'il n'a pas été témoin de ce "craquage", et que les tournages se sont toujours déroulés dans une très bonne ambiance. Je comprends que ce témoignage n'arrangeant pas Midena, il ne l'a pas retenu. Après Thomas, un des témoins de la scène (que j'avais déjà interrogé quand Elsa avait transmis à la direction des plaintes sur ses conditions de tournage) explique que, oui, il y a bien eu craquage, mais que de toute évidence il n'y a eu aucun sabotage, juste du bruit de personnes revenant de déjeuner et ne se disciplinant pas assez vite - c'est le lot d'un grand nombre de tournages dans notre open space.

Bref, j'écris à Midena pour m'étonner qu'il n'ait pas pris en compte le témoignage de Porcher, et qu'il n'ait pas contacté de témoins directs de la scène décrite avant d'endosser la thèse d'une manifestation d'hostilité, "jusqu'à l'absurde". Il confirme avoir bien eu Porcher qui a dit n'avoir rien vu. Mais que la scène s'est déroulée après son départ. Et me dit que tout a été recoupé. Je lui fais remarquer qu'il n'a interrogé aucun témoin direct justement. Comment il a donc pu "recouper" ? Il me dit, incroyable, "s'ils ont des choses à me dire, ils peuvent m'appeler". Euh. C'était son job de les appeler avant d'écrire. Il finit par appeler UN technicien de plateau sur trois, qui lui dit n'avoir pas été sur place ce jour-là. Comme si le fait qu'UN des techniciens n'ait pas été sur place et dise ne pas m'avoir parlé suffisait à recouper son info. Je martèle qu'il n'a eu aucun témoin direct. Il finit par en appeler un qui dit que, oui, il y a eu du bruit, mais manifestement sans intention de nuire. C'est une réfutation : il la coince dans un bout de phrase entre parenthèses mais maintient sa thèse du harcèlement volontaire. Or il n'a pas non plus recueilli les témoignages des personnes qui étaient dans le studio et qui ont fait du bruit ce jour là. Il ne le fera qu'avec difficulté car aller jusque là effondrerait complètement sa thèse : en effet, la plus bruyante de ces personnes est tout simplement un des soutiens les plus bruyants... d'Elsa Margueritat. 

Une fois de plus, ASI rajoute une info qui remet en cause son narratif, mais n'en tire aucune conséquence. Oui, Taha n'a pas pu être "imposé" face à une femme vu qu'il a été recruté en décembre alors que le processus de recrutement d'une journaliste spécialisée féminisme et genre s'est étalé de janvier à mars... QUAND IL ÉTAIT DÉJÀ LÀ. ASI rectifie sa chronologie mais continue d'écrire que l'embauche de Taha a été "privilégiée" face à une femme, ce qui est faux. ASI continue de dire qu'Elsa a été chassée, là où elle a démissionné plusieurs mois après les incidents qu'elle décrit, et alors même qu'elle n'avait remonté aucun grief depuis des mois à ce sujet. Mais ASI dit qu'on peut être "chassée" même si on n'est pas "virée". Que "chassée" relève de l'interprétation.

Et là, la réalité d'un sabotage de plateau n'est corroborée par aucun témoin. Aucun "agresseur" n'a été appelée à s'expliquer. Le coanimateur de l'émission témoigne d'une bonne ambiance générale. Mais on rajoute des propos entre parenthèses et on parle de "précision" là où il s'agit d'une réfutation. Malhonnête.

Maurice Midena me demande d'arrêter de solliciter des modifications et de rédiger un droit de réponse. Mais non : jamais des erreurs manifestes ne sont compensées par un droit de réponse sur un support, Internet, qui nous permet de modifier. 

Un article au ton faussement neutre...

 Les tweets liké sont fortement connoté d'extrême droite 

Quitte à privilégier une star de la gauche et ses 100 000 abonnés sur Twitter. Une star pas forcément assidue au travail – comme Marianne l'avait révélé dans un portrait acide


allez chercher un article de Marianne pour taper sur Taha Bouhafs sur son "éthique au travail"; alors que celui-ci est systématiquement la cible du harcèlement de la droite et de l'extreme-droite (y compris Marianne donc) depuis des années; c'est petit; et c'est juste ajouter au "pile-on" qu'il subit. 

L'article est clairement à charge contre lui du début à la fin.  Ensuite on en saura pas plus sur les positions politiques de Marguaritat ni sur ce qu'elle écrit (je ne sais pas exactement ce que ça veut dire "anti LFI"); mais si elle adhère effectivement à la ligne éditoriale de Marianne on comprend très bien que ça puisse clasher (ce qui n'est pas une excuse pour que ça tourne au harcèlement bien sur). Après c'est de la responsabilité du "média" en question d'avoir un minimum de cohérence sur sa ligne éditoriale, mais chaque fois qu'on en entend parler c'est le chaos total; à un moment faut peut être qu'ils arrêtent les frais.

Bonjour à tous, merci sincèrement pour vos commentaires, auxquels j'ai essayé de répondre du mieux que je pouvais. Je me demandais, en vue de mon prochaine article, s'il n'étais pas opportun que j'amorce par un premier commentaire un fil de réponses d'évidées aux questions que vous pourriez avoir sur mon travail. Cela permettra au reste du forum d'échanger sur d'autres, et à moi de centraliser les remarques directes sur le contenu du papier. Qu'en pensez-vous ?
A vous lire
Maurice 

A la lecture du papier et des commentaires, cet article traite davantage de la politique d'un média concurrent dans les domaines éditoriaux et de ressources humaines qu'autre chose.


D'où la question : est ce le rôle d'@si ? 

"En décembre 2020, la rédaction, informée par la direction de son souhait de recruter le journaliste Taha Bouhafs, pose cependant une condition : l'embauche d'une journaliste dédiée aux questions de genre."


Il apparait évident qu'un média aussi fragile n'a pas forcément les moyens d'engager une journamaiste dédiée aux questions de genre. Ce sujet est important, mais en faire un axe éditorial est un non-sens si l'idée directrice est d'abord de recruter... des spectateurs.
Un média qui ne me parlerait que de féminicides et de discriminations hommes-femmes... n'aurait guère de public, nan ?

Bonjour 

On aurait aimé plus de discernement et d'information dans cet article, complètement centré finalement sur la personne de Théophile et celle de Taha Bouhafs. 

Parmi les femmes, pourquoi ne pas parler de Nadiya Lazzouni, présentatrice très régulière et talentueuse de la matinale ? (j'ignore son statut, mais peut-être ASI peut-il nous en dire plus). Et Lisa Lap ? 

Pourquoi, toutes les informations d'ASI sur le Média sont-elles systématiquement négatives, et ceci depuis le début (et sinon, c'est silence radio) ? Pourquoi, alors que l'émission sur les indé a invité il y a quelques temps Blast, où Mathias Enthoven a parlé du modèle économique de ce média, pourquoi, donc, personne n'a-t-il rappelé que c'est bien aussi (et d'abord) le modèle du Média. (Précision : je n'ai rien contre Blast, ni contre Mathias Enthoven).

Rappelons aussi que, il y a quelques temps, l'émission sur les écoles de journalisme du même journaliste laissait dire tranquillement à une des intervenantes qu'on peut s'interroger sur le statut de journaliste de Ruffin (avant qu'il soit député) et de Taha Bouhafs. 

Je ne fais pas de conclusion hâtive ou hasardeuse, mais je trouve tout cela un peu beaucoup.

Y a-t-il des inimitiés voire des rancœurs que nous (abonnés d'ASI) ignorions ? Pas très professionnel, si cela doit influer sur la qualité des informations.    

Votre article remanié (je ne sais plus à quel nombre de versions vous êtes, parce que vous n'avez pas signalé dans vos mises à jour l'ajout des propos de Julien Théry) reconstruit enfin une chronologie claire. "En décembre 2020, la rédaction, informée par la direction de son souhait de recruter le journaliste Taha Bouhafs, pose cependant une condition : l'embauche d'une journaliste dédiée aux questions de genre. Selon un journaliste, la demande est acceptée, une offre d'emploi est publiée, la rédaction rencontre plusieurs candidates de janvier à mars, et choisit Maud Le Rest." En gros, Taha est recrutée en décembre. Et Maud Le Rest choisie en mars. Mais vous maintenez que l'embauche de Taha a été privilégiée à celle d'une femme !!! C'est complètement absurde. Et cela a des conséquences. Taha se fait harceler (et pour le coup c'est du vrai harcèlement) sur Twitter. Un exemple : "Taha Bouhaf l’influenceur de gauche et féministe qui VOLE le poste d’une journaliste qualifiée". Le reste est à l'avenant. C'est la foire au racisme, au classisme et à la mesquinerie de cette petite bourgeoisie qui pense que tout lui est dû.

Vous avez rajouté le fait que Maud Le Rest s'indignait qu'on lui refuse une pige "sur les féminicides" au profit d'un projet d'"un projet de reportage sur des violences policières à Marseille de Taha Bouhafs (finalement annulé)". Il ne s'agissait pas seulement de violences policières, mais d'un crime policier. https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/police/violences-policieres/marseille-un-homme-tue-par-un-tir-de-policier-une-enquete-est-ouverte_4727525.html

Taha étant permanent, on ne doit pas payer de pige, mais on doit trouver des sous pour payer son déplacement en train. Et on a du mal à les trouver. En dépit du caractère tragique de cette affaire, Maud Le Rest se plaint : alors comme ça on peut trouver des sous pour aller enquêter sur un crime policier (en réalité on ne les a pas trouvés), mais on chipote pour lui donner des sous pour faire un papier de desk sur les féminicides ? En pleine campagne de levée de fonds, voici un bien mauvais signal, etc.

Au sujet de Cemil, il a été recruté pour renforcer la proposition d'actualité pendant mon congé paternité (durant le mois de juillet mais j'étais déjà empêché au mois de juin). Et on était obligés de le faire. Les audiences avaient littéralement plongé comme vous pouvez le voir sur le site de monitoring Socialblade. Elles sont passées de 4,2 millions au mois de mai 2021 à 2,7 millions au mois de juin et à 2,045 millions au mois de juillet. Une catastrophe industrielle. En août, après l'arrivée de Cemil et mon retour, on passe à 3,85 millions. Et en décembre, notamment grâce à la matinale, on était à 6 millions de vues mensuelles. On peut donc porter un regard global au lieu de tout faire entrer dans un narratif "forcé" sur un sexisme imaginaire.

Article à charge qui ne donne qu'un point de vue. Assez décevant de la part ASI. S'attaquer à un autre media de gauche qui est dans la difficulté je ne vois pas l'interet. En étant si peu factuel. Il n'y a pas assez de personnes sur qui enqueter ?

C'est pas en affaiblissant les autres qu'on se renforce.

Tiens, Alain payer Peyrefitte est toujours ministre de l’information, je le pensais mort ce gars ?

Quand un journaliste menace de dénoncer publiquement une consoeur en vue de son ostracisation pour s'être un peu trop écarté du dogme libéral d'êxtreme-gauche, on peut appeller ça de la "cancel culture" ou ça n'existe toujours pas ?

Voilà un travers de l'extrême-gauche qui a glissé et imprégné la gauche radicale : c'est le fait de s'exclure les uns les autres, toi t'es un-e facho parce que... , il n'y a pas assez de femmes, pas assez de ceci, pas assez de cela. N'importe qui peut venir, mais après, il faut des équilibres... 


Pas de petits chefs et pas de grands chefs, mais pas non plus de protocoles de prises de décision démocratiques. Comme si tout allait de soi, comme si une organisation n'était pas nécessaire pour que tout le monde sache comment fonctionne le groupe, ceux qui veulent entrer et ceux qui veulent en sortir. Un processus décidé démocratiquement, on ne connaît pas.

Les choses devraient se faire toutes seules, mais au bout du compte, ça ne va jamais. Il y a toujours des contraintes qu'on n'avait pas prévues et qui étaient si prévisibles. On fait mine de faire comme si on découvrait le problème... Mais si on l'admettait, ce serait la fin de tous nos principes qui sont apparus je ne sais pas d'où, et surtout pas ceux qui les professent. 

Tout le monde est dans ses émotions, c'est la foire d'empoigne permanente...


Ce serait seulement risible si les fachos '(les vrais) n'étaient pas, eux, en position de se mettre à décider, prendre le pouvoir, et surtout de prendre les plus mauvaises décisions, pour eux-mêmes, pour nous et pour tous les autres.


Pour ce que ça vaut, je continuerai de soutenir Le Media ET Blast! Même si comme nombre de personnes ici, ça me déprime ces guerres de chapelles, ces exclusions, ces procès... je déplore la division de la gauche, des syndicats et des médias non-alignés sur l'oligarchie.

Sans doute ma lâcheté, mais j'arrive pas à me décider:  qui est le plus vertueux, le plus idéologiquement pur, le plus indépendant, le plus incorruptible?

Pendant qu'on discute pour savoir s'il vaut mieux en priorité "féminiser" un plateau ou le "pluraliser" (pardonnez le néologisme à la con, je trouve pas de bon terme) on s'écarte d'une des raisons de ces situations: le manque de moyens qui fait que toute décision sera un non-choix, comme devoir choisir entre "manger à sa faim" ou "se chauffer par grand froid".

Sur un autre sujet, comme déjà écrit dans un commentaire plus haut, par rapport à la colère de Taha Bouhafs sur ce qu'il assimile à de l'islamophobie déguisée, il y a un truc qui semble lui échapper, c'est qu'une partie non négligeable de la gauche hérite de l'analyse marxiste, des combats pour la laïcité (loi de 1905), a lutté ou lutte encore contre l'influence des religions dans la sphère étatique, éducative (plus de 90% des établissement d'enseignement privés sont catholiques), médiatique. Il y a encore 50 ans, dans ma région les recruteurs demandaient aux curés du coin si telle ou tel allaient à la messe le dimanche (sinon c'etait le risque de faire entrer PCF/CGT dans la boîte) avant de les embaucher.

Des gens se réclamant de la ligne politique qui a combattu longtemps l'influence du curé dans les classes populaires sont donc tout autant hostiles à l'influence des représentants des autres religions, ça me paraît logique, c'est le contraire qui est incompréhensible.

Je me souviens avoir défilé contre la venue de JP II à Pa

Une autre erreur/mensonge. Il est écrit en chapeau qu'Elsa a été "chassée" par "différend idéologique". C'est complètement faux. Elle est partie d'elle-même, principalement en raison de la présence de David Guiraud comme chroniqueur. Elle a expliqué (dans des messages Telegram qu'elle a détruits) que ça l'embêtait d'avoir un média où chroniquerait un PP de la FI alors qu'elle doit piger pour LCP. Elle a démissionné, alors qu'elle avait reconduite pour la nouvelle saison comme présentatrice de L'Instant Porcher. Elle a démissionné sans respecter le délai de préavis d'un mois. Quelques jours après sa démission, elle mijotait sa revanche en entrant en contact avec Mathias Enthoven de Blast (ce que le journaliste qui a écrit le papier sait, mais qu'il tait). Elle n'a jamais été chassée.  Pouvez-vous modifier cet intertitre ?

Maurice Midena fait une mise à jour où il n'admet pas sa grossière erreur de chronologie. On passe d'une histoire où il dit que Taha a été recruté en scred alors que "la rédaction" demandait l'embauche d'une journaliste spécialisée dans les questions de féminisme à la vérité, c'est-à-dire que l'embauche de Taha a eu lieu AVANT cette demande d'une partie de journalistes. Mais il maintient quand même cet intertitre mensonger. "L'embauche de Taha Bouhafs imposée face à une femme". Maurice, pouvez-vous retirer cet intertitre SVP ?

Question subsidiaire ? Etes-vous au courant des dizaines de messages injurieux et du harcèlement en ligne subi par Taha Bouhafs depuis votre papier fondé sur une chronologie tronquée ? Avez-vous fait exprès d'opposer l'embauche d'un journaliste racisé à celui d'une femme (ce dont se réjouissent Printemps répub et extrême droite) ?


Rebonjour, étant l'auteur de la mise à jour (Maurice est occupé ailleurs), merci infiniment pour cette demande : il fallait effectivement aussi corriger l'intertitre, ce qui est désormais le cas. Pour le reste, Taha Bouhafs est nommé, ici comme ailleurs dans cet article, parce qu'il n'est pas un illustre anonyme mais un journaliste connu dont la notoriété n'est pas anodine dans le cadre des faits et échanges rapportés. Bonne journée !

Loris, je suis désolé, maintenir que son embauche a été privilégiée par rapport à celle d'une femme est faux. Il a été embauché, et par la suite il a été question d'embaucher une femme "gender editor". Nos moyens ne le permettant pas à ce moment, on s'est mis d'accord sur le fait de garantir un volume de piges important à Maud Le Rest. Au point où (pratique qui n'existe quasiment pas en France, surtout dans nos petits médias) on lui a payé des piges qu'elle n'avait pas encore faites sur trois mois pour lui permettre d'avoir au moins un équivalent mi-temps. Par la suite, les difficultés financières ont été plus fortes et on n'a pas pu aller plus loin. Donc il n'y a pas eu de "privilège Taha". C'est faux. 

Rebonjour, ce n'est pas ce qui est écrit noir sur blanc dans les éléments qui nous ont été transmis : il est bien indiqué, en décembre, qu'un "compromis" avait été trouvé entre la rédaction et la direction, la première acceptant l'embauche de Bouhafs "à condition qu'elle soit assortie d'un engagement écrit pour le recrutement d'une journaliste en CDI choisie par la rédaction, pour traiter des questions de genre et des violences sexuelles et sexistes". Le terme d'embauche "privilégiée" me semble donc bien s'appliquer. Mais chacun peut se faire son avis, c'est pourquoi je me permets de citer dans ce commentaire. Bonne journée !

En même temps, quand on lit les paragraphes sur Elsa Margueritat et Taha Bouafs, les mots de harcèlement moral viennent tout de suite à l’esprit. 


Ce n’est pas une raison pour  sauter sur Taha Bouafs sur les réseaux sociaux, mais ça fait plus que poser des questions sur le respect du droit du travail au sein de votre rédaction... 


Et, entre nous, si on pouvait éviter de se servir de « Printemps Républicain » et « Extrême-droite » comme des safe words pour protéger des râclures, ce serait pas mal. 

Lectrice assidue d'@si et spectatrice régulière de la Contre-Matinale, je me permets ce petit commentaire même si vos questions s'adressent à l'auteur. 

Vu d'ici, donc.

Concernant la floppée de message injurieux; nous avons comme colocataires @sinautes des personnes aux idées bien brunes et nauséabondes. Leur nombre et interventions ici croissent de manière assez significative, souvent dans le but de troller.... Gloups. Il faut croire que personne n'y échappe. 

De là à sous-entendre qu'il s'agit d'un fait exprès du journaliste, rien de ce que j'ai lu ou vu sur ce site ne me laisserait le penser. Est-ce un peu la colère qui vous fait poser ce doute? 

Peut-être pourrait-on faire un pas de côté, et sortir des attaques de personne. Et s'interroger sur les mécanismes et le système qui engendre les travers du patriarcat sans que ce soit volontaire. Des choix qui sont faits sans penser à mal mais qui perpétue ce que l'on veut combattre. Par exemple, des choix de personnes apportant leur notoriété et qui sont classiquement ... des hommes. Des choix de sujets qui intéressent a priori le plus grand nombre et non pas que des concerné.es et donc... aussi des hommes. 

Revenir au systémique. 

Pour y penser tous, à l'interne comme à l'externe, sans en faire un jugement personnel. Et y penser à froid. 


Bah, oui, ça fait un peu ch.... de voir ses médias préférés s'écharper ;)

Du moment que les trolls aux idées brunes et nauséabondes financent le travail d’ASI, c’est plutôt cool je trouve :-) 

L’argent n’a pas d’odeur. 

Quoi chronologie? L’idée d’une journaliste pour traiter des questions du sexisme etc,. est arrivée au débotté le jour de la décision du recrutement de Taha Bouhafs? 

Pourquoi ce n’est pas Taha Bouhafs qui a été recruté pigiste?

Vos commentaires M. Kouamouo démontrent une fois de plus que les entraves subies parce qu’on est femme ne sont jamais prises en défaut car, pas si bête, tout est toujours bien emballé pour que ce soit la faute a pas de chance. 

C’est inconscient? Bah justement prenez conscience!

Mr Kouamono, , vous aurez du mal à faire pleurer dans les chaumières à propos de Taha Bouhafs. Il a été condamné par la justice pour racisme. et on peut légitimement s'interroger sur sa frontière personnelle entre journalisme et militantisme.

Puisque les gens du média lisent ici, quelques messages de la part quelqu'un qui suivait mais a arreté :


Il y a depuis longtemps au Média du male spreading bien visible : 

- la mise en scène de Porcher interrogé par des jeunes femmes qui dans la forme lui demandent sans arret  de les éclairer, son avis, etc. 

- la "titrologie" imposée par Kouamouo comme une base de réflexion, parce que il faisait ça chez lui étant plus jeune ... super ! On sent la même attitude typiquement Camerounaise concernant les religions chrétiennes et musulmanes. Théophile est un conservateur (certes avec une autre culture que la franchouillarde, mais de la même doctrine visà vis de sa propre culture)

- L'attitude de Théry  (à regarder 5 min. pas besoin d'autres explications... le coq dans une basse court)

- faire de la religion un non-débat et confondre droit à avoir sa religion perso (porter un foulard, parler des individus discriminés...sans casser les gonades aux autres avec sa religion, même si elle est victime de discrimination : qu'une personne soit discriminée est inceptable, mais la religion ne ressent rien et n'est donc pas à mettre sur le même plan que des individus !), et défense inconditionnelle des religions et surtout musulmane, notamment chez Taha (qui est super par ailleurs), au lieu de défendre une culture magrébine par exemple plutôt qu'une religion (faut comprendre que la france vient de passer deux siècles à combattre catho et protestant ! C'est pas pour trouver des qualités à une nouvelle sous prétexte que leurs adeptes sont persécutés par les reliquats de ceux qui défendent les deux religions combattues avant !). Ne pas s'autoriser une regard extérieur (comme ce qu'il reprocherait à Margueritat) et une introspection sur ses origines (religion, culture, habitus) se sent fortement chez Théophile et Taha, alors qu'ils invitent sans arrêt des gens capable de recul sur leurs propres traditions (chasse, religion catho ou autre, colonialisme européen, etc.)


Heureusement qu'il reste le stagirite (quoique on sent la défiance sur les derniers épisodes!) et Cemil, et des supers invités sinon je ne regarderai plus du tout, et j'ai renoncé à financer, ça se sent trop que ce média est borderline sur plein de sujets.


Depuis l'affaire avec Lancelin, on sent que Kouamouo et Théry and cie (male alphas) font la pluie et le beau temps. dommage que Robert et Lancelin ne se soient pas retrouvés et soutenus.


Autant je souscrivais à une doctrine visant à contrebalancer le manque de diversité des autres médias dans le sens opposé...mais là, avec le déséquilibre assumé vers les nords africians et africains de l'ouest, et vers religion musulmane que les autres diversités (ex : manque de campagnards et provinciaux, manque femmes, manque de lgbtq+, manque d'origines asiatiques, des DOMTOM, de Polynésie,  pourtant eux aussi avec une histoire coloniale, ... bref, simulacre de diversité pour mieux imposer une autre norme : celle des mâles d'origine d’Afrique religieuse.


Quel dommage que tous ces médias ne soient pas unis dans un seul car les garde-fous que constitueraient leurs collègues avec des visions autres serait garant d'un média plus sain pour tous (journalistes qui progesseraient et audit.eur.rices également). Je suis sûr que Théo, Taha, ... les autres chez blast, média, frustration, etc. en sortiraient tous grandi.e.s de se confronter aux regards des autres au quotidien !

Par contre, ce refus du contradictoire est très problématique au Média depuis la départ de Lancelin !




 

Je me demande si les dirigeants du Média réalisent la somme de consternation, de colère et de déception que l'évolution de ce média a engendré chez leurs soutiens présents et passés. Je suis également électeur de Mélenchon, signataire de ses propositions de candidatures en 2012 et 2017, donateur à ses campagnes et à LFI, et qu'il donne la main à cette aventure bien peu honnête ne me plait pas, je dois bien le dire. Que les ponts soient coupés entre LFI et le Média serait sans doute une bonne chose pour les deux, à ce stade.

Quand on lit l’article, l‘éléphant dans la pièce c’est quand même Taha Bouafs et ce qui ressemble franchement à du harcèlement moral. 


Dans quelle entreprise, un salarié peut-il en toute impunité 1/ éplucher les réseaux sociaux pour regarder ce que sa collègue tweete ou like (stalking?) et 2/ en faire la publicité auprès de collègues pour nuire à sa réputation? 

Tous ces petits media dits de gauche ressemblent à la gauche. La foire d'empoigne. Quand on est pas soutenu par les annonceurs on est de fait sous la pression des lecteurs et des courants idéologiques, loin du journalisme. On cherche des cibles qui vous soutiennent. Bouhaf joue les terreurs et ne soutient pas les musulmans ce qui serait normal mais l'islam politique ce qui est bien différent. L'autoritarisme y règne en maître d'où la position qui se dévoile sur les femmes. Bref aucun intérêt lorsqu'on veut être informé, parfait par contre si on veut être conforté ...  alors il s'agit juste de trouver la web tv ou autre qui vous correspond. On est à l'heure du marketing pas du journalisme. Ainsi va la société aujourd'hui !

Ancien Socio fondateur du Média, je peux confirmer les informations contenues dans cet article.

Alerté par la démission de l'une des Socios siégeant au Conseil de Surveillance, je l'avais contactée, ainsi que les journalistes Maud et Elsa dont il est question dans l'article. Ce qui m'a convaincu de quitter Le Média afin de ne plus cautionner ces errements quant à la gestion préoccupante des "ressources humaines", notamment féminines...


Sur le fond, si l'on ne peut évidemment nier l'influence du problème de fond, à savoir des ressources matérielles insuffisantes suite aux différentes crises internes qui ont secoué le jeune média indépendant, on ne peut passer sous silence le rôle néfaste et délétère d'une direction aux abois, finalement prêts à tous les renoncements pour sauver la boutique.

J'en suis triste, car Le Média fournit un travail essentiel, de salubrité publique si j'ose dire, à une époque de toute puissance des médias aux mains des milliardaires. Mais la formule a fait long feu et force est de constater que cette aventure a abouti à une impasse. Un nouveau média accessible à tous et soutenu par des cotisants-sociétaires reste à inventer !

Je voudrais rappeler qu'ASI  a été construit sur "la critique" des médias. Donc, à priori rien de choquant  à ce qu'il s'intéresse à la web télé Le Média.

Ce qui me dérange ici, c'est que l'article dénonce surtout le fonctionnement interne de ce média et pas la construction et le contenu de leurs émissions par telle ou telle personne comme c'est le cas habituellement.

Socio de la première heure, j'ai arrêté ma contribution financière lors du départ de Sophia Chikirou. Après l'arrivée de Denis Robert, la situation a eu l'air de se stabiliser et j'ai alors envisagé de la reprendre, mais son éviction ne m'en a pas laissé le temps. Le problème de fond pour moi, c'est que lors des multiples psychodrames qui ont ponctué la vie du Média, rien n'a jamais été clair. Il y a une opacité intrinsèque dans leur manière de fonctionner.


Après le départ de Denis Robert, j'ai définitivement lâché l'affaire et je participe depuis au financement de Blast, l'excellent média fondé par celui-ci après son éviction du Média.

"Si je l'ai dit (le terme de "folle", ndlr), ce n'est pas devant elle." : Ben... c'est encore pire, en fait. Dire de la merde derrière le dos des gens, c'est pire que de leur dire en face, où iels ont la possibilité de répondre et où iels sont au moins au courant !

Le Média n'a rien compris. Déjà rien que le nom c'était nawak. Mais franchement, qui veut regarder un média qui affiche autant sa dépedance à un parti et relaie sa propagande, malgré les quelques efforts symboliques de prise de distance avec LFI ? Tout comme regarder CNews qui roule ouvertement pour Zemmour ne m'interesse pas, regarder un média qui roule ouvertement pour Mélenchon ne m'intéresse pas. La propagande LFI m'intéresse parfois, mais je la regarde en connaissance de cause, avec le recul qui convient. La position du Média brouille les lignes et j'ai horreur de ça, ça manque de professionnalisme. Ce que je veux voir sur un média, c'est du travail de journaliste, pas des chroniques de David Guiraud !


Ils font le choix d'engager des stars pour remonter les audiences, au lieu de faire du journalisme. Peut-être qu'à court terme ça va les aider, mais c'est ce qui les tuera à long terme.

méthode éprouvé des conspis et autre confusionnistes : pinailler sur des truc plus ou moins insignifiants et sous entendre que si il y erreur ici tout le reste de l'article est sujet à caution,

Je suis Théophile Kouamouo, une des personnes mises en cause avec une grande malhonnêteté par l'auteur de cet article. Il m'a interviewé juste pour accréditer sa thèse, n'hésitant pas à déformer certains de mes propos. J'entreprends donc d'entrer en dialogue avec lui ici, devant les abonnés d'ASI. J'y vais.

Bonjour, Maurice, tu écris :

"Fin 2020, les journalistes demandent à la direction l'embauche d'une journaliste dédiée aux questions de genre. Ils proposent la journaliste Maud Le Rest après avoir rencontré plusieurs candidates – la direction avait donné son accord, selon le délégué SNJ-CGT. Surprise : entretemps, Kouamouo a approché le journaliste de Là-bas si j'y suis, Taha Bouhafs. La direction le recrute, Maud Le Rest devra se contenter de proposer des piges."

Ta chronologie est fausse, comme en témoignent de nombreux échanges internes que je tiens à ta disposition. Je me demande pourquoi tu ne m'as pas interrogé à ce sujet.

C'est le 26 novembre 2020 que j'informe le Comité de direction du Média du fait que Taha Bouhafs serait intéressé de nous rejoindre. Ils me donnent un OK pour discuter avec lui afin d'en savoir plus sur ses intentions. Je lui donne rendez-vous pour le lundi 30 novembre 2020. Et j'en informe le jour même les journalistes qui sont en conférence de rédaction. Certains s'y opposent, d'autres sont enthousiastes. Un débat naît et finalement une "solution de compromis" est proposée par un des journalistes au départ hostiles à l'idée. Cette solution est la suivante. OK pour le recrutement de Taha, mais en contrepartie la direction doit s'engager à recruter une femme qui travaillerait sur le féminisme et les questions de genre. Cette solution de "compromis" est votée par 7 journalistes sur 9. 

Donc ce n'est pas moi qui vais en loucedé recruter Taha alors que "les journalistes" ont réclamé auparavant l'embauche d'une journaliste spécialisée dans les questions de genre. Je tiens à ta disposition les échanges qui prouvent mes propos, et te demande devant tes abonnés de rectifier ton affirmation qui est fondée sur une chronologie tronquée, volontairement ou pas."

suite a ses prises de position sur la Syrie ce machin méritait de crever des la première année .

en fait, on comprend pourquoi Kouamouo réoriente Le Média : plutôt que de recruter des femmes, il recrute des racisés. je trouve que le positionnement se défend, d'un point de vue gauchiste-woke.

Alors ASI on joue au jeux du dézinguaje de la concurrence ?

Les parts de marché sont chères ..... comme toujours

Cet article ne me surprend pas. J'ai été déçu de l'orientation du Média après le départ de Denis Robert, et j'ai cessé de suivre la plupart de ses émissions. J'ai l'impression que les questions sociales et environnementales ont été mises au second plan. Déçu également de l'arrivée de Thomas Porcher, dont j'appréciais les interventions mais dont la présence hebdomadaire le transforme peu à peu en "toutologue". Après, si ça plaît à certain(e)s, tant mieux ! Personnellement, je me reconnais davantage dans le contenu proposé par Blast.

On ne doit bien évidemment pas s'interdire de critiquer le "Media" sous prétexte qu'il serait de notre bord.


Après faut aussi faire gaffe à ne pas tomber dans le sophisme de la solution parfaite.


Le Media évolue dans une France profondément sexiste (en l’occurrence), il n'est donc pas surprenant que même en lui supposant beaucoup de bonne volonté, celui-ci reproduise des mécanismes sexistes.

Pour ne pas harceler la journaliste sur le web, les harceleurs s'en prennent à elle sur son lieu de travail, la classe.

Préférer Taha Bouafs a Maud Le Rest, offre un aperçu de la haute idée que le Média se fait du journalisme.

Article un peu à"charge" quand même.

Rappeler que c'est D Robert qui avait viré A Lancelin à l'époque.

Dommage de voir tant de querelles dans ces médias alternatifs. Blast et Le média s'affaiblissent mutuellement.

Ensemble ils auraient pu construire un média plus puissant et plus audible. Fidèle auditeur du Média avant , je ne m'y retrouve plus. Ni dans Blast d'ailleurs. Dommage

A noter les interventions remarquables de Thomas De Dietrich sur l'Afrique


Constat désolant. En tant que donateur du Média, je suis déçu. Les journalistes vont et viennent sans que l'on sache jamais s'ils ont été virés ou mis en disponibilité par manque de moyens. Les émissions sont irrégulières et, à lire l'article, le fonctionnement en interne semble tout aussi opaque et brutal. Cette web télé va-t-elle survivre aux élections ? Je me le demande. 

Lancelin a perdu son procès contre la chaîne, il reste à voir ce que donnera celui de Denis Robert.

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