79
Commentaires

Retraites : la presse menacée d'expulsion "par la force" à l'Assemblée

Lors de l'examen par une commission parlementaire du projet de loi du groupe Liot visant à abroger l'âge de départ à la retraite à 64 ans, plusieurs journalistes se sont vu·es forcé·es de quitter la salle. Et menacé·es, en cas de refus, que soit employée "la force" pour les déloger.

Commentaires préférés des abonnés

C'est dommage que ces journalistes n'aient pas résisté.

Filmer leur évacuation par la force, cela aurait donné une image accablante de ce qu'est la macronie. Après avoir matraqué les manifestants qui s'opposent, contourner les débats parlementaires po(...)

Aucune surprise, la macronie se bat contre la liberté de la presse sans interruption depuis 2017. Pour rappel, une des premières actions du nouveau pouvoir avait été de supprimer la salle de presse de l'Élysée. Depuis, on ne compte plus les journalis(...)

Approuvé 14 fois

En anglais, sans problème, vu que les adjectifs ne s'accordent ni en genre ni en nombre.
D'autres questions passionnantes ?

Derniers commentaires

Oui ils auraient dû rester.

Là on aurait punavoir un vrai rapport de force, des images symboliques..

Mais non… ils se sont exécutés 

Hihi


Pour ceux chez qui ça ne s'affiche pas (clic droit) :

Emmanuel Macron est d'extrême-droite et c'est son ministre qui le dit

Recourir à de tels subterfuges pour un pays dit "développé", un pays qui se targue d'être plein de qualificatifs de démocratie, égalité etc etc etc, on a vraiment l'impression d'une tromperie sur la marchandise


macron restera dans l'histoire comme celui qui aura usé jusqu'à la fibre toutes les manigances constitutionnelles et institutionnelles et détruit ainsi le vivre ensemble Français.

On comprend ainsi ce qui nous rapproche d'un homme de droite comme de Courson dans cette révolte contre l'escroquerie organisée de la macronie qui conforte la venue d'une dictature d'extrême droite


Au stade local, le même jeu se joue avec l'exemple de la préfète du Bas Rhin qui a boycotté un des médias local faisant fi de la liberté de la presse

Ne pas changer de salle est une faute grave de la part de la présidente de cette commission, car cela représenete une entorse aux normes de sécurité, outre les conditions de travail déplorables (certains députés sont restés debout) : 130 personnes dans une salle limitée à 100 !

La république irréprochable de Macron qui donne des leçons de démocratie :


Fonds Marianne : les embarrassantes déclarations de deux associations financées        

                

 C’est bien le ministère de Marlène Schiappa qui aurait sollicité une des deux principales associations financées, a assuré son dirigeant à une commission d’enquête sénatoriale mercredi 30mai 2023 contrairement à ce qu’affirme la ministre. L’autre, également auditionnée, assume des contenus « politiques », et contredit le préfet Christian Gravel. Une enquête pénale suit son cours.

Marc Fauvelle et Salhia Brakhlia ce matin sur France info, à côté de la plaque, comme d'habitude. Ils ont ramené le débat sur le rassemblement national, la sécurité, l'immigration alors que l'actualité est l'obstruction de Macron et sa majorité à la défense des droits sociaux pour imposer leur politique de régression sociale.

Ces deux journalistes défendent trop clairement l'exécutif. Lamentable. 

C'est bien, continuez à afficher vos préférences réactionnaires aussi ouvertement. 

Voilà deux responsables de l'abstention et du regain de l'extrême-droite.

Ces journalistes sont grossiers puisqu'il finissent par lasser ou rendre vulgaire.

Peut-on parler des "  illusions perdues   " des journalistes expulsés par les macronards...?

Il est dommage que des personnes s'écharpent sur les commentaires. Je pense qu'une discussion autour d'une table et autour d'un verre avec les mêmes personnes seraient plus apaisées. Ca c'est le problème d'échanges par internet par des personnes passionnées et respectables. 

En ce qui me concerne j'ai été choqué par l'éviction des journalistes. Personnellement  je ne sais pas si la présidente était dans son droit ou pas, je n'ai pas les arguments pour débattre, mais ce qui me gêne c'est "par la force" et "avec le sourire", il y a quelque chose de machiavélique que l'on retrouve de manière récurrente avec ce pouvoir "macroniste".

Mais entre droite et extrême-droite, les rapports sont excellents.
Yaël Braun-Pivet déclare au Figaro : "Sébastien Chenu (RN) n'est pas un bon mais un très bon vice-président de l'Assemblée."
Qu'il soit l'élu d'un parti raciste "héritier du régime de Vichy", et que le FN auquel il succède ait été co-fondé par d'ex-Waffen-SS, est accessoire.
L'essentiel est qu'il fasse bien son job.




Une incidente à propos de la proposition LIOT.

La macronie veut utiliser l'article 40 de la Constitution : diminution des ressources publiques ou aggravation d'une charge publique;


Il y a quand même quelque chose de troublant dans un système de retraites par répartition. 

Les retenues salariales et les charges patronales sur salaires sont les ressources qui vont permettre le service de retraites.


Ces retenues et ces charges sont le corollaire du contrat de travail , contrat de droit privé.

Autonomie de la volonté : le salarié peut mettre fin, à son gré, à ce contrat et , par conséquent, il n'est plus engagé à fournir la ressource de ses retenues salariales.


Par quel sortilège, l'exécutif met-il la main sur ces ressources issues d'un contrat de droit privé en déclarant que ce  sont des ressources publiques ?


J'inclinerais à penser que l'article 40 ne peut s'appliquer au financement des retraites.

dans manifs les gens ordinaire résiste, y compris dans manif " sauvage ou pas autorisé", et la journalistes font images et des commentaires pas toujours bien envers manifestants; là ils sont autorisé a entrer certains sot presse "assemblée" et aucun courage, la peur d être repoussé et perdre boulot. ben voyons croyez vous a des lancer LBD  et plus a l interieur bâtiment, en gros journalistes médiocre; décevant.

triste presse


Quand la coupe sera-t-elle assez pleine pour qu'on puisse enfin parler d'un régime libéral autoritaire ? Combien de temps à se cacher ce que tout individu honnête intellectuellement ne peut pas nier. Une démocratie est un système qui respecte les droits fondamentaux et ça fait un moment qu'ils sont bafoués... Marine Le Pen n'aura rien de plus à faire sur les libertés que ce que "l'enfant-roi" aura favorisé, avec la complicité de trop nombreux "pétainistes"... euh, élites sourdes et muettes.

Minable.

Lire La société ingouvernable de Chamayou.

Toujours la même méthode : on refuse une salle plus grande et du coup il n'y a pas assez de place, le bon sens commande de faire sortir des gens, les journalistes, ça s'impose. De même que pour la loi le temps étant limité le bon sens impliquait d' appliquer le 49-3.
Pauvres pantins.

OK, de flamby à LP/Z, que des ordures fachos.
Et merde aux renflements brun non dilaté ou équipé de balai, si mon vocabulaire vous choque, c'est que vous êtes dans leur camp. Il est grand temps d'appeler un chat un chat, une ordure une ordure, un facho un facho, et ma€ron une immense merde pestilentielle facho psychopathe pervers narcissique.

A la fois honteux et réjouissant... Réjouissant parce que cette fois, en expulsant une journaliste de BFM, le mépris des sbires de Macron pour la liberté de la presse est patent, quel que soit le média. Mais BFM TV continuera-t-elle à être aussi complaisante envers ce pouvoir ? Je crains que oui.

"plusieurs journalistes se sont vu·es forcé·es de quitter la salle. Et menacé·es, en cas de refus, que soit employée "la force" pour les déloger."


Comment auriez vous traduit ces phrases en anglais ? En allemand, en italien,, en espagnol ?

En particulier les -es, -es et -es ?


Non, rien.

C'est dommage que ces journalistes n'aient pas résisté.

Filmer leur évacuation par la force, cela aurait donné une image accablante de ce qu'est la macronie. Après avoir matraqué les manifestants qui s'opposent, contourner les débats parlementaires pour imposer le diktat de Jupiter, elle en est à bâillonner la presse pourtant accommodante avec le pouvoir.

Les néolibéraux au pouvoir en Europe n'ont que la répression pour imposer leurs idées ( voir les 1700 manifestants arrêtés aux pays bas pour avoir bloqué une autoroute ).

Les fachos n'ont plus besoin de Marine, ils ont Macron.


Aucune surprise, la macronie se bat contre la liberté de la presse sans interruption depuis 2017. Pour rappel, une des premières actions du nouveau pouvoir avait été de supprimer la salle de presse de l'Élysée. Depuis, on ne compte plus les journalistes interpellés ou poursuivis pour avoir fait leur travail.

La question qui se pose est : que veut dire "cette commission est ouverte à la presse"  exactement ?

Est-ce que ça veut dire que la presse, et particulièrement les journalistes accrédités, a un véritable droit reconnu dans une loi ou un règlement officiel à accéder au lieu où se tient cette commission ? Ou alors il s'agit juste d'un usage ?

Et s'il s'agit véritablement d'un droit, quelles en sont les limites et qui peut éventuellement, pour un motif qui doit être légitime et prévu dans les textes, restreindre ce droit (par exemple, effectivement la présidente de la commission en question) ?

A tout gérer par le droit , on fossilise toute pratique sociale ou rapport humain.

Il est une lorgnette ...... 

Vous avez bien conscience que là on ne parle pas d'une "pratique sociale" ou d'un "rapport humain", mais de la manière dont sont régis les rapports de pouvoir entre une institution (l'assemblée nationale et plus précisément toute commission au sein de celle-ci) et une autre institution (la presse et de manière plus générale les médias d'information). SI vous ne passez pas par le droit pour bien poser ce qu'il est possible, et ce qui ne l'est pas, de part et d'autre, comment faites-vous pour ne pas tomber dans un arbitraire inextricable ?

Car finalement, sans avoir une base légale aussi clairement posée que possible, comment déterminer qui a raison ici ? Qui a raison entre celle qui dit "il y a trop de monde ici, les débats ne peuvent se tenir dans de bonnes conditions or il est de ma responsabilité que les débats se tiennent et je dois donc faire évacuer une partie des personnes présentes, en l'occurrence la presse qui peut suivre les débats autrement" et celles et ceux qui disent "nous devons pouvoir rester pour pouvoir suivre les débats au plus prés afin de les rapporter au mieux et nous considérons que les autres moiyens qui nous sont fournis ne conviennent pas" ?

Après, on peut toujours critiquer l'état du droit tel qu'il est et éventuellement œuvrer à le faire évoluer. Mais même une fois que vous l'aurez fait évoluer, il n'aura pas pour autant disparu, il sera toujours là, juste différent, modifié.

Vous remarquerez qu'une partie du problème est bien lié de toutes façons à du droit  : le droit de tout parlementaire d'assister, même s'il n'en est pas membre, à toute commission, ce qui a amené, par une présence importante de parlementaires de la NUPES, à un manque de places dans la salle de réunion de la commission. Seulement voilà, il semblerait bien que ce droit-là, celui d'être présent pour assister soit un véritable droit (et pas une simple pratique, une habitude) et que donc il n'était pas possible de leur demander de sortir, voire de les faire sortir.

Alors on en revient à ma question initiale, est-ce que le droit des journalistes à être présent dans la salle en est réellement un ou n'est-ce qu'une habitude et une pratique commune ? Ou inversement, est-ce que la présidente de la commission avait effectivement le droit de (menacer de) faire usage de la force pour évacuer les journalistes ?

En somme, votre question se résume à : "Le devoir d'un journaliste n'est-il pas de ne pas informer le public si le pouvoir autocratique du souverain y voit un inconvénient ?"

Euh non pas du tout.

Justement ma question c'est "quel est l'état du droit" ?

En l'état actuel des choses (qui est critiquable mais qui était ce qu'il était au moment où ces événements se sont passés), y a-t-il effectivement eu abus de pouvoir ou pas ?

Je cherche juste à avoir des informations factuelles avant de me lancer tête baissée dans une critique d'un éventuel exercice autocratique du pouvoir, critique qui risquerait de se faire démonter si elle n'est pas fondée sur des faits.

Quitte à terme à enchainer, au-delà de la critique d'une certaine pratique du pouvoir, sur une critique du droit qui permet cette pratique.

Continuer à faire bouillir la marmite,

Regarder de haut au-dessus des têtes, donc ne pas regarder

Faire du Gilles  Legendre "nous avons été trop intelligents, trop subtils pour..."

Assumer les gens qui ne sont rien


et le couvercle va sauter.

Il ne nous restera qu'à redéfinir ce qu'est votre question.


"quel est l'état du droit" ? 


sur des tas de cailloux, des gueules cassées, des fissures encore plus grandes. Avec ces affirmations à la con: "c'est grâce à nos institutions, à notre état de droit que..."


Les mensonges ont lézardé les feuilles de papier qui pouvaient faire semblant.


Nous vivons une époque formidable





Choisissez vos combats et menez-les en fonction de la réalité telle qu'elle est et pas comme vous voudriez qu'elle soit. Ça vous évitera d'enchainer les défaites.

Que vous le vouliez ou non, le droit existe et, à moins que vous ne souhaitiez vous lancer dans la révolution ici et maintenant (je ne suis pas sûr que les conditions soient trés favorables...), il est à mon avis préférable d'y préter attention afin de bien calibrer vos critiques.

Par ailleurs, on ne gagne pas une bataille et a fortiori une guerre (fut-elle de classes) en négligeant de connaitre et même préférablement de choisir le champ de bataille. Or le droit tel qu'il est est un élément qui définit ce champ de bataille.


Bref... je n'ai jamais dit que l'état du droit sur l'affaire qui nous concerne me convenait, je disais juste "quel est-il ?"

Essayer de comprendre ce que disent les gens avant de monter sur vos grands chevaux... ça sera un bon début pour débattre utilement. Merci et bonjour chez vous.

Merci de votre réponse monseigneur, 


Vous utilisez la morgue et la distance qui pointent sans arrêt dans l'oeil de "mes ennemis" (je ne  peux plus parler d'adversaires-- père et frère, ouvriers ajusteurs,  décédés avant l'âge des 64 ans requis - ils avaient eu la mauvaise idée de travailler sous l'amiante proposée, avec le sourire, par leurs employeurs -)


Je sais,  parler avec ses tripes, c'est con, mal venu, légèrement ringard!


Alors votre: " 

Essayer de comprendre ce que disent les gens avant de monter sur vos grands chevaux... ça sera un bon début pour débattre utilement. Merci et bonjour chez vous. "


est puant de condescendance.


Je ne vous salue pas.


Ah oui bien sûr... vous avez mal compris ce que j'ai voulu dire mais... je n'ai pas le droit de vous le faire remarquer, parce que c'est "condescendant".

Et comment qualifier le fait que vous m'assignez d'autorité des intentions qui ne sont pas les miennes pour après vous me les reprochez ? Ce n'est certes pas de la condescendance, c'est de la malhonnêteté, tout simplement.

Allez donc pleurnicher ailleurs, mon brave.

"pleurnicher" cher camarade n'est pas une habitude la maison.


La région que j'habite, le sport que l'on pratique, la langue que l'on parle, la coiffe que l'on porte, les "r" que l'on roule, la solidarité que l'on développe...tout cela ne laisse la place à la pleurnicherie.


1789 a existé, 1870 a existé, 1968 a existé 


Je ne sus pas devin, mais.


Il y a dans votre réponse une phrase tellement mal fagotée qu'elle en est incompréhensible. 


De tout coeur avec vous. Vous avez oublié "mon brave!"

" Je ne sus pas devin " ! Mais alors, tu le picoles ?

Il t'a traité de "Brave", son côté BRAVE à lui, ce ne serait pas:

Brigade

Répression

Autorisée

Versus

Enculeur de mouches   ???

Je ne sais pas si vous avez remarqué mais le droit est suffisamment malléable pour permettre toutes les forfaitures légales mais illégitimes que nous subissons sous ce régime macronoste, la gestion de cette commission en étant encore un exemple flagrant.

Les tribunaux sont eux même devenus des cours magistraux de sophistique, il n'y a, à mon sens, rien à attendre du droit ou, à tout le moins, de ceux qui le pratiquent.

mon brave ....  plus condescendant  y ' a pas...

Ah oui arrivé là, je plaide coupable... quand on vient me casser les pieds en me faisant des reproches absurdes parce qu'on m'a mal compris et qu'on persiste malgré mes explications, oui je me montre condescendant.

Le truc du Droit quand il s'agit pour le citoyen de savoir ce qui se dit dans les assemblées où on décide de son sort n'est pas pertinent.

Sortir l'argument de Droit ou pas, rien que pour entendre ou rendre compte des débats relatif à la vie de la Cité est de l'autoritarisme.

Donc inutile et dangereux de chercher le Droit en la circonstance.

Les débats de ces assemblées sont publiques par nature: représentant du peuple, toussa...etc...

Je dis ça...

Non, les débats ne sont pas "publics par nature", ils le sont dans le cadre du droit. Il peut par exemple y avoir une décision de huis-clos notamment pour les commissions mais ce genre de décision ne peut se faire... qu'en respectant le droit.

Nous ne vivons pas dans un état de nature mais, théoriquement au moins, dans un état de droit. Si vous voulez vous attaquer à tout ou partie de ce droit, je me permets juste de suggérer la chose suivante : commencez par connaitre l'état du droit et partez de là pour construire votre critique, elle n'en sera que plus percutante.

Il ne suffit malheureusement de répéter "les choses ne se passent pas comme je le désire et ce n'est pas juste" pour dénoncer une injustice, un abus (y compris de droit) ou un autoritarisme et parvenir éventuellement à corriger les choses. Avant de corriger les choses, assurez-vous de savoir ce qu'il y a à corriger exactement. C'est à mon avis un bon point de départ

Et même si votre objectif c'est à terme une révolution complète, il vaut mieux savoir d'où on part et où (jusqu'où ?) on veut aller.

De toutes façons, à la fin de votre révolution, il y aura du droit, de l'arbitraire ou plus probablement un mélange des deux. Pour ma part, je préfèrerais limiter au maximum l'aspect arbitraire parce que je n'aime pas vraiment plus être du bon côté du bâton de l'arbitraire que du bon.

Ben, non, non et non.

Peut importe ce qu'est le Droit en réalité. La vie n'est pas dirigée par le Droit mais par la nécessité. Alors le Droit peut dire ce qu'il veut. Il ne fait que régler l'organisation des nécessités de l'ensemble. Et la nécessité se contrefout du Droit.

Le Droit interdit de dépasser une certaine vitesse sur certains tronçons de route, ce qui ne m’empêchera pas de violer cette limitation si je conduis d'urgence ma femme à l’hôpital.*

Donc pour moi peu importe ce que dit le Droit quand il s'agit de prendre des décisions sur ma vie en mon absence. Je veux être là et je veux voir.


* j'ai pris un exemple parlant pour l'endroit où je suppose que vous vivez. Là où je vis il y a d'autres exemples bien plus essentiels...

Effectivement vous pouvez toujours vous foutre du droit... ce qui ne vous empêchera pas de subir les conséquences de ce mépris le cas échéant.

Je n'aimerais pas vivre dans une "société" (en fait justement ça ne serait pas une société) dans laquelle vos idées seraient la règle. N'importe qui pourrait décider de se foutre du droit des autres à vivre ou au moins à ne pas être blessés au premier prétexte jugé un peu sérieux (légitimement ou non).

Ah oui car il est facile de se foutre du droit quand ça vous arrange. Mais le jour où vous seriez du mauvais côté du bâton parce que quelqu'un se contrefoutrait du droit à vos dépens alors là je gage qu'on vous entendrait chanter une toute autre chanson.

Terrible erreur que de conditionner les relations humaines au Droit.

Ça illustre bien le charme de la vie dans l'Hexagone :-)

Je dirais qu'il suffit d'avoir un demi-cerveau pour corriger cette faute d'inattention de ma part... mais bon visiblement tout le monde n'est pas correctement équipé de ce côté-là ou alors peut-être que tout le monde n'est pas de bonne foi...

Donc je corrige : Pour ma part, je préfèrerais limiter au maximum l'aspect arbitraire parce que je n'aime pas vraiment plus être du bon côté du bâton de l'arbitraire que du MAUVAIS.

je n'aime pas vraiment plus être du bon côté du bâton de l'arbitraire que du bon.


On dirait une phrase écrite par de l'intelligence artificielle.

Je vais l'encadrer pour la ressortir lors de repas houleux.


Dites, m'sieur vous pouvez traduire en un Français correct? Car être du bon côté de l'arbitraire que du bon me fait faire un tel grand écart que le torticolis est imminent au niveau des auriculaires. 


Je vous souhaite, néanmoins, une bonne soirée avec l'ostéopathe de votre choix.

Petite anecdote historique dans les années 1850 en Amérique du nord. Le Gouvernement des USA convoque un certain nombre de Chefs amérindiens pour un Traité. Ils s'attendent à devoir convaincre quelques bonhommes de "toucher la plume" pour faire accepter leur traité et torcher ça en une journée.

Déjà voila que la tribu entière avec tous les chefs de clan concerné se pointent au rendez vous.

Gros bordel, parce que rien n'est prévu pour l'installation et la subsistance de milliers de personnes. Tout ça fini par s'installer et s'organiser pour un moment.

Les Agents du Gouvernement demande pourquoi tout le monde est venu et pas seulement les Chefs.

Réponse: Ce que nous allons signer les concerne, ils doivent savoir de quoi il retourne, ils viennent pour entendre ce que vous avez à dire.

Et donc ballet d'aller-retour des Chefs entre les Clans et la Conférence. Ça a duré un mois.


Des clans se sont barrés en disant votre truc est une arnaque, d'autres ont accepté de signer. Mais tous ont entendu, compris et fait leur choix; et tous ont "touché la plume", physiquement. Je ne te dis pas le défilé.

Ceux qui n'ont pas signé/touché ne se sont senti engagé en rien dans l'affaire.

Comme de bien connu et à leur habitude, ce sont les "américains" qui ont brisé le Traité. Avec les suites qu'on sait.

Aucune "Commission" de Représentant du Peuple ne doit être secrète. Sinon le truc là, que tu as décidé pour moi, tu peux te le foutre au cul.

Sauf ton respect Marcel.  :-)

Je reste un vieux con. MDR :-)

Et l'autre qui ne comprend pas qu'on est en plein dans le totalitaire...

Et aller dans une salle plus grande aurait évité de se poser ces questions.

Oui... "y'a qu'à..."

Une telle salle était-elle disponible ? Déplacer toute une commission comme ça, à la volée, était-ce possible ?

Dans le monde réel, il y a des contraintes qu'on ne peut tout simplement pas annuler d'une simple phrase.

On peut penser que certains éléments de cette " grosse commission " étaient un peu puants.

Il suffisait de tirer la chasse.

Si seulement il était possible de se débarrasser ainsi de certains malfaisants... non je n'ai pas dit macronistes, je l'ai pas dit... ah si...

Faites gaffe, vous allez être privé de subvention ....

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Les avocats des macronistes ont décidément réponse à tout. Vous pensez sérieusement que c'est une question de droit ou de logistique ?

Oups. Ce n'est pas à vous que je répondais. Erreur due à mes gros doigts sur le petit clavier du smartphone.

Le statut des journalistes à l'AN est très codifié. Il y a même une buvette des journalistes à laquelle les députés n'ont pas accès.


Il y a une fiche de synthèse sur le sujet sur le site de l'AN.

Voilà... merci.

Dans cette fiche de synthèse, partie III, il y a "Dans l’esprit de l’obligation constitutionnelle de publicité des débats parlementaires, la presse est chez elle à l’Assemblée nationale"...

Le chapô du droit c'est la constitution.

je précise : "publicité" au sens de "obligation de rendre publique, de s'exercer publiquement"...

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Devenir
Asinaute

5 € / mois
ou 50 € / an

Je m'abonne
Asinaute
Généreux

10 € / mois
ou 100 € / an

Je m'abonne
Asinaute
en galère

2 € / mois
ou 22 € / an

Je m'abonne
Abonnement
« cadeau »


50 € / an

J'offre ASI

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.