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Un ex de la Ligue du LOL "en observation" chez Hanouna

L'ex-rédacteur en chef des Inrocks David Doucet, ancien membre de la Ligue du LOL et mis en cause pour son comportement à la rédaction en chef du magazine, vient d'être recruté par Hanouna dans son émission TPMP. A quel poste? Mystère, même si l'animateur dément que ce soit à celui de rédacteur en chef. Hanouna réécrit en tout cas largement l'histoire ayant conduit au licenciement de Doucet.

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Aucune raison, en effet, qu'un harceleur, ex-journaliste dans un mensuel pourri, ne trouve pas sa place chez un autre harceleur animant une émission de merde.

Le fascisme à l'heure des médias 2.0. La Cour, les coups bas, les rattrapages, les coups de pouces, les coups de poing.

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Il est puni par là où il a pêché.

Poster un canular qui mettait en scène une tierce personne dans une situation potentiellement humiliante sur un site pouvant être consulté par tout public, c'est pas faire "honte pour punir" et "sans appel" ?

Il y a de(...)

Derniers commentaires

"Rédaction" , n'est pas un abus de langage ?

En parlant du sort des membres de la LdL je trouve plus intéressant celui de Vincent Glad, dont le travail sur les gilets jaunes et mouvements les ayant précédé sur les réseaux est allègrement pillé par ses confrères en profitant de sa déchéance pour ne pas le créditer.


Cet article des décodeurs, par exemple, fait mine de découvrir des trucs sur les groupes "colère+no" que Glad était le premier à évoquer (et sans se livrer aux manipulations que fait le journaliste du Monde qui développe une espèce de théorie du complot à leur sujet).

En parlant du sort des LdL, je trouve plus intéressant l

Légende de la première photo : HANOUNA RÉTABLI "LES FAITS"


Bigre. Le rédac chef de morandini.com est en observation chez @si ? 


hanouna ne fonctionne qu'au buzz. Voila une bonne occasion de faire parler de son émission. Il n' y a absolument aucune autre raison.

Doucet n'y travaillera pas, hanouna ne gouverne qu'au vu de l'audience "instantanée de médiamétrie" et des réactions live de tweeter. Cela était parfaitement montré dans un doc sur C8 présenté par géraldine Maillet , compagne du journaliste Daniel Riolo qui vient de rejoindre les "Grandes Gueules" ( sans rapport avec l'émission, mais cela donne peut etre le ton du couple toutoulogue). Bref. 

La facon qu'à de piloter CH est uniquement basé sur l'instant. Doucet va chez CH pour faire parler à nouveau de lui peu importe si c'est avec un autre harceleur patenté... qui manipule qui dans cette histoire . Personnellement je m'en fou mais cela en dit long sur l'entre soi médiocre de ce petit monde sur de tout savoir.

C'est moi ou le ton général de l'article tend à faire penser que Doucet devrait être définitivement grillé, exclu des médias ? Que devraient faire ces gens pointés du doigt selon vous ? Changer de métier, se cacher, porter la honte ad vitam aeternam, sans autre jugement que l'opinion publique dans une peine à subir sans prescription ni option de rédemption ?

Aucune raison, en effet, qu'un harceleur, ex-journaliste dans un mensuel pourri, ne trouve pas sa place chez un autre harceleur animant une émission de merde.

Les Inrocks n'est pas un mensuel mais un hebdo ! Toutes mes confuses.

C'est encore pire que je ne l'imaginais.

Je ne connais pas assez les Inrocks pour le juger et que qui se ressemble s'assemble n'aurait rien d'étonnant, mais sur le principe, il y a ce passage de l'article qui m'a fait tiquer : "Si, à notre connaissance, l'ex-rédacteur en chef des Inrocks ne fait effectivement pas l'objet de poursuite (judiciaire), la journaliste scientifique Florence Porcel l'a bien accusé de l'avoir humiliée en lui faisant au téléphone une fausse proposition d'embauche et en postant le résultat de ce canular sur le site Sound Cloud."

Le tribunal de l'opinion mis au même niveau que la justice institutionnelle ?

Je crois que c'est une tendance montante avec la force des réseaux sociaux, faire honte pour punir avec, peut-être, possibilité de disqualifier à vie, perpétuité sans appel.

Il est puni par là où il a pêché.

Poster un canular qui mettait en scène une tierce personne dans une situation potentiellement humiliante sur un site pouvant être consulté par tout public, c'est pas faire "honte pour punir" et "sans appel" ?

Il y a des tas de gens qui se grillent dans leur milieu professionnel en ayant franchement déconné ; c'est pas forcément public et visible, mais ça n'est pas rarissime. Et oui en général ils sont un peu contraints de changer de voie et d'aller se faire pendre ailleurs. Et ils peuvent y perdre beaucoup (surtout quand ils ont fait de la taule en plus). Bizarrement personne ne dit rien, par exemple, quand c'est un salarié de l'éducation nationale qui est obligé de quitter la fonction publique et de ne plus travailler avec des mineurs, alors qu'il a probablement passé des années à se former spécifiquement pour ça, et a le plus souvent passé un concourt pour le faire. Donc si Doucet est obligé d'aller postuler comme technicien de surface dans les bureaux de C8, non on va pas pleurer.

Le sentiment de faire justice se passe bien des tribunaux et des médias entendent aussi faire justice (enquête-Inquisition...) mais reste à voir quand le pouvoir journalistique favorise moins l'équité que l'antique justice horizontale qu'on retrouve dans les réseaux sociaux, police sociale à base de commérage et sentiment, buzz et scandale.


C'est surtout le ton de cet article que j'évoquais, un ton qui m'a semblé "justicier", une manière de nous faire une piqûre de rappel comme si il fallait empêcher qu'un gars de la ligue du LOL retrouve du boulot serait-ce par la mauvaise foi d'Hanouna.

Pourquoi ce suivi ? Aurait-on eu ces échos si il avait été embauché comme "technicien de surface" ? Peut-être un article disant "ah, voilà, ça c'est bien, il paye pour ce qu'il a fait" (mépris de classe, l'air de rien, passer le balais serait méprisable...) ? Envie d'être juge et bourreau parce que de toute manière, l'essentiel du public pensera qu'"il est puni par où il a péché" et "on ne va pas pleurer" ?


P.S. : il y a des interdictions d'exercer suite à des condamnations, des conditions d'embauche demandant des casiers vierges etc., mais pour autant que je sache, nul ne peut être empêché de travailler sans ces décisions de justice.

Je ne pense pas que la "piqûre de rappel" soit à prendre dans ce sens. C'est plutôt lié à la version de l'histoire présentée par Hanouna ; L'angle l'article correspond à celle du média dans lequel il est publié, en pointant les omissions volontaires et l'orientation du récit du présentateur d'un média de masse.

Par ailleurs, le personnage principal de cette affaire n'est pas techniquement empêché de travailler où que ce soit, et n'a pas été poursuivi.

Denis Baupin, qui a été condamné tout à l'heure pour procédure abusive, n'a pas non plus fait l'objet d'une condamnation pour ses actes. Il n'a cependant pas réellement achevé son mandat lors de la législature précédente (arrêtant toute activité parlementaire lorsque l'affaire à été médiatisée) et garde le stigmate social attaché à son comportement et son horizon en politique est fortement bouché.

Oui c'est une forme de contrôle social, mais c'est ni nouveau, ni original. Le fait d'être un personnage public implique de la visiblilité et celle-ci couvre aussi les cas où certains ont failli. La justice ne peut pas tout non plus et on ne peut pas tout lui demander. Lorsqu'une personne a un comportement détestable en société, c'est pas forcément un délit, et ça n'est pas forcément opportun de tout poursuivre. Et donc ça passe par d'autres chemins.

Savoir ce qu'est un comportement détestable en société et ce que ça doit impliquer (dont les punitions) est bien le problème. Le fait est qu'on juge essentiellement d'après nos valeurs, nos sentiments, selon un certain ordre moral plutôt qu'en fonction de l'état de Droit, que c'est ainsi que se fait le contrôle social au quotidien mais il ne faudrait pas oublier les risques de cet état "naturel".

Perso, je me méfie quand un ordre moral entend valoir pour l'ordre légal.


Dans le genre "justicier", un ado a été récemment menacé sur Twitter par des gens qui n'ont pas apprécié une blague sur la Mecque, ça a fait son petit buzz jusqu'à voir Schiappa intervenir par un tweet rappelant (maladroitement...) la loi : pas de délit de blasphème mais un pour le cyber-harcèlement.

En d'autres lieux et d'autres temps, punir un blasphémateur serait considéré comme relevant d'un contrôle social normal, comme participant de l'ordre moral commun.

Ce n'est ni nouveau, ni original, mais ça pose des questions.

Que trouvez-vous "maladroit" dans le rappel à la loi de Marlène Schiappa ?

Et pourquoi ce besoin d'évoquer d'autres temps et d'autres lieux, alors que nous sommes en France en 2019... même si les réactions au tweet d'Hugo pourraient en faire douter.

Schiappa fait des affirmations de fait ("chacun peut critiquer etc.", "le blasphème n'existe pas") là où il s'agirait plutôt d'affirmer des devoirs liés à la loi républicaine : on doit pouvoir critiquer sans être menacé, on doit pouvoir blasphémer impunément.

Dans les faits, le blasphème et les menaces existent comme existent tant d'autres pressions sociales/morales indifférentes au texte de loi.


Ca me fait penser : y a-t-il eu des "blasphèmes" contre Notre-Dame et des réactions outragées ?

Des anti-cléricaux de la grande époque auraient applaudi l'incendie, fait exprès de provoquer les catholiques. De nos jours, ça n'a pas l'air tendance, tout au plus fait-on une critique de l'émotion pour des pierres par rapport à l'humain et des sommes que ça a rapporté.

Quoique, dans les personnalités publiques, on a ces tweets intéressants de... Pamela Anderson, où elle glisse dans sa critique  : "Je pensais que l'Eglise catholique avait assez d'argent, prospérant sur l'espérance (wishful tidings) des pauvres".

Sinon, j'ai jeté un oeil à la Une de Charlie Hebdo et, a priori, l'anti-cléricalisme ne viendra pas de là, l'imagerie de l'incendie ne sert qu'à critiquer Macron.

J'ai dû lire les Inrocks dans une vie antérieure. Tout ce que je connais de la version actuelle, ce sont des couvertures et des articles sujets à polémiques (faciles à retrouver sur le Net, je ne développe pas).

Des jugements sont portés sur les réseaux sociaux, sur la bande de la ligue du LOL. C'est inévitable.

Je n'y ai pas abordé le sujet, mais étant incapable d'éprouver la moindre empathie pour les harceleurs, je comprends les réactions violentes que leur comportement a suscitées

Doucet récolte simplement ce qu'il a semé.

Mais étant donnés les copinages, la complaisance de ceux qui lui ressemblent il a déjà retrouvé un job.

  •          

Voilà. Hanouna, c'est le terminus, là où l'on va écrire soi-même son épitaphe.

C'est Las Piedras, le bout du voyage du Salaire de la peur. 

D'un coté je suis d'accord, d'un autre, comme "rédemption" pour un harceleur, je ne sais pas si travailler chez Hanouna est vraiment approprié. :)

"Changer de métier " : Ouais, ça.


Un peu comme le devraient un enseignant coupable de violences sexuelles, un juge coupable de corruption au jugement, un homme politique coupable de trafic d'influence, un pompier coupable de non secours à personne en danger... 


Quand à la "justice privée" : aucun texte ne prévoit qu'il soit interdit d'agir négativement envers une personne qui a fait du mal. La loi prévoit qu'il est interdit d'injurier et de diffamer mais absolument rien n'interdit de rappeler, à chaque fois que son nom est mentionné dans les media, que M. Doucet s'est déshonoré par des actes moralement répréhensibles car c'est la stricte vérité.


Cette liberté vous est aussi accordée et vous avez le droit de critiquer ceux qui critiquent M.Doucet et j'ai le droit de critiquer votre critique de la critique de M.Doucet... 

Profitez-en : la liberté d'expression ne s'use que lorsque l'on ne s'en sert pas.




C'est clair que la prescription, l'oubli des offenses etc. sans même parler du pardon sont assez rares, surtout si il n'y a pas eu punition. Ce qui domine est cette étrange économie de la douleur où on sent s'alléger une peine quand on voit souffrir un coupable. Les joies de la vengeance sont communes mais on peut se demander ce que ça va donner dans les décennies à venir avec tant de vies privées mises dans le domaine public sur le web, les réseaux sociaux.


Pour les gars de la ligue du LoL, il est probable qu'on ne se demandera guère qui a fait quoi exactement, si c'était de la débilité de jeunesse, si ça avait à voir avec le professionnel, la simple tache sur la réputation suffira à gêner tout boulot "public", au moins pendant quelques temps, le temps qu'ils souffrent suffisamment pour que vienne le sentiment que justice a été faite.


D'ailleurs, vous parlez d'enseignant coupable de violence sexuelle, de juge corrompu etc. comme si la comparaison était d'emblée évidente, jugés et condamnés sauf que là on ne sait pas exactement à quoi ils sont condamnés contrairement à une décision de justice.

C'était un peu le fond de mon interrogation de base : les médias ayant tenu à parler de l'embauche de Doucet (@si, Mediapart...) jugeraient-ils nécessaires que suite à la condamnation publique-morale, il y ait une peine effective ? Laquelle ? A quoi les condamne-t-on ?


Enfin bon, je crains que peu de monde partage mon interrogation sur ces questions de principe...

"Pour les gars de la ligue du LoL, il est probable qu'on ne se demandera guère qui a fait quoi exactement, si c'était de la débilité de jeunesse,"


A ce que l'on sait, une débilité de jeunesse pas si jeune (ils n'avaient pas 12 ans non plus) qui a été prolongée pendant plusieurs années(&)  et exercée sur plusieurs personnes, une débilité qui a persisté malgré le fait que de nombreuses victimes ont indiqué être en souffrance... Ils ont tous eu largement le temps de se rendre compte qu'ils faisaient des conneries et auraient pu arrêter bien plus tôt et auraient pu empêcher leurs camarades d'agir ; ils ont, pour leur grande majorité, persisté, ils se sont couverts et ont couvert leurs camarades.


&: ils ont peut-être commencé quand ils avaient 20 ans mais ont continué quand ils avaient 28 ans... Ou alors qu'on m'explique quand se termine la jeunesse, histoire que je sache si le retour de flamme que se prennent les LoLeurs est couvert par l'excuse de jeunesse et combien d'années il peut encore durer avant de devenir inexcusable...


A titre de comparaison, quand on entend parler d'agression dans le RER, je me dis que, dans le feu de l'action, je ne sais pas si j'aurais le courage et la présence d'esprit de faire quelque chose ; par contre, quand je lis que certaines agressions ont duré 30 minutes sans que personne n'y fasse rien, je me dis qu'en 30 minutes, même si j'ai eu peur des agresseurs, j'aurai probablement au moins l'idée de changer de wagon et de téléphoner à la police ou tirer sur le signal d'alarme, ce qui est quand même très peu.




"[on ne se demandera guère] si ça avait à voir avec le professionnel" : cela avait au moins à voir à travers le fait que certains harceleurs étaient collègues des harcelé-e-s. 

Florence Porcel a été professionnellement harcelée par M.Doucet avec l'aide, prétendûment involontaire mais assurément amusée, de Jean-Marc Manach (Voici le récit de cette déplorable histoire).

Et des licenciements ont été prononcés in fine ce qui signifie que les employeurs ont estimé que cela avait à voir avec le professionnel. On verra si les licenciés iront aux prud'hommes et, le cas échéant, ce qu'en dira la Justice.




"vous parlez d'enseignant coupable de violence sexuelle, de juge corrompu etc. comme si la comparaison était d'emblée évidente, jugés et condamnés " : la comparaison dans le degré de gravité est discutable, certes. Je cherchais simplement à illustrer le fait qu'une faute peut, dans pas mal de cas, vous forcer à changer complètement de milieu professionnel et que c'est tout à fait normal. Pour en rajouter une petite couche, je ne serais pas choqué que Bertrand Cantat soit contraint de renoncer à tout métier qui passe par la célébrité.


Pour ce qui est de "juger et condamner", je persiste à dire que tout un chacun est légitime à porter des jugements moraux et des condamnations morales, et de poser des paroles et des actes en conséquence de ces condamnations morales tant que l'on reste soi-même dans les limites de la loi. J'ajoute aussi que l'on peut condamner les condamnations des autres...



"A quoi les condamne-t-on ?


Enfin bon, je crains que peu de monde partage mon interrogation sur ces questions de principe..." : je partage ces interrogations, seulement, après réflexion, j'y ai répondu, dans ce cas, dans un sens que vous semblez juger sévère. Jugez-moi (!!) un peu coquet mais je préfère qu'on m'accorde que mon opinion puisse être réfléchie.


A quoi les condamne-t-on ? A la louche, je dirais à ce qu'ils soient astreints à une discrétion médiatique, ce qui est une simple précaution pour un medium qui tient à afficher des valeurs de respect humain et de non-discrimination.

C'est probablement synonyme de changement de milieu professionnel mais pas forcément : M.Doucet peut toujours devenir animateur chez Radio Courtoisie ou community manager chez Génération Identitaire ou porte-parole de Henry de Lesquen, je parie qu'on ne lui reprochera pas d'avoir été un LoLeur. 


Au bout d'un moment, il a fait de graves conneries, c'est normal qu'il lui en cuise. Et, sans être partisan de la loi du Talion, le fait qu'il se retrouve puni (#) par la réputation c-à-d par le moyen exact qu'il employait contre ses victimes et par l'exact opposé du bénéfice qu'il espérait en tirer(~) me paraît relever d'une forme de Justice Immanente dont l'ironie m'amuse beaucoup. Je précise que j'ai déjà été victime d'une mini-ligue du LoL pendant mes études, vous comprendrez peut-être ma schadenfreude .


#: puni me semble un mot inexact, il s'agit simplement de la conséquence naturelle de ses actes : si je tape ma voisine, que j'ai mauvaise réputation auprès de mes voisins n'est pas une punition, c'est la simple conséquence de mes actes. Ce qui serait une punition serait que je sois condamné à une amende ou de la prison ou un TIG...


~: il gagnait de la réputation auprès de ses camarades et, en pourrissant la réputation des autres, il gagnait un avantage en réputation comparativement à de potentiel-le-s compétiteur-trice-s professionnel-le-s.


ils n'avaient pas 12 ans non plus 

ils ont peut-être commencé quand ils avaient 20 ans mais ont continué quand ils avaient 28 ans... :


Après une vérification sommaire via Google, la ligue du LoL a été créée en 2009. A cette époque :

* M.Doucet avait 25 ans

* M.Glad avait 24 ans

* je n'ai pas trouvé l'âge de M. Hervaud mais il a obtenu un master en 2008, ce qui lui fait sensiblement le même âge. 

* M. Malissen, un des plus jeunes, avait 22 ans

* M. Gevrey avait 24 ans

...


Je vais pas tous les faire non plus mais bon, 24 ans, c'est un peu vieux pour plaider l'erreur de jeunesse ; d'autant que ça a continué jusqu'en 2019 où ils avaient donc, pour la plupart, au moins 34 ans.


Le fascisme à l'heure des médias 2.0. La Cour, les coups bas, les rattrapages, les coups de pouces, les coups de poing.

Vous avez lu la bande dessinée V pour Vendetta ? Dark Night. C'était à la fin des années 80, c'était déjà raconté, détaillé, documenté, le fascisme dans les médias.

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