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Glyphosate : tests urinaires, le match retour

A-t-on vraiment "tous" du glyphosate dans les urines ? Y a-t-il un test meilleur que les autres ? Et ce glyphosate dans les urines est-il dangereux ? En 2019, entre les "glyphotests" d'Envoyé Spécial, les plaintes des "pisseurs involontaires" positifs au glyphosate et les contre-tests négatifs d'agriculteurs, la bataille des tests urinaires a fait rage.

Commentaires préférés des abonnés

Encore une fois, les humain se pensent en dehors de la planète. Savoir si l'on a un peu ou beaucoup de merde dans le système, c'est important. OK.
Est aussi important de mesurer l'impact des pesticides sur des sols qu'on a rendu morts. Des sols sans h(...)

Sans doute suis-je assez cruche mais il me semble que la norme devrait être zéro glyphosate dans le corps.


ça sert à quoi le glyphosate au juste ? ça contribue à faire tourner la grosse machine qui bousille à tour de bras tout en enrichissant quelques(...)

Les effets ne sont pas "toxiques" mais reprotoxiques. Ils ne sont pas immédiats, mais différés. 


Il est bien évident que si le glyphosate tuait de suite, il aurait dû renoncer à sa brillante carrière. 


Notez aussi qu'on fait une fixette sur l(...)

Derniers commentaires

Sur le sujet, il faut absolument mettre en oeuvre une écologie radicale et sociale en mettant en place progressivement une production agricole 100% nationale, écologique et paysanne en revalorisant la place des agriculteurs dans la société.

Venez découvrir et réagir à notre couveuse d'idées qui est en ligne sur notre nouveau site internet:
https://www.emancipation-collective.fr/couveuse-didees/
N'hésitez pas à la diffuser un maximum

Je vous mets ici le contenu de notre boîte à idées à propos d'une écologie radicale mais sociale
https://www.emancipation-collective.fr/une-ecologie-radicale-mais-sociale/

a. Transformer radicalement notre rapport au travail pour construire une nouvelle société écologique
b. Mise en place progressive d’une production agricole 100% nationale, écologique et paysanne en revalorisant la place des agriculteurs dans la société
c. Définition collective des besoins indispensables à notre survie et ceux utiles à notre bien-être sans être néfastes à l’autre et à la planète
d. 100 % d’énergies renouvelables d’ici 10 ans
e. Plan de rénovation écologique de tout le bâti
• 100% de bâtiments isolés en 5 ans
f. Développer les transports publics écologiques et repenser la mobilité individuelle
• Interdiction des vols intérieurs et avec nos pays frontaliers
• Mise en place d’un système de points pour les voyages en avion dans un objectif de décroissance de l’empreinte carbone avec un droit minimal à la mobilité pour tous
• Développement du ferroviaire, favoriser les lignes départementales et remettre en cause la centralisation depuis Paris
• Gratuité des transports en commun
• Mise en place d’un système de tarification du train unique en fonction du trajet et adaptée aux revenus économiques des particuliers et des entreprises
• Suppression des véhicules des centres villes (à l’exception des véhicules de livraison, premiers secours et les personnes à mobilité réduites) avec les voies routières remplacées par des voies piétonnes et cyclistes
• Interdiction des véhicules à plus de 130 chevaux et des SUV avant la fin du quinquennat
g. Pénaliser les transports sur longue distance pour relocaliser les productions
h. Discussions collectives autour des enjeux techniques et des nouvelles technologies
i. Lutter contre l’obsolescence programmée en étendant la garantie des objets à 10 ans
j. Mise en place d’un cyberminimalisme
• Suppression des tablettes et des ordinateurs individuels à l’école avant 18 ans
• Interdiction des GAFA dans toute la fonction publique, créations d’alternatives (exemples : les logiciels libres d’accès, moteurs de recherches sans publicités…)
• Interdiction de rapatriement de bénéfices d’une entité à une autre en considérant une entreprise comme une unité unique, et non une somme de filiales séparées, dont certaines sont dans les paradis fiscaux
• Préserver un système minimal de matérialisation des services publics
k. Interdiction du transfert de déchets dans les pays étrangers
l. Traitement des déchets en local dans les municipalités pour les déchets non dangereux
m. Sauver l’écosystème et la biodiversité
n. Exploiter durablement la forêt française (développement de la biomasse couplée à un plan de reforestation)



Si le glyphosate est dans les urines, c’est qu’on est en train de l’évacuer, non?

En ces temps de fêtes, j'espère que ceux qui haïssent le glypgosate ont bien pensé à n'absorber aucune goutte d'alcool car ses effets toxiques et sa présence dans les urines me semblent bien avéré.e.s (même si le vin est bio). 

Bisous.

Sans doute suis-je assez cruche mais il me semble que la norme devrait être zéro glyphosate dans le corps.


ça sert à quoi le glyphosate au juste ? ça contribue à faire tourner la grosse machine qui bousille à tour de bras tout en enrichissant quelques uns, qui en crèveront aussi ,tôt ou tard mais avec plus de billets dans leurs poches et peut-être la jouissance d'avoir dominé.


Je trouve pervers qu'on veuille faire penser qu'une saloperie puisse avoir un taux tolérable et nous être imposée, 

Les taux admissibles dépendent plus de la volonté des puissants que de la rigueur dite scientifique dès qu'il y a des enjeux financiers.


Ce qui donne d'un côté les Pisseurs Volontaires ( et non pas involontaires comme écrit dans l'article ) issus des Faucheurs Volontaires, grains de sable poseurs de bonnes questions et d'un autre , b'en comme d'habitude, la puissance du phytosanitaire, la FNSEA, des médias complaisants .

Et au milieu, nous, dans un monde en perte...

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. Une seule certitude : ni les tests des "pisseurs" ni  ceux des agriculteurs ne permettent aujourd'hui de conclure sur une dangerosité du glyphosate pour la santé publique. Problème de santé publique dont la probabilité est d'ailleurs "faible", comme le concluait notre émission contradictoire sur le sujet. 


merci pour ce sujet bien intéressant: (qui m'intéresse! )

 déjà une remarque, pourquoi conclure par "une certitude"? Un pli journalistique ?


probabilité faible,...? peut-être. En effet, rien ne permet de conclure, surtout pas des tests, mais une étude scientifique sérieuse sur le sujet, oui.


Quant aux tests, ce qui est important selon moi, c'est de bien voir que ces "test" que chaque testeur défend bec et ongle (et vend, très cher!), n'ont aucun sens: au plus pourraient-ils servir à construire une base de données pour une étude à long terme.


 A quoi rime de faire un test alors qu'aucune norme n'existe? on marche sur la tête d'un point de vue logique, mais par contre, ça rapporte énormément d'argent...aux labos qui "testent". 


On nous vend du test, on nous fait croire que la médecine repose sur des bases "scientifiques", puisque "chiffrables", c'est la plus grande arnaque de notre époque, qui ravale la médecine au rang de pratique de supermarché: "posez votre échantillon d'urine sur la balance automatique et passez à la caisse automatique".


Les batailles entre testeurs sont bien intéressantes: Elisa est la marque du test utilisé en première intention en France pour dépister la maladie de Lyme, on connaît les dégâts ... 

Donc, Elisa c'est une "marque",  qui est reconnue par la HAR quand ça lui chante, et jetée aux chiens quand ça dérange? 


Il y a un vaste sujet à traiter sur les tests, quand on sait que le test Elisa sur la borréliose de Lyme a été étalonné en POSTULANT qu'il n'y a pas plus de 5% de positifs sur la population qui a servi pour les échantillons.

..................................................    ***** c'est d'une logique brillante, non ? ...............et donc, on trouve ce qu'on a décidé qu'on allait trouver, pas plus de 5% de malades de Lyme dans les personnes à risque.


Réfléchissons ensemble: comme étalonner un test, qui va vous donner un résultat chiffré, mesurer une concentration d'un élément recherché, anticorps ou autre molécule, si vous ne connaissez pas d'autre moyen de déterminer si les porteurs des échantillons testés sont "malades" ? hummm? 



Encore une fois, les humain se pensent en dehors de la planète. Savoir si l'on a un peu ou beaucoup de merde dans le système, c'est important. OK.
Est aussi important de mesurer l'impact des pesticides sur des sols qu'on a rendu morts. Des sols sans humus, sans insecte ni ver, sans vie. La question du glyphosate posée uniquement sous l'angle de son absorption directe par l'homo sapiens ne soulève qu'une moitié de la question de son utilisation.

Les vendeurs de peur ont encore beaucoup d'avenir devant eux. Si on rajoute les anti linky, les anti ondes, et les anti vaccins, on a une belle brochette d'anti-science qui nous détournent des vrais problèmes sanitaires potentiels.

Ca me fessait pensait a ce fumeur qui me disait : "Ha moi je mange que Bio, parce que je fais attention a ma santé"

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

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