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Expérimenter l'IA générative ? La semaine où j'ai su, malgré les débats, que je le devais

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L'écriture, c'est encore de la pensée. Le processus d'écriture, s'il est sérieux, concentré, attentif, fait partie de la mise à plat et de la digestion des données, de leurs confrontations, de leur articulation les unes avec les autres. Et de leur as(...)

Quand on écrit , les mots viennent tout seul , parce que notre esprit à une construction antérieure à ce qu’on écrit .Et ces mots changent tous les jours au fil de nos expériences .Vous allez réellement devenir hervé et vous perdre  , parce que (...)

Comme le dernier article, on passe donc très rapidement sur la consommation astronomique de ressources des LLM et donc la catastrophe environnementale derrière.

Beaucoup de mal à comprendre comment cela peut être un sujet si accessoire pour vous (et p(...)

Derniers commentaires

Je suis journaliste. Ou du moins, j'essaye de le rester autant que possible dans une presse culturelle saccagée depuis trop longtemps. Et il n'y a pas grand chose qui me déprime davantage que de lire avec quelle façon on ne juge plus les IA génératives que comme un outil "déjà là et faudra bien faire avec" que l'on juge uniquement sur sa potentielle utilité toujours à démontrer, et plus du tout sur l'éthos qu'il y a derrière et qui nous dévore à toute vitesse. J'ai beau savoir l'étendue des lacunes en matière de discours techno-critique même dans nos milieux et même dans la presse tech (Thibault Prévost est une plume d'autant plus précieuse, vous penserez à lui redonner la parole de temps en temps), ça me crève le coeur de voir qu'on persévère dans la mauvaise direction. Se demander si on doit devenir des Hervé pour survivre ? Donnez-moi directement le flingue.

j'imagine que Georg Sand aurait pu dormir au lieu d'écrire la mare au diables, nous aurions un conte fantastique merveilleux avec pouvoirs de plus dans notre littérature! comme moonfall et ses IA dévoreuses d'humanité

l'économiste a raison de faire la retape de son bousin, la bulle doit continuer de croitre avant d'exploser et plonger à nouveau les petits dans la mouise, pendant ce temps le taux de co2 augmente toujours, les dégâts des phénomènes climatiques de plus en plus violents obligent les assureurs a augmenter leurs primes pour couvrir leurs indemnisations et les taxes supplémentaires ( notre Jupiter capricieux ne veut pas taxer juste les super-riches, il ruine les plus vulnérables et leur maigre patrimoine (qu'ils sont nombreux à ne plus pouvoir assurer du tout!) !) 

« je comprends qu'il me faudra probablement user d'un "agent" »


Je ne crois pas qu'"agent" soit le bon terme ici. Un agent IA est un programme "qui agit", c'est-à-dire qu'il fait des requêtes sur le web ou lit/édite des documents en ligne. Ce n'est pas (nécessairement) un assistant virtuel personnalisé.


Si, sur Google, on tombe sur le terme d'agent IA lorsqu'on cherche comment personnaliser un assistant virtuel, c'est parce qu'en ce moment, toutes les campagnes de com' utilisent ce terme. Techniquement, ce qu'il vaut faudra, c'est seulement un "prompt".

Loris, je suis tout à fait d'accord avec Pauline Bock que vous citez à la fin de votre article. On veut vous lire vous. S'il vous plaît, ne perdez pas votre temps à tester les IAG, et à nous en infliger les résultats.


Vous écrivez que vous ne vous satisfaisez plus des analyses critiques de Thibault Prévost et al., mais celles-ci utilisent des critiques politiques et philosophiques. Et c'est bien de ça qu'on manque, pas de critiques techniques.

Je ne veux pas connaitre les capacités techniques des IAG, parce que le contre-argument qui viendra après, c'est qu'elles sont en train d'être améliorées. Mais comme le dit Tesquet, peu importe leurs capacités, elles ne sont et ne resteront que des perroquets stochastiques. Peut-être que leur technologie va s'améliorer. Mais est-ce qu'on en a besoin? Est-ce qu'on en a envie? Pour moi ce sont les questions importantes.


Et puis il reste la question de ce que fait l'IAG aux pratiques journalistiques, qui est selon moi la plus pertinente pour ASI.

Ce serait beaucoup plus intéressant de vous lire là-dessus: comment les journalistes utilisent, sont forcés de l'utiliser, résistent à l'IAG, qu'en disent les lecteur-ices, qu'est-ce que ça fait à l'économie politique de la presse, etc?


Mais ne nous proposez pas de tests d'IAG, s'il vous plait. Ce sont des mécanismes qui vont d'une manière ou d'une autre légitimer les IAG, même si vous en faites une analyse critique. Même de simples tests donnent des arguments marketing aux entreprises qui veulent vendre le produit IAG.

A la place de tests d'IAG, lisez les analyses d'Emily Bender sur le sujet (ou écoutez-la dans le podcast Tech won't save us).

Ça me fait penser aux carnistes qui ont conscience du problème éthique et écologique que constitue leur consommation de viande mais qui ne peuvent pas résister à un bout de barback parce que.... c'est bon. Petit plaisir égoïste au détriment des animaux, de la planète , du vivant en général. L'IA , c'est pareil, le seul argument : c'est facile et ça simplifie la vie. Un petit confort, quoi. Autant les carnistes ont une circonstance atténuante de l'antériorité de la tradition, de l'habitude..., autant l'utilisateur de l'IA est au courant de tous les tenants et aboutissants écologique, éthique, sociaux dès le départ. 

même impression qu'avec les chroniques de DS sur l'IA, on a l'impression que vous débarquez avec 2/3 ans de retard.  

même impression qu'avec les chroniques de DS sur l'IA, on a l'impression que vous débarquez avec 2/3 ans de retard.  

Est-ce que l'IA peut nous dire de combien va augmenter nos abonnements au téléphone et à internet quand Bouygues, Free et Orange, qui s'unissent pour racheter SFR, seront parvenus à leurs fins ? Est-il utile de dire à l'IA (ça s'appelle faire un script si j'ai bien compris) que mécaniquement, quand il y a moins de concurrence, les prix augmentent et que mécaniquement, quand les seuls acteurs sur le marché s'entendent, ce qui est le cas ici, les prix augmentent encore plus. Question subsidiaire à l'IA : pourquoi personne ne réagit contre ça ?

L'IA ailleurs: https://www.guildedesscenaristes.org/creation-animation-menacee-par-openai/

article un peu paresseux. un journaliste qui rentre ses informations dans un moteur d'IA doit s'attendre à les voir récupérées par le propriétaire de l'IA.

j'ose espérer que de vrais journalistes d'investigation (genre Mediapart) se tiendront loin de ce genre de choses.

si vous avez la flemme d'écrire, vous pouvez aussi embaucher un rédacteur. mais on est d'accord que c'est plus facile et moins cher de cramer de l'énergie.

Désolé mais c'est NON. 


L'énergie utilisée pour cette arnaque est déjà une catastrophe. Ce qui est déjà prévu est dystopique en terme de siphonage de ressource (sans parler du siphonage à la base de l'arnaque). 


Tout ça pour pondre un nouveau texte au titre auto-justificatif ?

Nope.

L’IA n’est pour l’instant qu’un outil flamboyant mais stupide. Cependant, aucune technologie n’est neutre, et celle-ci moins que toutes les autres.

Souvenons-nous du téléphone portable : quelques grammes de silicium ont suffi à bouleverser notre ethos et notre rapport au réel.

L’IA fera  (fait )  la même chose, puissance mille. Elle redéfinit notre liberté à mesure qu’elle modélise un monde où elle est  profondément intriquée. 

Un bon journaliste restera un bon journaliste, avec ou sans IA. 

Les vrais enjeux sont ailleurs. Entre Matrix et La Culture, il nous faudra inventer un compromis face à une machine qui pour la première fois interroge notre humanité. Soyons malins et furtifs...

Il n'y a pas que pour la collecte d'informations que l'IA est à la ramasse (chose que j'ai constatée aussi).

L'IA ne sait tout simplement pas faire ce qu'elle promet : écouter une consigne et produire un résultat qui correspond à la consigne.

L'autre jour, je traduisais un article d'un de mes camarades de DiEM25, comportant le slogan Drop the bonds, stop the bombs (Ça se réfère à une campagne visant à dissuader le Luxembourg d'émettre des obligations d'État israéliennes sur le marché européen. La traduction française n'est pas encore prête, mais pour ceux que ça intéresse, l'article anglais est ici.)

Le slogan anglais est tout simplement génial, avec des jeux de mots et des allitérations. Je n'arrivais pas trouver quelque chose qui sonne bien en français, alors je me suis dit que j'allais demander à DeepSeek, pour voir. Aucun des premiers slogans français proposés ne m'ont convaincue. Ex:     

- Bloquez les emprunts, stoppez les bombardements.

- Finis les prêts, finies les bombes.

- Crédits à la guerre, complices de guerres.

Pire encore, le slogan qu'il ma recommandé le plus chaudement était ambigu, du fait du double sens du mot "plus" en français :

- Plus d'emprunts, plus de bombardements.

J'ai fait remarqué ce problème à DeepSeek, qui s'est empressé de me dire que oui bien sûr, j'avais tout à fait raison, c'était évident, et m'a vanté à la place un autre slogan :
- Coupons les crédits, pas les vies.

À quoi j'ai répondu que "couper les vie" n'est pas une expression qui existe naturellement en français courant.

DeepSeek a admis que j'avais raison sur ce point et m'a assuré qu'il avait une autre idée, encore meilleure, à me proposer :

- Assez de crédits pour faire la guerre.

Là j'ai objecté que ça donnait l'impression qu'un peu de crédit pour faire la guerre ça va, mais après "assez", ce serait trop. DeepSeek a à nouveau admis ma perspicacité et m'a proposé trois nouveaux slogans, qui au moins ne posaient pas de problème évident, mais ne m'ont pas convaincue non plus, car ils étaient potables sans plus, et auraient nécessité que je remanie la structure syntaxique des phrases dans lesquelles ils devaient s'insérer :

- Stop au crédit guerre

  • - Ne finançons pas la guerre

  1. - Vos crédits tuent


  • Bref. Beaucoup d'échanges avec un serveur et donc de consommation d'énergie et d'eau pour aucun résultat, en ce qui me concerne. J'aurais essayé… Et j'ai vu sur les réseaux beaucoup d'utilisateurs qui font exactement la même analyse pour moi, dans toutes sortes de secteurs d'activité.


Sinon, il m'arrive de temps en temps d'utiliser la traduction automatique (une technologie proche de l'IA) avec beaucoup plus de succès, quand je traduis des articles bénévolement, que j'essaye donc d'aller vite et que je cale sur une tournure de phrase. Dans ce cas je copie-colle ma phrase dans DeepL, et une fois sur 3 à peu près, DeepL me fait une proposition potable, ce qui me fait gagner du temps.


Bref, la "pensée" numérique, ça fait des trucs géniaux une fois de temps en temps, mais le reste du temps, c'est tout simplement de la merde.

Sans compter les objections formulées dans les autres commentaires ci-dessous, et globalement l'impact manifeste mais imprévisible que ça va avoir sur notre environnement, notre économie, notre société, notre structure de pensée, notre langue…

Il manque les signatures en bas de texte:

Pour le vendeur : Loris Guémart

Pour l'acquéreur : Louis Cyphre

Comme le dernier article, on passe donc très rapidement sur la consommation astronomique de ressources des LLM et donc la catastrophe environnementale derrière.

Beaucoup de mal à comprendre comment cela peut être un sujet si accessoire pour vous (et plus largement Arrêt sur Images) au point que vous décidiez de nous partager vos expérimentations comme si elles pouvaient se faire hors de ce contexte.

Je reviens 1 fois par mois sur ASI pour voir si ce site a encore de l'intérrêt.

De moins en moins.

Et si Arrêt sur Images produisait des trucs plus intéressants du style Rhinocéros de Blast ?

Et si en fait, vous ratiez le virage de la critique média depuis un certain temps?

Et si on s'en fichait de vos retards à utiliser l'IA?

Vous êtes déjà 3 ans en arrière, surtout depuis l'émission désastreuse sur l'affiche Hanouna. 

PDH fait mieux que vous, et ils sont pas journalistes

Blast fait mieux que vous, et ils utilisent des chroniqueurs

Acrimed fait mieux que vous, 

Hors Série vous devance. 


Je pense que vous allez mourir non pas de CHAT GPT, mais de votre arrimage à un métier que vous ne remettez pas en question au bon endroit faute de ne savoir assumer un angle critique plus radical. 

Bon, mais ça, en dernier ressort, c'est de la loyauté à Schneidermann qui vous empêche d'aller plus loin. 

La mort douce et lente vous attend. Je le regrette.

Signé: un abonné historique qui s'ennuit sur votre site depuis qu'il a l'impression de regarder de la vieille tv à la sauce C'est à Vous.

Faites mieux!

Article très intéressant.

Les deux postures de valent.

Le problème de l'IA est surtout écologique selon moi. Mais à force de voir que tout le monde s'en fou et l'utilise allègrement je me dis que je vais peut-être franchir le rubicon. Foutu pour foutu, autant profiter de ce confort éphémère. 

Faire écrire des articles à gogo par des IA n'est-ce pas apprendre à un robot à conduire une calèche plutôt que d'inventer l'automobile ? Les IA proposent déjà de résumer - c'est à dire ne PAS lire - les articles longs. Ne faut il pas plutôt diversifier les façons de communiquer les informations qui le méritent ? Et être plus sélectif sur ce qui vaut vraiment la peine d'être écrit ? Perso, une bonne cure d'amaigrissement informationnelle me ferait le plus grand bien...

L'I.A. que j'ai consultée m'a convaincu que ma prose était insuffisante et qu'il était souhaitable que j'arrête d'écrire.


En outre, Elle m'a confirmé qu'il lui paraissait raisonnable que je cesse également de lire.


Elle me propose de penser uniquement à ma fin prochaine et de me limiter à regarder la télévision , de préférence les chaines d'information en continu, ce qui pense-t-elle,  me donnera une idée précise de l'enfer qui me guette.


Il est certain que je vais m'abonner à cette grande avancée scientifique.

Une question :


De la même façon qu'il existe des journalistes qui préfèrent l'enquête à l'écriture, j'imagine qu'il doit exister des profils inverses, non ?


Pourquoi ne serait-il pas possible de mutualiser le travail entre plusieurs journalistes ? Celles et ceux qui préfèrent les enquêtes et qui n'aiment pas écrire seraient associées à des personnes qui aiment écrire et sont moins à l'aise sur la partie enquête. Est-ce que tout le monde n'y trouverait pas son compte ?



L'AFP envoie des nouvelles, l'IA en fait un article, le journaliste le signe. C'est ça l'avenir? 


Il n'y a presque plus d'ouvriers dans les usines, les robots les remplacent.

Il n'y aura presque plus de journalistes, l'IA les remplacera.

Bel avenir en perspective, ça sera du Bolloré puissance 10.

Quand on écrit , les mots viennent tout seul , parce que notre esprit à une construction antérieure à ce qu’on écrit .Et ces mots changent tous les jours au fil de nos expériences .Vous allez réellement devenir hervé et vous perdre  , parce que l’ia aura votre style mais jamais votre cerveau , par contre ,elle prendra la place de votre cerveau petit à petit ,parce que les mots qu’elle aura écrit en vote nom deviendront les vôtres .Et vous  aurez beau la relire vous corrigerez ça et là ,mais ses mots finiront par remplacer les vôtres  . Elle prendra la vie qui circule dans vos veines, et les remplacera par la sienne   .Et tout comme hervé deviendra  une fourmi ,un être mécanique , vous deviendrez une fourmi  à votre tour, et vous ne vous en rendrez pas compte . L’euphorie est tellement grande quand on a l’impression de gagner  , et il arrive même que l’on soit heureux d’oublier  des bouts de soi même , je pense que que ça peut être même pire que devenir une fourmi quand votre humanité perdue vous sautera au visage .

Rédiger pour les autres, à une époque c'était une profession :


https://bibliotheques-specialisees.paris.fr/ark:/73873/pf0000858542/v0001.simple.selectedTab=record 


(bibliothèque historique de Paris) 

L'écriture, c'est encore de la pensée. Le processus d'écriture, s'il est sérieux, concentré, attentif, fait partie de la mise à plat et de la digestion des données, de leurs confrontations, de leur articulation les unes avec les autres. Et de leur assimilation. Un vrai texte, on n'en sort pas, après la rédaction, comme on y est entré. Le cerveau se nourrit de temporalité et de labeur. De la même façon qu'on n'apprend pas une langue de la même façon en regardant des textes, en les tapant au clavier, ou en les écrivant sur une feuille, on n'élabore pas de la même façon une pensée gambergée et écrite.


Il y a une grosse arnaque techniciste dans les équivalences qui sous-tendent l'usage de l'AI (pour la création automatique ou la pseudo-lecture résumée d'un texte) comme d'autres gadgets aux modes plus fugaces (genre outils de lecture rapide par affichage consécutif des mots), et cette arnaque c'est de sous-estimer l'importance pour le cerveau des processus lents. Ce n'est d'ailleurs pas qu'un problème d'IA. Notre course à l'efficience temporelle tend à remplacer la lecture réflexive par des résumés vidéos ou des bullet points. Une course à la compréhension superficielle, aux factoïdes vaguement mémorisés, et à la satisfaction des impatiences ou refus de concentration.


La superficialité (glorifiée sous l'angle de la vitesse, elle-même la mesure la plus capitaliste de la performance) est devenue la valeur la plus partagée de la droite et de la gauche ("cliclick, like, j'ai tout compris"). Encouragée à la consommation, maintenant elle est encouragée à la production. Elle a un coût. Plutôt que se fixer sur les questions pragmatiques de confort journalistique, mâtinée de considérations esthético-philosophiques, cette série devrait surtout s'intéresser aux sciences cognitives.  

S'il faut utiliser un LLM pour rédiger un article journalistique, alors il faudra aller contre le LLM car ce dernier est "cablé" pour ne pas décevoir l'utilisateur, ce qui n'est pas toujours souhaitable car le journaliste doit lutter contre lui-même pour gagner en objectivité.


D'autre part, pour moi, l'écriture - surtout quand il est difficile d'écrire - a la vertu d'éclaircir les idées pour celui qui écrit et donc de les rendre plus accessibles à celui qui lit.


Par contre, il est vrai qu'écrire, se relire et se corriger prends du temps. Pour des sujets banals, un LLM pourrait être utile.

Si les journalistes n’ont plus besoin d’écrire leurs articles, alors peut-être que pour leur recrutement on ira moins chercher dans les filières de Lettres, et plus dans les filières scientifiques et d’économie. Et qu’il y aura par suite moins d’esprits fantasques et plus de gens rationnels. Des gens avec l’esprit analytique comme Loris.

Mais bon, je trouve la consolation assez maigre. 

Je ne perdrais pas de temps a lire un texte que personne n'a pris le temps d'écrire.


Meme si c'est difficile, mais si ca prend temps du temps, c'est precisement cela qui fait que le travail est de qualité et que l'on a envie de s'y engager aussi.

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