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Commentaires

Pujadas l'accompagnant

Stupeur dans les foyers: sur l'écran du 20 Heures de France 2, apparait soudain un eurocrate inconnu

Derniers commentaires

ça y est, le fil est infesté par le virus freudqo. Toute tentative de reflexion est aussitôt étouffée sous une avalanche de vocabulaire.
Faut vraiment être [s]con[/s] pas malin pour l'avoir réveillé.
va falloir inventer un gage pour celui ou celle qui le réveille :p
Lecture obligatoire de tous les messages de Yannick;-)
Ce n'est qu'une simple suggestion...
Je vais me faire tuer !
gamma
avec commentaire composé ? :D
(oh pétard, je me désabonne.)
(parce que franchement, qui peut être sûr ici de n'avoir jamais réveillé feudqo ?)


en même temps les discussions sur la dette commencent à me gaver...
pourquoi personne parle du puçage obligatoire des moutons, par exemple ?
Oui, c'est assez dingue, je ne connaissais pas !
merci
De plus, j'avais lu pucelage;-)
gamma
Pour un puçage différencié des électeurs, ne serait-ce que pour accélérer l'épouillage euh...le dépouillement.
Qui a plus de puce(s) ?
putain dur dur !
gamma
pucelage obligatoire dans les élevages, le saint esprit va avoir du taf !!!
Ne riez pas, c'est dans le programme de Madame Boutin, la seule condition préalable pour une alliance subjective avec "Chasse, pêche et traditions" pour les législatives.
Ils sont fous ces Libéraux :D :D :D
Non, dangereusement réaliste:-(
gamma
Boutin, libérale ???
Vous la découvrez ???
ben justement non.
de droite, certes, mais c'est pas synonyme de "libéral" !
plutôt genre droite légitimiste, Boutin.
L'un n'empêche pas l'autre, dans cette famille de droite particulière qu'est devenue l'UMP.
La politique du champion en la matière sous lequel elle était sous les ordres pendant ces dernières années, ne l'a pas trop perturbée.
C'est vrai, je vous concède qu'elle a fait quelques envolées qui semblaient montrer qu'elle n'en était pas, mais elle a toujours fait bloc, et donc de fait, cautionné la politique libérale du gouvernement.
Après, on peut toujours croire ce qu'elle dit, mais je n'ai pas besoin de croire ce qu'elle a fait :)
[Mode débile] [ON]


La différence entre Boutin et Sarkozy, c'est que Boutin fait la même chose que Sarkozy, mais qu'elle a honte après... ^^


[Mode débile] [OFF]
mais sarko n'est pas "libéral" non plus !
il est au service des riches : mais par des mesures autoritaires et interventionnistes, le plus souvent.
Il a certes supprimé des emplois publics, mais pas réduit les dépenses de l'état, et plutôt augmenté la pression fiscale (pas sur les plus riches, ok..) ce qui n'a rien de libéral comme politique. Sa réforme des collectivités territoriales renforce le pouvoir central, ce qui n'est pas franchement libéral. sa réforme des retraites n'a rien de libéral non plus... même si elle est défavorable aux travailleurs pauvres et précaires.

la droite non libérale existe aussi, vous savez !
"légitimiste" à la boutin, anti laïque, réactionnaire, pas forcément hostile à l'intervention étatiste, ou plus "bonapartiste", genre guaino, voire un brin boulangiste... Sarko, qui n'a pas de cohérence idéologique, a surfé entre tout ça et une dose de libéralisme, au gré du vent et de la vague.

la droite autoritaire et interventionniste sait très bien faire la guerre aux pauvres, elle aussi.
Sarkozy pas libéral...
pourriez-vous me dire, en ce cas, comment vous nommeriez les cadeaux successifs faits aux patrons, qu'elle se traduise par des exonérations, des liquidités, ou une plus ample latitude vis-à-vis des employés ? En ajoutant à cela, sa participation européenne à une toujours plus grande dérégulation des marchés afin que la concurrence se fasse en toute liberté, et en même temps en toute férocité ? La privatisation de secteurs multiples qui réduit années après années l'espace réservé au domaine public, afin que règne la sacro-sainte "économie de marché" ? Le paquet fiscal ? Tout ce qui a été entrepris pour favoriser une perte de statut de l'université afin de les rendre indépendantes, autonomes ? Je n'insisterai pas non plus sur les retraites, ou les mesures qui ont amené à la fermeture de nombre de centres IVG et de planning familial.
Si cela n'est pas du libéralisme, je vous serais reconnaissant de me préciser la définition que vous en avez, et du coup, quel nom d'ensemble vous donneriez à ce que je viens de décrire - dont je pense que rien n'est constestable ci-dessus.
Effectivement, comme pour Boutin, si vous vous en tenez aux discours prononcés par Sarko ou ses porte-parole, dont Wauquiez, effectivement leur façade officielle est de dire non à l'ultra-libéralisme.
Pas facile à quantifier, je vous l'accorde, vu qu'étant naturellement un terme péjoratif, tout le monde s'en défend.

@ vous relire.
favoriser les puissants et les riches, écraser le peuple sous l'impôt, n'est pas, en soi, "libéral" : les monarchies l'ont fait pendant des siècles...
sarko n'a aucune cohérence économique : libéral d'une main, étatiste et dirigiste de l'autre, dérégulateur un coup, interventionniste un autre. Il est l'exemple le plus parfait du rapport de la ploutocratie au libéralisme : s'en servir quand ça les arrange, s'en foutre quand les mesures autoritaires leur sont plus utiles.
Mais les mesures autoritaire, justement, ne sont pas en contradiction avec le libéralisme, surtout que ce que vous appelez ici l'intervention de l'État se fait justement pour favoriser son émancipation, au travers des exemples que je vous ai donnés.
Et petite parenthèse, favoriser les puissants et les riches est une chose, typiquement libérale - je vous renvoie à sa définition au besoin. "Écraser le peuple sous l'impôt" en est une autre, et justement, est à l'inverse du libéralisme, si vous considérez la destination de l'impôt. On peut le juger juste, ou pour le moins équitable, quand il est proportionnel aux revenus; ou injuste comme la TVA - qui elle n'est pas exclusive de la droite nous sommes d'accord - mais dans la législation, ils sont destinés à remplir les caisses de l'état afin de le redistribuer pour le peuple, que ce soit en services, en administrations et autres prestations.

Voilà pourquoi je vous redis que Sarkozy, donc, est un ultralibéral de par les mesures qui ont vu le jour sous son règne, ou qu'il a validées sur le plan européen. Que son "interventionnisme", vous en conviendrez comme moi, n'a pas été dans le but de nationaliser des édifices et encore moins à un objectif de recentralisation - ce qui serait en ces cas précis, effectivement, le contraire d'une politique libérale, et j'irai même plus loin: en renflouant les banques, il s'est donné un pouvoir sur elles-mêmes, qu'il a décidé.. de ne pas utiliser, afin des les laisser à continuer leurs spéculations sans freins ni barrières ! Je pense que c'est le plus bel exemple de l'interventionnisme - "l'étatisme" pour reprendre votre formule - qui non seulement n'est pas contradictoire avec le libéralisme: mais qui au contraire, donna un extraordinaire coup de boost au libéralisme, dans les faits, que l'UMP a prétendu combattre.

Tout cela, contrairement à l'analyse que vous en tirez, a bien au contraire, une très grande cohérence économique: rien ne peut venir entraver la dérégulation des marchés, et quand se pose la main de l'État sous Sarkozy, ce n'est pas pour tirer le mors, mais pour au contraire, le relâcher, jusqu'à ne plus le tenir.
Non ?
les ploutocrates ont réussi à convaincre tout le monde qu'ils étaient libéraux...

le libéralisme ne consiste pas à renflouer les banques, mais à les laisser faire faillite si "le marché en décide". Les renflouer donne un "coup de boost" à l'enrichissement privé, mais c'est une mesure interventionniste, et non libérale.

bon, il y a bien une cohérence : enrichir les riches. Mais en changeant d'idéologie économique au gré des besoins. Car ce n'est pas "typiquement libéral" d'enrichir les riches : les fermiers généraux de l'ancien régime en sont un exemple, et toutes sortes d'autres privilèges que des politiques économiques interventionnistes peuvent tout aussi bien instaurer et soutenir.

conceptualiser la différence entre ploutocratie et libéralisme, c'est comprendre mieux les contradictions internes à la droite — et à la gauche, aussi.
Cécile Clozel, Vous avez tout compris ,mais pas dans l'ordre. Les USA sont à la fois le pays des trusts et des lois anti-trusts. Le libéralisme consiste à remettre sur des rails un train qui déraille tout le temps. Le "marché auto- régulateur" est sous perfusion permanente et nécessaire.Son imposition forcée produit le fascisme (Polanyi),C'est-à dire la réaction convulsive à la disparition des liens sociaux traditionnels Le gros point faible des libéraux est qu'ils ne "gérent" pas du tout ce genre de question. Profitons-en !
"les ploutocrates ont réussi à convaincre tout le monde qu'ils étaient libéraux... "

Entièrement d'accord sur ce point, j'ai presque envie de dire que l'inverse est aussi vrai.
À titre personnel, les représentants de ces deux courants sont pour moi les mêmes personnes.
Ce que dit Albert-Yves ci-dessus est doublement intéressant, par ses analogies résumées aussi bien que par ses métaphores que je trouve pertinentes en ce qui concerne le libéralisme.

Pour en venir à votre conclusion, en effet il est je crois prouvé que l'argent intéresse aussi nombre de représentants de gauche, et ce concept que vous faites, il est vrai, est nécessaire sinon pour comprendre ces contradictions, au moins les mettre en exergue. Je cite le mot "contradictions", bien que selon moi, l'argent pourrit même les esprits les plus vertueux chez les élus.
Ce n'est pas mon cas - mais je suis loin d'être l'un de ces fameux esprits :) -, bien que je ne ferais pas la fine bouche sur une substantielle augmentation (je ne vous dis pas combien je gagne avec presque 20 ans de boite pour ne pas vous faire pleurer), mais je sais parfaitement quelle somme serait à même de suffire pour éviter de régulièrement raboter mes budgets afin de ne pas être (trop) dans le rouge.
Et que cette somme me suffirait sans que j'aie besoin d'en avoir plus.
J'imagine, même si je conclus avec cette anecdote, que beaucoup de monde doit la partager.

Ah c'est pas simple ma bonne dame.
on dit pas les les plutocrades?
Je te trouve limite insultant avec ces enfoirés :p
ils sont propres sur eux mais dans la tête ils sont plutocrades :p
ah oui mais ça c'est à cause du caca rente.
Cécile Clozel, l'assimilation du fric à la merde fut inaugurée par Luther, et théorisée par Freud. Quel beau thème d'émission pour ASI !
ah pour Luther je savais pas, vous avez une référence ?
Marc Lienhard, "Martin Luther, un temps, une vie, un message" ( le centurion-labor et fides) Plus précisément que l'argent, c'est le luxe (mais pour lui c'est proche) qu'il compare à de l'excrément.
moi j'ai toujours cru qu'elle était libertine.
Mais pas catin :D :D :D
Boutin , c'est Jeanne d'arc si elle avait été ignifugée. Et c'est un compliment. Elle a au moins une épaisseur (aïe) historique que ses rivaux mâles n'auront jamais.
A quand une émission de journalisme économique genre "Ou va l'argent?", comme il existe une émission littéraire par exemple, sur ASI ?

Histoire de savoir les véritables ordres de grandeur, ou est l'argent, et par où passe t'il?

Ma motivation de proposer cela est le ras l'bol d'entendre des argumentaires utilisant "Ca coute cher", en omettant d'autres sommes passant par la p'tite porte, à diminuer une valeur en la comparant à d'autres gros chiffres, ou à l'augmenter par rapport à des chiffres plus petits, ou à bien noyer le poisson en comparant chiffres, selon les années au choix, et pourcentages de tout bord.
Le décryptage des discours journalistiques, médiatiques, est pléthorique, ya de la matière à gogo...!

Depuis que l'Etat français emprunte au privé, quid des intérêts perçus par les banques via le public depuis quasi 40 ans?

Des sommes colossales sont versées à la Grèce, censée représenter une goutte d'eau dans l'économie européenne, yaurait pas une arnaque quelque part, surtout en entendant déblatérer journalistes éco, voir même la présidente du FMI que les grecs sont entièrement responsables de leur débâcle ?

On pleure du chomage, et de la destruction d'emploi, bien, et pourquoi ne regarde t'on pas aussi au niveau de la création d'emploi, quid des investissements ces dernières années pour les PME, principaux fournisseurs, ou de la formation continue?

La crise, certes, objet sans visage, seulement le gouvernement français a clamé avoir même gagné de l'argent en prêtant aux banques, qui remboursèrent et se renflouèrent rapidement, alors pourquoi la crise, à part par une perte d'investissements dans la création d'emploi ?

Quid des investissements, vraiment aux entreprises, quelle captation vers la finance pure?

Des milliards s'envolent ici et là, voir trillions (milliard de milliard), ...dans l'espace intersidéral ?

On veut bien parler de l'immigration, souvent comme repoussoir de l'étranger, parfait mobile pour dire on est le bien, le mal étant à l'extérieur et veut nous envahir, quid de l'émigration, à part pour fantasmer que si on ne s'accorde pas aux meilleurs d'entre nous, ils partiront?
Cette émigration existe bel et bien depuis toujours, comme l'immigration...

Il y a là une foule de sujets qui mériterait un vrai décryptage, autre que le flou artistique qu'entretiennent certains pour être en adéquation avec leur patron, malgré le fait qu'ils soient présentés comme indépendants experts.

Et tellement de bénéfices privatisés, ou de dettes nationalisées, autant dans la santé, la banque, les transports, les infrastructures, la sécurité, l'énergie, l'éducation,...

Rahhh, j'vais me calmer ailleurs, pardon pour le pavé :D
J'ai pas trop compris !

Admettons !
j'ai un ami, de Miami, un peu cannibale, qui rêve de faire ami-ami avec un eurocrate, ou à défaut un éditocrate, Pujadas l'intéresserait aussi, en hors d'oeuvre. Si quelqu'un connaît l'adresse...
Miam-miam..
Vous avez regardé Pujadas sur France 2; Grosse déprime !
Mais vous n'avez pas écouté France inter ce matin ! Entre notre camarade de l'Expansion qui hurle après Mélenchon qui ose se plaindre de certains journalistes puis le cher Dominique Seux qui n'a que TINA a la bouche : je me demande si ce n'est pas pire !
A quand une vraie émission sur la compétitivé ?
C'est quoi un pays compétitif ? La compétititvé couts, hors couts ? Quel sens selon l'économie du pays et le contexte ? Comment la mesure-t-on ? Est-ce un simple rapport productivité / couts ? Comment l'améliorer ? Pouquoi certains pays progressent et d'autres régressent ?
Les vilains Français qui ne veulent pas payer pour la crise que les gestionnaires ont provoquée, ignorée, accompagnée et enfin agravée... Ouh qu'ils sont vilains.


Attention les Français, pan-pan cucul si vous faites pas ce qu'on vous demande! Si vous ne payez pas, si vous ne vous agenouillez pas, la vilaine récession va venir vous mettre une grosse fessée. Le vilain chômage il va vous gronder. Et puis même que de toute façon on vous avait prévenu (et non l'inverse).


C'est dans ce contexte que vous n'avez plus de boulot. Alors faites-nous confiance. Qui a dit que les journaux ont cessé de pratiquer la publicité insécuritaire? L'insécurité économico-sociale ça compte aussi.


Soit dit en passant, la ligne d'arrêt sur images sur la crise à cet intérêt : elle pointe le manque de connaissance qui se cache derrière l'argument d'autorité "c'est la science économique qui le dit". Cette approche va tendre, tôt ou tard, à se généraliser. C'est le devenir de la critique média : confronter la connaissance mise à l'épreuve par sa propre ignorance contre le sophisme communicant.


A ce jeu-là, tous sont vilains : les technocrates français, les technocrates européens, et les experts en tout genre...


Le sophisme ne tient plus dans le relativisme mais dans le dogmatisme.
"sur l'écran du 20 Heures de France 2, apparait soudain un eurocrate inconnu, et non francophone, qui sermonne la France. Air connu: il faut augmenter la productivité, baisser les salaires, introduire davantage de flexibilité, pour respecter les engagements européens, etc. Bref, la rigueur, fugitivement, prend un visage."

je n'ai pas vu ce journal, c'est qui l'eurocrate?
Non seulement rien/rien n'a changé, tout/tout a continué, mais il me semble que, dans la dramatisation menaçante, on est monté d'un cran. Histoire d'empêcher François Hollande, des fois qu'il s'y risquerait, de tenir ses promesses (si prudentes et anodines qu'elles soient). Histoire aussi de prévenir ce qu'ils craignent le plus, que la population vraiment fâchée fasse vraiment pression sur lui pour qu'il fasse plus que tenir de minuscules promesses. Et pour l'obliger, au contraire, à consolider les admirables réformes de l'autre qu'on vient de virer. Tout ça pour ça?

70 euros sur une allocation ANNUELLE, un "coup de pouce" au smic qui s'annonce microscopique, c'est encore trop pour ces draculocrates. Pourquoi ils se demandent toujours si c'est possible d'augmenter les salaires (non, bien sûr!!!), jamais si c'est possible de faire vivre une famille avec des revenus aussi misérables (démerdez-vous, quoi, savez pas gérer votre budget!)?

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Du grand matinaute. Un papier remarquable.
Merci beaucoup, et oui !, continuons à dénoncer l'énonciation de faits comme étant des vérités, les discours créateurs de réalités et de croyances. Le langage performatif, ça suffit.
"C'est dans ce contexte" aussi que les Irlandais votent aujourd'hui.
Selon l'analyse du Guardian, ils ont le choix entre un vote de peur (oui) ou de colère (non), soit deux motivations négatives.
Cette capacité à présenter "le contexte" sans l'ombre d'un regard critique, la moindre trace d'une prise de distance. La parole "eurocratique", assénée en début de journal, comme un titre à tout ce qui va suivre, une vérité révélée, un "chapeau", la petite pilule à prendre en début de repas pour aider à digérer. David Pujadas, le "médiator" de l'information.
Pour respecter les directives européennes en matière d'économie, ne pas faire fuir les investisseurs, ne pas subir les sanctions des agences de notation, il faudra bien qu'un jour ou l'autre on se décide à brûler ce putain de Code du travail.
Pour inquiéter puis rassurer, TF1 est le champion: leur journal est anxiogène et leurs fictions gaies. D'une main, la chaîne tend le poison, de l'autre, l'antidote. Imparable!

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