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Comme des enfants

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Je vais plus loin. Si, si j'insiste.

La crise du Covid 19 souligne en réalité une doctrine de la soumission.

On nous parle comme à des enfants parce que tout est fait pour que nous le restions.


Les gouvernants ont depuis toujours peur du peuple français(...)

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Il ne s'agit pas d'inciter des gens à se lécher la poire, on parle de sortir tant que ce n'est pas dangereux. C'est tout simplement que gens-qui-ne-sont-rien, financiers, patrons et politiques, même combat. Quoi qu'il se passe ils iront au bout de ce(...)

C'est vrai que nous sommes des enfants ( pour certains de vieux enfants ).


Il faut dire que l'exemple vient de  haut  :  le beau Boris, par exemple, qui continuait à serrer des mains ( maintenant, il serre les fesses )


J'espère, d'ailleu(...)

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Je suis étonné que vous n’ayez pas insisté sur un aspect sociologique pourtant remarquable : ça n’est pas n’importe quel type de population qui possède une résidence secondaire, encore un « gros chalet » à la montagne.

Alors que les témoignages d’abus dans les contrôles policiers se multiplient chez les « petites gens », rien sur la capacité étonnante qu’ont certains à passer au travers des mailles du filet… Même ceux d’ASI.

Suis-je le seul à avoir remarqué cette drôle de phrase : « nous sommes immunisés ».

Ça ne vous rappelle pas un certain président qui sort en pleine épidémie et provoque un bain de foule improvisé ? Comment un service de sécurité d‘une des personnes les plus importantes du pays ont-elles pu laisser faire cela ?

quelqu'un aurait-il trouvé quelque part une analyse un peu solide des effets du confinement sur la propagation du virus  (pas à partir d'hypothèses in vitro sur la propagation du virus, mais en synthétisant/comparant ce qu'on peut savoir des différentes dynamiques à l'œuvre selon les pays) ? 


Comme des enfants ? 

Moi j’ai jamais agi comme ça ni avec mes enfants ni avec les élèves...


Moi je trouve que on nous prend davantage pour des cons. 

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

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C'est sûr qu'ils nous traitent comme des enfants, mais traitez-vous vraiment vos enfants comme cela ? Par exemple en leur mentant totalement pour édulcorer les problèmes ?

Je pense que la situation est inverse : ce sont des adultes immatures qui gèrent un énorme problème et qui n'osent pas dire et se dire la vérité.

Nous ne sommes pas des récepteurs faibles face à des émetteurs tout-puissants qui seraient capables de comprendre, analyser, organiser. 

Nous sommes des personnes qui comprenons parfaitement bien, pour la plupart, que quand Sibeth dit que nous ne saurions pas mettre des masques, c'est faux mais qu'elle n'a pas de masques à nous donner, et qu'il faut les garder pour les gens qui en ont urgemment et vitalement besoin.

Nous sommes capables de le comprendre, le seul problème, c'est que Airbus va pouvoir obtenir ces masques pour l'usage de ses salariés, et que les infirmières libérales n'en auront pas.  Et qu'un masque, pour une infirmière libérale, c'est la différence entre la vie et la mort... Pour elles et ses patients.


Nous mentir et nous infantiliser a toutes les vertus de leur point de vue.

En réalité, c'est un vice profond, indélébile, qui se retournera contre eux. 


Nous ne sommes pas dans un jeu vidéo ou une série netflix où les morts se relèveront et rejoueront jour après jour.


Et comme disait cet inconscient de Boris Johnson tout en serrant toutes les mains qui lui étaient tendues : nous perdrons beaucoup d'êtres aimés.... Y compris celle qui est la plus aimée, la nôtre.

Ce que je redoute d'avance, c'est que le gouvernement se serve du déconfinement pour faire un chantage à l'obéissance. Si vous êtes sage, on déconfine plus tôt. Il ne s'agit pas de faire l'apologie de la rébellion, mais désigner à la vindicte publique celui qui fait quelque chose pour le plaisir et pas pour aider sa grand-mère mourante, c'est diviser les Français, c'est touiller, assaisonner, faire mousser leur hostilité les uns envers les autres. C'est les défaire de force de cette vilaine culture de l'apéro, des repas qui durent une heure, des bises, des petits échanges improductifs qui ne se régulent pas, ne se contrôlent pas. Pas la peine ensuite de rabâcher les mots de "rassembler" en faisant de grands moulinets avec les bras sur les estrades des discours électoraux. Hors estrade, le mantra des stratégies électorales c'est le terme "cliver". La culpabilisation en est l'instrument, et le Covid une occasion royale d'en faire usage.

DECONFINEMENT ? Si c'est du gouvernement dont on parle, je ne les trouve pas si fins que ça

Le regime Macroniste est la version 2.0 du Petainisme.

Diviser pour régner.


Plus un monarque est faible, plus ses adversaires doivent être entravés, divisés, se déchirer dans des conflits internes.


Effets secondaires merveilleux du confinement : les parties politiques sont paralysés, les groupes parlementaires sous respirateur artificiel, les syndicats sous anesthésie, les ONG en sédation prolongée … Exit, les gilets jaunes, les grévistes, les sit-in écolos, les monômes étudiants, la contestation lycéenne, la grogne des enseignants, les opérations escargots, le fumier devant les préfectures, les permanences murées... Exit aussi cette grève interminable, historique, des hospitaliers…


Mais bon, toute épidémie à une fin.

Alors comment prolonger ce fonctionnement autocratique des institutions, la mise en sommeil de la Constitution, la sidération de tout un peuple, tétanisé par la peur ou l’angoisse, empêtré dans les difficultés d’un quotidien invivable ? Comment convertir à une mission de « répression durable » une police et une justice "républicaines" ? Et sans ruiner le « business »… Car le réel est têtu.


Alors déconfiner progressivement, jusqu’aux vacances ? Pourquoi pas. De mauvais esprits ajouteront : pour ceux qui pourront les prendre… Ils seront peut-être plus nombreux qu’on ne pense. Les 4 ou 5 millions de chômeurs «techniques» ( qui viennent s'ajouter aux millions de chômeurs ordinaires) ne retrouveront pas tous leur travail, loin s’en faut…

Deux mois… et on sera en septembre… Il sera toujours bien temps de trouver autre chose…


Et qui sait, avec un peu de chance, le virus aura repris des forces dans les chassés-croisés de l’été… 


La question sera peut-être alors  : comment reconfiner progressivement ?

Et les informations de base sur la situation en France commence à passer au second plan :

- on fait la Une sur 2000 morts de plus en 24h aux Etats-Unis, et la Chine qui nous ment

- mais on ne dit pas 1300 morts de plus en 24h en France, pays 4 fois moins peuplés (8 avril) ; on dit "seulement" que le cap des 10000 morts a été franchi (France24), ou on ne compte que les morts en hôpitaux (infographies France Info).

- à comparer avec 500 morts par jours il y a trois jours, puis 830 il y a deux jours, en France

- à comparer avec les 900 morts par jours en Espagne ou Italie

- à comparer avec les 150 morts par jours en Allemagne, et ses 5 fois moins de morts au total par rapport à la France.


Les variations des taux de guérisons sont également intéressants.


Source : John Hopkins University, Robert Koch Institut



L’effet boule de neige


Ah l’école à la maison... 800 000 élèves se seraient donc « perdus » dans les limbes numériques... Il y aurait donc comme un abîme entre les pratiques numériques des jeunes et celles proposées par Blanquer !

Voilà donc un décrochage scolaire de grande ampleur n’en déplaise au ministre qui voudrait que même les vacances soient « apprenantes »...

Quand aux élèves qui bénéficient d’un projet d’accompagnement personnalisé (PAP), 40 % d’entre eux manqueraient à l’appel ! Et je n’entame même pas le couplet sur la fracture numérique...


Parents, foutez la paix à vos enfants ! Un bon parent confiné a compris que les devoirs – euh la continuité pédagogique - sont une inépuisable source de conflits... Et, en cas d’ados (ou de jeunes adultes revenus se confinés au bercail), bonjour les dégâts... je ne vais pas parler de ma fille au risque de me faire occire lâchement en pleine nuit... En ces temps difficiles, une seule priorité : privilégier la qualité de la relation (en clair, éviter de s’entretuer) ...


Merde, c’est parti pour durer... Faut-il être aveugle pour ne pas voir que notre confinement va être prolongé... 15 jours à chaque fois pour ne pas trop effrayer la population mais jusqu’à quand... ? De fausses cartes de « France déconfinée » circulent déjà... Amis du Cantal, de la Lozère ou de Bretagne, non, non... les régions les moins touchées ne seront les premières déconfinées... Je vois déjà le sourire des parisiens revenchards...


Co-vie 20 (?), Coronadream (!)... Les esprits créatifs et positifs cherchent des noms pour les futurs projets du « Monde d’après »... Les politiques de tous bords en ont déjà plein la bouche : des Grenelles de..., des grandes concertations, des États Généraux... A propos, il est où notre chef des armées et son « rien ne sera jamais plus comme avant » (attention scoop !)... Il va tout de même pas oser repartir en tournée « grand débat »... A un moment, il peut-être arrêter de nous prendre pour de grands enfants non ?



Cherchant à sauver leurs peaux, les gouvernants balisent sévère sur le monde d’après qui pourraient se faire sans eux... Le « pick » pas encore atteint, ils commencent déjà à (essayer) de penser l’après-crise...

Crise sanitaire, crise économique, crise sociale puis politique... L’effet boule de neige semble imparable... seule son ampleur demeure encore mystérieuse... Si l’on mesure l'intelligence d'un individu à la quantité d'incertitudes qu'il est capable de supporter, comme nous l’affirme Kant, les intelligents seront servis !


Quant aux anti-héros de la 3ème ligne, (j’en suis) qui auront eu l’occasion de prendre du recul durant la période de confinement, certains auront (peut-être) goûter au plaisir de prendre du temps pour soi... d’autres (les mêmes ?) auront (peut-être) questionner leur servitude volontaire avec une furieuse envie de vivre autre-chose.

Une bonne question n’est-elle pas celle dont la réponse reste encore à inventer ?




Macron est un père fouettard ! Il a opté pour exercice du patriarcat dans toute sa splendeur ! 


Et grâce à lui , on prend toute la mesure des effets de ces rapports de domination inhérent au patriarcapitalisme et au néolibéralisme .

Pas seulement en mesurant l’augmentation des violences faites aux femmes et aux enfants pendant ce confinement , pas seulement en évaluant les violences policières et abus de pouvoir des fdo pendant ce confinement .

En constatant aussi le traitement qui nous est réservé, nous sommes tantôt des enfants , des femmes , des indigènes de banlieue  , des ploucs , tantôt des objets au service du capitalisme dont on se sert et qu’on jette, des incompétents qu’il faut contrôler , des ignorants qu’il faut éduquer.


A la différence des dominants robots sans affect  qui nous gouvernent , je suis tout à la fois , Je suis un enfant , je suis une femme , je suis un livreur , je suis un pauvre , je suis un paysan , un banlieusard ,  je suis un chat ou un pangolin… Il n’y a que les dominants pour croire qu’ils sont supérieurs et meilleurs que moi , supérieurs et meilleurs que nous. 

A quoi leur  servira leurs croyances de supériorité et de réussite dans le monde à venir , si nous même agissons sans les croire ? 


Les irresponsables , c’est eux !

Ehpad.


Pendant ce temps ...


Et puis il y a ce thread et le débat qui va avec: https://twitter.com/romainjeanticou/status/1247451606200791041?s=20 


Comme souvent dans ce type de discussion, je trouve que renvoyer dos à dos la mise en cause de comportements individuels irresponsables et la colossale responsabilité des gouvernants (actuels et passés) dans la situation sanitaire est trop réducteur. Evidemment si l'on se cache derrière le petit doigt des premiers pour absoudre les seconds ou éviter de les critiquer, c'est catastrophique. Mais déresponsabiliser les gens, c'est aussi les traiter comme des enfants.


J'essaie de ne pas tomber dans la médisance perpétuelle à l'égard de mon prochain et voisin, n'empêche qu'à un certain niveau d'incivilité, de tous ordres, je sens ma colère monter.

Il faudrait distinguer les comportements individuels et individualistes. Hier, on a quand même eu des joggers parisiens pour trouver que la restriction horaire de l'activité sportive était "discriminatoire", oubliant que la règle est le confinement et l'exception la sortie.


Il est évident que la responsabilité de la lutte contre une pandémie mondiale repose d'abord et avant tout sur des décisions politiques, qui engagent le collectif. De même pour celle contre le réchauffement climatique, la réduction des produits chimiques dans l'environnement etc. Mettre en cause celui qui laisse couler le robinet quand il se brosse les dents vs les consommations d'eau de l'agriculture conventionnelle, ça n'a pas de sens. Mais s'exonérer de toute responsabilité individuelle serait fou. Une municipalité peut mettre des millions d'euros pour nettoyer ses rues, si même une minorité d'habitants laisse des sacs poubelles éventrés sur les trottoirs (j'exagère), la ville sera sale.

Ceux qui ont des comportements incivils ont parfois l'impression de faire un doigt d'honneur à l'Etat. S'ils pouvaient réaliser qu'ils lui servent d'idiots utiles et qu'ils ne font que rajouter du boulot aux "petits". Les dominés vs les dominés, un rêve de dominants.


Je suis assez d'accord avec votre propos, mais je crois que le problème est ailleurs. Il est d'autant plus difficile de pousser les gens au civisme que ceux qui sont en charge des affaires sont incivils eux-mêmes en règle générale et surtout loin d'être exempts de tout reproche quant à la gestion anticipée et actuelle de la "crise".

Je suis certain que nous n'aurions pas ce genre de discussions dans une société plus harmonieuse, plus solidaire et dont les dominants ne mépriseraient pas aussi farouchement leurs congénères à longueur de temps !

Oui. Je compte évidemment dans les comportements individualistes irresponsables l'épisode de Macron hier à Patin. Faites c'que j'dis... Qui vient encore majorer l'irresponsabilité politique, l'impréparation, les mensonges et les recommandations fluctuantes... Tous vecteurs de ce mépris dont vous parlez.

"la règle est le confinement et l'exception la sortie". 


C'est la règle qu'on nous rabâche. Une fausse évidence érigée en loi d'airain imposée par le pouvoir pour palier - et faire oublier - son impéritie.


Il en est une une autre qui me semble plus juste : éviter la transmission du virus.


Sans parler de braquer le projecteur sur l'impréparation et les inconséquences des pouvoirs publics, elle permet de comprendre qu'il est irresponsable de laisser des gens prendre le métro ou le bus sans protection efficace. Or on contraint tout un tas de salariés à le faire.


Et qu'en revanche, il est stupide de sanctionner un jogger qui garde ses distances, ou quelqu'un qui se promène sur une plage ou dans une forêt, en respectant la distanciation physique.


C'est deux manières très différentes d'aborder la lutte contre l'épidémie :

- surveiller et punir, dans un cas,

- informer, responsabiliser, faire confiance, dans l'autre.


Et si sanction il doit y avoir, encore faut-il qu'elle soit en adéquation avec le but poursuivi.

Envoyer un "récalcitrant", potentiellement contagieux, rejoindre trois ou quatre autres détenus dans une cellule est totalement irresponsable !

Et bien j'estime qu'il est de ma responsabilité individuelle de laisser l'espace public et les transports à ceux qui n'ont pas le choix, pour une multitudes de raisons dont je ne peut pas juger à l'oeil nu. Pas parce qu'on m'a dit qu'il fallait faire comme ça, parce que je suis convaincue que c'est la conduite la plus rationnelle pour limiter la contagion. J'ai donc du mal à entendre les efforts de rationalisation sur les agissements plus ou moins à risque etc.

Le fait que le but de ce confinement soit essentiellement d'éviter l'implosion d'un système de santé exsangue parce que de mauvaises décisions ont été prises n'y change rien: je ne me sens pas exonérée de ma responsabilité individuelle.

je suis bien d'accord avec vous : je suis outrée (je dis bien outrée) qu'on puisse "Envoyer un "récalcitrant", potentiellement contagieux, rejoindre trois ou quatre autres détenus dans une cellule " et toute les déclarations de vertueuse moralité face à la réalité de la répression et de l'irresponsabilité de nos gouvernants ne me toucheront jamais autant.

Au fait, comment font-ils nos voisins belges qui n'ont pas besoin d'attestations pour contenir au moins aussi bien que nous la pandémie ? Ne venez pas me dire qu'ils seraient plus ceci ou moins cela.

En revanche attendre de notre gouvernement de conflits d'intérêt une action positive pour notre "système de santé exangue"... Comment dire ?


https://www.revolutionpermanente.fr/Tarification-a-l-acte-rentabilite-de-l-hopital-qui-est-Jean-Castex-le-ministre-du-Deconfinement


Arrêtez la psychose, d'aprés une chronique de Daniel Schneidermann (Libération du 22/03) la grippe de Hong Kong a fait 40 000 mort·e·s en France en 1969........

Il me semble qu'il n'y a pas tellement à redire sur la nécessité du confinement que sur la manière de le faire respecter. Plus cette manière sera répressive en plus d'être incohérente et de ne pas tenir compte de nos "petites" vies", plus elle suscitera de résistances. 


Je l'ai constaté in vivo dans la manière d'élever les enfants, quand il y a eu cet épisode de "durcissement", accusant les parents laxistes et conseillant un genre de "tolérance zéro". Certains parents avaient bien gobé le discours et devenaient inutilement durs "si elle fait ça à 15 mois, qu'est ce que ça va être à l'adolescence", et en réponse, des petits rebelles devenaient incontrôlables (j'ai vu une gamine de deux ans gifler à toute volée sa mère qui était loin d'être laxiste.)


J'avais suggéré discrètement à un père dépassé que "parfois, quand on est très dur avec eux, ça les rend plus résistants", et il m'avait regardée d'un air soudain intéressé: "Ah... je comprends...."


On ne va pas en rajouter sur la maltraitance: c'est, éventuellement, l'étape suivante. Pour nous aussi.

Nous sommes en guerre (le terme est inadéquate)

contre une ignoble microscopique bidule qui ne fait ni partage ni exception, grands et petits, puissants et laissés pour compte


sauf qu'à Chicago 70% des personnes touchées sont des personnes de couleur et que la population n'est composée que de 30% de personnes de couleur

et qu'en France, on ne dit rien de cela


je suis confiné dans un district à une frontière entre deux zones : l'une où on ne manque ni d'arbres ni de cours ni de jardins, l'autre où c'est le contraire, petits immeubles de la fin du XIX ou début du XX autour de cours serrées


et il m'arrive d'entendre par des fenêtres ouvertes les cris des enfants


et le parc à un jet de pierres fermés à la circulation des piétons, des enfants

bien sûr difficile d'autoriser l'accès aux jeux d'enfants mais en pondérant sur le respect des distances salutaires pourquoi continuer d'interdire cet accès aux familles avec enfants


Pour lui qui est mort hier Mardi, le dernier Lundi a dû être peut-être long

Qu'il soit honoré

le confinement est adopte dans tous les autres pays et fonctionne a condition qu'il soit respecte.... si il faut l'expliquer aux français  en sanskrit ou avec des legos et des playmobil et bien soit. 








Cette idée d'Emmanuel Todd lui a coûté, mais il semble bien qu'il y a une certaine inclination française pour le "flash totalitaire".

C'est vrai que nous sommes des enfants ( pour certains de vieux enfants ).


Il faut dire que l'exemple vient de  haut  :  le beau Boris, par exemple, qui continuait à serrer des mains ( maintenant, il serre les fesses )


J'espère, d'ailleurs, que Donald  va , bientôt, participer à un concours de shake hands, ( lui qui a le bras long ), .par exemple, avec ses grands amis Bolsonaro, et Netanyahou .

Je vais plus loin. Si, si j'insiste.

La crise du Covid 19 souligne en réalité une doctrine de la soumission.

On nous parle comme à des enfants parce que tout est fait pour que nous le restions.


Les gouvernants ont depuis toujours peur du peuple français.

Mais c'est un peuple fantasque, hétérogène (cf. les 500 fromages), capable de faire des révolutions retentissantes : 1789, 1848, 1871, 1933, 1968, 2019-2020.

Je ne vais pas faire ici la litanie et le détail des modes de répression, souvent féroce à ces soubresauts de l'Histoire. 

On est alors loin de la réprimande faite à un enfant car lorsque l'enfant se rebelle on ne le gronde plus, on le corrige


Contrairement à la doxa gouvernementale, le peuple français n'est pas un "peuple politique". Ça c'est pour le caresser dans le sens du poil sur le thème "vous croyez vraiment que l'on peut faire passer les lois liberticides à un peuple aussi attaché à la politique".


Et bien oui, je le crois et même j'en suis sûr.


Je suis souvent, par ma profession, en face de français à qui je suis amené à expliquer les institutions judiciaires de la France, certaines de ses lois.

Et bien ces français, censés être "tellement politiques", n'y connaissent rien.


L'enseignement de ce point de vue est déficient : il ne donne pas de vision critique aux français car en France la loi est parfaite, parce qu'elle est le reflet de la volonté générale (c'est moins vrai aujourd'hui, grâce à la QPC).


Le dogme de l'infaillibilité du gouvernement, devant laquelle l'enfant se soumet, a encore de beaux jours.






10 semaines de confinement à Wu Han, pourquoi le virus disparaîtrait-il plus vite chez nous ? 10 semaines cela nous mène grosso merdo au 15 mai...

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

C'est au moins la troisième fois que, dans vos chroniques, vous prenez la défense de ceux que vous aviez nommé "les rebelles", "les esprits forts". De ceux qui ne se comportent pas en adultes mais que selon vous, le gouvernement et les médias on tort de traiter "comme des enfants".

Fort bien, mais je serais curieux de savoir comment vous vivez votre propre confinement. En adulte responsable ou en enfant capricieux ?

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