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Climat : Sur Inter, dissonance cognitive de l'info

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Salauds de grévistes, des privilégiés qui vont nous empêcher de skier sur …l’herbe !

Heureusement, Il y a toujours des valeureux journalistes, comme  J P Pernaut naguère, pour dénoncer ces fainéants, preneurs d’ otages .



(...)

Le ski de descente en montagne a été d'une telle rentabilité qu'il est très difficile pour les exploitants d'y renoncer. À un moment, ils avaient même tenté de rentabiliser le ski de fond par un péage, pffff... mais ça n'avait pas marché. 


Rempla(...)

Ou si Denis Meadows a raison (https://7emechance.over-blog.com/2021/08/entretien-dennis-meadows-2012-06-15-pour-liberation-par-laure-noualhat.html) : "On me parle souvent de l’image d’une voiture folle qui foncerait dans un mur. Du coup, les gens se (...)

Derniers commentaires

Ca fait belle lurette que France Inter a abandonné le terrain de l'analyse. Cela doit dater de l'arrivée de Stéphane Bern et Léa Salamé sur l'antenne ;-)

Malheureusement, France Inter glisse lentement vers le bas. Le 13h ressemble de plus en plus à ce que pourrait être un journal radio à la Perneaud. Le niveau des émissions baisse et la pluralité des invités aux matinales mériterait peut être aussi un coup d'œil de la part de CC.

Vue la sociologie des skieurs, on pourrait voir dans cette priorité un certain intérêt de classe...

Face au dérèglement climatique, la société, les citoyens, les hommes politiques, les journalistes, tout le monde bricole. 


Un peu comme on mettrait des sparadraps sur une canalisation qui fuit. Ça bricole pour ne pas prendre les décisions de fond, pour tenir coute que coute alors qu'on sait qu'il faudra bien tout changer à un moment ou à un autre. Retarder l'échéance. Pourtant, le prix à payer sera plus élevé, beaucoup plus élevé, mais non, on bricole. Et tant pis pour les dissonnances et les injonctions contradictoires.


 Jusqu'à quand? Jusqu'à ce qu'il soit trop tard, j'en ai bien peur.

 

la dissonance cognitive 

J’ai beaucoup de mal à me faire au vocabulaire sociologisant des média sociologisés,


Alors, un grand merci parce que je viens enfin, grâce à votre chronique de mettre un sens derrière   ces deux mots de dissonance cognitive.


D’après ce que je lis, ça veut dire aveuglement.


Aveuglement volontaire. 


Comme cet été, en pleine sécheresse, quand la météo continuait imperturbablement à se réjouir bêtement du "beau-temps". 

J'aurais pu écrire :

Synonymes de aveuglement nom masculin*

erreur, aberration, délire, égarement, folie, errements (littéraire)

entêtement, cécité, obstination.

 Je ne l'ai pas fait et je m'en excuse.


(*) copyright Le Robert

il vaudrait mieux essayer de vous informer et de comprendre le concept, plutôt que de tirer des conclusions hâtives à partir d'un article...


car ce titre peut vous induire en erreur : il est possible que Pauline Bock (ou vous, ou moi) éprouve une dissonance face à la juxtaposition de ces deux sujets, mais de toute évidence ce n'est pas le cas du journaliste, à qui ça en touche une sans faire bouger l'autre. Donc oui, pour lui il y a aveuglement. S'il y avait dissonance cognitive, on verrait se déployer une argumentation pour tenter de réduire l'écart entre les deux propos.

Comme vous avez raison !



Ce qui me hérisse un peu (beaucoup ?) c'est ces néologismes d'apparence scientifique qui servent d'oripeaux à des concepts vieux comme le monde.


Quant à votre hâte à m'exhorter à m'informer et à comprendre...Pas de commentaire.

pardon, je dégaine un peu vite lorsqu'on a l'air de cracher sur la sociologie en critiquant les mots plutôt que de discuter des concepts.


mais je ne vois pas où sont les néologismes ? dissonance, cognitif, deux mots que vous avez certainement déjà rencontrés maintes fois, non ?


quant au concept, non, il n'est pas vraiment "vieux comme le monde" : il pointe le ressenti subjectif, le malaise de la personne qui prend conscience qu'il croit deux idées incompatibles, contradictoire, "dissonantes". 

ce malaise, elle va tenter de l'éviter, de plusieurs façon différentes. L'aveuglement, le déni, est une des stratégies d'évitement (pas la seule). C'est donc un effet de la dissonance, une réponse, pas la dissonance elle-même. 

L'aveuglement va porter sur l'idée qui dérange les convictions les plus anciennes, ou les plus "confortables". Certaines personnes au contraire vont résoudre leur conflit cognitif en remettant en question leurs représentations établies, le fait discordant les "fait réfléchir". mais c'est pas tout le monde...

"quant au concept, non, il n'est pas vraiment "vieux comme le monde""


Accordez moi cependant qu'il est au moins aussi vieux que les hominidés se sont mis à communiquer entre eux.

Accordez moi cependant qu'il est au moins aussi vieux que le temps où les hominidés se sont mis à communiquer entre eux.



le phénomène, peut-être, mais sa conceptualisation, non

"le phénomène, peut-être, mais sa conceptualisation, non"


Au niveau du concept, j’ai un problème avec le concept de conceptualisation, si vous voyez ce que je veux dire.


Parce que, sans vouloir vous tartiner mon érudition (mais quand même un peu), depuis les tragédiens grecs, en passant par Shakespeare, Corneille, Racine, Molière, Diderot, Balzac, Zola et toutes et tous les autres que j’oublie, ils sont quelques unes  et quelques uns à nous avoir donné à comprendre les ressorts et les effets de l’aveuglement et de toutes ses dérivations.


Et voilà,c'est presque la fin.Fini les sports d'hiver pour la masse.Petites pensées pour les 7 à 8% qui eux vont continuer,à Gstaad .

Je profite de ce commentaire pour indiquer que je trouve qu'il y a beaucoup trop de vidéos sur ce site. Et de plus en plus, me semble -t-il.

On va droit dans le mur en accélérant. Épisode 3689

Salauds de grévistes, des privilégiés qui vont nous empêcher de skier sur …l’herbe !

Heureusement, Il y a toujours des valeureux journalistes, comme  J P Pernaut naguère, pour dénoncer ces fainéants, preneurs d’ otages .



Le ski de descente en montagne a été d'une telle rentabilité qu'il est très difficile pour les exploitants d'y renoncer. À un moment, ils avaient même tenté de rentabiliser le ski de fond par un péage, pffff... mais ça n'avait pas marché. 


Remplacer cette mine de fric par une autre aussi rentable, bah... ça semble impossible. Mais tous les cerveaux disponibles sont en ébullition. 


On va avoir le même truc avec l'aviation... Un aller retour vers Prague ou Barcelone pour un week end, qui dit mieux? Tant qu'ils n'auront pas trouvé, on aura des Paris-Toulouse en avion.

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