Chat GPT a (presque) regardé Pujadas
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Deux chroniques "CHAT GPT" . Quel ennui !
Rendez nous D Schneidermann , le vrai .
Sinon ce que vous ne verrez pas sur LCI :
Oui, mais ....ce pastiche n'existerait pas, sI vous n'aviez pas exposé vos idées depuis .... ( longtemps ) avec votre style que l'I.A. ( par principe ) n'aurait pu imiter.....
Gloire au créateur initial ( et unique (...)
Que Monique coupe le chauffage à partir de novembre m'apprend qu'elle vit dans l'hémisphère sud. Super intéressant :-), à moins que ce soit le robot... je m'interroge!
Derniers commentaires
Pour ceux qui doutent... ben les détecteurs IAs aussi : les détecteurs IA Quillbot et ZeroGPT, détectent les 2 parties du texte comme écrites par un humain à 100%. Sur 3 testés Lucide AI est le seul à détecter l'extrait attribué à ChatGPT comme IA (avec 11% d'être humain quand même) et ce qu'il y a ensuite comme ayant 88% de chance d'être écrit par un humain.
Juste génial...
Avouez, cher Daniel, que derrière vos deux dernières chroniques consacrées à l'IA se cache maladroitement l'effroi de se sentir grand-remplacer par une machine. Que se cache, au fond, la terreur de tout un pan de la société qui est en train de comprendre le nouveau paradigme civilisationnel qui nous attend, à savoir le remplacement pur et simple d'un tas de domaines professionnels, dits intellectuels et supérieurs, qui se croyaient à l'abri de la mondialisation et de ses délocalisations autrefois réservées aux classes populaires.
Cette fois, ce n'est plus un ouvrier moldave ou un artisan polonais qui vous menace, mais une bête machine, un trivial assemblement de silice et de métal...
Quelle époque "formidable" comme disait notre regretté Marcel, qui doit être bien heureux au fond de sa grotte !
La semaine prochaine le twist final : "La partie après 'Bon. Reprendre ses esprits.' était aussi rédigée par ChatGPT."
Il y a des épisodes de "Black Mirror" qui sont fondées sur des dystopies moins flippantes que ce truc. Je n'ai jamais essayé de l'utiliser, "je ne parle pas aux cons, ça les instruit".
Une question qui me turlupine.
Monsieur Schneidermann, votre chronique Obsession, même si elle est la dernière parue, n'apparaît pas en " tête de gondole " comme les autres articles.
Seriez-vous ostracisé ?
Oui, finalement, c'est une bonne idée de DS d'utiliser l'IA pour montrer des exemples concrets.
Il est en train avec un brin d'humour que l'on lui connait, de nous monter que le métier de journaliste, celui qui nous semble de très bonne facture sur des sites comme ASI est en train de devenir une fiction dont nous n'en aurons plus besoin avant longtemps. Le ton est badin, mais il a pris sa retraite au dernier moment ou il avait encore quelque chose à dire par lui-même. Il ne reste plus qu'a éteindre la lumière en sortant.
Ce n'est pas une critique de son billet, au contraire, il nous incite à ne pas nous laisser berner pour cette pseudo-innovation. A être en mesure de décrypter cette tournure de phrase, celle qui nous montre que le metteur en ligne (le journaliste, enfin ce qu'il en reste) se moque de nous, parce qu'il ne prend même pas la peine de reprendre une formule creuse produite par son stylo du chat qui ... Il faut se méfier du greffier, il a encore le coup de patte de derrière les fagots pour jouer avec les pauvres souris que nous sommes 🐈⬛🐀
Et si finalement, cela pouvait nous conduire à un plus grand discernement au milieu d'un océan de facilité. Le problème, c'est l'élitisme que cela induit de facto (Bourdieu ?)
A la manière de ?
" Alors , on nous explique que, soi-disant les inégalités se creusent. Mais je me pose la question : pourquoi ?
Est-ce seulement une histoire de milliardaires contre smicards? Ou est-ce qu'il y a aussi un autre sujet dont on ne parle jamais ? L'immigration ....
" Parce que soyons clairs : quand des centaines de milliers de personnes arrivent chaque année en France, sans qualification, qu'est-ce que ça provoque? Une pression énorme sur les services publics, sur le logement, sur les aides sociales. Et qui paie ? Pas les riches. Pas ceux qui vivent dans les beaux quartiers. Non, ce sont les classes populaires, déjà fragiles, qui se retrouvent en concurrence pour l'emploi, pour l'école, pou l'hôpital.
Et là encore, silence radio ! On préfère nous dire que les inégalités, c'est la faute des riches. Mais jamais on ne met sur la table le coût réel de cette immigration massive, désordonnée, qui nous submerge.
Alors, oui, parlons des écarts riches: pauvres. Mais si on veut être honnête il faut aussi parler " immigration "
Et parlons aussi de l'apport déterminant de certains patrons , comme Vincent Bolloré, avec leur talent, leur apport fiscal , et les idées saines qu'ils nous inculquent avec génie.
Notre confrère David Pujadas n'apporte que les éléments de réponse habituels sans parler de l'essentiel : l'immigration, et l'apport essentiel de notre élite patronale. Seuls les " pros " peuvent vous informer. "
Définitivement, Daniel Schneidermann, écrit bien mieux que Daniel-ChatGPT-Schneidermann...
Rien à voir. Mais à partager. Déjà 400000 signatures
L’association des entraîneurs italiens demande l'exclusion d’Israël de la coupe du monde.
Signons la pétition
Pour le même exercice avec une émission de radio, écouter cet épisode de l'excellent Les Pieds sur Terre sur France Culture :
Merci d'arrêter de nous infliger ça. L'actualité médiatique est suffisamment riche et déprimante pour que vous n'ayez pas besoin d'analyser son traitement via des IAG.
Non seulement les IAG ont des impacts sur le travail et l'environnement monstrueux, mais en lisant la production d'une IAG, j'ai l'impression de lire de la merde, et que l'auteur du billet m'insulte. Pour tout vous dire, cette fois-ci je n'ai même pas lu la partie écrite par IAG. Je ne m'inflige pas ça.
Comme l'a écrit IT dans un autre commentaire, il n'y a aucun intérêt à analyser les productions de l'IAG, plein de gens l'ont déjà fait. Vous rajoutez juste du bruit au bruit.
Je relève aussi que cette fois, vous écrivez: "Je ne crois pas que je tomberais encore, à mon âge canonique, dans cette naïveté consistant à prêter la moindre naïveté [sincérité?] à David Pujadas". Mais par contre, aucun souci à être naïf face à Ardisson et à "oublier" son orientation politique et ses humiliations misogynes systématiques?
Que Monique coupe le chauffage à partir de novembre m'apprend qu'elle vit dans l'hémisphère sud. Super intéressant :-), à moins que ce soit le robot... je m'interroge!
Je ne crois pas une seconde que ce texte au vitriol a été produit au premier jet par un robot.
Et comme je ne mettrai jamais le quart de la moitié d'un orteil dans un robot fabriqueur de textes, je suis mal placé pour argumenter.
Tant pis.
Il reste que Pujadas invite "une qui n'a jamais été rien" et une "première de cordée" et qu'il met en spectacle leur dialogue dérisoire.
Comment dit-on obscène chez MiaouJ'aipété ?
Deux chroniques "CHAT GPT" . Quel ennui !
Rendez nous D Schneidermann , le vrai .
Sinon ce que vous ne verrez pas sur LCI :
Oui, mais ....ce pastiche n'existerait pas, sI vous n'aviez pas exposé vos idées depuis .... ( longtemps ) avec votre style que l'I.A. ( par principe ) n'aurait pu imiter.....
Gloire au créateur initial ( et unique )de l'exposé des idées et à son style original !
on peut cependant créditer cette version de meilleure que n'importe quelle version de :
-P..
-R....
_ G;;;
( la liste est trop longue.)
En outre, elle vous permet de vous dispenser , avec délice , de Pujadas
Je propose donc que l'émission de ce pujadas soit entièrement fabriquée en I. A , et regardée par des téléspectateurs virtuels.
Pourquoi les intelligences artificielles des robots des services clients en ligne (des sites marchands ou des administrations*) n'ont pas le niveau du chat qu'a pété ?
Je n'ai jamais réussi à communiquer sérieusement avec ces robots. Je suis sûr qu'il en est de même pour nombre d'entre vous.
Dernier exemple en date. Je veux faire une commande sur un site de vente enligne et je veux une précision sur l'article que je veux commander. Réponse du robot : "quel est le numéro de commande ?" Je réponds que je n'ai pas encore commandé, je veux juste un renseignement. Le robot : "je n'ai pas compris votre réponse, quel est le numéro de commande ?".
Je passe sur la suite, qui pourrait durer des plombes et ça se termine par un "allez vous faire foutre" de ma part, dont le robot n'a bien sûr rien à foutre.
*parce qu'aujourd'hui nous sommes des clients et non des usagers des administrations.
Franchement, celle-ci et la lettre de demission de l'autre menteur, je ne vois aucun intérêt, je les trouve insipides, il y a pas si longtemps je prenais beaucoup de plaisir à vous lire mais là...
Oui mais non.
C'est pas drôle, c'est pas amusant et c'est pas intéressant. Tous les forums sur tous les sujets sont noyés de petits malins qui font "lol j'ai demandé à chatgpt de", et outre que ça nourrit la merdule, ça n'apporte rien. Et la semi-ironie (j'aime pas chatgpt mais j'en décroche pas mais c'est du second degré) n'y change rien. Youpi haha on a compris le gag, on peut passer à autre chose ? Acheter un yi-king ou je sais pas ?
Je ne vis pas ça comme un gag, IT. Je vis ça comme un reportage au coeur d'une avalanche qui est en train de déferler sur nous, et à laquelle il va falloir apprendre à survivre. Pas loin de penser que le meta IA est aujourd'hui presque plus nécessaire que le meta media. Quel autre traitement critique et journalistique du phénomène proposez-vous ?
Est-ce que l'intelligence artificielle générative (IAG) et les modèles de langage (LLM), c'est vraiment un média ? Ça peut se débattre (par exemple on pourrait débattre de la question de si les IAG ont une ligne éditoriale propre), mais alors invitez des expert-Es de la question pour le faire svp (voir la liste des invité.es du podcast Tech Wo'nt Save Us de Paris Marx).
Est-ce que les impacts environnementaux de chaque requête vers une IAG peuvent être négligés ? Je ne crois pas.
Une approche éthique voudrait que vous vous absteniez de les utiliser, et de nous infliger leurs résultats. On veut un ASI sans IAG, merci bien.
Une analyse des impacts médiatiques de l'IAG qui serait réellement utile, elle devrait plutôt porter sur les usages qu'en font les journalistes et les médias (et non pas sur les productions de l'IAG directement), éventuellement la pub, et sur le nombre de sites web remplis d'articles écrits automatiquement.
Bon, faut aussi dire que quand une phrase commence par "j'ai demandé à chatgpt de", je passe direct en mode roulage de zyeux et renversage de table(s). Avec d'autant moins de scrupules que j'ai pas encore fermement décidé de survivre à l'avalanche - les différents axes de désintellectualisation du monde (entre l'abrutissement par l'IA, l'alignement du militantisme sur les structures cognitives de l'extrême-droite, les rationalisations des conforts carbones individuels et la perméabilité de la gauche humaniste aux narratif des dictatures fascistes) me désintéressant assez rapidement du sort que cette planète se choisit. Mais si on veut plonger dans cette histoire, il faut d'une part se dégager d'une fascination semi-ludique (et donc semi-complice) vis-à-vis de l'industrie AI, d'autre part ne pas la juger comme une sorte d'oracle à opinion critiquable ou une sorte d'enfant au regard en construction. Les rouages sont plus importants que les résultats et les bons/mauvais points qu'on lui attribue d'exemple en exemple. C'est l'intérieur de la Chambre Chinoise qui devrait être montrée en coupe. Au risque de réinventer l'eau chaude (parce qu'il y a certainement beaucoup de décorticages disponibles, par des gens un peu moins dilettantes que nous).
Globalement démissionnaire, mon choix de tourner le dos à ces évolutions techniques est certainement aussi futile que le serait de rejeter l'email ou le smartphone. Mais expérimenter, c'est pratiquer, pratiquer c'est contribuer (c'est, de fait, valider) et je n'ai pas envie de participer à ce flux d'utilisations qui, ironiques ou non, entérinent l'ubiquité de cet outil. Je n'ai pas l'impression qu'il y a grand chose d'inédit à "découvrir" ou "dénoncer" de cette popularisation de l'IA, et le coût pour le faire (cette participation à laquelle je suis allergique, et ces "j'ai consciemment contribué à cette obscénité climatique mais je vous incite à ne pas le faire de votre côté alors c'est okay") me semblerait à moi disproportionné. Maintenant, s'il faut vraiment vraiment (au lieu de bouder l'humanité en faisant l'autruche ITesque) qu'ASI s'y penche au-delà de Prévost, ou sous d'autres angles, ce serait par exemple en interrogeant, au-delà de "je laisse à chatGPT la responsabilité de ce portrait", quels facteurs ont produit ce résumé d'internet - de quoi ce portrait est-il la synthèse, quelles conditions en aurait-elles produit un différent, ou pour qui. Au lieu de considérer le "texte à la manière de DS" sur le plan de sa qualité ou de sa précision (sous-entendu "ChatGPT peut-il remplacer un individu à cette visibilité"), s'interroger sur le texte que chatGPT produirait à d'autres "manières de", sur celui qu'il produit par défaut (et pour complaire à quel usager), et, une fois encore, sur le mécanisme de cette production (le crachat de séries de caractères suffisamment souvent consécutifs sur internet, les critères de filtrage de ces séquences de caractères). En appuyant beaucoup sur ce que fait chatGPT, et en quoi c'est radicalement différent d'une rédaction lycéenne "à la manière de". En quoi ça vient d'une toute autre direction que la (bonne ou mauvaise) compréhension de texte.
Parce que la seule façon de casser la mythification de l'AI par ses usagers (mythification réflexe, encouragée par notre imaginaire scifi mais aussi par nos réflexes cognitifs d'attribution d'agentivité - nos projections spontanées, nos petits animismes quotidiens) c'est de garder une conscience claire de ses rouages, de ses processus de régurgitation aveugle. Et ça fait beaucoup à dire en amont des résultats "qui font vrai". Il ne s'agit pas de juger des expressions faciales plus ou moins réussies d'une poupée, mais d'en déchirer le tissu, d'en exposer les bouts de fer et le polystyrène. Et je ne pense pas qu'une chronique d'une demi-page soit l'endroit. Sa brièveté l'accule aux constats de surface, et à l'expérimentation ludique - dont je me méfie comme de l'argument de "curiosité sociologique" donné par une cousine accro à la télé-réalité.
Au final, ces deux dernières chroniques, outre qu'elles sont -en quantité- à moitié écrites par un logiciel, sont de fait des pubs rigolotes pour chatGPT, sur la base du résultat, entre le "close enough" et les petites limites excentriques qui font le charme des chatbox de l'ère Loebner. Il faut ramer beaucoup plus fort, beaucoup plus longuement et beaucoup plus à contre-courant pour en faire ressortir les problèmes de façon réellement critique.
(Voilà. Et je suis de ce poil-ci aujourd'hui.)
Vous ignorez le monde qui vient. Vous ne le comprenez pas, consciemment ou non, car il vous fait peur ; il vous terrorise, il vous sidère. Même le "décorticage" que vous appelez de vos vœux sera mieux fait par n’importe quelle IA aujourd'hui que 99% des meilleurs êtres humains sur cette planète...
Il va falloir compter sur cette réalité. Tous ceux d'entre nous qui ont moins de 60 ans doivent s'y pencher sérieusement. Le nouveau monde qui s'ouvre est incommensurablement plus différent, plus "disruptif, plus révolutionnaire que jamais auparavant !
Il y de sites qui tournent a 75% avec des articles issus de l'IA depuis un certain temps, il y des gens qui se rendent même pas compte et ils est possible que pour leurs capacités cognitives c'est amplement suffisant..
c'est juste que ces 2 chroniques donnent l'impression que vous découvrez chatgpt et les capacites de l'IA. simple prise de conscience tardive ?
En tout cas ravis que vous preniez le sujet au sérieux. il va effectivement falloir compter avec l'IA dans les médias et donc l'analyser et la critiquer en allant un peu plus loin que les chroniques definitives de Thibault Prevost sur le sujet. (comme le dit IT dans son pavé ci dessous).
Je préfère encore l'original à la copie. Tonton Schned, svp plus de chroniques naturelles !