Easyjet : critique sur Twitter, menace de ne pas pouvoir embarquer
Leiser répond qu'il n'a menacé personne, et que cela relève de sa liberté d'expression, en montrant sa carte d'identité universitaire. Le manager lui demande alors s'il est une sorte d'avocat. Leiser répond que oui, et on le laisse finalement embarquer. Leiser ajoute, hier, toujours sur Twitter : "Amusant : pendant que j'attendais dans l'aéroport de Glasgow, je travaillais sur le prochain cours que je vais donner sur le thème réseaux sociaux et liberté d'expression."
Finalement, sur son compte Twitter, EasyJet répond jeudi matin à Leiser :"Bonjour Mark, désolé de découvrir ce malheureux incident. Aucun passager ne se verra refuser l'embarquement pour des commentaires sur un réseau social".
Cet article est libre d’accès
En vous abonnant, vous contribuez
à une information sur les médias
indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous