47
Commentaires

Procès Depp / Heard : "Les réseaux sociaux ont été déterminants"

Commentaires préférés des abonnés

Au risque de me faire traiter de mascu, je suis très déçu de cette émission. À mon sens, ca ne volait pas beaucoup plus haut que les commentaires de Loclear. Tout le plateau est unanime pour voir Heard en victime et Depp en coupable. À aucun moment &(...)

En général, ce genre de publication attire irrésistiblement toutes les prostates virilistes du coin. Mais j'imagine que Pauline Bock s'y attend et va observer en miniature sous son émission ce qu'elle analyse dans son émission au niveau planétaire.

I(...)

Approuvé 13 fois

Bien d'accord avec vous, j'ai suivi de près ce procès et effectivement, les accusations à l'encontre de JD ne semblent avoir aucun fondement, un jour elle se photographie avec des bleus, le soir elle est pimpante sur un plateau télé, ou prise en phot(...)

Derniers commentaires

Au passage cette émission a montrée pourquoi des juristes non formés ou mal formé en sciences sociales sont ce qu'il y a de pire pour les sujets de société 


L'avocate est dans le déni de sociologie toute l'émission c'est effrayant alors que la sociologie ou l'ethnologie pourrait lui apporter une compréhension qu'elle semble ne pas avoir sur les phénomènes de masse ou d'adhésion à un discours ici masculiniste etc...


Les boomers sont vraiment incapables de comprendre comment internet à reconstruit le monde et les interactions humaines tout comme la TV ou la radio et la presse avant lui au passage à chaque fois il y a eu une poussé du fascisme lors de l'apparition de ces nouveaux médiums.

Comme prévu les infiltré de l'ED ou de la droite sont de sortie sur cette émission dans les commentaires passons.


Émission intéressante mais j'ai quand même l'impression que l'avocate n'est pas du tout au courant de la portée des réseaux sociaux dans le monde actuel et qu'elle pense à tord que les campagnes de haines sur internet n'ont que peu d'incidence sur le réel sauf que c'est faux et que a force de jouer sur ce registre de l'ignorance de la puissance médiatique elle se coupe des évènements à venir.


Le conservatisme social le néo fascisme aujourd'hui sont à la pointe dans l'investissement de ces espaces médiatiques que sont les plateformes et ont réussi à faire basculer des sociétés entière dans une civilisation de la haine banalisée ne pas le comprendre et penser que le prétoire est le seul endroit qui importe c'est à terme se voir complètement anéantir par la réaction. 


Au passage les commentaires sous cette vidéo disent la force de frappe des mascus et autres réactionnaires des internet, les types ont les moyens et le temps de venir pourrir les commentaires sous une vidéo d'un site de gauche payant. 

Certains propos de Mme Tomasini peuvent choquer : sur le procès qui ne sert pas à établir LA vérité mais une vérité, (celle du procès), sur le fait que le procès se joue sur les réseaux sociaux et les médias autant que dans le tribunal et que, si Amber Heard a perdu, c'est qu'elle était mal préparée et que ses avocats ont été mauvais.


On peut ajouter qu'elle plaide pour les avocats (donc pour elles) en montrant que les avocats jouent un grand rôle dans le verdict (s'ils sont bons comme ceux de Johnny Depp, le verdict sera favorable, s'ils sont mauvais comme ceux d'Amber Heard...)


Mais, malgré tout, je pense qu'elle a raison.

Un procès (c'est la même chose en France) ne permet pas toujours d'établir la vérité. Ici, qui pourrait dire avec certitude ce qui s'est passé dans l'intimité du couple ? Un procès permet d'établir un verdict. Et, si on veut "gagner" son procès, tous les moyens (légaux) pour y parvenir sont bons, même s'ils peuvent paraître immoraux.

 

emission nulle ennuyeuse, contre productive. aucune démonstration, des kilomètres de "à mon avis"  des bafouillages  et une pusillanimité étriquée. 

Revenons à nos moutons, c'est-à-dire la transmission de l'information! 

Il est évident que la mise à distance et une tentative d'objectivité sont aussi délicates dans les médias, la justice, les réseaux, et quand la justice devient fictionnelle par la retransmission à la télé, c'est encore plus illusoire. "Si la photo est bonne" chantait Barbara...

Rien de bien nouveau si ce n'est l'excitation stimulée de l'opinion publique, que semble encourager l'avocate. Je n'ai pas d'avis sur les plaignants, mais je suis accablée par ces spectacles qui m'évoquent les mises à mort en Place de Grève, où ailleurs.

Bonjour !
Malgré mon à priori sur ce sujet (que je trouvais peu intéressant au premier abord), j'ai trouvé cette émission très instructive et extrêmement bien menée ! Mille merci d'avoir abordé ce sujet :)

Je n'ai pas encore vu l'émission mais à la lecture du résumé qui en est fait il  a une omission énorme, voire une tromperie : Amber Heard ne se serait pas méfiée des réseaux sociaux! 

Compte tenu qu'elle était une "petite amie" du milliardaire Elon Musk  pendant la période sur laquelle porte le procès (Johnny Depp a pu faire valoir qu'elle le trompait avec l'ingénieur richissime alors qu'ils étaient encore mariés) - peut-être l'est-t-elle encore mais c'est son affaire, plutôt bonne! -   et vues les sommes en jeu durant le procès  c'est très difficile à croire: Musk est un actionnaire important de Facebook et encore plus important de Tweeter et l'utilisation des réseaux sociaux n'a aucun secret pour lui! Alors il n'aurait pas donner un coup de main à sa maitresse?


 Ah oui, c'est tiktok... encore les Chinois! Il leur faudrait une bonne guerre à ceux-là! C'est ça qui me fait penser à une tromperie concernant le compte rendu d'émission. 

Combien t'abonnés? 

-chez tik Tok (proche de 1 milliard d'utilisateurs, attirés par les achats en ligne, les contenus musicaux et vidéo), 

-chez facebook  (2,912 milliards d'actifs mensuels )

-chez tweeter (un peu plus de 300 millions d’utilisateurs)


Je crains que @si ne se couvre de ridicule avec cette émission et perde un peu plus de sa crédibilité (ce qui va en s’accélérant depuis que DS a laissé les commandes) en rejetant les décisions de justice non conforme à ce que . l'idéologique de Mediapart ou de Liberation attendait; ce rapprochement idéologique est à craindre, et il fera  le plus grand bonheur de la macronie et de ses complices (on ne dira jamais assez la part de ces 2 medias dans l'échec de la gauche aux dernières élections).


J'espère que vous aurez la décence de ne pas toucher à "Hors-série"

J'ai apprécié cette émission, avec Pauline en présentatrice un peu intimidée. Encore une excellente recrue d'@SI.

L'émission ne désigne pas le ou la coupable de diffamation, elle exprime les enjeux médiatiques, politiques, personnels qui s'affrontent dans ces procès, et ils sont bien présentés par les intervenantes. 

Et je ne pense pas non plus que c'est le reflux de MeToo, c'est une autre phase de la bataille des femmes pour leur émancipation.

La preuve, les trolls accourent.


Au risque de me faire traiter de mascu, je suis très déçu de cette émission. À mon sens, ca ne volait pas beaucoup plus haut que les commentaires de Loclear. Tout le plateau est unanime pour voir Heard en victime et Depp en coupable. À aucun moment  il n'est envisagé qu'Heard puisse être coupable ou que les torts puissent être partagés. Elle l'a pourtant elle-même avoué sur un enregistrement en ironisant sur l'impossibilité de Depp d'aller clamer sur la place publique qu'il était battu par sa femme (je pense d'ailleurs que son impréparation au procès était du au fait qu'elle se pensait assurée de gagner).
Depp se victimise, c'est la preuve qu'il est coupable, il refuse le procès sur les violences, c'est aussi la preuve qu'il est coupable. Il faudrait quoi pour qu'il soit victime?


Je ne considère pas avoir les éléments suffisant pour trancher sur la culpabilité de l'un ou de l'autre dans ce cas particulier (même si je reconnais pencher en faveur de Depp), mais je pense très sincèrement qu’arrêter de partir du postulat que l'homme est nécessairement coupable et la femme nécessairement victime en cas de violence conjugales assainiraient grandement le débat. Et avant qu'on me dise que les hommes violentés sont marginaux, je vais vous partager ma petite experience personnelle. J'ai vécu avec une femme abusive (violence psychologique et viol). Cette relation m'a fait tomber en depression et 20 ans après m'en être sorti, j'en paye toujours les conséquences psychologique... Le fait que les femmes ne peuvent être coupable est tellement ancré que j'ai encore aujourd'hui du mal à en parler "à visage découvert"; et que les rares fois où j'ai vaguement effleuré le sujet on m'a, au mieux, moqué ou, au pire, traité "d'indécent" à "porter le discrédit" sur la parole des femmes. Mais plus important encore, il m'a fallu plus de 10 ans (et une nouvelle relation, saine cette fois), pour réaliser que j'étais victime, et encore 5 ans de plus pour réaliser que les relation sexuelles forcées que j'avais subies se qualifiaient de viol (et que non, je n'étais pas le problème parce que les hommes n'ont pas "toujours envie"). Je n'ai évidement pas porté plainte car je n'en ai ni l'envie ni la force... Combien d'hommes sont dans mon cas, tirant les chiffres vers le bas?


Bref, un plateau un peu plus balancé aurait pu rendre cette émission bien plus intéressante (car oui, je trouve que les réseaux sociaux avaient bien trop vite pris fait et cause pour Depp et contre Heard), par exemple en invitant l'avocat d'un homme victime (ca doit bien exister)

Entre les fans décrétant leur idole totalement innocente car elle a été accusée de pire que ce qu'elle avait reconnu avoir fait, et un nombre inquiétant de journalistes-militants prêts à promouvoir les pires storytellings pour "la cause", même après qu'ils aient été démontré mensongers, ceux qui ont le plus commenté ce procès semblent au moins s'entendre sur un point : la vérité n'a pas d'importance (voire deux, la.

Les propos de Me Tomasini ("un procès se joue autant dans les médias et sur les réseaux sociaux que dans un tribunal, en tant qu'avocat on coache nos clients, on leur apprend à jouer un rôle") sont vraiment problématiques. Outre qu'elle pose un problème éthique évident, cette conception de la justice est aussi critiquable d'un point de vue stratégique : en 2015, Jacqueline Sauvage (défendue par Me Tomasini et une autre avocate) a été condamnée en appel à dix ans de réclusion par un jury populaire composé de 5 femmes et 4 hommes. 

Suite à la grâce partielle accordée par Hollande, le tribunal d'application des peines avait par deux fois refusé sa libération conditionnelle, estimant que son identification au personnage que ses soutiens avaient créé l'empêchait de faire un travail sur elle-même et de reconnaître sa part de responsabilité dans le meurtre qu'elle avait commis.

Merci pour l'émission (bonne idée de thème).


J'ai un regret, N. Tomasini est intervenue à plusieurs reprises pendant que G. Sapio parlait, alors que son discours me semblai très pertinent. (très intéressant par exemple le cas qu'elle donne d'une femme victime qui pensait à fermer les fenêtres plutôt qu'à se protéger en premier)


La question de la "bonne victime" est décidément un point important et même si la vision de N. Tomasini se tient probablement sur la manière de procéder dans un procès, il est assez effrayant de voir à quel point la question n'est pas est-ce que la personne est victime ou non, mais est-ce qu'elle est une "bonne" victime ou non (et tout ce que recouvre cette dénomination, ce que l'on attend d'une victime, comment elle doit être, etc.).


Je n'ai pas suivi l'affaire, comme beaucoup, je trouve incroyable que ce type de procès soit public (même si c'est un cas de diffamation et non de violences conjugales ici), mais j'ai été impressionnée de voir à quel point la vision des violences conjugales données dans ce procès américain pouvait impacter des jeunes en France. Je me suis retrouvée à parler avec une de mes filles de manière très sérieuse de violences conjugales, du statut de victime en raison de ce procès, elle ne défendait pas particulièrement J. Depp, mais elle n'avait que l''écho le défendant....

Conseil lecture pour compléter le sujet: Défaire le discours sexiste dans les médias, Rose Lamy, éditions Lattès


C'est dommage pour ceux qui veulent à tout prix trouver un(e) innocent(e) et un(e) coupable dans ce procès d'oublier le violentomètre. 


Avec cet outil de mesure on remarque tout simplement que la violence conjugale concerne les deux parties.


Je n'attend pas des fans un point de vue objectif sur leur idole qui doit forcément être sans tache.


Techniquement l'émission passe pas, surtout la correspondante de Médiaparte aux  USA et donc après 22 minutes d'effort, je joue a saute mouton... pas mieux.

 Bon je dois avouer que le sujet ne m'a pas vraiment intéressé. Depp et son ex c est pas bon pour VOICI  cette histoire ? A moins que derrière cette dramaturgie outrancière  une intention sibylline m'aurait échappée ? là je me sens déconstruit et fatigué de ne rien comprendre.

En général, ce genre de publication attire irrésistiblement toutes les prostates virilistes du coin. Mais j'imagine que Pauline Bock s'y attend et va observer en miniature sous son émission ce qu'elle analyse dans son émission au niveau planétaire.

Il me semble que Chris Rock résumait plutôt bien le fond de l'air : "Croyez toutes les femmes, croyez toutes les femmes… sauf Amber Heard."

Je fais le pari de l'intelligence en me disant que l'humoriste fait ici du second degré. On peut remplacer le nom d'Amber Heard par n’importe quelle victime dans ce genre d'affaire. Il suffit de se replonger dans les commentaires en France, pour Strauss-Kahn, pour Baupin, Hulot, PPDA… Cette femme est une menteuse, elle est folle, elle cherche l'argent, les féministes qui la défendent font du tort au Féminisme (les virilistes sont de fervent défenseur du Féminisme… en mode Mansplaining)… Toujours le même discours. C'est du copier-coller.

Donc amusez-vous bien Messieurs les virilistes. Je n'ai pas pris la peine de vous lire. Car vous ne faites que répéter un discours ambiant nauséabond trop prévisible (Cela me fait penser à Oscar Wild : Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique; on se laisse tellement influencer).


Pour finir, vous ne pouvez plus ignorer que si les féministes n'ont jamais tué personnes, les virilistes eux passent à l'action. Les discours de haine que vous appuyez, même modestement, ont des conséquences.



... "dans le Washington Post qu'elle était devenue une "figure de la lutte contre les violences conjugales", un article qu'il accuse d'avoir ruiné sa carrière"


Si je ne dis pas de bêtises, j'ai vu passer la polémique sur 9gag (oui, je sais, c'est pas le parangon de l'objectivité!) avant l'ouverture du procès et je me rappelle que la colère des fans de JD s'est révélée lorsque un grand studio (Disney, mais je n'en suis pas sûr) a annulé du jour au lendemain un contrat avec JD dès les premières rumeurs de pugilat entre les 2 stars. D'où le procès.

C'est vrai qu'a priori je dirais qu'elle bobarde , j'ai regardé des comportementalistes , des images du procès , et je l'ai trouvé très mauvaise actrice .Mais c'est vrai aussi , qu'on peut se sentir coupable simplement d'être né et du coup toutes les accusations qu'on vous porte   peuvent vous faire paraitre coupable même a vos yeux et même si on ne l'est pas . Des preuves , des preuves matérielles , y'a que ça de vrai !Et une photo prise après coup(sans jeux de mots )ce n'est pas une preuve , un témoignage ce n'est pas une preuve .Mais les prisons serait bien vide .....D'ailleurs en parlant de prison , brrr ...https://lenvolee.net

Le vrai sujet c'est quoi? Parce que j'ai vu le procès, et toutes les preuves même les siennes vont contre elle. Elle a pas perdu à cause des réseau socio.

J'ai beaucoup de mal avec cette histoire, mais j'ai l'impression que dans ces procès, il devient tout simplement inenvisageable que l'homme puisse avoir raison et la femme tort, que l'homme puisse être la victime et la femme la coupable. C'est quand même bizarre.


Par exemple, presque aucun article n'évoque le fait, pourtant longuement rappelé durant ce procès, que Heard a sectionné un doigt de Depp en lui lançant une bouteille dans un accès de rage.

C'est marrant, moi ça me fait exactement l'effet inverse.

Bien d'accord avec vous, j'ai suivi de près ce procès et effectivement, les accusations à l'encontre de JD ne semblent avoir aucun fondement, un jour elle se photographie avec des bleus, le soir elle est pimpante sur un plateau télé, ou prise en photo avec des amies. Sans parler des ses antécédents de violences à elles (conjugales avec une ex mais aussi envers sa sœur) et ses lapsus nombreux, comme celui lors de son premier procès en Angleterre lors de son témoignage filmé où on la voit clairement essayer ravaler ses mots. J'y ajouterai les conversations téléphoniques entre eux qui sont sorties après le procès et son entêtement à nier toute responsabilité comme sur son témoignage sur les dons qu'elle n'a pas effectué contrairement à ce qu'elle prétend.   

Pour ce qui est du viol, une de ses anciennes assistantes a dit que le viol décrit par AH était en tout point similaire au sien, qu'elle lui aurait raconté lorsqu'elles travaillaient ensemble.

A la lumière de tous les éléments présentés contre elle, il paraît évident qu'elle a voulu surfer sur la vague "me too" et je trouve ça bien dommage qu'on puisse évoquer le verdict comme étant problématique pour la cause, alors qu'il est plus probable que ça soit AH elle-même qui ait nuit à la cause.

Je précise que je ne suis pas sur twitter et que j'ai suivi le procès sur Youtube, et pas par le biais d'un "commentateur", je n'ai pas eu besoin d'être influencé pour me forger une conviction.

Le procés en diffamation comme défense n'est pas nouveau, cf. PPDA. En revanche reconnaître l'impossibilité qu'AH puisse être une femme manipulatrice ayant voulu se venger d'un ex avec qui elle a vécu une relation toxique, c'est clairement nuisible à la cause. Les violences conjugales c'est pas qu'envers les femmes ou de la part d'un homme, prétendre le contraire c'est justement donner des billes aux masculinistes et autres incel...

C'est une impression. C'est plus qu'envisagé, la justice condamne peu. S'il arrive que des violences soient commises par des femmes, elles le sont surtout dans un contexte où ces femmes subissent les violences de leur conjoint. Ce qui semble être le cas dans le procès Depp/Heard. Cela n'excuse pas, cela éclaire le contexte. C'est très bien dit dans l'émission: Amber Heard n'est pas la victime parfaite. Elle n'en est pas moins victime, elle a manifestement pris des coups.


Dans les faits, les hommes sont rarement condamnés, les plaintes pour violence ne dépassant pas l'étape du parquet dans 80% des cas (rapport sur les homicides conjugaux http://www.justice.gouv.fr/publication/Rapport%20HC%20Publication%2017%20novembre%202019.pdf) 

Non pas parce que les femmes mentent, mais parce que les preuves manquent, parce que les faits sont insuffisamment caractérisés, parce que les femmes retirent leur plainte,...


Les chiffres sont parlants: les actes violents sont majoritairement commis par des hommes sur des femmes ou par des hommes sur des hommes mais clairement, dans notre société, ce sont bien des hommes qui commettent le plus d'actes violents.



En 2017, 12 380 cas de menaces de mort commis par le partenaire ont été enregistrés par les forces de sécurité. Dans 90% des cas, la victime était une femme. Source : Ministère de l’Intérieur - SSMSI - Base des crimes et délits enregistrés par la police et la gendarmerie - extraction janvier 2018, données provisoires, in La lettre de l’Observatoire national des violences faites aux femmes, n°13, Novembre 2018


  • En 2017, 16 829 hommes et 730 femmes ont été condamné.e.s pour violences entre partenaires. Parmi ces condamnations, on compte notamment : 51 pour viol, uniquement des hommes condamnés ; 1469 pour violences ayant entrainé plus de 8 jours d’incapacité totale de travail, dont 1416 hommes condamnés et 52 femmes condamnées ; 1438 pour menaces/harcèlement, dont 1413 hommes condamnés et 25 femmes condamnées ; 205 pour agressions sexuelles hors viol, dont 204 hommes condamnés et 1 femme condamnée ; 42 pour non-respect d’une ordonnance de protection, uniquement des hommes condamnés. Source : Ministère de la Justice, SG/SEM/SDSE/RGC, exploitation DACS/PEJC, in La lettre de l’Observatoire national des violences faites aux femmes, n°13, Novembre 2018

 

 Là il s'agit d'un procès en diffamation, ils ont tous les deux été condamnés. Elle beaucoup plus que lui, certes. Mais pas pas parce qu'elle aurait menti.

Il est clair que les violences conjugales et même les viols sont des crimes en très large majorité masculins et qu'il y a un réél problème de traitement judiciaire (police ou justice), ainsi que des biais liés à la victime parfaite ou des stéréotypes sur la violence, rien à dire là dessus.

En revanche, elle a menti, c'est avéré. Elle a utilisé des photos identiques pour illustrer différentes agressions et n'a pas pu expliquer ces incohérences, sur les dons elle maintient ne pas avoir menti avec un aplomb déconcertant alors que les faits qui lui étaient présentés étaient incontestables. 

Son excuse de ne pas pouvoir payer les associations à cause du procès que lui fait JD est là aussi un mensonge, elle a été attaquée pour diffamation 13 mois après avoir reçu l'argent du premier procès.

C'est son incapacité a reconnaître un quelconque tord qui lui a été le plus nuisible. D'ailleurs ces traits lui ont été attribués par une experte psy avant même son témoignage, car même si l'accusation d'être une manipulatrice est quelques chose de très classique dans la défense du conjoint, elle peut aussi parfois être vraie.  

Difficile après ça pour un jury de croire sans doute raisonnable qu'elle n'est pas aussi menti ou éxagéré sur les violences.

Ma conviction personnelle est que tous deux ont été dans une spirale de violence dans cette relation, en revanche, seul l'un des deux se prétend victime de l'autre.



Elle s'est tout simplement défendue mais ça une bonne victime n'a pas le droit...

C'est sans doute pour ça qu'elle a nié l'avoir fait.

Bonjour,
Il y a un problème avec la vidéo en téléchargement direct, c'est juste un extrait de 5 min :'(
J'ai hâte de regarder la version complète !!

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Offre spéciale
3 mois pour 3 € puis 5 € par mois

ou 50 € par an (avec 3 mois offerts la première année)

Sans engagement
Devenir
Asinaute

5 € / mois
ou 50 € / an

Je m'abonne
Asinaute
Généreux

10 € / mois
ou 100 € / an

Je m'abonne
Asinaute
en galère

2 € / mois
ou 22 € / an

Je m'abonne
Abonnement
« cadeau »


50 € / an

J'offre ASI

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.