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De Stanislas à Macron, le réarmement en marche

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Pour les filles l'abaya me semble correspondre en tous points aux exigences Stanislas : opaque, couvrant les épaules, décent, ne moulant pas le corps... Je pouffe !

En matière de réarmement démographique


               Macron : réarmement zéro

               Attal : réarmement zéro


C'est un peu comme si moi, grand athée devant l’Éternel(...)

"Mais tout peut aujourd'hui laisser penser que le mouvement s'effectue en sens contraire, et que c'est plutôt le libéralisme économique, qui fait mouvement vers l'illibéralisme sociétal." Merci Daniel, c'est important de dire que ce mouvement n'est p(...)

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 "  ...  la toujours ministre de l'Education Amélie Oudéa-Castera.  "  .


Merci D.S.  pour cette délicatesse, un rayon de soleil dans ma matinée !   

Si j’insulte le président sur ce forum, assortie d’une incantation à ce que sa vie soit écourtée, cela relève-t-il du pénal ?

Mais M Macron a été scolarisé dans ce même genre d'établissement,lycée La Providence,et à effectivement fait du théâtre.Il duplique.

Hum, au sujet de la dernière phrase du billet de Daniel, avant d'inscrire le droit à l'IVG dans la constit, on aurait pu imaginer d'inscrire (avec) l'interdiction de la peine de mort. Je sais, c'est politiquement à haut risque de mettre ensemble IVG et interdiction de la peine de mort, mais surtout, il ne faut pas le dire. L'IVG seule, fait partie des "questions sociétales" dont raffolent les classes moyennes.


On pourrait aussi inscrire dans la constitution, l'interdiction de la peine de mort administrative : l'usage "des armes létales" par la police sur vague présomption de terrorisme. 

La manière américaine d'exécuter la peine de mort. Pas de prisonnier, plus besoin de procès.

QUand les francais sont bien trop nombreux, il y a en qui parlent encore d'augmenter la démographie... J'ai hate de voir comment il va faire ca...

Comme à chaque fois, je n'ai pas regardé le baratin de Macron. Apparemment, si on en croit l'Obs, concernant l'uniforme à l'école, ça sera généralisé "si les expérimentations sont concluantes". Concernant une mesure dont on ne voit pas trop ce qu'on en attend, ça veut dire quoi, une expérimentation "concluante" ? Quel est le problème qu'on cherche à résoudre avec cette mesure ? Ca n'a jamais été dit, parce que nous en sommes au niveau zéro du débat politique.


Je ne suis pas le premier à le proposer, mais un bon débat politique, si on ne veut pas se perdre en route dans des considérations émotionnelles ou dans l'anecdotique, si on veut qu'il soit constructif et productif, ça se structure à peu près comme ça :


1. Quelle est la situation actuelle ? Définir les contours du ou des problèmes qu'on cherche à résoudre, en étayant avec des données chiffrées. Inutile de vouloir passer à l'étape suivante tant qu'on n'est pas d'accord sur ce constat. Il est clair que des gens de différents milieux risquent de faire un constat très différent. L'exemple typique, c'est la situation socialo-économique du pays : selon qu'on soit SDF ou chef d'une entreprise florissante, on ne va pas constater la même chose.

2. Quelle est la situation à laquelle on ambitionne d'arriver ? Quelle vision d'avenir préconise-t-on ? C'est le moment de dépeindre un avenir désirable. Inutile de vouloir passer à l'étape suivante tant qu'on n'est pas d'accord sur cet objectif. Il est clair que selon son bord politique, on ne va pas viser le même objectif. A gauche, on va viser vers plus de justice sociale, alors qu'à droite, on va vouloir "libérer les énergies", voire s'acharner sur les étrangers.

3. Quels sont les mesures qu'on propose pour passer de la situation actuelle constatée à l'objectif désiré ? Il faut évidemment étayer ces mesures avec des raisonnements qui permettent d'expliquer comment ces mesures sont capables d'entrainer ces effets. L'exemple que je prends généralement, c'est la loi de 2011 de Najat Vallaud-Belkacem visant à criminaliser les clients de prostituées. Cette loi me parait un cas très intéressant. L'objectif d'une politique concernant la prostitution n'est pas le même selon qu'on soit de droite ou de gauche. A gauche, on va chercher à aider les vraies victimes de la situation de traite sexuelle, c'est à dire les prostituées elles-mêmes, alors qu'à droite, on va chercher à "nettoyer les rues". La loi de Vallaud-Belkacem affirmait vouloir protéger les prostituées, mais ô surprise, il ressort que la traite sexuelle n'a pas disparu et que désormais, les prostituées sont confinées dans des bordels clandestins où elles sont soumises à leurs maquereaux comme jamais. Par contre, les rues sont désormais "propres", à la grande satisfaction des bourgeois. Donc finalement, cette loi, mesure de gauche ou de droite ?


Bref, cette manière de procéder permettrait de mettre un peu de méthode et de rationalité dans le débat politique et moins de passion et de fantasmes. Il faudrait militer pour l'imposer.


Dans le cas qui nous intéresse ici, on s'arrête dès la première étape, car il n'est évident du tout de savoir quelle situation actuelle problématique le port de l'uniforme va permettre de résoudre ou d'améliorer. De quelle manière sera dans ce cas décidée sa généralisation ?

Mais suis-je débile (on peut me répondre que oui) de trouver scandaleux qu’aucun journaliste hier ne soit revenu à la charge devant Macron sur ce rapport ? Il a traité cette école comme n’importe quelle autre école privé !! Et que fera la ministre de ce rapport ?? Tout le monde s’en fout ? 

Le "cap" est désormais très clair: plein emploi, natalité et Marseillaise et SNU obligatoires , immigration "choisie", autrement dit "travail - famille - patrie"


Nous remercions tous les constructeurs de barrage qui ont voté Macron pour éviter le Pen. Grâce à cette entourloupe intellectuelle, nous avons Macron qui met en œuvre le programme du FN (il est instructif de le lire aujourd'hui...). 


Par ailleurs, comme l'explique cet excellent article de blog sur Médiapart (https://blogs.mediapart.fr/paul-devin/blog/130124/petite-exegese-d-un-propos-ministeriel-sur-l-ecole-privee ), non la ministre de l'éducation n'est ni maladroite ni idiote. Nous entrons dans une ère de l'ultra-libéralisme, soutenu par le milieu catho intégriste et réac, dans lequel les inégalités sont assumées, voire voulues, car indispensables au maintien du système économique capitaliste. 


Nos dirigeants assument leur intégrisme, leur désir "d'excellence" pour leur progéniture, destinée à perpétuer la classe dominante et dressée pour cela dans des établissements privés. Établissements dont le gouvernement et le chef de l'état assument parfaitement de les mettre sur le même plan que l'école publique. Il y a ceux qui réussissent, eux, et ceux qui ne sont rien, les autres. La domination en marche...


On a du ouvrir le champagne dans le milieu de l'enseignement privé catholique. Il serait bon que les services de l'EN se penchent sur les pratiques de TOUS ces établissements, qui flirtent allègrement avec l’illégalité quant aux contenus enseignés et aux pratiques. Stanislas est un cas particulier puisque la ministre de l'éducation y a inscrits ses enfants, mais ce n'est pas un cas isolé. 


Le séparatisme est en marche, et il n'est pas là où on veut nous le faire croire.


Merci M. Schneidermann. Je relève cette phrase : "c'est plutôt le libéralisme économique, qui fait mouvement vers l'illibéralisme sociétal. " Elle explique très bien la dérive rapide de notre président et de son parti : face aux dégâts sociétaux que provoque la politique ultra-libérale de la macronie (et celle pratiquée hélas, dans le reste du monde) les populations paupérisées se radicalisent. Et comme il va falloir faire avec (ils n'ont aucunement l'intention de changer de politique), autant faire avec l'extrême qui protège le mieux leurs intérêts : l'extrême droite. Il s'agit bien d'un illibéralisme de droite, d'extrême droite.

Si ce sont des "lapins", ils sont bien crétins !

Cette tentative de reprise en main de la jeunesse avec un vocabulaire guerrier est extrêmement angoissante. Je ne crois pas que ça va aider la natalité ! Qui veut faire des enfants pour qu'ils servent d'esclaves ou de chair à canon ?


D'un autre côté, c'est une vraie chance pour essayer de ramener la jeunesse vers les urnes puisqu'ils sont désormais de plus en plus directement visés.

Le macronisme c’est Anna Cabana qui en parle le mieux.

« Le macronisme c’est Macron, ce n’est pas un véritable objet d’étude politique, c’est un objet tempéramental, c’est une hardiesse, un goût de la transgression. Une envie de prendre tout le monde sur le côté, par devant, par derrière. Mais c’est cela qu’il fait Emmanuel Macron ». (tweet caisse de grève).

C’est pas faux.

La patronne des garagistes pense, enfin, quand je dis pense... que la conférence de presse  de Macron « annonce peut-être un tournant un peu libéral ».

Ouf... c’est vrai que depuis 7 ans on avait l’impression de vivre dans un régime bolchevique, nous voici rassurés.

La groupie number one du Président, Elkrief, est boudeuse, sans enthousiasme,  déçue par son champion. A deux doigts de l’accuser de radoter.

Elle est injuste Elkrief, des annonces fortes ont été faite hier soir sur la chaîne unique de l’ORTF.

La nouvelle ministre de l’Education nationale, Brizitte Macron, a décidée de nous la faire « Peggy Sue s’est mariée ». Blouse, Marseillaise, SNU. Stanislas devient un modèle pour l’Education nationale. Un lieu d’épanouissement où l’on se fait plein de petits camarades tous habillés pareils.

Et la nouvelle ministre du « Travail, Famille, Patrie », pardon, je m’égare. La nouvelle ministre du travail, de la santé et des solidarités, se voit  confier la mission sacrée de « réarmer nos ventres » à la hongroise. Ceux qui pensent à la « servante écarlate » sont vraiment de très mauvaise foi, on est en Démocratie, que diable.

Vous avez bien du courage de vous tapé 2 h de vide en ça qui est du réarmement démographique les jeunes sont pas fou vu le monde de merde qu'ils leurs on préparer ce serai une folie de faire des gosses  il vaut mieux arrêter c'est ce que je conseille au miens de ne pas faire d'enfants vue l'avenir qu'ils vont avoir

"Mais tout peut aujourd'hui laisser penser que le mouvement s'effectue en sens contraire, et que c'est plutôt le libéralisme économique, qui fait mouvement vers l'illibéralisme sociétal." Merci Daniel, c'est important de dire que ce mouvement n'est pas un reliquat du passé comme le croient les naïfs de gauche, ou une préservation du passé "qu'était mieux avant" comme ces réacs aimeraient nous le faire croire. C'est vraiment nouveau, et c'est vraiment facho. (j'adhère à la remarque de Cécile Clozel sur le côté douteux du terme "illibéral")


Autre point qui m'inquiète : le martellement du mot réarmement. Ce n'est pas une métaphore. C'est un parti pris, celui d'ouvrir la fenêtre d'Overton à grands coups de hache parce qu'elle ne s'ouvrait pas encore assez vite et assez grand jusque là. Tout son vocabulaire et sa gestuelle depuis son premier mandat montre qu'il kiffe la guerre, et hélas c'est à prendre au premier degré.  

Un truc qui m'amuse pour les filles auront-elles le choix entre jupe et pantalon ? Et les étudiants on leur met pas un uniforme ?

Ça sent le rance.

Les gencives qui saignent quand le menteur en chef (combien de fois démasqué?) gémit sur la perte du fondamental sens de la vérité chez les jeunes.


Les gencives qui saignent quand en plein effondrement écologique les Etats poussent au nativisme, pour des raisons tribale (c'est qui qu'a les plus soldats) et des raisons économiques (notre système arbitraire dont la logique interne nous impose le plus pour le plus). 


L'envie de violence bien sûr, celle du rat dans la cage, mais violence inutile parce que sans cible : il n'y a pas de "le peuple" contre "les élites". Vous avez collectivement choisi Markonzy II et le futur Markonzy III vous est déjà désigné, paquet de lessive que les pubs travaillent déjà à vous rendre le plus familier.


Diriger la violence où, contre la majorité d'électeurs qui la méritent ?


Alors on regarde se dérouler le truc, on regarde les rouages tourner, on sait ce qui va sortir de la machine : la même machine. Encore deux ou trois fois. Tant que la planète a de l'oxygène à brûler.


Comment disait l'autre ? "Les larmes aux dents"...

Ca fait trente ans qu'ils détruisent la nation au nom du pognon et là il fait volte face le petit bourgeois ? 

Que passa hombré ? T'es pas sur que ce soit tes potes les fachos qui gagnent ? T'as entendu le vieux l'avenir est entre la vraie gauche et les fachos , tu n'es plus rien ! Et l'etape d'après , c'est la purge ...Ah ça ira ça ira ça ira ...

"Les crânes rasés ne sont pas acceptés"


C'est bon ! C'est pas d'extrême droite !
Tout va bien.


Pfiou....On a frôlé le drame avec cette histoire. 

Je ne regarde pas ces horreurs, mon dieu ! Enfin, Paris is the new Versailles. Si Dati prend la mairie, Paris pourrait retrouver grâce aux yeux des Versaillais. Qui est peut-être l'électorat convoité après tout, car cet électorat se sent orphelin depuis que le plan Fillon a avorté (oups) et que FX Bellamy s'est découvert un charisme d'huître (et peut-être pas assez salopards). Il reste Wauquiez, leur dernier espoir.


N''empêche, le mec (Macron) se ridiculise totalement, je ne sais même pas s'il en a conscience. Sûrement pas, les flatteries du chenil le confortant probablement dans sa magnifique geste grotesque. Il faudrait peut-être quelques millions de citoyens pour aller lui dire qu'il est à poil.

Et pourtant, n'est il pas écrit qu'avant de fauter, l'homme et la femme évoluaient nu.e.s. Il faudrait proposer de revenir au paradis originel. Comme ça, pas d'abbaya/burkini, ni de crop-top. La solution est simple et carrément compatible avec les trajectoires les plus probables du réchauffement climatique.

Certains espèrent que le coup du lapin sera fatal à Not' Président  ( ce lapin aux grandes oreilles que l'on pourrait prendre  pour un âne ).

Question réarmement, si on a pour devise l’importance du régime démocratique dans le monde, peut-être serait-il plus important de le réserver à l’Ukraine qui semble-t-il en a diablement besoin…

Pauvre Monsieur Schneidermann, se taper deux heures de blablabla de l'enfumeur number one.

Son baratin s'adressait à la petite cour que vous avez si bien décrite.

Comme la famille Duhamel au premier rang, probablement.

"réarmement démographique" : chair à canons

"illibéralisme" : autoritarisme


il emploie un vocabulaire guerrier (ce n'est pas la première fois). Pourquoi édulcorer la désignation du régime qu'il promeut ? "illibéralisme", décidément ce terme me semble très douteux. Il faut oser dire les mots qu'on connait tous, despotisme, autocratie, dictature, caporalisme, avec leur charge d'histoire et de ringardise, sans ce verni de modernité de "l'illibéralisme".

Question bête, mais pourquoi est-ce que le mot "Fraternité" est écrit en plus petit que les deux autres, sur le drapeau derrière Macron ? Doit-on y voir un signe ultra cryptique que quelque chose ne va pas ? Bon, quelque chose ne va pas, ça on l'entend bien, mais c'est quoi ce choix typographique qui interroge l'oeil pendant que l'oreille en prend plein la vue ?

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Si on remplaçait par sororité on économiserait deux lettres

et il n'y en aurait plus qu'une de plus qu'à liberté, égalité :D

Perso, je préférerais "solidarité", moins genré...

Tout à fait d'accord avec solidarité - mais là, comme on parlait juste longueur de mot rapport aux deux autres, c'eut été trop long aussi... :)


Je souscris au commentaire de Dr Panel ci-dessous 

qui résoud bien la question, de manière signifiante !

Comme vous dites, le mot a été perçu comme encombrant ! ..., pensé ou pas, le choix typographique a un sens : on aurait pu choisir de faire du mot fraternité le socle des deux autres, étalé sur toute la largeur. Ou les disposer en pyramide pour signifier qu'on part de la fraternité et qu'on passe par l'égalité pour atteindre la liberté. Plein de formes sont possibles, toutes sont signifiantes.

Excellente idée la pyramide !  :-)

On peut aussi considérer que liberté et égalité sont des principes et des droits qui ont besoin d’institutions pour les incarner, les protéger, les imposer, faire qu’ils soient respectés. Du Droit, des lois, une police et une justice en somme et en très bref.

La Fraternité relève plutôt d’une déclaration d’intention, de volontés et de formes d’être en relation librement et subjectivement choisies et consenties. 

Il n’existe pas de texte qui définit ce qu’est la fraternité, où elle commence, où elle finit. 

Pas de droit pour la garantir. 

On ne peut pas être poursuivi, jugé et condamné pour défaut de fraternité même si on peut être accusé d’en manquer mais alors dans ce cas on parle de manquer d’humanité. Elle ne se déduit pas des deux autres : liberté et égalité, alors qu’on peut et qu’on doit subir les foudres de la loi si on a manqué à celles-ci. 

On ne peut imposer la fraternité mais on peut en faire individuellement ou collectivement un axe de conduite, un fondement à sa conduite dans ses rapports avec d’autres, sans nécessité de structure étatique pour cela. 

Elle n’existe que si elle est une pratique, qu’au moyen des moyens qui sont trouvés par ceux qui font œuvre de fraternité, sans pour autant en épuiser la substance. Elle doit être distinguée de la solidarité inscrite dans le droit, et de la charité quand bien même celles-ci peuvent en être des formes, parce qu’elles ne l’épuisent pas. Celui qui aide des émigrants à entrer illégalement dans le pays est aussi poursuivi pour délit de fraternité, sans que cela soit nommer ainsi, quand la loi contrevient au devoir de fraternité, alors que cette forme de fraternité illumine les principes de liberté et égalité, leur donne chair. La fraternité pourrait être tout acte qui vise à alléger le plus qu’il est possible chaque existence humaine de la précarité qui la constitue.
En ce sens en effet elle pourrait constituer le socle sur lequel reposeraient les deux autres et qui leur donnerait sens.

C'est bizarre, votre dinstingo. 

la solidarité, qui a, particulièrement en France, des institutions et des lois pour la garantir (l'impôt, la sécurité sociale, le devoir d'assistance à personnes en danger..) n'épuise peut-être pas la notion de fraternité, mais il la met au cœur de notre système social, même si les ploutocrates au pouvoir voudraient bien s'en débarrasser.

et pour ce qui est de la liberté et de l'égalité, le moins qu'on puisse dire c'est que les institution ne les "épuisent" pas non plus, et sont loin d'en garantit tous les possibles.

Suis d'accord avec vous Cécile. Aucun des trois concepts n'est épuisé par les institutions (c'est leur force, sinon démocratie et bureaucratie seraient synonymes, j'ose encore croire que non), mais chacun des trois génère des droits et suscite des institutions agissantes qui ont pour mission de les transposer dans la réalité.

Pour être tout à fait dans l'esprit de la conférence de presse de SM Manuel 1er,

je propose l'affiche suivante


LIBERTÉ

ÉGALITÉ

FRATERNITÉ

POIL AU NEZ

Manuel ?

Mais non, voyons ! EMManuel !

(ou bien Napoléon IV)

La prochaine conférence de presse, il n'y aura plus que le "Liberté, Bordel" de milei

Mais putain, on dirait le Gorafi encore ! J'arrive toujours pas à savoir si ce type est complètement taré ou indécemment cynique...

Ils font exprès,  ils vont le plus vite possible, ils cherchent  jusqu'où c'est encore un peu mou,  jusqu'où ils peuvent foncer dans le lard.  


Ils l'ont fait pour les communications déjà,  les télés, les réseaux numériques, le courrier papier, puis les colis un peu plus gros,  tout ça est déjà plié depuis vingt ans.  

Démissions, suicides, augmentation du prix du service et baisse flagrante de sa qualité...  


Après ils l'ont fait pour les autoroutes, les réseaux d'énergie, gaz, eau , électricité, avec le même résultat : démissions, burn-out, augmentation du prix du service collectif pour aucun gain en service réel... 


Après, ls l'ont fait pour la retraite,  et encore on n'a que la Saison 1.  Qui a déjà esbigné pas mal de monde qui n'était pas d'accord après avoir bossé des dizaines d'année. 


Le prochain gâteau il va être un peu plus dur à faire avaler, c'est pour ça que ça tape super dur au moindre semblant de manife encore un peu légale.    Tu défiles un jour autorisé, sur un parcours autorisé ? Sache que tu peux être éborgné, c'est le jeu., ne vient pas te plaindre après. 


Le prochain gâteau, c'est tout le reste, l'Education qui doit devenir payante, ou bien pas d'Education, la Santé, qui va devenir super chère ou bien pas de Santé,  et ainsi de suite. 


Dickens anyone ?   La jeune mère qui va sucer le docteur pour qu'il vienne faire semblant de voir de quoi sa petite fille est malade ?  On est prêt à ça ?   On ferait bien d'y être prêts, on y va tout droit. 

Sur France 2, émission de débrief après la conférence de presse de Macron.


Nathalie Saint-Criq a oublié de se "déporter", bien qu'il soit évident qu'on va parler d'Oudéa- Castéra.


Mais lorsque cela survient, elle prend une initiative délicate et charmante. Au lieu de commenter, elle se met à chanter un succès de Chantal  Goya : " Bécassine, c'est ma cousine".

En matière de réarmement démographique


               Macron : réarmement zéro

               Attal : réarmement zéro


C'est un peu comme si moi, grand athée devant l’Éternel, j'allais parler du réarmement théologique

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