BD : contre l'IA-faussaire, le salut par la coccinelle ?
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Juste une question.
Depuis l’avènement d’internet, on nous a brisé menu menu les noisettes avec le piratage, hou le streaming, bouhouhou les profits des sociétés de prod’ les pauvres créateur·ices
spolié·es de leurs gargantuesques
8 % sur le(...)
Je suis illustratrice... Vieille illustratrice aujourd'hui à la retraite, mais on ne l'est jamais vraiment dans ce métier.
J'ai été formée dans les méthodes traditionnelles et me suis mise, au cours de ma vie professionnelle, et assez rapidement (vers(...)
Avec l'I.A. pourra-t-on procéder à la constitut ion d'une association de malfaiteurs, sans se faire prendre ?
( c'est pour un délinquant à talonnettes )
Derniers commentaires
Je la mets quand-même au défi de faire un de mes bols. Pas l'image d'un bol "à la christina", avec un décor ou un autre, mais le bol en vrai. Une imprimante 3D saura faire le bol je suppose, mais l’ia ne saura pas le décorer et le cuire... non ?
"De la candeur face à la catastrophe de l'IA générative" ou "L'IA ça ne remplacera pas un VRAI artiste"
Plus simplement : l'IA générative c'est de la merde - épisode 6354321
"Il se prépare à la Mairie de Condom (Gers) un « Atelier BD à l’aide de l’IA » (voir pièce jointe).
Serge Ersnt sur sa page Facebook
Pour le dire directement se questionner sur le fait que l'IA générative ne remplacera pas un vrai dessinateur c'est passé à coté du problème. C'est ne pas voir l'éléphant dans la pièce. Le vol du travail pour une exploitation qui va détruire des milliers et des millions d'emploi. Voila comment on distille tranquillement l'usage d'un monstre.
Bonjour, moi je suis dessinateur. Je vis de mes dessins. Tous types de dessins : illustrer un texte, des intentions de décors pour tournages, ateliers BD avec les gamins, ... Depuis l'apparition des IA, j'ai dû reprendre un métier que je faisait avant, quand j'etais jeune et que je galérais : les chantiers rénovation, enduis-peinture-carrelage. Les commandes pour dessins ont fondu de moitié. les robots font le travail à ma place. Vous croyez que c'est bien ? Vous croyez pas que confier ce savoir faire qui relie l'humanité à elle même au travers des millénaires ( chauvet), à des robots qui ne sentent pas, ne pensent pas, c'est tout de même une énorme erreur ? Au delà même du fait que je me retrouve sans travail ?
Par contre, lorsque je vois les utilisateurs de MidJourney générer des images par milliers toute la journée, je réalise qu'elle ne vaut plus rien cette image. Ce sont de belles images pourtant, qu'un illustrateur aurait mis 2 jours à faire, mais elles ne sont rien, jetées aussitot générées. Qu'est ce qui vaut aujourd'hui ? Et bien c'est l'objet. C'est la tâche d'encre sur le papier. Le geste. L'aquarelle mélangée sur le support tangible. L'objet qu'on invente, qu'on "fait", qu'on donne, qu'on vend.
Mais le métier de dessinateur en prend vraiment un sale coup. Et par conséquent notre culture et savoir-faire aussi. Et ça va pas s'arranger. Les inventeurs des IA mettent en garde, comme l'aurait fait le docteur Frankenstein quand sa bête lui a échappé.
Aujourd'hui, l'IA c'est un peu comme ce film des frères Lumière en 1897, et les commentaires, sur ce site et ailleurs, c'est comme les spectateurs de l'époque qui, selon la légende, ont fuit effrayés en croyant que le train allait entrer dans la salle...
En somme, pour beaucoup de catégories professionnelles, surtout chez les cols blancs et les "créatifs", l'IA c'est la peur du Grand Remplacement...
he he he...
Pour le moment, tout le monde s'excite ou se lamente à propos de l'IA.
Mais prochaine vague sera, elle, le véritable tsunami.
Cet article, autant que les commentaires qui s'y rattachent (comme souvent sur ce site) sont affligeants de banalité.
Pour le moment, la drôate prédatrice se réjouit que l'IA lui permette de dégraisser et d'économiser sur la main-d'œuvre.
Et la gôche ringarde se lamente de la perte de tout un tas de choses précieuses, comme si les producteurs avaient attendu l'IA pour inonder le marché de BDs, de films, de musiques, de romans parfaitement interchangeables et dispensables.
Dans les années 50, l'invention du magnétophone nous a amené la musique concrète.
Au début des années 60, l'avènement de la caméra Eclair 16mm nous a donné la Nouvelle Vague.
Et on pourrait multiplier les exemples.
Les artistes qui survivront à cette première vague de l'IA, sont ceux qui sauront adapter, ou même réinventer leur démarche artistique autour de ce nouvel outil, mais sûrement pas ceux occupés à se lamenter ad nauseam...
Pareil pour les journalistes et les chroniqueurs, et dans cette optique, les Cassandre comme Thibault Prévost font penser à ce personnage qui annonce la fin du monde dans "L'étoile mystérieuse".
D'autre part, de plus en plus de modèles d'IA peuvent tourner en local, et en mode CPU-only, ce qui a court ou moyen terme rendra encore plus facile leur intégration dans des démarches artistiques, tout en diminuant leur impact environnemental, ainsi que le recours à des data centers polluants remplis de cartes Nvidia hors de prix.
Question subsidiaire : pour le moment, l'IA est-elle capable de produire ex nihilo un truc comme ça ?
Les fiches de Pigeon Gratuit pour répliquer à tous les arguments débiles justifiant l'usage de l'IA générative (vu que j'en lis ici).
https://pigeongratuit.wordpress.com/auto-defense-contre-lia-generative/
Le piaf au combat salutaire contre l'usage de cette merde et la lutte contre la précarité est d'ailleurs en campagne pour éditer ces fiches sous forme de livre afin de le distribuer et alerter les politiques et le public sur les danger et les contre-vérités des discours soutenant l'IA générative
c'est ici : https://fr.ulule.com/pourquoi-il-faut-stopper-l-ia-gen/
Moi qui parle à tout, répond aux bips d'excès de vitesse et aux indications de changer de rapport de la voiture, à l'ampoule qu'a grillé, au coca "t'as plus beaucoup de bulles dis-donc", et aux chiens qui me regardent "non on se connait pas et attention je suis allergique". Donc moi qui parle à tout, je ne vois pas pourquoi je chercherais à faire le distinguo, je vois autant une entité derrière ces dessins que derrière n'importe quels autres dessins. C'est comme quand on me dit Shakespeare n'a jamais écrit ses pièces et ses poésies, c'est un autre gars. D'accord, OK, alors ça va je vais continuer à l'appeler Shakespeare, pour moi ça ne changera rien.
Ce monsieur ia donc, il a des maladresses, et la maladresse c'est sortir du convenu, avoir une identité, se distinguer, rompre la monotonie. Dire des choses. Étre humain. J'ai adoré le truc d'avoir glissé le smartphone sous le casque, pour écouter. J'avais jamais vu ça, ni en vrai, ni en dessin, ni rien. Et puis aussi ne pas mettre la bouche quand le personnage boit, génial. Et il y a une main, très doigts mous, voire gonflables, comme un petit ras le bol de m'appliquer d'un CP qui fait des lignes de A qui se transforment peu à peu en tour eiffel.
Pour le deuxième personnage, le repos bras croisés va être épuisant avec un coude qui ne repose sur rien.
Déjà mille subterfuges ont été utilisés depuis la nuit des temps pour dessiner plus vrai, l'ombre, calque, projecteur, grille, petits trous d'épingle saupoudrés de charbon, un miroir pour inventer des frises, etc.
Si on considère la problématique de l'authentique c'est-à-dire du fait uniquement à la main, la problématique du fait "par", celle de la valeur de la signature confrontée la valeur en soi, le dessin anatomique/scientifique vs le dessin trahissant le réel pour révéler l'inconscient, l'imaginaire. l'IA n'y change pas grand chose et participera à ce mic-mac sans que ce soit un grand chambardement.
Qui gagne sa vie par le dessin? Ils en ont de la chance. L'IA menace leur emploi? L'IA menace l'image?
Une pub pour nano-banana!
Ça nous manquait....
Demandez à Chatgpt de dessiner un verre de vin ... plein. Il en incapable.
Une video passionante qui explore ce paradoxe et montre les limites de ce que l'on a bien tort d'appeler "intelligence".
Pour les créateurs qui ont besoin de protéger leurs images. Vous pouvez utiliser nightshade:
https://nightshade.cs.uchicago.edu/whatis.html
Et pou les créateurs de video vous pouvez regarder ce tutoriel:
https://www.youtube.com/watch?v=NEDFUjqA1s8
Comme disait le grand ami de Nicolas Sarkozy, Christian Clavier, vantant ce que va apporter l'intelligence artificielle : "les doubleurs, ils n'ont qu'à se reconvertir à autre chose". Autant dire qu'il ne s'est pas fait des amis dans le milieu du cinéma. Mais probablement que ce comédien plein de morgue s'en fout.
J'ai envie de rigoler jaune (ou un mélange tristus/rigolus) face à la découverte tardive des ravages de l'IA générative et des réflexes défensifs et de déni classiques quand d'autres alertent sur la catastrophe à tous les niveaux de cette immonde merde. Croire que le monde de la BD qui depuis des décennies a poser une industrier exploitant le créateur et duplicant son travail sous différentes forme. Marrant de voir Astérix et Obélix cité en exemple tant le dessin d'Uderzo, enfin d'Uderzo et de ses assistants (ca aussi la désacralisation de l'auteur via la reconnaissance d'un travail de groupe serait un grand pas mais passons) est dupliqué et duplicable depuis des lustres. Dans les années 60 on demandait à tous les dessinateurs de Marvel de faire du "Jack Kirby". Aujourd'hui Miyazaki et Ghibli pose les véritables terme des images engendrée par cette merde et cela n'a pas emeut grand monde. Crois t'on réellement que la BD et ses "grands" auteurs (entre guillemets puisque la distinction me gêne particulièrement) serait préservé quand d'autres secteurs culturelles ne le sont pas et quand on parle d'un secteur particulièrement mortifère en terme de rémunération et droits des auteurs ? La culture est déjà exploitée et déviée de sa première nature depuis des décennies, avec un tel nouvel outil cela ne risque pas de changer.
Charlie Braun ?? Certes son père à un patronyme à la Papa Schultz, mais tout de même...
Peut-être une réponse (trop?) simple à tout cela : que les autrices et auteurs de talents continuent à créer en se faisant confiance, sans usage trompeur de l'IA (il peut y en avoir de créatifs) et nous le disent, voire nous le garantissent (label, etc). Nous saurons toujours les préférer. Des décennies que nous achetons des bd, des ouvrages illustrés par amour pour tel style singulier, tout ceci coûte cher, pourquoi irions nous dilapider notre maigre pitance dans des productions robotisées ?
Bien sûr restera la possibilité de la tromperie, du mensonge : cela existe partout, on trouvera les petits malins d'un manière ou d'une autre.
Probablement trop simple, ok. Les illustrateurs vivent aussi de commandes de magazines, d'entreprises : la tentation de la triche, de la facilité y sera forte, c'est vrai. Là encore, des démarches collectives peuvent aider.
Attention à la fascination pour la puissance de l'IA, à la fois réalité ET élément rhétorique de communication de ses divers concepteurs pour l'imposer partout. Au contraire ne jamais oublier que l'IA "marche" parfois très mal, même avec les meilleurs prompts. Et bien plus qu'on ne le pense. Relire notre inestimable Thibault Prevost, Les Prophètes de L'IA. Ne pas regarder cette facette, ne parler que de la puissance des IA au motif d'être lucide face à la vague qui vient, c'est déjà, même avec une intention critique, se prosterner déjà un peu. Relevons la tête !
N'oublions pas qu'en plus de piquer nos boulots, l'IA consomme des quantité astronomiques d'électricité, pèse sur les ressources en eau, pollue l'environnement, et tout ça sans être viable économiquement, ni même proche de l'être. L'IA est donc une activité économique incroyablement prédatrice, sur le modèle Uber, Amazon etc… mais en encore pire si cela était possible. Elle est en train de vampiriser totalement notre économie et nos vies. On est probablement proche de l'éclatement d'une bulle, mais ça ne va probablement pas résoudre le fond du problème, juste créer un réalignement à la marge.
"Oui, la vague sera haute. Car ne nous racontons pas d'histoires, rien ni personne ne tentera de l'endiguer."
Ah bon, et pourquoi pas ? Moi j'ai bien envie de l'endiguer cette vague.
En fait, même si j'aime beaucoup les articles de Daniel Schneidermann, je pense qu'il passe complétement à côté du sujet : il se laisse entraîner par cette "vague" sans le moindre recul. Il faut voir la nature de ce qui a été demandé à l'algorithme !!! Nous sommes à des années lumières d'un outil efficient. La lecture de l'essai "Intelligence artificielle, intelligence humaine : la double énigme" de Daniel Andler (voir ici) est plus que nécessaire pour aborder sereinement cette question. Ainsi de cette image : "si on grimpe tout en haut d'un arbre, on se rapproche de la lune" (et je vous laisse deviner la suite). Dans les exemples cités par Daniel Schneidermann, petit exercice : quel prompt proposé pour ne serait-ce qu'un seul dessin de Fred dans ses Philémons ? Demander de dessiner un personnage en train de boire une tasse de café, et on parle d'une "vague" ???
Big blue - big apple...
Les seuls artistes qui survivront seront les génies créatifs. Est-ce une catastrophe ou une aubaine ? Pour le moment, je n'arrive pas vraiment à trancher...
et Bastien Vives sort de nouveaux opus, 292 pages, a-t-il utilisé l'IA?
J'ignore si une IA pourrait vraiment parvenir à imiter l'inénarrable anxiotortuosité de notre cher Daniel S., et produire un aussi joli lapsus que celui des personnages de Charlie Braun…
Je suis illustratrice... Vieille illustratrice aujourd'hui à la retraite, mais on ne l'est jamais vraiment dans ce métier.
J'ai été formée dans les méthodes traditionnelles et me suis mise, au cours de ma vie professionnelle, et assez rapidement (vers 1988, c'est à dire au moyen-âge) au numérique, à Photoshop, à Illustrator. J'en ai fait, des vignettes, des illustrations, des trucs et des machins mis en couleur dans un ordinateur ! Des pelletées!
Et un jour, j'ai voulu exposer mes originaux... Et des originaux,ben, j'en avais pas! L'essentiel de mon travail était "virtuel".
Je me suis donc remise aux pinceaux, à la plume, à l'aquarelle afin de pouvoir exposer mon travail, et vendre mes originaux, comme le faisant tant d'illustrateurs du passé.
C'est pourquoi je n'ai pas peur de l'IA. Ce que produit l'IA, ce ne sont ni des illustrations, ni de l'art, c'est du vent. Ce sont des données. Pour le moment, l'IA ne peint pas sur une toile, ne sculpte pas, ne dessine pas à l'encre de chine sur du papier, ne crée rien. Ce sont des données volatiles, qui, bientôt, ne pourront plus être lus et qui disparaîtront. Elles sont tellement insignifiantes que déjà, elles n'intéressent plus. Elles ont besoin d'électricité et d'un ordinateur pour être faite, et souvent, pour être vues.
Les miennes s'entassent dans des cartons, dans des boîtes, sont parfois sorties pour être montrées et exposées. Elles sont vraies.
Toutefois, je fais aussi des tirages de mes œuvres numériques moi-même, en sachant que le support et l'encre ne seront pas pérennes.
Et bien sûr, cerise sur le gâteau, elles sont uniques. Elles ne ressemblent pas à des images mille fois vues.
Il n'y aura pas de Sempé IA, de Hugo Pratt IA, de Franquin IA. Peut-être parce qu'une illustration, une peinture, un dessin ne sont pas juste une illustration, une peinture, un dessin, c'est une âme qui s'exprime. Une âme unique, nourrie elle-aussi d'images, mais surtout d'émotions. C'est sans doute toute la différence.
En fait, ce qui manque à l'IA, c'est l'intention cœur de l'acte artistique. À ce jour, elle n'est que technique, et la technique, si elle est impressionnante, n'est pas en elle-même l'art.
Fait intéressant, si les graphistes sont effectivement en boule dans un coin de la pièce en attendant que l'automatisation leur tombe dessus, en école d'art ou de design, personne ne semble inquiet et l'IA en tant qu'outil d'étonnement est même marginalement présente dans certains enseignements.
L'art est un dialogue entre humains, et nos robots ne semblent pas près de nous substituer.Juste une question.
Depuis l’avènement d’internet, on nous a brisé menu menu les noisettes avec le piratage, hou le streaming, bouhouhou les profits des sociétés de prod’ les pauvres créateur·ices
spolié·es de leurs gargantuesques
8 % sur le prix de vente de leurs créations, les amendes et le blocage des sites, hadopi…
Mais ces programmes peuvent piller le contenu en ligne pour le réutiliser en faisant des bénéfices et c’est ok ?
Peut-être qu’il faudrait envisager un impôt spécifique, non ? Plutôt élevé, vu que ces machins ne seraient rien sans les masses de données utilisées sans l’accord de personne. Et rétroactif bien sûr.
(En considérant en l’absence d’informations que la totalité du contenu en ligne a été pillé, histoire de ne pas les laisser temporiser à l’infini en refusant de fournir les dites informations.)
À voir ensuite de quelle manière le fonds constitué pourrait être utilisé au bénéfice de la collectivité (mais je ne doute pas qu’il y aurait de bonnes idées).
Ou alors on se résigne devant le fait accompli (encore) en acceptant que les lois, le respect de la création, tout ça, ce n’est que pour la plèbe ?
L’ia ne peut faire que dans la doxa dominante , il est là le danger . Surtout quand la doxa dominante est le résultat d’une vision à court terme .C’est la mort de l’imagination , c’est la mort de l’humanité . Et l’avénement de ….D’une nouvelle espèce de fourmis ?…Et c’est marrant , déjà sans ia , on en est pas loin .Surtout depuis qu’il paraitrait que les abeilles votent ….Sauf peut être pour ceux qui dirigent les fourmis …Mais est ce que l’humanité peut renaitre de la pensée de zuckerberg?..Ou thiel …?
C'est bizarre comme les arguments de cet article me rappellent ceux utilisé pour distinguer l'homme de l'animal.
Avec l'I.A. pourra-t-on procéder à la constitut ion d'une association de malfaiteurs, sans se faire prendre ?
( c'est pour un délinquant à talonnettes )
Point n'est besoin de l'IA pour que le capitalisme nous inonde d'objets frelatés. Cette chaine youtube a démontré récemment par exemple la supercherie Mariah Carey : https://www.youtube.com/watch?v=t8ONPd926_s
D'autres vidéos montre que c'est également le cas de Taylor Swift, et n'en déplaise à beaucoup, que nous n'avons pas entendu la voix de Céline Dion aux JO. ATTENTION : dans ce dernier cas, ça ne veut pas dire qu'elle n'a pas chanté. C'est plus subtil : juste qu'on pas entendu ce qu'elle a chanté. La volonté de perfection scénique en arrive à abandonner l'idée même de « direct ». Heureusement, cette chaine montre, en contre-exemple et comme support de son propos, que les preuves sont aussi là que des artistes chantent, comme MJ ou Adele.
À nous de faire le tri !
Preuve que cet article n'a pas été généré lui aussi, Il manque un "se" sur la derniere ligne. 😉
Qui pourra se payer le luxe de ne pas satisfaire d'une production de faussaires ?
Qui pourra se payer le luxe de ne pas se satisfaire d'une production de faussaires ?