Il y a la même différence entre Mendès-France et Bayrou , qu'entre De Gaulle et Macron : incommensurable....

Bayrou n'a pas besoin de vacances : Bayrou, c'est la vacance du pouvoir

En cette journée dominicale en partie consacrée à une belle célébration de notre souverain pontife et après un repas modeste, j'ai éclaté de rire, une fois n'est pas coutume à la lecture de cet article à charge contre un premier ministre qui a le mér(...)

Très bon article qui met en valeur la révérence hallucinante du Monde pour le pouvoir politique. C'est à se demander si on ne lit pas un article de Paris Match...

Et quand on empoisonne les racines d’une plante, ou qu’on les coupe, la plante meurt.

CQFD.

En cette journée dominicale en partie consacrée à une belle célébration de notre souverain pontife et après un repas modeste, j'ai éclaté de rire, une fois n'est pas coutume à la lecture de cet article à charge contre un premier ministre qui a le mérite de ne pas partir en vacances. Prévisible comme une grève d'enseignant à la rentrée, ce papier est à la limite de l'incorrection. Si on peut critiquer un budget peu ambitieux dans le domaine de la réduction des dépenses publiques, on devrait se féliciter d'avoir un homme politique, qui, en dépit des nombreuses attaques qu'il subit, n'abandonne pas le navire dans cette période de difficultés économiques. A son âge et après une carrière politique honorable, notamment à la tête de la mairie de Pau, il mériterait bien un peu de repos. On peut noter d'ailleurs, que les braillards de l'extrême gauche sont bien silencieux en cette période estivale, bien trop occupés sur des plages cubaines ou en séjour de courtoisie en Corée du Nord à fomenter leurs nouvelles diatribes qu'ils délivreront dans les médias complaisants à la rentrée. Ceci dit, il y d'autres attaques indignes contre des hommes et des femmes  politiques de premier plan  ces derniers jours. Un acharnement sur une ministre de la culture dont la réussite fait des envieux et des demandes d'éclaircissement sur des dépenses  justifiées par la volonté de faire rayonner la région Auvergne Rhône-Alpes, auprès de Mr Wauquiez qui constituera un binôme dynamique avec notre excellent ministre de l'intérieur dans la perspective des présidentielles de 2027. 

Le Monde a quelques très  bons chroniqueurs et c'est pourquoi je le lis deux fois par semaine, mais il a aussi comme Bayrou, beaucoup de mauvaise graisse qui le rend somnolent, toujours en retard d'une indignation. 

Le Monde n'est pas Mendès-France non plus, il ne brille ni par son courage, ni par sa rectitude... mais très souvent par sa platitude, son conformisme et les mauvaises connivences.

Il est impeccable cet édito, chapeau!

Et merci, ça fait beaucoup de bien de le lire.

Joyeux dimanche Pauline!

Sérieusement, ce genre de publireportage en service commandé et publié au mois d'août, mais qui le lit ? Je suis abonné au Monde et ça ne me vient pas à l'idée une demi-seconde : je serais tout de même assez surpris d'être à ce point extraordinaire que je sois seul dans ce cas.

"lorsqu'on coupe un bourgeon terminal, ce n'est pas la plante entière qui dépérit, seulement la branche dudit bourgeon, qui va se ramifier".

Et ce type se dit paysan !

Faudrait peut-être que Bayrou arrête de se couper les cheveux, parce qu'apparemment la sève monte plus au cerveau mais stagne dans les chevilles. Quelle grosse buse (deso les buses).

Merci Pauline pour cet édito.

J'avoue qu'aller aussi loin dans la flagornerie vis à vis d'un flemmard menteur qui flirte intensément avec l'extrême-droite, je n'attendais pas ça du Monde.

Qui a quand même quelques bonnes enquêtes encore à son actif...

La journaliste travaille au monde depuis 2 ans, et n'est pas une débutante, très loin de là.

Me demande ce qu'en dira la société des journalistes...

Quel texte, quelle calotte, tout en subtilité, la chute est fantastique. " ... sauf à François Bayrou bien sûr  "  = ce n'est pas que nous souhaitions de mauvaises vacances à Bayrou,  loin de nous, c'est lui-même qui n'en prend pas.  Terrible !  

La seule chose de surprenant, c'est que Bayrou est encore premier ministre. Les journalistes sont encore à la phase de "léchage". A quand le lâchage ?

Très bon article qui met en valeur la révérence hallucinante du Monde pour le pouvoir politique. C'est à se demander si on ne lit pas un article de Paris Match...

Le maire de Pau qui "déteste les vacances", mais peut-être pas les siestes suivies d'un peu de Tour de France, puis d'une autre sieste et enfin de l'apéro :)

Il y a la même différence entre Mendès-France et Bayrou , qu'entre De Gaulle et Macron : incommensurable....

Bayrou n'a pas besoin de vacances : Bayrou, c'est la vacance du pouvoir

Merci Pauline !

Si Bayrou n'aime pas les vacances on comprend qu'il n'aime pas la retraite. Mais de quel droit cet individu (le pire de tous selon une référence de droite) veut-il en dégoûter les autres ?

D'ailleurs quand tous les dégoûtés sont partis, restent les dégoûtants  ... 

Bonnes vacances à ceux qui ne sont pas à la retraite :-)

Et pour le Monde, une révision des chartes de déontologie aussi, non ?

"dissous/dissout" et non "dissolu" Lol 😅