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Commentaires

Sarkozy et Baroin, "pompiers de la crise" en action

Grandiose ! France 2 a diffusé jeudi soir un reportage palpitant intitulé les "pompiers de la crise". Les caméras d'Envoyé Spécial ont pénétré au cœur du pouvoir, filmant les réunions de crise à l'Elysée, à Bercy, à Bruxelles, en Grèce. Non sans mal. A plusieurs reprises, les caméras sont priées de sortir, confidentialité oblige. Mais qui sont ces fameux "pompiers" chargés d'éteindre l'incendie de la crise de la dette ? Le scénario de France 2 en distingue deux types : il y a les pompiers gentils qui font ce qu'ils peuvent pour sauver l'Europe (Sarkozy et ses ministres) et les autres, les méchants fonctionnaires de Bruxelles qui imposent leur diktat aux Grecs laxistes.

Derniers commentaires

et n'oubliez pas de leur dire qu'ils se sont trompés de seaux :
ils balancent du gasoil au lieu de l'eau
ils nous enfument ,et la télé est, plus que jamais aux ordres.Partout, une propagande à vomir! ( avez vous regardé le grand journal récemment ?- que des amis à sarko)
mais la crise est bien le fruit de leurs théories ultra-libérales : les marchés s'auto régulent, qu'ils disaient et vive le capitalisme !
maintenant, ils voudraient faire croire qu'il n'y a qu'une seule manère de "régler la crise", c'est à nouveau de satisfaire les banques
ces CANCRES qui vivent dans un luxe obscène se la pètent devant les caméras, mais dans 6 mois, ils disparaitront de notre paysage ; sortons ces prédateurs !
Effectivement, le reportage est désolant,
il est à noter qu'il utilise tous les procédés a priori de la critique
sans jamais opposer un quelconque argument à la politique menée.
Le gouvernement agit, quand les illuminés pensent : voilà le message.
Quand aux experts, en la personne -tout à fait neutre- de Nicolas Bouzou, ils pronent encore plus de rigueur.

A voir cet article sur le blog l'espoir.

Envoyé Spécial...d'Angela Merkel http://lespoir.jimdo.com
Appelons un chat un chat. C'est une opération de propagande du gouvernement financée par France télévision.
J'ai été troublé par le ton " Sarkosy- travaille fort- il- réussira-à- sauver- la- planète- merci d'avance"

Mais j'aimerais avoir l'opinion-expertise d'Alain Korkos: la séquence Sarkosy en chemise blanche et bureau etc... cela ne lui a pas fait penser à une scène du Godfather Le Parrain avec Marlon Brando, ou est-ce un petit délire personnel?
C'est seulement moi qui devient parano, ou une bonne grosse fraction des journalistes est en train de nous refaire une crise de sarkodolâtrie made in 2007? Depuis la couve "royale" du Point et le soi-disant retour en grâce de machin (storytelling 2 - la revanche), on est en train de se faire refourguer jour après jour par des amnésiques professionnels un vieux produit périmé; un genre de "remballe"... Les prochains mois vont décidément être longs, et nos nerfs ont intérêt à être solides.
Cher Sébastien Rochat,
Je ne vous en veux pas d'avoir piqué mon idée d'écrire avec des mots cette Célébration du Grand Acteur en chemise blanche qu'a été Nicolas Sarkozy dans ce reportage d'Envoyé Spécial. Pour ma part le regardant, j'ai tout de suite pensé à sa soudaine et tardive envie d'être cinéphile.
Et bien voilà, les deux films que Monsieur Nicolas a vu sont sans conteste "Le Président" avec Dupontel et "Les Hommes du Président" avec Dustin Hoffman et Redford. Evidemment, il s'est repassé aussi en boucle les "Parrains" ( The Go(o)dfather ! :-)
Donc pour éviter de faire doublon avec des mots, j'ai pris le parti du Clip-Vidéo.
Je vous invite, cher Sébastien, à la séance... :-)

Clip Vidéo sur Sarko

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Vous indiquez que Bruno Le Maire est le "seul germaniste du gouvernement".
Quelles sont vos sources ?
On pouvait penser que Philippe Richert, ministre des collectivités territoriales, alsacien, a des notions d'allemand.
Ce qui est de trop, c'est de demander si ce n'est pas trop dur au ministre, or, c'est plutôt auprès du peuple qu'il faudrait s'inquiéter, vu que c'est lui qui va subir les taxes et coupes de dépenses de nos gouvernants...
C'est sûr qu'en termes de pompiers, ils se posent là....euh, ils se crashent...ils nous crashent...à la gueule...

Ci-joint un lien qui témoigne de la justesse et de l'efficacité des X plans d'austérité en Grèce et de la bienveillance vis à vis du peuple Grec de la part de la troïka (FMI, BCE, commission Européenne) aux manettes du pays maintenant....

http://www.dailymotion.com/video/xmpawn_temoignage-dimitri-assemblee-citoyenne-grabels_news

Faites circuler...

Place à l'humain, place au(x) peuple(s) !
argh
(je vais être un peu hors sujet - dans le sujet : que je suis contente de pas avoir la téloche, ça me ferait des dépenses inutiles : je la pèterais d'un grand coup de latte dans les diodes)
j'ai regardé le petit bout de film à athènes
question simple : y a-t-il une limite à l'humiliation de mecs qui tiennent à leur salaire ?
Merci à @si de nous signaler que cette pseudo enquête est en réalité une émission de propagande. Mais, enfin, cela n'avait sans doute pas échappé à de nombreux téléspectateurs qui, comme moi, ont certainement zappé au bout de 5 minutes. Par conséquent, on aurait envie d'en savoir un peu plus : Qui est à l'origine d'une telle "enquête" dont le caractère de propagande est tellement évident qu'elle ne peut être que téléguidée ? Comment des journalistes ont ils pu accepter de se vautrer dans cette fange ?
Savez vous de même à qui nous devons les chroniques et débats de propagande qui "fleurissent" sur France Inter? Ce matin un certain Jean Paul Betbeze, directeur des études économiques du crédit agricole, est venu nous infliger pendant 3 minutes un vibrant éloge de la politique de Merkosy. Mais le clou de la propagande sournoise, comme vous dites, c'est le pseudo débat de la triplette : Colombani, Dominique Reynier, Caroline Fourest, qui a lieu le dimanche matin. Philippe Val est en coulisses ?
ça ressemble à un film de propagande à l'avantage des deux guignols,Sarko et Baroin. Vous avez vu,on sait faire ,votez pour nous... Et personne ne parle de l'explosion de la dette sous Sarko et bien avant la crise.Le président des riches...Se replonger dans ce livre en ce moment corrige les mensonges.
Mais comment ces "journalistes" de France 2 peuvent-ils encore prendre au sérieux ces "pompiers de la crise" alors que ces "pompiers" ont fait exploser la dette publique française de 600 milliards d'euros en moins de cinq ans ?

Lire l'excellent article de SuperNo, La dette pour les nuls.
Embadded with the government's team !
Pauvres journalistes, toujours pris en otages par ce gouvernement de m...enteurs !
Mais bon, avec A.Vahramian, on n'a pas de souci, elle est toujours relâchée très vite ;o))
… peut-être pourrez-vous retrouver cela dans vos archives, mais il me semble que l'équipe d'envoyé spécial s'était déjà "signalée" en 2006-2007 par une hagiographie sirupeuse du candidat sarkozy.
hervé, rouen
ESPONGE Maraud Esponge jacqouille!!!
Drôle d'Objet Télévisuel d'Etat !! Ca doit pouvoir se ranger entre un roman-photo, et un paris-match-animé.

Le commentaire composé de cette dote explique pourquoi je ne suis plus le témoin de ces mariages d'intérêt !
J'ai pas vu le rapportage mais j'aime bien votre commentaire. De ce que je crois déceler (et c'est pourquoi je ne regarde pas ce genre d'émission) cela ressemble à un film promotionnel pour une marque de pinard industriel où on nous le fait dans la compétence, la sueur, la science de la dégustation... avec l'oenologue en chef qui tombe la veste (ici, évidemment, c'est un épouvantable buveur d'eau), et les larbins juste admis à renifler pour savoir si ça sent le bouchon ou le vieux bois.
Je trouve honteux que nos présidents soient logés à l'Élysée. Tout ces ors et ce luxe ancien régime. Normal qu'au bout d'un moment ils se prennent pour des rois. Triste image de la démocratie!!!
Elle me plait celle-là :
« nous repartons......avec l'image d'une gestion de crise au plus haut (accent tonique) sommet de l'État .... »
Quand on ne regarde pratiquement plus la télé et surtout pas ce genre de reportage, ce style de phrase et de diction est absolument insupportable.

Quand on ne regarde pratiquement plus la télé et surtout pas ce genre de reportage, ce style de phrase et de diction est absolument insupportable.


D'ailleurs, ça me permet de faire une requête à ASI sur cette diction très particulière que l'on retrouve désormais dans tous les reportages. Je l'ai entendue au début dans C dans l'air, mais apparemment c'est aussi le cas dans les reportages des JT et dans Envoyé Spécial. C'est totalement insupportable.

D'où ça vient ? Quelles écoles de journalisme, sociétés de production imposent cette diction ? Quel est le bénéfice attendu à part me faire zapper après 5 min ?
Dans les émissions que je regardais, la seule émission qui avait une diction aussi particulière était Tracks (Arte).
Est ce qu'ASI pourrait mener l'enquête un de ces jours sur ce sujet ?
ah oui ! Je serais curieuse de savoir d'où vient ce goût uniforme de soupe en boite.
mutatis mutandis, ça m'évoque irrésistiblement la voix des culs-bénis qui officient sur les radios confessionnelles : rien qu'au son de la voix tu sais que tu peux zapper illico.
Et aussi l'espèce de musique de fond dramatique (à partir de 1mn).

(Au fait c'est qui l'homologue du président au royaume du Pays-Bas?)
Mark Rutte.
D'accord mais je pointais juste l'imprécision du terme "homologue" ici.
Après avoir mené notre enquête…… auprès de moi-même et aussi loin que je m'en souvienne…… ce ton casse-[édité par la modération]…… est plus ancien que C dans l'air…… je le vois plutôt naître sur M6 dans des magazines comme Capital…… ou dans Zone interdite…

Et comme vous…… j'ai aussi le souvenir…… d'un ton inventé…… par Arte.
J'ai mis du temps à comprendre... l'utilisation frénétique des points de suspension ! Merci... ça m'a bien fait rire ! :)
+1 comme on dit par ici.

Et faites le tour des télés, regardez (oui c'est dur, mais un petit effort allez) les "reportages" type direct 8 W9, NT1 et autres chiffres sur nos super robfliks ou sur la déliquance à Montfort sur Meu...
Vous y entendrez les mêmes accents toniques, la même tonalité grave, lancinante, presque suave qui assène des incertitudes, des vérités à surveiller, des prises de positions improbables et "hautement" anticonsensuelles...

Homme ou femme, la voix-off répond à un schéma prédéfini : un scoop, une action "forte" du journaliste ou du caméraman doit être soulignée, surlignée même. Un protagoniste (politique, délinquant, policier, témoin) se comporte de manière un tout petit peu inattendu et hop, on intensifie l'effet voix off par une myriade de détails. Prenons l'exemple du premier extrait vidéo" de cette chronique :
Voix off 00'30'' : "Mais très vite, Nicolas Sarkozy nous demande de quitter le bureau."
A l'image : Sarkozy qui secoue les mains, faisant comprendre sans un mot qu'il ne veut pas la caméra. Puis, à l'oral, qu'il les reprendra plus tard.
Jamais le président ne leur demande de sortir clairement. Alors pourquoi la voix off dit cela? Pour faire de la matière. Pouquoi le dit-elle comme cela (ton extrèmement sérieux, grave, ponctué)? Pour appuyer le détail, pour une fois de plus faire de la matière.

A ce propos, un extrait d'un très bon texte de Silvia Paggi (Professeur en Anthropologie et Communication Visuelle à l'Université de Nice/Sophia-Antipolis):


"Bien que l’on puisse considérer le texte en voix-off par lui-même, sa signification cinématographique repose sur la relation qu’il entretient avec ce qui est montré par les images ; il s’agit du montage d’une co-occurrence. Ainsi, notamment pour le cinéma documentaire dit « du réel », peut-on désigner cette relation comme complémentaire, redondante, ou encore concurrentielle, dans le sens où le réel est appréhendé tant par le « montré » des images que par « l’évoqué » du discours porté par le commentaire en voix-off."


in Voix-off et commentaire dans le cinéma documentaire et ethnographique (2011)
Éditeur : REVEL
http://narratologie.revues.org
http://www.revues.org


Voir également à ce propos le superbe film l'Ambassade de Chris Marker (1975), qui en dit long sur les effets de voix et les commentaires audios...

OUI, à @si ce serait une bonne chose d'avoir un analyste des sons, et des voix-off, par extension!
C'est drôle, je parlais de cette "insupportable voix off" de la plupart des reportages ou autres bilevesées télévisuelles... la voix off nous prend pour des cons parce qu'elle commente des images qui sont suffisamment parlantes...
Mais en même temps, elle oriente complètement notre entendement, surtout si l'image et partielle et partiale... Et puis surtout, elle ne nous laisse aucun "trou" dans la bande son, au cours duquel on pourrait par exemple observer mieux l'image, s'interroger sur un mot prononcé, une phrase montée d'une façon et pas d'une autre, etc... Avec un montage et un commentaire, on peut faire dire tout et n'importe quoi à une minute d'images... et complètement transformer le sujet initial.
Ca m'a l'air passionnant, le lien dont vous nous parlez...
Dès mon retour, je me le regarde ;o))
"la voix off nous prend pour des cons parce qu'elle commente des images qui sont suffisamment parlantes... "

Petit exercice rigolo : allumez la télé, tournez l'écran contre le mur, et écoutez. Ne serait-ce pas l'inverse? A savoir que la voix-off nous donne les informations essentielles à la compréhension, et les images ne sont là que pour ponctuer. Les images nous prennent pour des cons au pire, et au mieux ne servent à rien. Et l'exercice vaut pour Question pour un champion comme pour C dans l'Air, ou même pour d@ns le texte ou @rrêt sur image (l'émission hein, pardon quand même). Je me convainc peu à peu qu'une émission de débat n'a pas besoin d'image pour exister. Et certains films non plus d'ailleurs, ce qui pose la question de la légitimité du média utilisé pour raconter une histoire ou faire parler des individus. On pourrait même aller plus loin en disant que la civilisation du langage oral dans laquelle nous nous trouvons supplante de loin la "mode" de l'image dans laquelle nous croyons être... Mais là je m'égare drôlement.

"Avec un montage et un commentaire, on peut faire dire tout et n'importe quoi à une minute d'images... et complètement transformer le sujet initial. "

Oui, je réitère mais il faut absolument voir l'Ambassade (assez difficile à trouver dans le commerce, mais une bonne médiathèque fera amplement l'affaire).


Dans le cas qui nous concerne, Envoyé Spécial, la caméra joue néanmoins un rôle important, puisqu'elle nous montre, par une méthode que nous n'avons pas totalement digéré, le penchant affirmé du journaliste/caméraman pour le reportage in situ.
Je m'explique : comme le dit précisément Refuznik un peu en dessous de ce post, "ce n'est pas de la caméra à l'épaule"... Traditionnellement, la caméra à l'épaule, donc tremblottante, instable, est présente au cinéma pour suggérer une action vive, rapide et "dangeureuse" pour le sujet. En télévision, et notamment dans les reportages, le processus est le même, et suggère la même chose, mais nous l'avons intégré beaucoup plus facilement. Il a été très fort lors de la mort d'un caméraman à Sarajevo (si je me souviens), et l'est toujours lors des reportages choc de nos amis Direct8 et consors.
Ici, dans cet extrait, la caméra semble être sous le bras du caméraman, encore plus incertaine, presque amateure. Là, on est bien plus proche de la caméra cachée version "reportage-en-quartier-avec-des-gens-floutés-qui-ne-savent-pas-qu'on-les-filme"... Méthode un peu plus récente que la précédente, un peu moins ''intégrée" par nos cerveaux, qui fait "ressortir" la présence du caméraman, et donc de l'image.

Toute cette digression pour dire qu'effectivement, à certains moments, un soubresaut journalistique intègre l'image ET le son... Mais c'est si rare....
Oui c'est du second degré, bref il ne cadre pas à hauteur d'homme mais en essayant de donner un genre comme vous dites caméra caché, histoire de renforcer justement le côté intrusion.

Sinon perso. vu la hauteur, il ne la porte pas sous le bras mais par la poignée supérieure ce qui permet de cadrer.
S'ils ont du renouvellé leurs matos ces dernières années, il a en même temps son écran orienter pour visualiser la prise, ce que l'on ne pouvait pas faire avec nos vieilles caméra.

Désolé j'ai un peu zappé le reportage sur Bruxelles par contre, ici on cadre à la tête.
Effectivement, après revisionnage, elle doit presqu'être à bout de bras, le long du corps. Et oui, le petit écran pour visualiser doit être présent je pense, sinon il aurait cadré les pieds du bureau présidentiel. Ce qui implique d'autant plus le côté intentionnel du cadrage, volontairement "faussement caché". Parce que quand même, on ne me fera pas croire que les personnes présentes dans le bureau n'avait pas conscience de la présence d'une caméra... Non, c'est vraiment bien foutu comme technique de montré-caché...
Exact et je ne sais pas si vous avez vu la hauteur et les angles, ce n 'est pas de la caméra à l'épaule.
On se met bien en dessous.
C'est beaucoup plus vieux que ça, Philippe Vandel en avait fait la partition dans Nulle Part Ailleurs et ça concernait à l'époque seulement m6 et tf1 pour leurs reportages style zone interdite ou capital.
Dans un article, il expliquent que ça vient bien du magazine… Capital.

« A sa création, en 1994, l'objectif de Capital n'était pourtant pas d'endoctriner les foules. « Le défi était de parler d'économie face au film du dimanche soir, de rendre "sexy" une matière aride », se remémore Laurent Huberson, ancien de l'équipe et ex-rédacteur en chef en partance d'Enquête exclusive. Piloté par Emmanuel Chain, journaliste venu de la pub, le magazine invente un style influencé par le marketing. « Jusque-là, on privilégiait une approche globale des sujets, dit François Ducroux, ex-Capital aujourd'hui rédacteur en chef de 66 minutes. Notre ambition était de restaurer une proximité avec le public et d'employer un ton moins institutionnel. » etc. »

Jégagnécoa ?
Bonjour
En zappant jeudi soir, je suis tombé sur la tronche de notre machin et hop rezapping immédiat.
France TV accumule les mauvaises émissions… une de plus.
D'accord avec Compunet, mais si Pfimlin n'a pas le choix, moi je peux faire un choix… je zappe.
ah vous êtes trop jeune m'sieur Rochat pour avoir connu la télé de papa, celle qui lisait les notes qui venaient de l'Elysée....
Pfimlin est aux ordres et il y a peu de chance pour que ses rédactions ne le soient pas ! ont-ils vraiment le choix ? je ne crois pas, sinon à démissionner...
tout à coup et très opportunément avant la prochaine présidentielle, le petit prez se revendique du grand Charles pour rameuter les troupes fidèles au Général qui ont voté massivement pour lui à la dernière ...
mais c'est pas gagné parce que ceux là ne lui ont pas encore pardonné sa réintégration au sein de l'OTAN !!

par contre là où il peut se revendiquer du Général c'est bien dans la façon de gérer la télévision en nommant en particulier son directeur, l'ORTF d'antan....
petite leçon de com' : http://nostraberus.over-blog.com/article-le-petit-journal-02-12-11-aux-meetings-de-l-ump-non-seulement-les-questions-sont-preparees-mais-91033528.html
"Aux meetings de l'UMP les questions sont préparées, mais les réponses également"
Le Petit Journal

....m'étonnerait que Franck Louvrier ait laissé le choix des questions aux journaleux de la télévision d'Etat, Elysée.fr !...

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