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Migrants à Grande Synthe : évacuations sans caméras

Est-il possible de couvrir l'expulsion d'un camp d'exilés ? Deux journalistes ont déposé un recours (rejeté) devant le tribunal administratif de Lille, estimant que les forces de l'ordre les empêchaient de couvrir l'expulsion des exilés passés dans cette commune de la banlieue de Dunkerque. Une problématique loin d'être nouvelle.

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"Si ça n'est pas vu , çà n'existe pas." L'ami qui vous veut du bien (ou qui veut vos biens , on ne sait plus). Les trois phases de la honte bues , maltraitance des migrants , parcage aléatoire et mise au rebus , absence de témoignage .

 

(...)

Sur Twitter, on peut lire que la préfecture se défend en expliquant que les expulsions sont terminées, et que donc il n'y a pas lieu d'accéder à la demande des journaliste.

Et ensuite de déclarer que ces expulsions ont lieu toutes les 48h.

Bande de fac(...)

...pendant c'temps là , Buzyn entre en grande pompe à l'OMS...

Derniers commentaires


Si le préfet ne connaît pas ni ne respecte les droits de l'homme, qui va le faire dans le département, la région ? 

Et le procureur du coin, il n'ordonne aucune poursuite ?

Merde alors ! Lui aussi, il ne connaît pas le Droit ?


Ce serait bien que le gouvernement nomme des hauts fonctionnaires bien instruits pour contrôler la légalité... 

A moins qu'au gouvernement aussi on ignore et méprise les droits de l'homme. 

Et à l'Assemblée ? C'est pareil ?


Quant à Macron, il n'y a pas de mystère. Il l'a clairement affirmé devant Al Sissi. Business first ! 

Le garçon avait déjà semé de nombreux indices - déjà du temps de Hollande - qui permettaient de s'en douter.

Il a été élu comme si personne n'avait rien vu.


Dire qu'il y a encore des gens pour prétendre qu'on n'est pas dans un état policier....

"A. C reconnaît que son journal ne couvre plus les "petites" opérations ". Dramatique. Faut au moins un mort pour montrer l'ignominie ?

Abominable. Purement et simplement. Et on dit que la France était la patrie des droits de l'homme..


A fond la caisse les jojos;  tentatives pour interdire  la prise d'images ou vidéos  dans les manifestations ( les images ou vidéos des robocops) 


 Lors de l'évacuation de ND des Landes, quasi aucune image ne nous est parvenue, pour constater l'oeuvre de nos robocops cassant et détruisant des.......   des  cabanes.   


Qu'est ce que la censure?  une interdiction.  Et pourquoi interdit-on Msieur Darmamachoullin? Je demande.....


Pourquoi censure-t-on  sous Manu  Ier ? On a peur de quoi?

Sur Twitter, on peut lire que la préfecture se défend en expliquant que les expulsions sont terminées, et que donc il n'y a pas lieu d'accéder à la demande des journaliste.

Et ensuite de déclarer que ces expulsions ont lieu toutes les 48h.

Bande de fachos.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Vous ne comptez si bien dire en additionnant les responsables et les responsabilités, disons, les larbins de service.  


On va prendre un exemple : le département des Haute-Alpes. Et une problématique actuelle.


Historiquement, ce département au sol très pauvre (mais aux paysages inouïs) a connu de nombreux cas de "ruines " de terres agricoles (trop de surpâturage, de déboisements, il a fallu abandonner des villages, et nombre de Champsauriens émigrèrent en Algérie, au Mexique, en Argentine en Californie aux environs 1900/ 1930.


Historiquement encore, la frontière italienne est proche par endroits et contrebande aidant ou échanges de marchandises ou de métiers (les maçons piémontais savaient organiser des voûtes sobres, sans tailler beaucoup les matériaux, ce qu'ils firent dans de nombreuses fermes, but : éviter les incendies entre haut et bas, protégeant le bétail dans ces cas, et forte isolation contre le froid et le chaud vu la masse des matériaux) donc habitude  à l'entraide, à l'échange, à l'hospitalité. 


 Voilà pour la tradition.


Depuis 5 ans environ, par un col reliant à l'Italie, quelques immigrés, les mêmes origines que ceux qui croupissent dans les îles grecques ou en Italie, arrivent à Briançon puis vers gap.

On a bien dit "quelques".


Des militants, à Briançon obtinrent l'ouverture d'un refuge pour les héberger, les soigner. Le nouveau maire, un heureux élu du PR sitôt élu a coupé les vivres,  voulant récupérer le local: les briançonnais, qui ont encore quelques souvenirs d'hospitalité campagnarde commençaient à indiquer à l'heureux nouvel élu que bon.. gaffe à certains lieux communaux que l'on pourrait retrouver un peu visités. Le maire a plié, mais n'abandonne pas la partie. 


En 2018-2019, du même endroit, ce col,  des "identitaires" (fachos proches de RN) firent quelques  coups d'éclat , hélico, presse sollicitée pour jouer le service d'ordre et refouler, si besoin , les "nombreux" (,!,!,) migrants. Une milice. Des militants balancent le tout, photo à l'appui au tribunal de Gap.  Là, le procureur dit: "moins grave que le loup,  je ne vois pas ce que je peux faire...pas de délit à mes yeux, c'est une manifestation". Point. 


Une avocate bouillonne, retourne ses codes et dit : stop il y a usurpation de mission, maintien de l'ordre, boulot régalien, spécificité des forces de police ou de gendarmerie. Le procureur traînaille mais dit: " ok" ; 


Audience, jugement : forte amende, privation droits familiaux pour les meneurs fascisants. 

Mais appel. Hop  l'appel casse tout et ces braves gens sont lavés de tout soupçon. Comment est ce possible?


- on a muté la préfète des Hautes-Alpes, la remplaçant par une autre préfète, ancienne commissaire de police, ancienne responsable de salades anti-migravitionnelles. 


- on a viré le procureur qui s'est laissé roulé dans la farine pas de dangereux militants.


Entre temps, les nouveaux mercenaires en place, ordonnent et obtiennent l'expulsion d'un squat à Gap, (80 migrants depuis 3 ans), qui,  pas de chance, se précipitent dans l'occupation d'un local appartenant ...au maire de Gap, qui lui aussi avait demandé l'évacuation. 


On en est là, impossible de les déloger durant l'hiver.

Les moyens utilisés furent solides : perquisition de la police pour recherche de stupéfiants : on a trouvé une barrette de H, tests de tous les résidents anti-covid, pas de chance,  rien. 


Ceci pour approuver et illustrer la sentence de   ci-dessus: "  Flics, nettoyeurs privés, médias à la botte du pouvoir, juges administratifs, préfets, ministre de l'intérieur, président .."


France patrie des droits de l'homme, on dit. On a dit

"on dit" c'est pire ailleurs? et alors? ce qui veut dire quoi? que c'est pire partout.



merci pour ce post !

quel mauvais esprit, Bipbip ! Cette dame était "en charge de l’accueil et de l'accompagnement des étrangers", elle est sans doute venue pour pouvoir participer aux maraudes lorsque ses responsabilités lui en laissent le temps...

...pendant c'temps là , Buzyn entre en grande pompe à l'OMS...

"Si ça n'est pas vu , çà n'existe pas." L'ami qui vous veut du bien (ou qui veut vos biens , on ne sait plus). Les trois phases de la honte bues , maltraitance des migrants , parcage aléatoire et mise au rebus , absence de témoignage .

 

De fait il médiatiquement beaucoup moins grave de détruire les pauvres biens d'un migrant que de jeter un œil concupiscent sur un acteur ou une actrice.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

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