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Saturation d'Internet : la saga d'une fausse alerte

Effet secondaire indésirable du confinement: les réseaux Internet et mobile français risqueraient la saturation, entraînant des mesures à l'encontre de certaines plateformes de streaming. Pourtant, rien n'indique l'imminence d'une telle situation.

Commentaires préférés des abonnés

Bonjour,


Quand je lis  votre article, en voici un extrait comme exemple, je suis en MPCT (1)

"elles ne sont pas uniquement (ou pas du tout) disponibles sur les box des opérateurs mais distribuent leurs contenus à leurs utilisateurs sur le web, via(...)

Article intéressant et bien documenté.


Le problème avec la littérature sur le réseau Internet, c'est qu'elle repose, pour l'essentiel, sur les déclarations de spécialistes et d'opérateurs opérant sur un marché concurrentiel. 


Il y a une double asy(...)

Derniers commentaires

En complément, je ne saurais trop vous conseiller la lecture de l'article "Porno virus", en page 2 (sur 4 contre 8 habituellement, confinement oblige) du Canard de cette semaine. Intégralement excellent, mention spéciale à Lefred-Thouron, en très grande forme !

Vous y lirez un échange surréaliste entre plusieurs Secrétaires d'État au sujet des restrictions de "bande" passante !

Souriez !


P.S. Exceptionnellement en ligne, gratuit pour les abonnées, 1 € pour les autres.

Article intéressant et bien documenté.


Le problème avec la littérature sur le réseau Internet, c'est qu'elle repose, pour l'essentiel, sur les déclarations de spécialistes et d'opérateurs opérant sur un marché concurrentiel. 


Il y a une double asymétrie d'information : sur les aspects techniques (secret industriel) comme sur les questions commerciales et/ou économiques (secret des affaires).


C'est un peu comme pour le nucléaire, les questions militaires ou de renseignement.


On ne sait que ce qu'on veut bien nous dire. Ce "nous" englobe le public et les journalistes.


Le réseau Internet est à la fois robuste (il a été conçu dans les années 1970-80 pour survivre à un conflit nucléaire) et fragile, en raison de sa complexité croissante (Loi de la variété requise de R. Ashby).


Il est par ailleurs, soumis, comme toute chose ici-bas à l’augmentation de l'entropie (principe de Carnot), tendance qui ne peut être contrariée que par un apport néguentropique, ou, dit plus simplement, par un travail de maintenance (technique, organisationnelle, informationnelle...).


Le risque de dysfonctionnements réside moins dans l'augmentation de la demande que dans la détérioration progressive du potentiel industriel et économique qui pourrait résulter de la crise actuelle ; laquelle se caractérise par son caractère global et atypique. Sachant qu'il n'est pas impossible d'avoir des ruptures brutales avec un effet domino.


Mais il est fort à parier, que comme pour le nucléaire on n'en sera informé que lorsqu'il sera trop tard.


Pas de quoi paniquer, la vie peut-être très belle au pied d'un volcan... ou d'une centrale nucléaire.

Télécharger mes films et séries pendant la nuit ? 

Ça tombe bien car c'est exactement ce que je fais depuis des années grâce à la magie du p2p !


Un grand merci à Cédric 0 pour ses excellentes conseils.

Bonjour,


Quand je lis  votre article, en voici un extrait comme exemple, je suis en MPCT (1)

"elles ne sont pas uniquement (ou pas du tout) disponibles sur les box des opérateurs mais distribuent leurs contenus à leurs utilisateurs sur le web, via des points d'appairage (peering) privés, qui les connectent aux réseaux des FAI sans encombrer le trafic général (rappelons que Netflix représente à lui seul 23% du trafic français, selon l'Arcep).  Elles paient ce service au mois et au mégabit par seconde en signant des "accords de peering" avec les FAI. Les OTT...."

Bises amicales et numériques donc légales (BANL)

(1) Moi Pas Comprendre Tout

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vous avez oubliez John Cage, le minimalisme, l'art conceptuel. Mais quel peut bien être le rapport avec Disney et les réseaux ?

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C’est le parallélisme entre l’industrie Disney et certaines œuvres d’art qui me gêne. C’est comme si vous disiez : « je n’aime pas deux choses différentes donc elles sont liées. » Il y a pourtant dans l’œuvre de certains artistes comme celui du minimalisme l’idée que l’artiste doit se mettre en retrait et laisser davantage de place au spectateur. D’où parfois, l’impression d’une froideur clinique dans ces œuvres. Cette démarche s’oppose aux artistes à l’ego démesuré, gonflé par le système, qui ne produise que du spectaculaire. Les deux sont possibles. Avec du bon et du moins bon de part et d’autre. Quand à l’usage des excréments, je n’y suis pas très sensible non plus mais je me souviens que cela me faisait rire quand j’étais étudiant (notamment les boîtes de merde d’artistes de Manzoni). Au-de-là du dégoût, pour Manzoni, je crois qu’il y a un désir de provocation et de montrer que le système marchand est capable de donner de la valeur à des excréments. Surtout ce qui me gêne, c’est qu’on réduise l’art moderne et contemporain à deux trois œuvres « potaches » (mais pas que). Le champ de l’art n’a jamais été aussi divers et les artistes ont aussi des démarches critiques. Beaucoup ne vivent pas de leur art. Il n’y a pas que Koons, Murakami, Hirst et autres papes ultra-riches de l’art contemporain. Et à vrai dire, le sketch des inconnus sur l’art me fait toujours rire.

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Avez-vous déjà vu un tableau fait avec de la merde en vrai ? Il y a pas de gens qui font de la peinture avec de la peinture qui font des peintures médiocres. Peu importe. Pour Banksy, j’aime bien ses piratages dans les musées. Son anonymat aussi. J’aime globalement l’idée qu’on puisse s’exprimer dans la rue librement. Après pour les œuvres en elles-mêmes, j’ai l’impression que cela relève plus de la communication que de l’art. Pour le travail que vous évoquez, c’est différent et plus ambigu. L’œuvre ne s’est pas complètement auto-détruite. Le système mécanique de destruction a été enclenché à distance par une personne près et sur les lieux qui a fuit. En gros la moitié du dessin contenu dans le cadre a été coupé en bandes restées suspendues au cadre. C’est un sacrilège de détruire de l’art surtout quand il a de la valeur, une valeur financière et esthétique. On peut se demander si ce n’est pas ça qui a choqué l’idée de détruire quelque chose qui a une valeur financière. Mais déjà, l’œuvre n’a pas été détruite mais abîmée. Et peut-on parler d’œuvre abîmée si c’est programmée à l’avance ? Car il s’agit bien d’une mise en scène. L’œuvre a-t-elle moins ou plus de valeur dans son état actuel ? Il faut croire que c’est plus.  Ce qui est intéressant, c’est qu’il joue avec le système mais je demande dans quelle mesure il est possible d’y échapper ?

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