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Beigbeder, l'hétéro pleurnichard

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Passée la surprise de lire une chronique sur Beigbeder chez ASI, lire votre prose caustique m'a bien fait rire.

Ce personnage répugnant est semblable t'il un dragueur lourdingue. Il parle beaucoup de ce qui lui manque , de talent littéraire et  d(...)

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Le problème, c'est que les trous de balle comme Beigbeder, Yann Moix, BHL et tous les cuistres de leur espèce ne sont ridicules qu'à nos yeux, ce dont ils se contrefichent car ils ont le pouvoir. Il ont le monde de l'édition avec eux. Ils ont tribune(...)

 "le souci, ce n'est pas seulement d'être né ainsi. C'est de se complaire à se comporter comme tel. " J'adore!

Ca a toujours été une sombre merde , moi ce qui me choque , c'est qu'il  ai pu trouver des femelles sans payer .Ce qui me console (...)

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Merci Maurice pour cet article bien enlevé, et bien vu.

encore un qui finira au goulag

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«"J'ai écrit ce livre, Confessions d'un hétérosexuel légèrement dépassé, pour rappeler une chose simple : je n'ai pas choisi d'être un homme, ni d'être blanc, ni de désirer les femmes, ni de naître en 1965". 

Aucun journaliste pour lui faire remarquer ce qu'un étudiant en première année de socio aurait pu souligner : le souci, ce n'est pas seulement d'être né ainsi. C'est de se complaire à se comporter comme tel.»


Jusqu'à preuve du contraire être un homme, être blanc, désirer les femmes et naître en 1965 n'est ni un crime, ni même un délit. Il est donc licite de se complaire à se comporter comme tel.

Belle émission de France Culture ce matin sue le film "L'établi" tiré du livre du même nom de Robert Linhart


ça change de ce Beigbeder qui semble à l'égal de ses "affreuismes"

Quel article M. Midena ! 


On est certes plutôt sur un billet d'humeur qu'une analyse clinique mais que ça fait du bien. 


Des mots simples sur ces jérémiades petit bourgeois c'est satisfaisant. Bordel, ces abrutis sont encore à chouiner de #Metoo et sur le fait que non, la main au cul ou le baiser volé ne sont ni flatteurs ni romantiques.

Dire "j'ai pas choisi mâle, blanc, hétéro.." c'est une belle inversion des rôles, qui ment par omission, de l'existence de toute domination. Les positions seraient équivalentes. La grosse supercherie que c'est mériterait qu'il soit réincarné. Ah non, non, pas en femme, noir, homo.., non je pensais plus à un mâle de mante religieuse ou quoi.

bon, ok, c'est peut-être un plaisir coupable, et un peu futile, de tailler un short à beigbeder, ou de savourer ce papier. D'accord, on ne trouve pas ici l'analyse explicite des facteurs idéologiques, économiques, politiques, de sa notoriété et de la complaisance médiatique à son égard : l'auteur a sans doute supposé que pour le lecteur d'@si l'implicite était largement suffisant. 

m'enfin, faut être un brin puritain, je trouve, pour cracher sur ce genre de divertissement, que dis-je, de défoulement, devant l'obstination de ces culbutos à revenir toujours à leur position initiale, "je suis un sale con et je t'emmerde", si prisée de la classe politico-médiatique.

et quant à l'injonction de certains à pondre une analyse littéraire de son bouquin... encore faudrait-il qu'il y ait une once de littérature chez ce "communiquant" — d'ailleurs, de son propre aveu, raté.

Ce matin c'est Glucksman sur inter , en train dfe raconter des conneries , mais alors des conneries digne de la droite .C'était mieux avant .Le niveau a glisser inexorablement vers la nullité la plus absolue .C'est un des rares avantages du neoliberalisme , c'est de donner a n'importe quel peigne cul de déblatérer a france inter , je pourrais aisément prendre la place de Glucksman sur n'importe quel sujet , et je ne maitrise aucuns sujets .Effrayant ! Cet imbécile vient faire un discours contre le lobbyisme , sans en prononcer une seule fois le mot .Viens faire un discours complotiste sans en prononcer une seule fois le mot. Pauvre cloche , tu fais quoi de ce que signifie ce  qui n'est pas dit?

un peu l'impression d'un règlement de compte derrière l'alibi de l'analyse médiatique,  ce qui ne me derange pas plus que cela n'ayant guere de sympathie pour le destinataire mais il me semble qu'au moins avec Beigeder on est pas dans l'hypocrisie , comme il le dit il a toujours été relativement con, on peut au moins apprécier sa constance. je vois surtout dans sa prestation l'amertume d'un animal médiatique qui ne trouve plus guère son public et qui vit dans une certaine forme de nostalgie, forcement un peu reac, de son succès relatif dans les années 90/2000. 

Indépendamment de ce que je pense de Beigbeider, l'impression qui se dégage de la lecture des commentaires (une meute haineuse fondant tous crocs sortis sur le Salaud à abattre)  me glace le sang.

Merci pour la pique à Sylvain Tesson.

Bien qu’ayant beaucoup aimé son « dans les forêts de Sibérie », je n’aime pas trop son profil.

D’ailleurs en me renseignant sur Wikipedia je viens de voir que cette critique est partagée par d’autres. Ça me rassure un peu.

Comme d'autres asinautes, j'ai eu un bon shoot de plaisir à la lecture de cette chronique, salée et saillante. 


(Bon, désolé pour l'auteur, mais en revanche sur Edouard Louis, le BHL/Beigbeder du futur, Begbeider a pour une fois complètement raison. Sans doute parce qu'il y voit un futur concurrent dans le ouin-ouin médiatique, dans la bourgeoisie crasse qui se répand à longueur de plateau, avenir probable de l'écrivant adulé de la gauche caviar.)

Il se victimise, il pleure sur ses propres " conneries de jeunesse  " que, pourtant, il revendique.. Il excuse ses turpitudes.


Pourtant, " nemo auditur propriam turpitudinem allegans ".


Continue à profiter du système, pauvre mec !

Et paf ! Rhabillé pour l'hiver !

Très bon texte qui nous rappelle combien la vie de Frédéric Beigbeder est dure depuis qu'il doit faire un minimum attention au monde qui l'entoure.

J'aime beaucoup cette propension qu'ont certains vieux gars à brandir leur connerie comme un étendards appelant à la résistance contre ces affreux vilains woke qui font que d'être fragile et de ne rien supporter.

Ahaha, jolie plume, mazette ! Bravo.

Cette chronique c'est du bonbon.

Tout simplement merci Maurice Midena pour cet article. Vous êtes aussi talentueux que Beigbeder pitoyable. 

Bravo j'ai adoré, j'ajouterai sa sortie sur les addictions en demi soutien à Pierre Palmade "on n'en sort jamais vraiment" si c'est vrai pour lui, c'est vrai pour tout le monde... Ben voyons !

Sincèrement, Maurice, ce ne serait-ce pas parce qu'il a plus de cheveux que toi que tu perds ton temps avec ce pitre ?
ok je sors.
:o)

Ce doit être un "élément de langage" qui circule. 


J'ai récemment entendu une vieille dame bien propre sur elle, se dire brimée parce qu'elle avait quatre défauts: blanche, catholique (??) femme et hétéro.

J'aime bien les messieurs qui se désolent de ne plus pouvoir draguer à moins de le faire avec finesse et élégance. 


Finesse??? Élégance??? Quès aco?

Cet homme est vraiment le prototype de la bourgeoisie décadente parisienne.

A chaque sortie de route, de la loi,ils ont réussi à le maintenir dans leur giron,en faisant intervenir leurs réseaux

Ne pas oublier aussi qu'il fut avec Robert Hue,les têtes de gondole du PC Français en 2002, pour les législatives.:-)

Beigbeder me fait penser à Jean Dutourd ou Paul Guth que tout le monde a oubliés (sauf Bernard Pivot). 

De la misère littéraire en milieu médiatique.

« Au-delà de ses allures de dandy café-de-floresque, Beigbeder n'est qu'un réac' commun.  »


Frédéric Beigbeder, comme Charles son frère, portent pourtant les cheveux longs. Ne serait-ce pas des restes post-soixante-huitards ? Cette génération qui avait soit-disant tout compris à la liberté et à la culture… la culture de soi et de sa propre sexualité. 


Personnellement, j'avais vu le film "99 francs" adaptation du roman de F Beigbeder avec Jean Dujardin. Plus récemment, j'ai vu le film adaptation du récit autobiographique de Sylvain Tesson "Sur les Chemins noirs" avec le même J Dujardin. Tous ces auteurs, investisseurs et acteurs masculins sont de fumeux réactionnaires ou des nostalgiques de leur croissance passée. Ce sont des hommes du passé.

Ca alors

J'ai eu la "chance" d'écouter France Inter au moment de son interview : indigent. Tout simplement. Sonia Devillers l'a remis à sa place comme il faut, sans forcer, on aurait dit un enfant. C'était beau à écouter en un sens. Un monde qui meurt. Un autre naît. 

Pour ceux qui voudraient une critique littéraire de ce Beigbeder dont je viens de trouver sur le Web une centaine de citations, même pas marrantes

En voici une

"Si les hommes font tant de peine aux femmes, c'est sans doute qu'elles sont tellement plus belles quand elles pleurent."

Voilà qui suffit pour l'autocritique littéraire

Article à charge sans aucune analyse du livre.


Mais putain! 

Un pantin sera toujours un pantin.

Seul Carlo Collodi avait animé le Pinocchio.


Ce machin dont vous parlez est un rien sidéral.

Je tire la chasse.

Le glou-glou est bien plus sympathique que sa logorrhée en écharpe et en mépris.

Une espèce de tas bourré assis sur des fringues de snob ado.

Un rien,


Voilà-t-y pas que je mets en colère. Pour un rien.


Effectivement très décevant, aucune analyse du livre. Je n'aime pas la littérature de Beigbeder mais vous faites une chronique à charge à partir de rien. En gros vous faites la même chose que lui.

Pas étonnant qu'il fasse référence à "son ami Sylvain Tesson" dans les colonnes du Figaro


à propos de Tesson, lire cet ahurissant article sur les intellos d'extrême droite sur Médiapart:

https://www.mediapart.fr/journal/politique/290323/sylvain-tesson-et-l-extreme-droite-un-compagnonnage-ancien


l'explorateur écolo-solitaire est un réac' proche de l'extrême droite, ancien animateur de radio courtoisie... Il est apprécié dans les milieux réactionnaires. 

Ça doit être dur d'être un écrivain raté et au fond de soi,  de le savoir...

comme un homme qui essaye d'allumer un feu avec des silex quand on a depuis longtemps  inventé le chauffage central


J'ai ri. 😁 Merci pour cette phrase et toutes les autres qui ponctuent cette super chronique ! Je ne connaissais le personnage que de nom, j'en ai maintenant un bon aperçu. Toujours aussi scotchée qu'en 2023 des hommes cis blancs hétéros de plus de 50 ans se sentent encore légitimes de se victimiser de leur condition d'hommes cis blancs hétéros de plus de 50 ans.

C'est donc à la fois dépitant de lire cette chronique mais tout autant satisfaisant de lire un trou de balle de son espèce se faire ridiculiser méticuleusement !

COmment dire : quand on ecrit mal, on devient critique litteraire à la télé, on finit par s'accointer avec les figures de l'extreme droite littéraire au nom du style et on dénonce la pesanteur de son époque. Naulleau ou lui sont complètement interchangeables.

Bon en même temps, le vrai problème, c'est qu'on continue de payer ce genre de trucs très cher. Il y a de la promo partout pour eux et ils vivent de la réaction qu'ils procurent : la deception.

Tout le monde va faire sa petite audience, ca va tourner sur les reseaux, il vendra sa came et continuera son rôle lttéraire : celui qui aimerait etre detesté. Moins horripilant que Nabe, moins limité que Naulleau, moins infréquentable que Matzneff, moins dérangeant que Bégaudeau, même dans ce rôle il n'arrive pas à dominer son domaine et finit dans le ridicule.


Ce dernier paragraphe <3

Merci à Vous profondément, Cher Monsieur MIDENA, pour cette sublime chronique littéraire et les recommandations de lecture qui la composent.

Chemise blanche ouverte , col roulé noir , même combat contre l'intelligence du réel.

"Il est toujours admirable de voir, alors que de nombreuses personnes brillantes publient chaque jour des choses admirables sur tout un tas de sujets, que l'on donne la parole à un auteur qui (...) n'est qu'un réac' commun." ohlala EXACTEMENT !

Mon plus grand désir est que la belle phrase de conclusion soit prophétique.

 "le souci, ce n'est pas seulement d'être né ainsi. C'est de se complaire à se comporter comme tel. " J'adore!

Ca a toujours été une sombre merde , moi ce qui me choque , c'est qu'il  ai pu trouver des femelles sans payer .Ce qui me console , c'est qu'apparement depuis me too , il baise plus !

Putain j'ai eu un autre choc , c'est d'entendre Begaudeau dire que France inter est de droite .J'avais refuser de l'admettre , le dilemme maintenant c'est de savoir si je vais continuer a me faire saigner les oreilles et insulter l’intervenant chaque matin .... On est mal barré !


Ce Beigbeder dont Maurice Midena dresse un portrait bien ciselé, je ne le connais pas ou bien je l'ai heureusement oublié.

Par contre Édouard Louis, nous avons découvert Eddy Belle Gueule avec mon épouse à la Librairie Kléber de Strasbourg et ce fut pour nous une belle révélation

puis nous avons vu "Qui a tué mon père" du même auteur au TNS mis en scène et joué par Stanislas Nordey

et là ce fut une nouvelle fois l'émerveillement


Quel chance que je ne sache rien de plus de ce Beigbeder par contre je lui vois de beaux jours dans les réseaux réacs


Et que Ke-Sais-Je le sache, il n'a aucune chance pour le Nobel qu'il convoite, Beigbeder va le remporter haut les larmes

"Pas étonnant qu'il fasse référence à "son ami Sylvain Tesson" dans les colonnes du Figaro".

Hier, Beigbeder se mettait au service du candidat communiste à la présidentielle, aujourd'hui ses amitiés vont du côté de la beaufitude et de l'extrême droite littéraire : Sylvain Tesson, Houellebecq, Yann Moix, voilà les Hussards d'aujourd'hui.

Peu factuel, cet article... A titre personnel, j'aurais apprécié que le fond du livre soit résumé et analysé. Plutôt que de lire des extraits d'interview brocardés façon Twitter. Un peu décevant.

Etant moi-même un vieux con, je pense , effectivement, qu'il me surpasse, et de loin.


Il mérite, même, le Prix Nobel.



( de la connerie )

Passée la surprise de lire une chronique sur Beigbeder chez ASI, lire votre prose caustique m'a bien fait rire.

Ce personnage répugnant est semblable t'il un dragueur lourdingue. Il parle beaucoup de ce qui lui manque , de talent littéraire et  de succès chez les femmes. Bref comme vous dites, un frustré.

il a eu au moins un éclair de lucidité " j'étais un jeune con, maintenant je suis un vieux con"

Merci! Sur Twitter ce ouin-ouin avec ses male tears est remis ã sa place avec ce qu'en disent pas mal de témoignages qui ne datent pas toujours de hier quand il était bite (ne traitez jamais un homme de con, il n'en a ni l'agrément ni la profondeur -oui c'est une reprise, mutatis mutandis)

Tellement de pitié pour cette catégorie de guignols nés après la honte.

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