21
Commentaires

Panique #MeToo à Télérama, épisode 1

Licencié en 2019 pour faute, notamment pour harcèlement sexuel, Emmanuel Tellier, ex-rédacteur en chef de Télérama, a vu ce licenciement annulé par le conseil de prud'hommes de Paris le 22 avril 2021. Lui aussi licencié (dans son cas, pour faute lourde), un autre pilier du journal, Aurélien Ferenczi, attend pour sa part le jugement des prud'hommes. Mais que s’est-il vraiment passé, et que nous dit cette affaire de l’hebdomadaire culturel, et de l’atmosphère dans les médias à l’heure de #MeToo ? Nous avons enquêté dans une rédaction traumatisée. Voici l'épisode 1.

Commentaires préférés des abonnés

Pardonnez-moi, mais je crois que vous loupez l'intérêt principal de cette série, à savoir que des faits apparemment assez simples à analyser deviennent très vite beaucoup plus complexes quand on les creuse. Flaubert a très bien dit ça : Pour qu'une c(...)

C'est quand même gênant, cette situation : la "voisine" voit sa vie sexuelle rendue publique alors qu'elle ne le souhaitait pas, dans une démarche qui est celle de féministes dévoyées qui veulent absolument abattre un homme.

Elle doit insister pour di(...)

" Une énarque à Télérama, saluée par la presse professionnelle "


Même pas capable de se trouver un journaliste pour diriger Télérama ? C'est quoi cette profession ?


La France est-elle capable de faire quelque chose sans énarque ou diplômé de Sc Po ou H(...)

Derniers commentaires

C'est vraiment glauque. Autant l'action de dévoiler les harcèlements sexuels est nécessaire, autant la chasse aux sorcières hâtive décrédibilise le mouvement mee too. Ca peut même faire régresser la cause des femmes, comme l'affaire Outreau a nui à la cause des enfants violentés pendant les années qui ont suivi. 


Je propose qu'on castre Tellier, qu'on couse le con de la voisine (appelons-la Irène...), et la bouche des dirigeants de Télédrama...Ah, oui, et qu'on interdise les ébats sexuels bruyants après 22H: perso ça m'empêche de me concentrer sur Valeurs Actuelles quand je me masturbe!

Franchement, en lisant cet article, je ne savais si c'était du lard ou du cochon! Mais que faisait la voisine dans cette soirée? Un court instant, j'eus l'impression d'être Miss Marple. 

Ensuite, je n'ai pas su s'il fallait que je sois consternée (Metoo! Oblige!) ou si je pouvais en rire! Le rire l'a emporté. Pardon d'avoir ri mais j'ai ri. Certes de plus en plus jaune au fil de la lecture de l'article......

on se croirait dans une intrigue de cour...


"La vie au château n'est pas seulement rythmée par le rituel imposé par Louis XIV, mais aussi par les luttes intestines qui émaillent le quotidien de Versailles. De 3 000 à 5 000 personnes y oeuvrent au service de Sa Majesté. Une faune hétérogène unie par la même ambition : lui plaire à tout prix. Les favorites se disputent ses faveurs pour s'assurer une place au soleil, les courtisans jouent des coudes pour entrer dans les petits papiers de Louis. Et, au milieu de cette mêlée distinguée, les domestiques, témoins muets mais aux aguets, rapportent au monarque le moindre bruit de couloir..."


source : https://www.historia.fr/les-intrigues-de-cour

(le reste de l'article est payant)

les histoires de fesses des bourgeois... quelle indécence!

Non, pas des bourgeois mais des Bobos! C'est Pot-Bouille du XXIèe siècle!

Vaudeville des plus savoureux au premier abord mais qui contient aussi sa dose de ridicule et un peu de glauque voir d'inquiétant...

Pour ma part, chers commentateurs, j'attendrais la suite avant de tirer conclusion sur les dommages collatéraux, etc. Si le récit se fait en plus d'un chapitre, ça doit pas être pour rien: à situation complexe et demie, deux situations complexes.

Moralité : le meilleur voisin, c'est celui qu'on ne connaît pas 😼

Féministes hystériques souvent bourgeoises au service du capital qui desservent le combat des femmes.

c'est chaud , toutes les bonnes intentions du monde , ne pourrons empêcher une instrumentalisation .

C'est quand même gênant, cette situation : la "voisine" voit sa vie sexuelle rendue publique alors qu'elle ne le souhaitait pas, dans une démarche qui est celle de féministes dévoyées qui veulent absolument abattre un homme.

Elle doit insister pour disculper l'homme en question.


Je persiste à dire que #MeToo était nécessaire et bienvenu, mais il ne faut pas que ça dégénère en luttes de pouvoir..

Là, même si l'analyse est forcément parcellaire du fait qu'il manque une version, il est probable qu'on est en plein dedans.

Pourquoi Télérama fait appel.

Article 1 : la cheffe a raison .

Article 2 : la cheffe a toujours raison ( surtout si elle (il) sort de science po ou de l'ENA )

Article 3 : si la cheffe a tort on applique l'article 2.


On peut trouver qu'il s'agit d'un incident ridicule, mais il va sans doute y avoir des réactions de gens comme Pascal Praud pour dire « voyez ce qu'est la gauche », comme si Caroline De Hass ou Catherine Sueur étaient de gauche.


Et c'est comme ça que l'on perd le combat culturel.

C’est très 19eme siècle tout ça, petit milieu parisien, et pas très intéressant. Vous allez passez l’été là dessus ? 

C'est rare une journaliste qui refuse de prendre la parole.


ça ne sent pas très bon : la sueur , peut-être ...

La chatte de la voisine


(Qui mange la bonne cuisine )......

" Une énarque à Télérama, saluée par la presse professionnelle "


Même pas capable de se trouver un journaliste pour diriger Télérama ? C'est quoi cette profession ?


La France est-elle capable de faire quelque chose sans énarque ou diplômé de Sc Po ou Hec ?

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Devenir
Asinaute

5 € / mois
ou 50 € / an

Je m'abonne
Asinaute
Généreux

10 € / mois
ou 100 € / an

Je m'abonne
Asinaute
en galère

2 € / mois
ou 22 € / an

Je m'abonne
Abonnement
« cadeau »


50 € / an

J'offre ASI

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.