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"Youporn, c'est le Monsanto du porno !" [Avent2020]

Pudeur mal placée ? En douze ans, nous n'avons consacré au porno que quelques très rares émissions. Et pourtant, s'il existe des images de très grande diffusion, sur lesquelles il est urgent de réfléchir, compte tenu de leur influence sur les comportements, ce sont bien les vidéos porno dont regorgent aujourd'hui de multiples pateformes. Mais comment s'arrêter sur des scènes porno...sans les diffuser ? Nous tentons l'exercice dans cette émission de 2015.

Derniers commentaires

Revoir Numéro Deuxd'Anne-Marie Miéville et Godard

Pas vu non plus à l'époque.Comme quoi on peut inviter trois femmes qui s'écoutent sans se couper ,en parlant pornographie .Comme quoi ,aussi,on peut parler pornographie sans tomber dans le graveleux .Cinq ans plus tard qu'en est-il ? L'impression (malheureuse) d'entre être au même point .Malgré les efforts d'Ovidie et de ces deux jeunes femmes ,le "Machisme" (doux euphémisme)est toujours plus que présent .En ces périodes de pandémie Covid les instincts grégaires des hommes se font et sont  plus présents au détriment de ces femmes qui subissent (malheureusement encore ) la loi des hommes .Ces femmes qui se battent ont encore du travail devant elles .

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Décidément, je viens de quitter l'émission sur Showgirl au bout de cinq minutes. Et paf ! Encore une émission super intéressante dans le même registre. On a droit au vulgaire et l'instinctif parce qu'il n'y a rien de plus intéressant ?  A@I se hisse au niveau de Netflix. On a déjà droit à une overdose de BFM-CNEWS et Cie... Je crains l'indigestion.


Pornographie ? ah. La pornographie, c’est l’érotisme à la campagne, pas de voisins, à l’ombre d’un mur, (La pornographie c’est  de l’érotisme différé), une main pas si main que çà,  sous on ne sait quelle jupe,, beaucoup bu, on ne voit plus, les yeux vont trop vite, on est plié, c’est long, ça foire. Mais ça ne se dit pas.   Voilà la pornographie c'est  de  l’érotisme paysan, genre porno FNSEA. Aïe. Là je suis un peu terre aux pieds.  les chaussettes, ah, messieurs, pensez à enlever vos chaussettes..ça fait désordre. Ce n’est pas beau sur les jambes nues.


 La pornographie c’est lourd, un brin pas si beau que.. maladroit. Justement maladroit est le début de cette science, la science érotique, après on ose moins mais mieux, Mesadames, oui. (je n’ai pas écrit ouiiiiiiiiiiiiiiii) et on verse dans l'érotisme.


Regret pour moi. On n’a pas évoqué la littérature érotique, les livres érotiques. C’est une autre représentation de l’érotisme (ou de la porno-graphie.) Le fantasme c’est l’image, mais l’image sans mots çà ne tient pas,  les cheveux sans les mains qui s’y perdent,  les mains -frissons, sans ça c’est  mur,  quelque que soit le clou.


Bataille et son « l’érotisme » limite, impossible d’aller plus loin, on frôle la cruauté. Hors jeu. Sublime


Vaillant (Roger) ah lui, il pousse le matelas très loin, des silences, des mots affûtés qui crient l’orage, puis vaincu, l’homme vaincu ; souvent il l’est, vaincu,  l’amant.  Vaillant écrivain oublié ou presque, le plus proche d’ Ernest (Hemingway des phrases simples, qui coulent, on ne s’en même pas compte, mais un boulot monstre pour fluidifier le récit sans perdre les récifs.


 Surgit l’impensable création d’Aragon (« Le con d’irène) Aragon stalinien qui déraille à merveille, (à Moscou on l'aurait fusillé pour moins que ça) qui, à quatre pattes , travailleur, pas fainéant, les cheveux, les mains les  frissons, le silence aussi, lui après c’est la déroute. Pour nancy Cunard. Et justement le porno commencerait là , nous faisant croire à la performance, une nuit durant le laboureur......pas Aragon, Aragon il abaisse le foc.

Aragon, à la fin de sa vie confie ses manuscrits les plus chers à quelques jeunes hommes pour les récompenser. Cette photo d’Aragon, sublime, sous un porche,  visage inoubliable qui commence à oublier sa vie, l’ombre, debout est l’ombre d’Aragon.


Mais Klossowski, vous connaissez ?  frère du grand Balthus, le peintre. Avec ses peintures lui aussi , et son épouse mise en scène, (Roberte, si si) peinte, quasi nonesse,  et ses écrits. Et ces pauvres féministes américaines qui exigent que l’on décroche un tableau d’un des plus grand peintre du siècle passé, le frère de Klosso, parce que..non ; on ferme.


Mais..l’énigme Dominique Aury. Elle écrit le plus grand des chefs d’oeuvre (Mesdames les féministes, passez ce passage) érotique, jamais vulgaire, d’un parfum sadien, d’un parfum freudien, et Paulhan destinataire en cachette du livre le sait, et dit à Pauvert : « tiens j’ai reçu un texte anonyme, si vous voulez le publiez.".) Pauvert lit, téléphone à Paulhan : « Jean dites à Dominique de passer pour signer le contrat). 

Pauvert à la voix insupportable, proche de celle de Sartre, peut-être le plus grand éditeur du temps où l’on publiait encore des livres..et où les écrivait.


Voilà. Il ne faut pas oublier l’érotisme, car  la pornographie y est attenante

.Il ne faut pas oublier la littérature érotique, qui est rarement pornographique. L'image est très commode en pornographie, car elle prive du suggéré des mots.


La question ; un fantasme est fait pour être mis en œuvre, ou pour faire mijoter la libido dans la durée?  ; voilà le ressort et la nuance entre ce qui devient érotique ou verse porno.

La pornographie, ce n'est que l'érotisme des "autres"..

2015 sur Netflix j'ai vu le docu. pas pour moi le porn sa ne m'excite pas mais alors là pas du tout, et le docu. moyen je préfère la sensualité la subjectivé qui sa me donne envie contrairement aux performances pas toujours crédible mais débile.  

 Merci !

pfff
il y a un débat ??
3 filles complètement d'accord avec le commerce du porno, entrain de nous vendre leurs machins...
bof
re bof
Naze même.
Un porno féministe est celui qui met en jeu le désir féminin de façon sensuelle et sincère au lieu d'un jeu d'acteur soumis, pas le truc mécanique et froid. Mais pas les trucs bien clichés classés par les sites porn comme "porno pour femmes" qui n'a visiblement été nourri que par des hommes.

Kiss.Me.Lick.Me.Fuck.Me de Bobbi Star c'est l'illustration du désir réel incarné dans une vidéo, pas la fausse excitation affichée bien souvent.
On peut citer du porn alternatif et "féminin" ? :
https://tinyurl.com/qys4x3j
Et Kiss.Me.Lick.Me.Fuck.Me de Bobbi Star. Que des femmes et une sensualité sincère.
Je suis déçue par cette émission et je connais ASI depuis 20 ans!

Daniel n'était pas a l'aise du tout. Ou étaient le reste de l'équipe d'ASI qui auraient pu venir a son secours.
J'avais l'impression que l'émission était guidé par un apriori, une gêne ou juste par un manque de réflection... on pourrait en faire un arrêt sur image ;)


D'un bout à l'autre, l'émission était laborieuse et ce n'était pas la faute des invitées qui à mon avis étaient sur la défensive. On démarre avec un manque de recul certain et on continue avec un manque de liberté dans les mots et d'ouverture sur le sujet. Suis-je devant la "télé"?

Les invités mentionnent plusieurs fois le plaisir. Allons-y parlons de plaisir (la source du sujet)... et de sa représentation négative, ok! Et positive?

A la fin il ne reste pas grand chose. Oui, le sujet est difficile! Mais moi, je veux y croire au sexe spectacle non-exploiteur d'une image machiste et de ses actrices et acteurs. Puis-je y croire?
Des réseaux alternatifs? Du porno pour les femmes par example? Ça existe! Alors on laisse parler les invitées et on fait ses devoirs aussi...

Encore une remarque, la différence de poids et de réactions entre les mots fellation et cunilingus sur 1h20mns d'émission peut illustrer la difficulté cette émission.
Un extrait de bonne musique kamasutresque pour illustrer l’émission.
Je trouve que les dames Clarence Edgard-Rosa et Ariane Picoche ont leur tendance clairement normatives. Elles ont l'air de trouver dommage qu'on ne parle pas plus de son intimité, que ça fait "cool" dans certains milieux parisianistes de parler de porno.

Mais elles oublient peut être la base de la liberté : on n'a pas forcément envie de parler de son intimité, ou de ce qu'il se passe au niveau sexuel dans son couple.

Chacun a besoin de ses trésors cachés, et souvent la sexualité en fait largement partie. Pourquoi devoir tout exposer ?
J'ai beau visonner des vidéos pornos, je n'en vois guère où le machisme et la volonté de domination des hommes soit frappante. C'est pourtant un commentaire qu'on entend souvent, aussi bien dans le film d'Ovidie que dans l'émission. Par exemple, je ne vois pas de différence entre les couples hétérosexuels et les couples de filles. Les pratiques ne sont pas les mêmes, bien sûr, mais la relation entre les deux partenaires me parait identique dans les deux cas.
On pourra objecter que les ébats entre filles obéissent à des stérotypes et des fantasmes masculins. Mais à priori, rien ne le prouve et de toute façon, je ne vois pas en quoi c'est choquant.
Je me demande s'il n'y a pas confusion dans certains esprits. Beaucoup de scénarios de films pornos présentent des fantasmes réputés masculins. Mais est-ce que le fait de tourner des scènes qui satisfont les souhaits des hommes (public traditionnel des films pornos) manifeste une volonté de la part de ces hommes de soumettre les femmes ? Dans de nombreux domaines, les désirs et les rêves des hommes sont différents de ceux des femmes. Tous les producteurs de films traditionnels (non pornos) savent bien que les hommes et les femmes n'ont pas les mêmes goûts et personne ne trouve ça scandaleux.
Si la télé propose un soir la retransmission d'un match de foot et que ma compagne, qui n'aime pas le foot, préfèrerait regarder Le vieux fusil diffusé le même soir, on pourrait dire que je suis un macho si je lui impose le foot, mais on ne peut pas me traiter de macho parce que j'aime le foot.

Dans cette émission un débat intéressant a opposé deux intervenantes à props de certaines pratiques, notamment la fellation et l'éjaculation faciale. Pour l'une d'elle, l'éjaculation faciale manifeste la volonté de l'homme d'avilir la femme en la souillant. Pour l'autre, cette pratique est plutôt sympa. Je suis plutôt de cet avis. Pour moi, c'est un acte qui manifeste non pas l'acceptation par la femme de la soumission, mais son acceptation de la manifestation du plaisir masculin et sa volonté de refuser de voir de la saleté dans l'acte sexuel. C'est une manière pour elle de dire à son partenaire : "ton corps n'est pas sale, ton sexe n'est pas sale, tu n'as pas à avoir honte". N'oublions as que depuis l'enfance, beaucoup d'hommes été conditionnés par l'idée que leur sexe est sale et que le plaisir sexuel est un plaisir condamnable. Ils ont - tous, probablement - culpabilisé en se masturbant. Beaucoup d'entre eux ont du mal à se démarrasser de ce conditionnement au moment de faire l'amour. C'est, soit dit en passant, l'une des causes de l'impuissance masculine. La fellation, l'éjaculation buccale ou faciale, mettent en contact le visage de la femme (partie du corps qu'on peut montrer et qui est réputée noble) et le sexe de l'homme, organe honteux qu'on lui a demandé de cacher depuis son enfance. Au lieu de voir une avilissement de la femme, on peut voir dans ces pratiques une accomplissement, la manifestation de l'abandon total des conditionnements et des tabous. Et surtout, un encouragement de la part de femme, une aide qu'elle accorde à son partenaire et non pas pas un acte de soumission.
Dans ce débat il est clair que chacune des partcipantes nous fait implicitement des révélations sur sa propre sexualité. Ce qui nous confirme que s'il est si difficile de parler de sexe, c'est entre autres parce qu'on peut difficilement aborder de sujet sans parler de sa propre expérience. Il serait d'ailleurs intéressant d'étudier cette question en analysant les commentaires sur ce forum.
Je viens du fin fond de la Creuse et je proteste énergiquement contre cette émission !
Si j'ai bien compris le sujet n'a pas plus à beaucoup sur le forum par ce que :
- pas assez porno,
- trop porno,
- les intervenantes pas assez diplomées en sciences sociales.

Certes elle ne restera pas comme la meilleur émission d'@SI mais que d'acrimonies. Il y en a qui devraient s'interroger sur le rapport à ce sujet tout de même.
En voyant les extraits d'un film d'Ovidie, je me dis que le changement ce serait d'avoir des acteurs qui jouent bien ! (puisqu'il passent tant de temps dans ces oeuvres majeures à ne pas forniquer).

Il est vrai que le cinéma standard (celui où les acteurs sont censés bien jouer) s'évertue de son côté à investir le Q. (Gaspar Noé, Lars von Trier, Kechiche...).
Le documentaire d'Ovidie est très bon (vous le trouverez ici: https://www.youtube.com/watch?v=kZQ8GUDscOw)

Je me demande tout de même si elle n'aurait pas dû traiter davantage le sexisme envers les hommes. Le porno fait complexer des hommes par milliers: taille du sexe, performances au lit... Il aurait été intéressant d'entendre quelques témoignages d'hommes à propos de la nocivité du porno sur la psychologie masculine...

Merci pour l'émission qui m'a fait découvrir ce documentaire, et merci à Ovidie pour son point de vue intelligent et tout en finesse.

Marla

marlasmovies.blogspot.fr
https://fr.wikipedia.org/wiki/Victoria_Silvstedt

Elle a posé effectivement pour Playboy... entièrement nue !
Ovidie dénonce très bien, dans son documentaire, ce qu'elle appelle "le sexisme devenu sexy, et qui reproduit des schémas archaïques." Nous en avons eu un exemple récemment avec 50 nuances de Grey au cinéma: http://marlasmovies.blogspot.fr/2015/02/50-nuances-de-grey-attache-moi.html
"MAIS ALORS LA FELLATION !! ET LA DICTATURE DE LA FELLATION ??? C'EST BIEN LE PORNO CA ????"

Ah, j'ai bien ri :)

Très bonne emission, par ailleurs.

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Le niveau des interventions dans ce forum est globalement assez hallucinant à part quelques unes qui sauve les commentaires de ce forum du naufrage intellectuel. LA palme revenant à celle qui se demande « ce qui s’est passé après l’émission », j'imagine bien le rire gras libidineux derrière tout cela.

T out d’abord il serait intéressant se savoir le nombre d’hommes, leur âge qui ont posté les commentaires jusqu’à présent, parce que tout cela pue quand même la testostérone à plein nez. (on pourrait se demander aussi s’ils sont blancs, mais là n’est pas le problème) Car tout cela pue franchement un mépris de vieux mâles qui donnent la leçon à de jeunes femmes.
Le documentaire au-delà de son objectif parler de l’approche des jeunes du rapport au sexe et de ce qu’Internet et les médias en général ont apporté/causé dans la construction de l’image qu’ils se font du sexe.

Dire ce que cette émission est creuse ou n’apporte rien montre une chose c’est que vous n‘avez pas compris le phénomène et que vous passer totalement à côté de quelque chose d’important.
D’ailleurs les premiers commentaires regrettant qu’une émission sur la Grèce n’ait remplacé celle-ci, montre le problème sous-jacent a mon avis des commentaires sur ce fil ou sur d’autres forums des asinautes : la primauté de l’analyse des asinautes par la question de classe et l’oubli de toute intersectionnalité reléguant les questions de genre, par exemple, au second degré, voire les traitant avec mépris ou comme secondaire. Il y aurait des sujets plus importants que d’autres pouvant être traités selon notre bon vieux mâle marxiste classiste.
Deux autres remarques me font bien marre. L’attaque sur l’inexpérience des femmes invitées sur leur plateau à cause de leur âge. Au vu du sujet, elle me semble bien placée pour intervenir. Qui donc que des femmes jeunes de cette âge peuvent parler des rapports de leur « génération » avec internet. Leur nier leur capacité à intervenir du fait de leur jeunesse est encore une grosse connerie qi voudrait aussi que l’on laisse les interventions aux seuls experts. Ceka reviendrait à dire qu’un ouvrier ne devrait pas intervenir pour parler du rapport au travail ou de son boulot en usine.
L’accusation de boboisme parisien est aussi ridicule. À part le fait que cet argument très en vogue dans l’extrême droite et les nationaux républicains de gauche (même combat ?), sur ce sujet c’est une vaste connerie. En effet, l’usage Internet s’en fout de savoir si on est ne province ou à Paris, la communauté internet n’a plus de frontières et cela il faut le prendre en compte : ce qui veut dire qu’être en « Creuse » ou à « Paris », les réflexes internet sont les mêmes et quand on parle de Jacquie et Michel, un porno amateur en province ou à paris à les mêmes ressorts glauques de domination masculine et de violence patriarcale.
Dernière chose, oui les intervenantes ont raison de dire que le porno n’est pas en soit responsable. Il n’est que le reflet d’une société de consommation et donc un produit culturel industriel qui reflètent encore une fois des images patriarcal.
En conclusion je mettrai cet excellent article d’Ovidie qui prolonge le film. FEMMES, SOYEZ DES CHAUDASSES (MAIS PAS TROP QUAND MÊME)

PS pour couper court à toute attaques de petit bourgeois social libéral parisien, je signale juste que je suis communiste libertaire et je vis en province.
Je n'ai pas vu l'émission, mais ça me fait un peu rire ces débats intellectuels lassant quasiment entendre que le porno serait un noble art dévoyé par le vilain capitalisme... Aujourd'hui, y a moyen de réaliser et de monter un film avec des moyens très réduit. Pourtant on a toujours pas vu un(e) auteur(e) émerger et donner une dimension artistique crédible au porno.

Peut-être faut il en rester à l'idée que le porno n'est qu'un trip voyeuriste destiné à la masturbation. Je doute qu'il y ait jamais de Kubrick, de Lynch, de Scocese, de Truffaut ou de Godard du porno.

Ovidie filme des gens en train de copuler pour que d'autres gens les regardent en se branlant. Qu'elle n'essaye pas de prétendre à autre chose, car si elle avait un talent quelconque, elle-même s'en serait déjà rendu compte depuis le temps.
Plutôt intéressant et féministe.
Seigneur ! Les Commissaires Politiques n’ont pas encore mis leurs gros sabots dans la flaque de foutre… Où sont donc Les Jules Église, Ulysse Martagon (gaffe son nom est secret) et leurs divers complices – dont les insignifiant pseudos m’échappent obstinément - dans l’association de malfaiteurs qu’ils ont montée et dirigent de main de maîtres du donjon ?

On parle pourtant de culs, de bites, de cons, de vagins, d’anus, de sodomie… Toutes choses qui devraient intéresser ces joyeux drilles !

Pendant qu’ils sont partis à la pharmacie acheter du viagra nous pouvons parler cul tranquillement : quelle chance !

Nous remarquerons d’abord que tout le monde est en vacances : l’excellent Didier Porte (depuis un moment) Anne Sophie, Justine qui auraient certainement eu des avis fondés sur l’usage des fondements. Mais notre séducteur en chef préférait sans doute n’être pas dérangé dans son plan-cul !

Qui tourne curieusement tout de suite au cul-cul : on n’est pas du tout dans le sexe festif, plutôt dans la recherche du politiquement correct ou pour être plus cru dans le questionnement sur cette peu soluble problématique : comment s’emmancher devant trois caméras et six techniciens sans que ce soit machiste, voire même (horreur) humiliant pour la femme ? Et quand même donner des envies masturbatoires aux futurs spectateurs… Depuis l’antiquité il n’est pas interdit de chercher la quadrature du cercle !

Bien que n’ayant pas encore vu le dernier quart d’heure je m’interroge un peu sur la nécessité de savoir si oui ou non les filles se débarrassent de leurs poils pubiens plus qu’autrefois ou si elles sucent davantage qu’à l’époque bénie des sucettes d’Annie !

Non pas que ces questions soient incapables du générer un début d’érection. Mais enfin c’est un peu limité : on est loin de l’énorme rigolade que nous aurions pu partager avec Wolinsky (si ces dégueulasses ne l’avaient pas tiré comme un chaud lapin) ou Bob Siné…

Loin aussi de “Salo” de Pasolini, de Caligula de Tinto Brass, ou même, malgré la trahison du chef d’œuvre littéraire, d’Histoire d’O du très sucré Just Jaekin qui vaut surtout pour la magnifique Corine Cléry… Pellicules plus allusives que frontalement pornographiques, option table à dissection. Mais plus bandantes finalement que bien des laborieux et acrobatiques accouplements filmés avec du matériel premier prix, par des fouteurs qui ignorent jusqu’au sens du mot “scénario” sans même parler de son délicieux pluriel : “scénarii” !

Pour conclure j’adhère au discours de ceux qui m’ont précédé dans ce forum (Ryndak en particulier) et qui pensent que cette vague révolte très conformiste est plutôt destiné à se faire une niche dans le vaste marché foutral du sexe dans tous ses états…

Et en post conclusion j’ajoute (pour mon fan club) deux réflexions personnelles :

- Cette expression “travailleuse du sexe” me laisse toujours pantois… Il faut vraiment n’avoir jamais posé l’escarpin dans une usine, un atelier, enfin un endroit où on “travaille” pour de vrai pour oser appeler “travail“ la gymnastique pornographique pas tellement laborieuse (quoique), à moins de songer – mais il faudrait ici une plus solide culture – au très sado-maso “tripalium” à l’origine du mot…

- Quand on s’interroge aussi activement sur les codes envahissants, est-il utile de se couvrir de tatouages pour démontrer sa propre soumission aux influences de l’époque ?

PG
Question sur le choix de vos intervenants :
Vous avez invité Ovide pour clairement faire de l'auto-promo de son reportage et de ses films. Je viens de le voir et permettez-moi de douter de la qualité d'un reportage qui prodigue des grandes leçons de morale d'une gamine de 20 ans sur le porno et la sexualité... Enfin ce n'est pas le propos.

Donc vous avez invité Clarence Edgard-Rosa, journaliste à Causette. Causette dont vous aviez fait auxsources il y a quelques temps. Elle-même est intervenue dans ce "documentaire" d'Ovide. Dans ce dernier, intervient une certaine bloggeuse féministe Mar_Lard, qui vous avez invité par deux fois dans ce n'est pas qu'un jeu. ( ici et ). Enfin la dernière invitée représente le tag parfait. Le tag parfait étant aussi dans le *** d’Ovide, mais a aussi cette émission du 14h42 consacré à lui.

D’où ma question :
"Chez arretsurimage&co pour parler de cul et/ou de féminisme il n'y a que 3 meufs qui sont représentative ?"

3 meufs et surtout 1 seul point de vue.
Merci pour cette émission (dommage que Laure Daussy ne soit plus la pour la co animer).
Et merci surtout à Ovidie pour son documentaire.

Elle a ouvert une porte de reflexion, son statut le lui a permis.

Je n'ai pas encore vu toute l'émission peut etre que je rate un truc, mais Il y a un éclairage qui je crois est absent pour l'instant:
comment lier ce que démontre et décrit Ovidie, avec les tentatives de régulation du Web (en Allemagne, il va etre interdit de vendre sur le web des ebook érotique avant 22H, en Angleterre un filtre anti porn par défaut est activé chez les FAI).

Mais le porn généralisé était clairement l'éléphant dans la pièce, il fallait le documentaire d'Ovidie!
L'appétit vient en mangeant, la soif s'en va en buvant, disait François Rabelais/Gargantua, et là ça s'en vient pas et ça s'en va pas vraiment, à quoi ça sert? C'est substitutif? C'est pédagogique?
C'est incontournable dans le sens où l'usage s'est répandu, mais pas dans le sens ça répond à un besoin, puisque c'est l'offre qui a crée la demande. Les débats me semblent toujours une manière pour le porno de se refaire une image, d'élargir son champ d'action, de se banaliser, de faire croire que ce n'est pas un public plus ou moins captif mais capable de faire des choix raisonné de consommateurs avertis...
Pour m'intéresser un peu le débat devrait s'élargir sur le visuel sexuel de toutes les images cinématographiques. Personne n'a jamais ressenti que l'imaginaire de l'excitation sexuelle est toujours vu par un regard d'homme pour un regard d'homme, et que les femmes finissent par se conformer et trouver excitant leur vision en ce miroir plus que l'objet de leur désir?
Enfin on voit que je suis une cérébrale et que trop d'images explicites m'enlèverai plutôt la faim et la soif. Faire naitre un désir où n'importe qui ferait l'affaire pour l'éteindre, m'a toujours paru aliénant ou un traitement pour libido en berne.
Nous ne sommes pas en Egypte ou en Chine.
Dans le contexte actuel, en France 2015, il ne faudrait plus dire "DOMINATION Masculine" mais "SOUMISSION féminine ou ALIENATION".

Au point où ,nous en sommes quiconque est dominé ou aliéné y consent un tant soit peu.
Ce n'est pas le thème choisi qui est consternant mais l'ignorance qui ressort de la plupart des interventions. Rien de bien neuf à dire vrai, sinon le pseudo-constat qu'internet change les pratiques, inusable mantra aussitôt démenti par la pérennité de la domination masculine. Peut-être qu'il serait utile d'ouvrir quelques livres avant de se lancer dans ce genre d'émission, ou même quelques articles. Pas celui d'Elle sur la fellation comme ciment du couple mais un article du Nouvel Observateur plus ancien, datant de 1977, "Non au sexe roi", dont l'auteur (il s'agit d'un entretien avec BHL) est un certain Michel Foucault. J'observe que, sauf erreur, son nom n'a même pas été prononcé. Chapeau bas.
Il est heureux de voir que quelques années après houellebecq , D.S. s'interesse enfin a la misere sexuel des quinquas ( yeah ! )

Cela manque bien-sur de phtos , extraits filmés , témoignages "a vif " mais bon.....dans l'ensemble , l'intention est bonne , parfait , a creuser !

bises

bastou

P.S. les deux intervenantes m'ont parus pas tres pros , limites intellos , non...?
Rarement vu des intervenantes aussi mauvaises. Donc, par exemple, pour nous expliquer que le porno n'est pas responsable des normes mais que çay la sociétay !!, on nous cite un article de "Elle" de..........2012 !! Fantastique d'honnêteté. Et je passe sur le parisianisme (le passage de la Creuse est magnifiquement révélateur) et sur les interrogations de savoir si on peut filmer une éjaculation faciale sans humiliation de la femme.......Mille et une choses nulles dans cette émission. Mais le plus significatif est que personne ne semble relever que les films d'Ovidie sont justes nuls à c****. Le simple extrait des exécrables acteurs mal filmés dans un décor pourri devrait suffire à le souligner.
Youporn, c'est du prêt à consommer. Du fast food. On arrive, en deux trois clics on a du cul et souvent rien que ça. Pas d'histoire, pas de contexte, du sexe. Sortez vos mouchoirs.

Les critères de tris par catégories relèvent du supermarché.
Vous voulez une blonde en levrette avec un mec black aux cheveux blonds et une lesbienne asiat pratiquant le cunilingus? Y a.
Un brun maigrelet en tutu avec un blond déguisé en Cona...d le Barban brandissant son braquemart? Y a.

En quoi les vidéos d'Ovidie me semblent différentes de youporn? Ben la même différence entre une vidéo de chaton sur youtube et un reportage animalier genre Microcosmos.

Le problème peut-être de youporn, c'est le respect du droit d'auteur et des acteurs.
Si Microcosmos se retrouve sur youtube, dans les 24h il sera retiré. Si un film d'Ovidie se retrouve sur youporn... il y restera. Ou son nom sera changé. Ou le film sera découpé mais toujours présent. Il faut vraiment que la vidéo enfreigne la législation (viol, quasi-pédophilie) pour que la vidéo soit retirée. Et si votre vidéo tournée avec la voisine un soir bien arrosé s'y trouve, bon courage...

Ceci dit, si ils occupent la niche "fast-food/ supermarché", c'est bien qu'il y a une (grosse) demande...
C'est qui Monsanto ?
" Je te salis, toi la salope ! "

Je n'avais jamais trop prêté attention, mais c'est tellement une réflexion profonde !
Entre la fée du logis du XXème siècle et la pornstar actuelle, il y a eu 68, c'est vrai. Mais il y a aussi eu 69.
Moi ce qui m'intéresse c'est qu'est ce qui s'est passé sur le plateau après le tournage ! hein ? hein ?
Cher Alexis Tsipras,

Alors que ta cause a été source d'innombrables articles dans toutes les presses ; alors qu'un éclairage sur ce traitement médiatique à charge contre ta politique, complétée par des explications et débats intéressants aurait été salutaires ; @si a préféré une émission, certes nécessaire mais ayant davantage vocation à être insérée dans une série d'été, consacrée à la chatte des collègiennes françaises et aux pratiques sexuels des français.

Cher Alexis,
Ton heure viendra ici, je n'en doute pas, les Français te semblent endormis en ce moment, mais je te prie de croire en notre réveil prochain, y compris celui de cette rédaction.


Cordialement...
En même temps il se passe tellement de choses au niveau de la Grèce qu'une émission serait vite dépassée.
Ciao,

Je suis aussi d'accord pour attendre. Moi aussi je suis passionne' par la question Grecque dans lesmedias, je ne m'endors serein qu'un soir sur deux, et je suis curieux d'ecouter un debat en particulier sur les divers emballements suite `a la "capitulation" de lundi et le traitement de la question de l'apparente tentative de l'Europe de s'accorder avec l'opposition, de la sortie de l'euro, etc.

Mais par exemple avec l'annonce du referendum d'hier soir, ce qui arrivera la semaine prochaine (les potentielles reprimandes europeenes, le deroulement du vote, les resultats) et encore apres (sortie de l'euro ? manifs diverses, impact sur la perception de l'Europe par les europeens), autant attendre pour que les invites aient un peu de recul sur leur propre travail.

Si c'etait la France qui votait par contre ca vaudrait le coup d'en parler toutes les semaines.
je poursuis le hors-sujet qui est bien le sujet le plus important depuis... pffff... et laissons les attentats aux médias zombies, en indiquant qu'il serait facheux d'attendre plus longtemps, parce qu'en juillet/août, les invités et schneiderman disponibles, c'est un peu comme le martinet noir en hiver : introuvables !
L'émission qui aurait eu lieu vendredi n'aurait pas pu parler de l'annonce de referendum.
Mais une spéciale serait bienvenue en effet.
Ouais, quel niveau philosophique ! On progresse, y'a aucun doute.

“La sodo, tu la préféres avec ou sans capote ?” On est haut là, très très haut.

Tout à coup j'ai un vieux coup de nostalgie pour les années 70...

Et finalement, si je vous disais que je m'en b.... de vos conneries ?
Ah j'oubliais, à quand un débat Michel Onfray - Ovidie - BHL ?

Le monde entier suspendu à leurs lèvres !
Et ben si je m'attendais à tous ces commentaires aussi nuls les uns que les autres, avec une vision des "sujets à traiter" très masculo-masculine d'après ce que je peux lire, enfin pour la plupart. Moi je suis déçu par le niveau de ses réflexions dans le forum qui sont bie moins intéressants que ce que j'ai entendu dans cette émission. On peut aussi traiter d'autres sujets que ceux classiques de l'actualité morose largement traité tout au long de l'année dans Arrêt sur Images, et le porno, notamment sur Internet, et ses conséquences dans notre société est un sujet de société important. Le doc d'Ovidie était l'occasion de le faire, merci Daniel de proposer autre chose de temps en temps. A bons ententeurs.
On entend bien NewsWare, qu'on peut traiter d'autres sujets que ceux qui font déjà l'actualité dans les autres médias, c'est vrai, et je n'ai lu aucun commentaire qui affirme le contraire, en plus les commentaires ne sont pas si nuls que ça, je trouve.

L'émission Arrêt sur images est intéressante, mais dans ce numéro-là elle est beaucoup plus un magazine qui s'intéresse au fond d'un sujet qu'un retour critique sur quoi que ce soit.
En guise d' "arrêt sur images", des images il y en a très peu, et la toute première partie du documentaire d'Ovidie se prêtait pourtant beaucoup à des arrêts longuement commentés dans la pure identité de ce site : toute la partie où elle affirme que la pub et la téléréalité se sont emparées des codes du porno des années 90 aurait mérité de vrais arrêts sur image et une vraie analyse, au lieu de quoi cet aspect du sujet est passé très vite.

DS affirme des choses dont on ne sait pas trop d'où elles viennent ( " la fellation quasi obligatoire au collège"), c'est léger je trouve, et beaucoup plus injonctif et normatif que la pub, la téléréalité, ou le porno, car DS est journaliste. ça fait peser sur ses propos une exigence de rigueur qu'on ne peut avoir à l'égard d'autres professions.
Il affirme qu'aujourd'hui la fellation est quasi obligatoire dès le collège. OK, peut-être, mais faut expliciter.
D'abord, pour qui ? Celui sur qui l'acte est pratiqué ou celui/celle qui le pratique ( sucer ou être sucé, quoi ! )
Quelles sont ses sources ?
Où et quand et entre qui et dans quel contexte cela est-il pratiqué ?
A titre professionnel et personnel je côtoie beaucoup de collégiens, soit tous ceux que je vois ici dans ma banlieue du 94 sont les seuls en France à ne pas être complètement à l'aise avec leur sexe et leurs poils et la rencontre avec l'autre, soit DS a affirmé quelque chose de faux.

Une des intervenantes dit que l'âge moyen du premier rapport sexuel pour les filles reste 17 ans, mais qu'avant elles ont fait plein de choses. C'est intéressant à creuser, si on veut vraiment analyser l'influence du porno dans notre société :
- elles ont fait quoi qui n'aurait pas été fait dans les générations précédentes ?
- est-ce que ces actes préalables sont, à leurs propres yeux, une initiation ?
- est-ce par le porno qu'elles se sont éduquées ?
- n'est -ce pas comique de considérer que le premier rapport sexuel est celui de la première pénétration vaginale si on parle réellement de personnes qui ont déjà d'autres pratiques sexuelles ( n'y a -t-il pas là une autre forme de normalisation un peu réductrice ?)
- et accessoirement, d'où viennent ces statistiques ?

Les intervenantes sont dans le monde du porno, donc c'est normal que pour elles tout ce qui se rapporte au porno soit courant, mais aucune contextualisation n'est faite à aucun moment : à écouter les intervenantes, et même DS, on a l'impression que tout le monde regarde du porno tous les jours, ... ça aurait été bien d'avancer des informations sur le sujet.

DS a le droit de faire un magazine plutôt que de la critique, mais alors il ne faut pas s'étonner que les forums toussent un peu parfois : sur ce site, la ligne éditoriale brouille souvent les pistes :
- généralement, quelques jours avant une émission, il y a un article sur le sujet à venir, et là, on avait eu "PLAN B : PRESSION MAXIMUM DES MEDIAS EUROPÉENS SUR LA GRÈCE" donc, il était assez légitime qu'on s'attende à ce que ce sujet-là soit traité dans l'émission, avec un angle critique et non une approche de type "magazine". Même si, encore une fois, un magazine, ça peut être intéressant.
- il est extrêmement rare que DS anime seul, il est généralement accompagné d'un autre membre de la rédaction, là, ce n'est pas le cas.
- jusqu'à présent, je n'avais jamais remarqué des coupures dans le découpage en actes, là 2 extraits de l'émission disparaissent purement et simplement entre les actes 2 et 3 puis entre le 3 et le 4.
oups... mon commentaire ne veut pas apparaitre en fin de discussion?
Je suis pantois quant au niveau des commentaires, dans leur majorité! Entre ceux qui ne voyent d'interêt que dans ce que la télé nous vomit dejà et ceux qui croyent que le mot "travail" est reservé à certaines catégories professionnelles... pfff, sans parler du ton des messages!
Je regrette d'avoir dû passer par cette page pour laisser un commentaire...

Mais puisque j'y suis: ayant regardé il y a quelques jours le docu' d'Ovidie, et quelques jours auparavant "Hot girls wanted" j'aimerais citer deux autres documentaires qui completeraient grandement le sujet:

l'un se trouve sur Netflix aussi, et s'appelle "After the porn ends" (en anglais, pas soutitré, que je sache), et parle de l'ancien modèle (américain) du porno professionnel, et de la possibilité - ou pas - de reconversion des "vraies" stars du X;

l'autre est français et s'intitule "21 jours classés X", visionnable sur Vimeo, et parfait complément au documentaire d'Ovidie, au point de contenir une interview du couple d'acteurs du passage de la "panne", lors du tournage de cette même scène!!!

L'ensemble nous emmène bien loin de la série "Hard" de Cannal (dont je n'ai vu que 3 épisodes, c'est vrai)

Ceux qui ne s'interessent pas au sujet de la (hyper)sexualisation de notre societé n'ont qu'à aller se b.......oire un café ailleurs.

Merci @si d'oser choisir vos sujets en dépit des injonctions de vos spectateurs.

Je suis pantois quant au niveau des commentaires, dans leur majorité! Entre ceux qui ne voyent d'interêt que dans ce que la télé nous vomit dejà et ceux qui croyent que le mot "travail" est reservé à certaines catégories professionnelles... pfff, sans parler du ton des messages!

Je regrette d'avoir dû passer par cette page pour laisser un commentaire...



Mais puisque j'y suis: ayant regardé il y a quelques jours le docu' d'Ovidie, et quelques jours auparavant "Hot girls wanted" j'aimerais citer deux autres documentaires qui completeraient grandement le sujet:



l'un se trouve sur Netflix aussi, et s'appelle "After the porn ends" (en anglais, pas soutitré, que je sache), et parle de l'ancien modèle (américain) du porno professionnel, et de la possibilité - ou pas - de reconversion des "vraies" stars du X;



l'autre est français et s'intitule "21 jours classés X", visionnable sur Vimeo, et parfait complément au documentaire d'Ovidie, au point de contenir une interview du couple d'acteurs du passage de la "panne", lors du tournage de cette même scène!!!



L'ensemble nous emmène bien loin de la série "Hard" de Cannal (dont je n'ai vu que 3 épisodes, c'est vrai)



Ceux qui ne s'interessent pas au sujet de la (hyper)sexualisation de notre societé n'ont qu'à aller se b.......oire un café ailleurs.



Merci @si d'oser choisir vos sujets en dépit des injonctions de vos spectateurs.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

J'aurais bien aimé un petit historique de la présentation du porno à la télé.
A partir de quand a-t-on commencé à présenter des "stars du porno" dans des émissions généralistes ? Ca vient de Canal+ ? Ardisson ?
bof bof si au moins il y avait une liste de quelques films de ce ce que ces dames pensent être des immanquables de ce cinéma alterporno qu'elles semblent appeler de leur vœux.La donzelle du tag parfait et sa tendance à considérer son nombril comme une génération me fut parfaitement insupportable.
Je fantasme de la voire fouettée par des retraités grabataires.
Les mots cles de l article... mdr
Pour info, il manque un morceau entre l'acte 2 et l'acte 3.
FIRST!!
A part Ovidie, les deux intervenantes bobos parisiennes façon sex and the city sont vraiment nul et j'ai l'impression qu'elles n'ont pas réellement réfléchi au sujet. "Moi ma génération elle pense comme ci comme ca". Bah on ne peut pas leur en vouloir ce ne sont que des journalistes et féminin qui plus est.

Emission plutôt moyenne au final mais le sujet est tellement délicat que je ne peux que vous félicitez de l'avoir abordé.
Pas de signalétique -16 !?

Mais que fait donc le CSA ? :-)



Emission d'intérêt public, dont la diffusion devrait être au programme des élèves de terminale.

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