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À la télé, "le corps des femmes a toujours tort"

La dernière émission de Karine Le Marchand, Opération Renaissance (M6), atteint des sommets de violence symbolique à l’égard du corps des femmes. Plus généralement, sous couvert de lutte contre l’obésité, de santé, de bien-être, avec un vernis médical comme preuve de bonne foi, chaînes de télé et productions mettent littéralement à nu les femmes pour atteindre les objectifs de la téléréalité qui, depuis vingt ans, sexualise, chosifie et infantilise leurs corps. Les programmes plus sérieux y contribuent à leur manière. Qu’est-ce que la téléréalité a permis comme violence à l’égard des femmes ? Jusqu’à quel point ses codes ont-ils imprégné les autres récits médiatiques ? C’est à ces questions que nous tentons de répondre grâce à nos trois invités : la journaliste Mémona Hintermann, membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel de 2013 à 2019, Gabrielle Deydier, documentariste et autrice de "On ne naît pas grosse" (La Goutte d'Or) et Paul Sanfourche, journaliste et auteur de “Sexisme Story, Loana Petrucciani” (Le Seuil).

Commentaires préférés des abonnés

À chaque contenu d'ASI évoquant la domination patriarcale, un abonné plus ou moins suspect vient lâcher son mâle gaz dans le forum. Aujourd'hui c'est Bipbip.

Émission très intéressante, trop courte pour tout dire. 


Le sujet peut-être aussi élargi aux corps des hommes également. Il est question de domination bourgeoise (dans laquelle en effet les femmes prennent cher, mais pas qu'elles). C'est une domi(...)

Cette émission de Le marchand est en effet abjecte. Peut-on imaginer un instant une émission qui proposerait à des candidates noires de se faire blanchir la peau ?  On les suivrait à l'image de l'émission de lemarchand dans leur processus d(...)

Derniers commentaires

Bonjour, Thématique et approche remarquables et vivifiantes comme très souvent. Merci ! Toutefois la présentatrice Nassira El Moaddem mentionne le gras comme facteur d'obésité ; le sucre n'est-il pas davantage mis en cause de nos jours ? Par ailleurs, si le choix des invité.e.s est comme toujours très pertinent, j'ai eu l'impression qu'elles étaient très cadrées ne pouvant exprimer à l'instant T que ce qui était attendu d'elles. Cela m'a donné l'impression, fallacieuse certainement mais il n'empêche comme telle ressentie, que le discours était construit id est émanait de la présentatrice et /ou de l'équipe ayant contribué à la préparation de l'émission et non des invitées. Sans pour autant bien sûr que les propos des invitées ne soient tronqués. La construction des interviews avec des questions très ciblées : telle invitée doit apporter tel élément à tel moment... c'est ça qui me gêne, je crois. Les problématiques de fond, à la fois actuelles et traitées avec du recul sont toujours pertinentes et éclairantes. Espérant que ces remarques seront utiles et demeurant ouverte à l'échange, merci de la qualité des propositions. Cordialement.

les femmes fantasment elles sur les hommes obeses ?

L'obesité ne fait pas vendre car elle n'est pas desirée. ET ce n'est pas pret de changer.

https://www.france24.com/fr/émissions/le-débat/20210304-obesite-probleme-de-pays-riche

ça aurait été inintéressant d’avoir le point de vu de Laurence Bocolini.

La fin est curieuse. Cela fait des années que les présentateurs et présentatrices de JT s'affichent debout en début d'émission. Et cela concerne aussi bien les hommes que les femmes. De plus, ce n'est pas propre à la France. Autant que je puisse en juger d'après les JT auxquels j'ai accès, c'est le cas également sur la BBC, et sur les télés publiques espagnoles japonaises et coréennes. 

C'est une mode et puis c'est tout. Pourquoi n'y voir que la seule l'exhibition du corps féminin ?

Sexe des anges.

Super mais trop court, j'avais encore faim d'entendre les intervenantes et l'intervenant.


Beinh, le plus du plus est le terme médical "obésité morbide".


Légèrement très gros, par heures, par mois ou année, ce "obésité morbide" faut se le goinfrer.


Yes, I'm a man, n'empêche que ! 


Dans mes vastes périodes de gros en surpoids chargé (Tare 3,5 tonneaux), le regard des autres était euh ... lourdingue.


Un colocataire du Forum nie la torture psychologique infligée du miroir. 

C'est son point de vue et il se le partage ; il en a le droit bien sûr. 

Et même de se donner des coups de marteau sur la tête (ça moins mal quand on s'arrête), c'est son droit !


Bombay-Karachi, vaches maigres à Tombouctou.

Je me casse.



Bon, Loana est maniaco-dépressive. Je ne sais pas si certains médias et personnes comprennent de quoi il retourne ou si ne leur importe que le fric et l'audimat... Mais sont en dessous de tout. 

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Notes au fur et à mesure de la visualisation : 


Après quelques, grossophobie me semble d'emblée un mot valise qui n'aide pas à y voir clair.

Jai l'impression que t'émission n'est pas vraiment sur la discrimination des gros mais sur l'humiliation des gros.  


Un peu comme l'humiliation du dernier de la classe, ou celle du vendeur qui n'a pas atteint les objectifs attendus.

C'est-à-dire qu'on culpabilise les gros d'être gros, on les pointe du doigt, on les infantilise. 

La comparaison avec l'émission Pascal le grand frère me parait à cet égard très bonne (dommage que Gabrielle Deydier ait été coupée à ce moment là...). 


Donc dire comme Gabrielle Deydier que gros ou grosse "ne devrait pas avoir de connotation négative", c'est dénier la réalité. (Soit dit en passant, ce qu'elle dit autour et sur les euphémismes du type "rond" me parait très juste.)

Car gros c'est en général mauvais pour la santé, c'est gênant pour pouvoir se déplacer vite, c'est souvent disgracieux, etc. Personne ne souhaite que son père prenne du ventre, car chacun sait derrière ce que cela signe et peut impliquer pour sa santé.   

De même ce n'est pas en "abolissant les concours de beauté", que l'on peut mettre fin aux jugements esthétiques, aux différences de beauté comme elle semble le supposait. On peut vouloir faire en sorte que l'apparence compte moins, que des normes quasi anorexiques soient moins rabâchées aux femmes, moins stigmatisantes, qu'il y ait moins de préjugés, mais on ne peut pas abolir l'apparence. 


En revanche, à bon droit elle pourrait attaquer la connotation positive de la minceur, objectivement, au delà du ressentiment contre toute forme d'apparence.


Pour revenir à ces scènes d'humiliation et stigmatisation des gros, elles me rappellent aussi le documentaire de Pierre Carles Attention Danger travailler avec ce manager qui pointe les cheveux trop longs d'un jeune homme.

Mais toute cela se ne sont que des impressions, des comparaisons hâtives, que l'émission ne m'aident que trop peu à éclaircir.  L'émission montre l'évidence de la perversité de ces mises en scène mais n'aide pas à aller plus loin. 

C'est grossophobe point. 


J'aimerai vraiment que ASI aille plus loin dans son métier premier : sur l'interprétation des images. Aller au delà de l'évidence. Que cela permette de mettre en perspective ces scènes, ce "spectacle", de comprendre ses racines idéologiques, ses causes, ses messages implicites, etc.

Quelqu'un comme Rolland Gori qui a travaillé sur le diktat de la norme serait parfait pour ça. Mais il y en a sans doute bien d'autres. 


Paul Sanfourche dit que Loana avait l'apparence la femme idéale. C'est faux. Elle était surtout assimilée à une bimbo.

"Le corps des femmes a toujours tort" : la citation est extrêmement intéressante mais  Mais c'est contradictoire avec ce qu'il a dit avant (femme idéale). 

Donc oui le corps et plus généralement l'apparence de Loana a toujours tort, mais avant tout parce qu'elle ne possède pas certains codes, certains habitus, certains standards de mode, même quand elle est blonde, mince et (trop) pulpeuse.


Concernant le loft, intéressant la comparaison dans le temps des lofts.  Mais à nouveau je reste sur ma faim sur l'analyse des causes, conséquences, changements symboliques.  C'est assez surprenant qu'il n'y ait pas de remarques sur les stereotypes des mecs dans les Marseillais également beaucoup plus stereotypés, beaucoup plus réduits eux aussi à des objets de consommation.  Non rien, ça passe direct à la banalisation de la chirurgie esthétique et les problèmes de santé que cela peut impliquer pointés pour la 3ème fois dans l'émission... comme un retour du refoulé ? 

MERCI pour cette émission dense, intense, sage, stimulante... à la fois militante et nuancée. MERCI aux invité-e-s pour leur honnêteté, leur discernement et leur refus de la facilité... MERCI d'avoir osé un sujet rarement traité même sur ASI... 


C'est un sacré décryptage qui gagnerait à être très largement diffusé. Et peut-être pourrait on aller plus loin dans la déconstruction de la "prostitution visuelle" avec un sujet inspiré du regard ou des oeuvres de Nelly Arcan ?


Cela dit, j'ai l'impression que sur certaines chaines de youtubers, la prime à la beauté classique ou aux plastiques irréprochables ne semble plus fonctionner. Est ce que la mouvance LGBTQIA ne libèrerait pas un peu le regard ?

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"LGBTQIA"


Alors plus le temps passe et plus on rajoute des lettres. J'ai l'impression que tout l'alphabet va y passer, je n'arrive plus à suivre.

Quelles sont ces nouvelles catégories Q, I et A ?


Merci de m'éclairer.

je fais une tentative : Lesbiennes, Gays, Bis, Trans, Queers et la suite ?????

Suite à ma 1ère réponse I = intersexes et a = asexuelles ouf!

Merci et de rien, non mais !

Ouh la ! Merci à vous.

"Intersexe", je ne vois pas trop ce que c'est : hermaphrodite,  peut-être ? Ou un peu des deux : le haut dans un genre, le bas dans un autre ? Des demi-trans naturels en quelque sorte ?

"Asexuelle", ce sont des personnes sans sexe ou qui se désintéressent du sexe  ? Mais dans ce cas, pourquoi les associer à des personnes qui, précisément, se définissent par leur orientation sexuelle ? En quoi sont-elles concernées, elles n'ont peut-être rien demandé.



Voici le lien d'un site qui vous explique ça bien mieux que je ne pourrais le faire : https://www.caminteresse.fr/economie-societe/definition-intersexue-ca-veut-dire-quoi-1154560/

On parlait d'emprise et d'abus, ici, il y a peu... pour moi cette scène du miroir n'est pas seulement violente, elle est un viol. 

mais le pire, ce n'est peut-être pas ça. Ce qui m'a le plus choquée, c'est que cette scène inaugurale pose d'emblée le propos, pervers, de la manipulation autour de laquelle se déploie l'émission : sous couvert "d'aimer son corps", il s'agit de le considérer de l'extérieur, dans le miroir, dans cette mise en abyme du regard vu par d'autres et donné à voir à tous, et se voyant se regarder... de se projeter dans un faux self, dans un ravaudage narcissique, surmoïque, aliéné. 


On ne peut s'aimer que de l'intérieur, pas d'un intérieur clos sur lui même, mais d'un intérieur "noyau", foyer de sensations, d'échanges, d'affects, d'émotions, de perceptions, de désirs. Le miroir (pas celui où on se reconnait, celui où on se jauge) ne peut qu'aviver indéfiniment les blessures narcissiques, même lorsque, passagèrement, il renvoie une image idéale.

Très bonne émission qui aurait mérité d'être un peu plus longue car ça fait un peu expédié à la fin. J'ai toutefois voté pour son passage en gratuit car elle mérite d'être vue par le plus grand nombre.

Merci pour l'émission.

Le discours de Gabrielle Deydier est vraiment intéressant. J'ai bien aimé notamment le "skinny gaze", complètement illustré par l'émission de K. Lemarchand (2 femmes minces pour présenter une émission sur les personnes grosses et parenthèse, uniquement des femmes sur le plateau de l'émission de Faustine Bollaert également).


A propos de ce mot "skinny", une petite remarque, je n'avais pas fait attention jusqu'alors, dans certains magasins, les jeans du moins pour les femmes sont appelés "skinny"/"slim", mais bien sûr il n'y a pas "fat" ou "big", montrant clairement que l'un est valorisant (pourtant être très maigre peut aussi être un problème de santé important) contrairement à l'autre.


Pour moi, le pb de ces émissions est qu'elles se centrent sur les individus comme si le problème venait d'eux : c'est uniquement de leur faute si les personnes sont grosses et elles doivent donc maigrir à tout prix, alors que ce qui devrait être discuté, médiatisé, c'est la grossophobie (comme toutes les formes de discrimination).


J'imagine que le livre de G. Deydier en parle très bien et cela est abordé dans l'émission, mais revoici quelques extraits de l'article de télérama sur le sujet, qui je trouve montre bien à quel point celle-ci est partout et malheureusement oubliée.


La France compte environ six millions et demi d’obèses et près de deux millions de personnes souffrant de sur­poids (avec un IMC, indice de masse corporelle, compris entre 25 et 30, on parle de surpoids ; au-delà de 30, d’obésité). Or rien n’est fait pour eux. Les métros, les bus, les tramways : la plupart du temps, non équipés de sièges ad hoc. Les écoles, dotées d’un mobilier standard, et tant pis pour les enfants qui se cognent chaque jour les jambes contre les tables. Les hôpitaux, dont les lits sont rarement capables d’accueillir des gens de plus de 120 kilos – idem pour les chaises roulantes –, et où les blouses sont attribuées d’office aux patients, même s’ils ne peuvent pas les fermer. Les tensiomètres, aux brassards souvent trop étroits (or comprimer le bras augmente… la tension). Sans compter qu’à Paris seuls deux hôpitaux publics proposent des IRM version XXL ! 

(...)

À cela s’ajoute ce qui ne se mesure pas : le rejet social assumé, de la part de collègues, de serveurs, de vendeurs, ou même de médecins. « Un jour, j’ai voulu compter le nombre de remarques sur mon poids en vingt-quatre heures. Quand je suis arrivée à seize, j’ai arrêté », raconte Amandine, 34 ans.  

(...)

Plus pernicieux, on les croit souvent incapables de se prendre en main, dépourvus de courage et de volonté. Un cliché aux conséquences graves, tant il entrave l’accès au monde du travail, régi par les valeurs inverses – rapidité, réactivité, opiniâtreté. Une discrimination à l’embauche désormais constatée par le Défenseur des droits, que le sociologue Jean-François Amadieu (auteur, entre autres, de La Société du paraître, éd. Odile Jacob, en 2016) a repérée depuis longtemps. « Les personnes obèses voient s’accumuler sur elles les stéréotypes négatifs. On les soupçonne non seulement de manquer d’énergie, mais aussi de compétences – là où un candidat au physique attrayant sera présumé dynamique et intelligent. On les rend responsables de leur corpulence, en estimant qu’elles n’ont qu’à moins manger et bouger plus. Les employeurs ont aussi tendance à penser qu’elles auront plus tard des problèmes de santé, donc qu’il ne faut pas miser sur elles. » 

Je viens de voir qu'il y a en France plus d'hommes que de femmes qui souffrent de surpoids alors que l'émission fait la part belle aux femmes, c'est intéressant de voir que certaines régions sont plus touchées que d'autres https://www.lemonde.fr/planete/article/2016/10/25/un-francais-sur-deux-est-en-surpoids_5019615_3244.html#:~:text=Il%20appara%C3%AEt%20que%2041%20%25%20des,de%20femmes%20en%20surcharge%20pond%C3%A9rale.

émission passionnante 

mille mercis 

Cette émission de Le marchand est en effet abjecte. Peut-on imaginer un instant une émission qui proposerait à des candidates noires de se faire blanchir la peau ?  On les suivrait à l'image de l'émission de lemarchand dans leur processus de changement entourées de psy, de médecin et avec une animatrice du type Adriana Karembeu. 

Ou bien encore une émission qui invite  le candidat homosexuel à devenir hétérosexuel ?

   

Super émission !

J'aurais souhaité savoir si Loana avait été invitée à participer à cette émission ? Si oui, pourquoi n'a-t-elle pas souhaiter intervenir et si non, pourquoi ne pas l'avoir invitée ?

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Émission très intéressante, trop courte pour tout dire. 


Le sujet peut-être aussi élargi aux corps des hommes également. Il est question de domination bourgeoise (dans laquelle en effet les femmes prennent cher, mais pas qu'elles). C'est une domination de classe, soulignée dès le début de l'émission Par Gabrielle Deydier: les riches sont minces et beaux, les corps reflètent la classe sociale à la télé. 

Et la télé est faite par des riches, elle représente majoritairement des riches (regardez les statistiques sur les représentations des classes sociales dans les programmes TV..).


Dans cette logique, tous les corps sont malmenés, hommes et femmes. La question des corps dans la télé-réalité est abordée sous l'angle des corps stéréotypés des femmes, mais avez-vous regardé les corps des hommes dans ces programmes??? Avez-vous trouvé un présentateur gros de JT ou d'une émission quelle qu'elle soit? 


Les gros à la télé sont majoritairement pauvres, en souffrance, victimes de leur situation. Et les pauvres sont représentés sous un jour soit négatif (souffrances, difficultés sociales et autres, physiques ingrats...) soit sous un angle comique péjoratif (les Tuches...).

Les classes dites supérieures sont représentées par des gens beaux, élégants, minces, intelligents et cultivés... 


Alors en effet les femmes "vedettes" sont minces, jeunes et dynamiques, et les hommes eux sont certes minces mais peuvent être grisonnants, voire carrément vieux.


Il faudrait une autre émission pour traiter ce vaste sujet :). Plus largement de la représentation des corps sociaux au travers des corps tout court.


je pose la question ici parce que je ne sais pas où la poser ailleurs : communiquez-vous sur le nombre d'abonnés ? sur le nombre de personnes qui regardent l'émission ? merci

L'émission démarre.
J'espère que vous allez parler de l'implication du corps médical... ici en plein conflit d'intérêt :
Cette émission n'a pour fin que de grossir la clientèle d'un Hôpital Spécialisé... qui réalise les opérations chirurgicales permettant de maigrir... 


Tout est scénarisé pour que l'unique solution envisagée comme Happy-End soit la chirurgie. 

Bien évidement on ne donnera pas le nom du service ni celui de l'hôpital à l'antenne... mais il est sûr que les gros qui le demandent... seront aiguillés par les médias ou leur médecin... vers ces services spécialisés.


Il y a fort à parier que l'hôpital Pomipidou est impliqué dans cette horreur !

HONTE A CES MEDECINS !

Merci pour cette émission. J’ai beaucoup aimé le documentaire de Gabriel Deydier. C’est très agréable de l’entendre. 

Très bonne émission. 


Il y a autant de manière de vivre dans un corps obèse que d'individus. Les raisons de l'obésité sont extrêmement complexes : c'est une maladie qui est à ma fois une cause et une conséquences. J'


J'ai bien aimé l'intervention de Gabrielle Deydier sur le regard des femmes "minces en bonne santé" sur les femmes obèses : les rapports de domination de classe sont aussi véhiculés par les femmes. Dans le milieu médical, les femmes médecins sont épouvantables avec les patientes obèses. Quand ces jeunes médecins sont jeunes et jolies : elles sont impitoyables. La sororité n'existe pas dans ce cas-là!


Excellente émission sur un sujet difficile. Kudos.

Encore.


Comme dans d'autre publications, (Le Monde dans sa version numérique) ou  dans l'émission 28 minutes sur Arte, ou dans quelques amphis, ou dans quelques publications ,encore et encore et encore le féminisme. le corps de madame, les pieds de madame (non  là c'est Georges Tron) nous sommes noyés dans ces thèmes. Stop.


Que ces dames renient leur présence, la présence de leurs corps à la télévision ou ailleurs, soit.

Elles ne souhaitent plus leur présence sur le petit écran? Soit. On enlève. Tout.


Que le capitalisme, un régime économique mortifère comme un autre en joue, soit. Il fait bien pire souvent.


Que ces dames se rencontrent entres elles puisque la présence des hommes ou le regard des hommes indispose, soit. Pourquoi pas , tous les jeux- tous les Je - sont possibles.


Mais.

Mais , pourquoi ne pas regarder ce qui est beau? Si le corps d'une femme m'apparaît beau, au nom de quoi je devrais détourner les yeux?


Que les critères de beauté aient "bougé" depuis quelques années, , soit.


Dire que le regard des hommes sexualise, et alors? Le désir n'a plus à exister.?


https://www.axellemag.be/wp-content/uploads/2020/04/ax229_WEB.pdf   


et là ce n'est pas sexué sur ce lien???????


Stop.

Stop

X,  stop aux dérives communautaires. Stop.


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