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Bref, j'ai révisé Nina Simone

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Vous savez à quoi on reconnaît une presse honnête ?


Elle publie ses propres erratums.


?‍♀️

Un qui n'a pas révisé ( qui n'a , d'ailleurs, certainement  que peu révisé dans sa vie ), c'est notre brillant Ch. Jacob, avec son beau visage intelligent,  qui a déclaré : "En France, il n'y a pas de violences policières  " .


On n'est (...)

En même temps .;) si l'animateur d'un débat devait se couvrir de cendres à chaque fois qu'un de ses invités dit une connerie, il faudrait en livrer quotidiennement des kilos aux sièges des médias mainstream.

En même temps toujours, chanter une chanson(...)

Derniers commentaires

Ce qui m'a un peu effrayé en lisant les commentaires sur l'émission, sur Twitter, c'est que beaucoup de gens semblent avoir retenu (et ça je me demande si ça n'est pas un peu raciste !) que le propos d'Arwa Barkallah était soutenu sans réserves par Maboula Soumahoro. Or cette dernière n'a certes pas contredit frontalement sa collègue d'engagement (qui jouit peut-être du "privilège jeune", qui est de traiter l'Histoire à coup d'anachronismes désinvoltes ?), mais elle a tenu un propos autrement plus fin et nettement moins donneur-de-leçons. 

BRAVO POUR LA CHRONIQUE ETANT UN ADMIRATEUR DE NINA SIMONE


Vous avez bien fait de rétablir la vérité même tardivement après l'émission.

J'ai trouvé ces 2 invitées de l'émission de vendredi un peu trop dans l'IDEOLOGIE : c'est mon avis.


Cdt.

SEMIR

ARTE a remis en ligne le film de Peck sur James Baldwin, figure importante dans la lutte contre la ségrégation et le racisme :

https://www.arte.tv/fr/videos/051638-000-A/je-ne-suis-pas-votre-negre/



Merci Mr. Schneidermann de reconnaître votre erreur. J'avais sursauté en entendant dire que Nina Simone s'aplatissait devant les blancs (!) mais vous avez fait votre travail de journaliste en cherchant, en trouvant, et en tirant les conclusions qui s'imposaient. Je ne regrette jamais d'être abonnée (de longue date) à un média qui respecte ses sujets et ses abonnés.  Par ailleurs, comment s'étonner du choix de Mr. Delahousse? 

Rechercher le patient ou la patiente zéro victime de racisme ou ..Non. Nous dirons: " tout le monde a été, est ou sera..." (phrase copiée d'un autre pour un  autre d'un autre temps)


 Le racisme, c'est facile, comme la haine,  pas besoin de consentement, pour détester, condamner;


 La peur de l'autre existe, la pluralité est une richesse disent les escargots..A voir. 


C'est question d'éducation, seule l'éducation peut aboutir là ou l'instinct travaille.


 En l'espèce, constatons que deux sujets existent en France, depuis peu, on dit racisme (en émoi aux événements américains) oui. 


Mais..les politiciens de la majorité glissent : ils disent racisme: non! dans la police, et oublient le comportement de la police dans ce pays, tout le comportement de la police, en France (certes question de niveau, de degrés par rapport aux USA) et peu importe la cause, le comportement est un énorme problème, Se souvenir de la répression du mouvement des Gilets jaunes. 


Au fait Nina Simone et l'interprétation de Brel, Monsieur Schneidermann? alors là, la faute, mais la faute!!!

Merci pour l'erratum, mais comme plusieurs commentaires du forum, je trouve que faire une chronique entière sur le sujet disqualifie en partie les propos d'Arwa Barkallah, qui m'ont semblé par ailleurs très pertinents (de même que vos autres invité.e.s). Elle pose notamment la question de la représentation de la diversité dans les médias ou dans les directoires d'entreprise. De la même façon qu'il y a eu la parité à l'assemblée nationale (qui n'est sans doute toujours pas un modèle par ailleurs, et notamment d'un point de vue social par exemple), il devrait y avoir non seulement des réflexions, mais de vraies actions pour y remédier.

Bonjour Daniel, le confinement ne m'a pas permis de voire la pièce de David Geselson qui était programmé au théâtre Garonne à Toulouse: 

https://www.youtube.com/watch?v=6qvAGKcxvfE 

Moi, ça ne m'a pas choqué d'entendre votre invitée dire celà de Nina Simone. J'ai l'impression que ce qu'elle voulait dire c'est que Nina Simone n'était pas la plus engagée des artistes de son époque. Qu'elle a certainement tardé à prendre part au combat pour les droits civiques. Et enfin et surtout, d'après votre invitée, il y avait des choix plus courageux à faire qu'une soirée Nina Simone (Malcolm X, Mohammed Ali, Angela Davis, MLK ou même un documentaire sur la genèse du mouvement Black lives matter), car finalement, Nina Simone est une incarnation de la figure noire acceptée par une société blanche, par son talent indéniable. Elle offre une version très "romantique"/romanticisé des Afro-américains.

Hé hé, merci pour cet erratum, ça m'avait choqué aussi. Nina Simone voulait être pianiste classique, et sa condition de femme noire dans l'Amérique des Ann"es 60 l'en a empêché., Elle a fait des tubes et s'est fait piquer tous ses royalties par les maisons de disques. C''était une pianiste et une artiste exceptionnelle, et si il y en a bien une qui n'a jamais "marché dans les clous" c'est bien elle...

Il y a deux questions distinctes, dans le "moment Nina Simone" de votre émission. L'utilisation de la chanteuse comme un évident alibi antiraciste par Delahousse est à juste titre pointée du doigt par vos deux invitées (récupération que beaucoup d'asinautes pointent aussi très bien dans le forum). Ce qui m'a gêné, ce sont les sous-entendus sur Nina Simone elle-même, genre "depuis quand s'est-elle inquiétée de quoi que ce soit ou bougé le cul pour la cause des Noirs, cette starlette tellement consensuelle qu'elle plaît même aux Blancs". Ce soupçon a déjà eu de belles heures ; il s'appelle oncletomisme (Louis Armstrong y eut droit plus souvent qu'à son tour), et il est assez répugnant. Les gens qui se trouvent en situation de domination ont parfaitement le droit de réagir comme ils l'entendent face à cette domination (qu'ils endurent autant que les autres et dont ils ont tout autant conscience – ils n'ont d'ailleurs pas le choix !), que leur réaction aille de la confrontation radicale (activisme, militantisme, engagement) à des formes d'expression plus allusives et plus dans le "signifying" (le "What did I do to be so Black and Blue" d'Armstrong, par exemple). Ils n'ont pas à se voir sans cesse assigner au collabo de service, et encore moins à se voir soupçonner de s'être lâchement accommodés de leur domination initiale (en tant que Noirs, par ex.) parce qu'ils seraient devenus des dominants symboliques (en tant que riches et/ou populaires).

J'ai entré le nom de Nina Simone dans mon moteur de recherche favori.


tadaaa !!!

Conséquence logique de la compétition morale. L'objectif n'est plus de lutter contre le racisme, mais de démontrer qu'on est plus antiraciste que le voisin (ou que le voisin qui n'a rien demandé est un raciste). Ceci afin de gagner la coupe de cette compétition. 

Je me demande si cela n'est pas lié à l'absence durant cette émission d'un.e acolyte qui vous accompagne habituellement (comme Juliette, par exemple) dont le rôle non-négligeable est de rappeler des dates, préciser des faits, rappeler les contextes des faits, etc. Je trouve que son rôle est indispensable, car, même bien préparés, vos invités n'ont pas toujours en tête les éléments très précis. Souvent, les interventions de votre acolyte apportent du poids aux propos des invités. Ici, même sans cette erreur, i.e.lle a manqué.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Je ne vois pas en quoi les échanges sur Nina Simone sont "une grosse bêtise", et à lire cet erratum, j'en cherche encore la preuve. 


Nina Simone n'est effectivement pas une figure de Black Lives Matter : l'acte de Delahousse de la convoquer est donc bel et bien un geste qui vise pour ces dominants à se cacher derrière une figure consensuelle afin de pouvoir la brandir en contradiction si jamais quelqu'un se risquerait à critiquer les choix éditoriaux de France 2 sur les violences racistes et les violences policières. Comme si en consacrant un documentaire à une chanteuse noire, ils dénonçaient le racisme.


Les dominants ont très souvent recours à ce stratagème pour faire croire qu'ils ne sont pas violents, sexistes ou racistes: ils font une OPA hostile sur un personnage pour refaire l'histoire à leur convenance, et invisibiliser les gens qui luttent contre le racisme ou le sexisme. 

Par exemple, les racistes n'ont aucun problème à invoquer Martin Luther King, et osent dire qu'ils sont d'accord avec lui (et l'appellent sans cesse "Reverend", en marque de respect et pour imposer le respect qui serait dû à un pasteur), afin de rejeter dans l'inacceptable les mouvements actuels du style BLM, ou pour diaboliser des figures passées comme Malcolm X. Il y a eu un très bon article du Monde Diplomatique à ce sujet. Des tenants du patriarcat encenseront Simone Veil, en passant sous silence ses sorties homophobes du temps de la Manif pour Tous et en mettant du même coup les féministes actuel dans un sac d'hystériques mangeuses d'hommes ("Je suis d'accord avec les féministes d'avant, mais celles de maintenant vont trop loin", ça vous dit quelque chose?).

Ainsi, Nina Simone est une figure qui a fait écho aux luttes anti-racistes en interprétant des chansons. Elle n'a cependant jamais fait autre chose que cela, si je m'en tiens au texte de cet article. Elle est décédée avant l'émergence du mouvement dont il est question actuellement. Elle sert donc bien d'alibi aux dominants pour faire croire à leur anti racisme et pour diaboliser les luttes actuelles, qui ne seraient pas d'aussi bon goût selon leurs critères bourgeois. Les échanges twitter du Printemps Répulicain auxquels vous renvoyez usent aussi d'un certain mépris de classe pour détourner l'attention du véritable sujet : Arwa Barkallah serait simplement critique de ce choix de rétrospective sur Nina Simone car c'est une inculte qui n'aime pas la beauté de la grande musique. 


Critiquer le choix de Delahousse, ce n'est pas critiquer Nina Simone ou la traiter de raciste ou d'alliée du racisme. C'est dire que Delahousse fait un holp up sur Nina Simone pour s'en servir comme bouclier humain: c'est un acte malhonnête si il est conscient, et "à côté de la plaque" s'il est inconscient. Si les Delahousse de ce monde cherchaient vraiment à rendre hommage aux luttes anti-racistes via une figure héroïque, ils auraient pu consacrer un docu à Angela Davis. Ou Harriet Tubman. Ou la Révolution Haïtienne. 


Merci à vos très enrichissant.e.s invité.e.s. pour cette très bonne émission.

Daniel, on ne peut pas être bon partout. Mais quand on est en mesure de s'en expliquer et de présenter ses excuses comme vous le faites, sans animosité, en ce qui me concerne, c'est nickel.

Bonne semaine !

oh la la oui. Bien sûr. Mais attention quand même à la manipulation des révoltes. A l'instrumentalisation des colères légitimes mais qui restent sur le plan du sexe, du genre, de la couleur, de la religion, bref de l'identitaire  et qui divisent et divisent encore, et empêchent simplement de mettre en question l'injustice Economique, la lutte des classes ou mieux encore la pieuvre de l'Etat profond et la pensée terrifiée, pétrifiée, la bien pensance qui l'accompagnent et gangrènent même souvent nos media à la marge! Allez, si ça continue comme ça Soros a encore de beaux jours!.. ;)

Merci pour cet erratum. Au mois je sais qu’il ne faut pas écouter ou lire Arwa Barkallah

Si elle dit des bêtises avec la force de la conviction de quelqu’un qui a potassé son sujet, est-ce que c’est pareil pour le reste de ce qu’elle affirme, là où il n’y a  personne pour vérifier (son expérience personnelle rapportée est-elle de la même veine?) 

On peut se tromper mais c’est bien de reconnaître ses erreurs, et mal de les cacher (en supprimant un tweet) ! 

et la tweetteuse pertinente elle s'excuse pas ? elle se contente de supprimer son tweete comme si de rien n'était?

C'est d'ailleurs un défaut de twitter, on balance un truc et on l'oublie sans se poser la question de la valeur de ce qu'on dit ou de ce qu'on retweet. 

Exemple déconnecté mais pas tant que cela , je vois Mathilde larrere retweeter l'image d'un batiment de plusieurs étage en flamme présenté comme le commissariat de Quartier incendié par les protestataires de Mineapolis. Du coup je me dis "ah oui quand meme et comme c'est mathilde c'est solide" sauf ... que c'était pas le commisariat . c'est pas grave me direz vous mais c'est symptomatique, un RT d'une personne suivie vaut "validation" (meme histoire avec l'excellent C LEHMANN d'ailleurs ) .


Moralité si vous êtes suivi sur tweeter , faite attention à ce que vous dites ou ce que vous faite suivre , vous pouvez diffuser une fakenews très rapidement et la suppression n'y pourra rien, l'information aura été diffusée.



Oui et en plus on peut bloquer ceux qui ose critiquer. 

twitter c'est la loi du plus fort ou du nombre, le tout chapeauté par des boites de com' ou des trolls manipulateurs d'opinion.

Sauf erreur de ma part, elle a bien reconnu son erreur et publié un mea culpa. Par ailleurs ce que vous dites sur les sujets de (re)tweeter trop vite est vrai, et j'essaierai personnellement de m'en souvenir... 

je vous suis sur twitter, vous "etes" des rares comptes d'ailleurs avec l'excellent Popésie. J'avoue que pour votre part, je n'ai pas vu de retweet aléatoire. Par contre, vous rendez visible votre combat sur la problématique de l'enseignement en milieu carcéral et c'est une bonne chose.

Une petite mise au point de cette erreur par Daniel dans la prochaine émission aurait le mérite de respecter le parallelisme des formes.

Elle a interprété Strange Fruit dès 1965

Rien à voir, si ça n'est que c'est un chanteur : Rachid Taha... et qu'il parlait de racisme simplement : https://youtu.be/7iOfvJ0wfHU

Comme beaucoup de noirs* US de son époc, Nina Simone se destinait à la musique classique.


Hélas, la barrière raciale a stoppé net son destin. Une injustice totale !


Donc Blues et Jazz étaient la solution.


Je le faisais remarqué précédemment, Nina Simone la chanteuse, je ne l'apprécie guère. 


Mais ses textes c'est tout autre chose; ce sont des paroles de luttes anti ségrégation et antiraciste.


Beaucoup de carrières contrariées à cause de Jim Crow.


Résultat, le Jazz y a gagné des talents majeurs.  


Plus récemment, des Jazzmen noirs* se sont réappropriés le répertoire classique.


Belle revanche sur l'histoire, non ? 


*Noir : "We are Black and we can be proud of it !" (Black Panthers)

De couleur : "I was not coloured, I'm born like that" (Richard Wright)          

Je pense à la chronique d’ASI sur la difficulté à contredire une théorie fumeuse.

Pour laquelle il faut consacrer beaucoup d’énergie. J’ai le sentiment que nous sommes ici face à un phénomène semblable.

Durant votre émission, les deux invitées explicitent ce qu’elles reprochent à Delahousse. Et elles disent beaucoup de choses pour nous sensibiliser au fait qu’il est inadéquat de convoquer Nina Simone pour parler de Black Lives Matter.

D’une part, oui, les célébrités noires ont souvent montré patte blanche pour être acceptées dans les arts populaires (car les arts non-populaires leur ont été inaccessibles, Josephine Baker aurait aimé danser dans le classique, Nina Simone aurait aimé devenir pianiste classique). Nina Simone a, par exemple, adopté le nom de scène Simone en hommage à une française blanche comédienne (Simone Signoret).

D’autre part, Black Lives Matter, c’est aujourd’hui et aux Etats-Unis.

Nina Simone, c’était au XXe siècle et aux Etats-Unis. Elle n’a pas de lien avec le mouvement BLM.

Elle est morte et l’invoquer au moment des mouvements actuels est bien pratique si l’on souhaite dévier l’attention. Ne pas parler de la situation passée et présente aux Etats-Unis et en France.

Si on souhaite parler de la France, il existe bien des activistes d’aujourd’hui et d’ici. Je pense qu’il y en avait sur votre plateau. Ne les disqualifiez pas sous le poids des attaques des activistes anti-antiracistes.

(La technique consistant à disqualifier la parole non-dominante à partir d’un point précis inexact. Un coup classique.)

(Au fait, on ne peut plus lire le twitter d’Arwa.)

Si vous voulez réviser Nina Simone, regardez le documentaire What Happened to Nina Simone sur Netflix.
https://www.netflix.com/title/70308063 

Tout y est dit.

Bonjour,


Voilà pourquoi j'apprécie autant ce site. Vous êtes capable d'y reconnaître vos erreurs et de rectifier le tir. Sans être évidemment dans la généralité mais c'est tellement ce qui manque aux journalistes. Je me rappelle de John Paul Lepers disant la même chose sur France inter il n'y a pas un an de cela mais sans aucune écoute ou prise de conscience. La presse devrait passer une partie de son temps à travailler sur ses propres Fakes, ça lui éviterait de balancer parfois autant de bêtises et ca lui apprendrait à se documenter avant de recommencer. Cdlt

Je ne peux me permettre de donner un conseil au Patron.


Mais je crois que vous ne devez pas inviter , par exemple ou  BHL, ou Apathie, ou Calvi  ou certains autres (dont je peux vous donner la liste ), sinon , vous serez  amené à beaucoup réviser ou apporter des démentis.


Il me semble, d'ailleurs,  que le risque est assez faible d'avoir sur votre plateau ces prestigieux invités , mais : gare !

Les conséquences fâcheuses d'une confiance aveugle accordée à des identitaires "racisées.

En même temps .;) si l'animateur d'un débat devait se couvrir de cendres à chaque fois qu'un de ses invités dit une connerie, il faudrait en livrer quotidiennement des kilos aux sièges des médias mainstream.

En même temps toujours, chanter une chanson engagée ne fait pas de vous le chantre d'un combat ou d'une cause.

En même temps encore, permettez-moi de trouver discutable de se faire une opinion au travers d'un compte twitter et, surtout, de donner une tribune à un twittos parce qu'il aurait eu une ou deux bonnes punchlines.


Vous savez à quoi on reconnaît une presse honnête ?


Elle publie ses propres erratums.


?‍♀️

Un qui n'a pas révisé ( qui n'a , d'ailleurs, certainement  que peu révisé dans sa vie ), c'est notre brillant Ch. Jacob, avec son beau visage intelligent,  qui a déclaré : "En France, il n'y a pas de violences policières  " .


On n'est jamais déçu par Ch. Jacob. On est fier d'avoir Ch. Jacob.Je pense que Ch. Jacob est appelé à de hautes fonctions.

C'est vrai qu'on connait mieux "strange fruit" ( de Abel Meeropol ) immortalisé par Billie Holiday comme symbole de la chanson engagée antiraciste et anti ségrégationniste.


Il est donc bon de rappeler ce morceau interprété par Nina Simone  (que je ne connaissais pas personnellement ); merci aux @sinautes qui se sont chargés de la faire connaître aux béotiens et de la traduire.


il faudrait mettre cette chronique  en introduction à l'émission.. ( qui n'est pas une bonne émission , loin de là ) . J'ai vraiment eu un choc en voyant que personne ne répondait à cette attaque imbécile et injuste contre Nina Simone ..

Et une mention dans la matinale de TSF Jazz ce matin ! Merci Daniel, ça nous a valu une belle rétrospective Nina Simone ce matin. Quel talent de programmation ? Et bonne semaine

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