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#MeTooGay : le cas Christophe Combarieu

Plusieurs hommes accusent le journaliste Christophe Combarieu d'agressions sexuelles. Ils témoignent auprès d'ASI de faits qui s'étalent de 2009 à 2019, alors que le journaliste travaillait pour Sud Radio, LCI ou encore BFM Paris. Ni Christophe Combarieu, ni ses avocats n'ont souhaité répondre à nos questions.

Commentaires préférés des abonnés

Chapeau pour ce travail journalistique. J'espère que cela pourra aider les personnes qui expliquent avoir été victimes à sortir du sentiment de culpabilité et à se reconstruire.


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C'est un symptôme de plus de notre décadence.


Donc d'après vous, ces comportements de harcèlements sexuels n'existaient pas ou pas à la même échelle avant?

C'est une idée originale. Vous avez des sources pour étayer cette thèse? 

(...)

Bien sûr, les comportements dénoncés dans ce papier sont tout à fait répugnants. Ils sont le reflet dans le milieu gay de ce que me-too a révélé pour de nombreuses femmes.


On peut y voir deux origines. En premier lieu, les excès d'une permissivité déb(...)

Derniers commentaires

Du très très bon travail. Long, détaillé, complet.


Bravo Monsieur Aveline. Voila pourquoi je compte me réabonner. 



Super article, merci pour votre travail!

J'espère qu'il y aura des suites pour ces affaires (juridiques et de futurs articles).


Et courage aux victimes

Chapeau pour ce travail journalistique. J'espère que cela pourra aider les personnes qui expliquent avoir été victimes à sortir du sentiment de culpabilité et à se reconstruire.


Bien sûr, les comportements dénoncés dans ce papier sont tout à fait répugnants. Ils sont le reflet dans le milieu gay de ce que me-too a révélé pour de nombreuses femmes.


On peut y voir deux origines. En premier lieu, les excès d'une permissivité débridée qui devra bien trouver ses limites. Mais, en l'occurrence, cette liberté virant à la licence s'autorise de la précarité dramatique dans laquelle sont contraints d'évoluer les jeunes gens cherchant à percer dans ces milieux de la communication et des médias.


On a l'impression que plus rien ne régule les relations sociales dans ces rédactions et ces stations. Que font les syndicats et les représentants du personnel ? Que deviennent les conventions collectives ?  Quel est le rôle de l'encadrement ? 


Des "vedettes" au petit pied, pour peu qu'elles tiennent un micro, payent de la main de jeunes esclaves qui sont à leur merci. C'est Uber conquérant de McLuhan. Et en prime de leur enveloppe au noir, ils ont droit à la main  dans le caleçon.


C'est un symptôme de plus de notre décadence. Assez ignoble. Mais significatif. Une société qui admet ces avilissements de sa jeunesse mérite-t-elle d'aller bien loin ? 

C'est un symptôme de plus de notre décadence.


Donc d'après vous, ces comportements de harcèlements sexuels n'existaient pas ou pas à la même échelle avant?

C'est une idée originale. Vous avez des sources pour étayer cette thèse? 

Je suis entré dans ce milieu - au sens large, journalisme, culture... - en 1968 et j'y suis resté actif jusque vers 2010. Je puis vous assurer ne jamais avoir constaté de cas de ce genre.  Un harcèlement sexuel aussi caractérisé, non, vraiment, je ne vois pas.


Bien sûr, la drague des petites stagiaires par certains cadres, cela existait. Mais la grande différence, voyez-vous, c'est que l'environnement social était tout différent. Même dans les plus mauvaises boîtes, le droit social jouait son rôle. Plus ou moins bien, mais il était là. 


Dans une affaire comme celle-là, on voit combien la précarité de ces professions  est un facteur aggravant. Et il se conjugue avec une libération des moeurs que nous ne connaissions pas. En tout cas pas à une telle échelle.



Je suis entré dans ce milieu - au sens large, journalisme, culture... - en 1968 et j'y suis resté actif jusque vers 2010.


Pour résumer vos preuves que c'est pire maintenant c'est que vous ne l'avez jamais vu. Donc forcément ca n'existait pas. 

C'est ce que j'appelle une étude au doigt mouillé.



En recherchant rapidement https://www.ilo.org/global/about-the-ilo/newsroom/news/WCMS_008847/lang--fr/index.htm , on peut voir que le harcèlement sexuel n'est pas un phénomène nouveau et en 1996 les chiffres des enquêtes étaient déjà très élevé.
Par exemple en Allemagne en 1991: l'Institut fédéral de la Santé et la Sécurité professionnelles a révélé que 93 pour cent des femmes interrogées avaient souffert de harcèlement sexuel sur leur lieu de travail au cours de leur vie professionnelle.


Elle aurait commencé quand cette fameuse décadence? Comment définissez vous la "décadence"?  Comment expliquez les chiffres de ces études qui contredisent votre expérience personnelle?

En ce domaine, pourtant, Rémy ne parait pas un spécialiste  du doigt mouillé ....


Pour éviter la " décadence ", il lui faudrait un " ordre nouveau "  ou  à défaut de Maréchal, un Connétable Du Déclin

Ah, Maréchal, vous voilà ! Je vous attendais: on dit décadence et voilà Pavlov qui s'éveille. 


Merveilleuse époque, en vérité. Jamais rien n'aura été plus grand, plus beau dans ce pays.

Ecoutez, il y a belle lurette que je me méfie des démonstrations fondées exclusivement sur les statistiques. Elles ne disent souvent que ce que veulent bien voir leurs auteurs.


En ce qui concerne notre affaire, je vous dis simplement que je n'ai jamais vu un cadre mettre sa main dans le caleçon d'un jeune journaliste, ce qui apparemment ne vous semble pas étonnant.


Et puisque vous me parlez de statistiques je vous dirai que dans ces générations, il était bien rare qu'un adolescent ait vu un film pornographique et que c'est aujourd'hui chose des plus communes.


Comprenez bien: je n'en tire aucun jugement. Je dis simplement que ces choses-là ont beaucoup évolué au cours d'un demi-siècle.


Quant à ce que vous appelez une étude au doigt mouillé, rappelez vous que c'est avec ce genre  de méthode que fonctionnait en son temps un Balzac. A mon avis, la Comédie Humaine reste aussi pertinente pour comprendre une époque que tous les rapports de l'INSEE.


Ecoutez, il y a belle lurette que je me méfie des démonstrations fondées exclusivement sur les statistiques. Elles ne disent souvent que ce que veulent bien voir leurs auteurs


Ecoutez, il y a belle lurette que je me méfie des théories fondées uniquement sur l'expérience personnelle et qui rejette les études scientifiques à l'aide d'un bon mot . (les statistiques ont leur fait dire ce qu'on veut). 

Démontrez moi en quoi les auteurs ont falsifié les chiffres? 


Quant à ce que vous appelez une étude au doigt mouillé, rappelez vous que c'est avec ce genre  de méthode que fonctionnait en son temps un Balzac


Voilà un bien bel argument d'autorité . Non mais si Balzac le faisait, ca doit forcément être une bonne méthode.  Vous êtes vraiment sérieux? On peut, avec cette méthode, selon les personnages célèbres que l'on glorifie, justifier absolument n'importe quoi



En ce qui concerne notre affaire, je vous dis simplement que je n'ai jamais vu un cadre mettre sa main dans le caleçon d'un jeune journaliste, ce qui apparemment ne vous semble pas étonnant.


C'est un argument utilisé de tout temps contre les féministes. "Non mais je l'ai jamais vu donc ca ne doit pas exister."

Je vais vous apprendre un truc de dingue. Il y a plusieurs milliards d'être humains sur terre, vous n'êtes pas omniscient. Tirer une théorie (il y a plus de harcèlements au travail maintenant qu'avant) de votre expérience personnelle, ca vaut que dalle . Maintenant si vous me sortez des études qui montrent cette augmentation et qui font la corrélation avec cette fameuse décadence, je vous dirai que vous aviez raison et que j'ai appris des choses grâce à vous.


Et puisque vous me parlez de statistiques je vous dirai que dans ces générations, il était bien rare qu'un adolescent ait vu un film pornographique et que c'est aujourd'hui chose des plus communes.


Oui et donc? Vous avez une étude qui montre que c'est corrélé avec une augmentation du harcèlement sexuel au travail?  



J'aimerais bien connaitre votre définition de la "décadence".

Bon, écoutez, je crois que nous n'arriverons pas à grand-chose avec cette discussion. Affaire de tempérament ? Sans doute. Vous croyez aux chiffres, je ne leur accorde guère d'importance. On en tout cas, pas davantage qu'à l'intuition, à la sensibilité, à l'intelligence.


Vous vous moquez de Balzac, et c'est une belle preuve de hauteur d'esprit. J'aurais tout aussi bien pu dire Proust, Stendhal, Diderot, Baudelaire, ou tant d'autres qui n'ont pas connu la moindre statistique et qui nous en disent infiniment plus sur leur époque que tous les rapports chiffrés qui existaient déjà.


Mais vous préférez les chiffres, c'est votre droit. Comme c'est le mien de penser le contraire.


Une définition de la décadence, me demandez-vous ? Je vais vous proposer un petit effort. Faîtes un tour dans Wikipedia et regardez la production littéraire, artistique, scientifique, politique, intellectuelle de la France dans les vingt premières années du Siècle dernier. 


Et puisque vous les avez connues, faîtes la comparaison avec ce que vous avez vu d'équivalent dans les vingt premières années du siècle actuel. Peut-être aurez-vous alors une idée de ce qu'est une décadence. Et n'oubliez pas qu'en plus ils se sont payé une bien belle guerre mondiale.


Voilà de quoi vous occuper pendant que je vais prendre l'apéritif. Et un dernier mot: une grande preuve de décadence à mes yeux, c'est la difficulté qu'on a de débattre avec sérénité, gentillesse et courtoisie.


Bien à vous.

D'un auteur que vous aimez peut-être : " La Déclaration des droits de l'homme  est la marque du début de la décadence  de la France "

( J.M Le Pen )

Excellent auteur, en effet. Mais de vous j'attendais mieux: pourquoi pas le regretté Adolf Hitler, tant que vous y étiez. On doit bien pouvoir trouver une réflexion sur la décadence dans ses oeuvres.


Point Godwin, quand tu nous tiens....

Bon, écoutez, je crois que nous n'arriverons pas à grand-chose avec cette discussion. Affaire de tempérament ? Sans doute. Vous croyez aux chiffres, je ne leur accorde guère d'importance. On en tout cas, pas davantage qu'à l'intuition, à la sensibilité, à l'intelligence. 


Je crois que les études scientifiques ont plus de poids que l'expérience personnel. Croire aux chiffres ca ne veut rien dire et c'est une déformation de mes propos pour me décrédibiliser.


Vous vous moquez de Balzac, et c'est une belle preuve de hauteur d'esprit. J'aurais tout aussi bien pu dire Proust, Stendhal, Diderot, Baudelaire, ou tant d'autres qui n'ont pas connu la moindre statistique et qui nous en disent infiniment plus sur leur époque que tous les rapports chiffrés qui existaient déjà.


Vous déformez encore mes propos pour me décrédibiliser et me faire passer pour une personne qui aurait un égo démesuré. Juste pour remettre les choses à plat, c'est vous qui faites une généralité à partir de votre expérience personnelle, pas moi.

Est ce une méthode courtoise, sereine et pleine de gentillesse, celle qui consiste à déformer les propos?

Je ne me moque pas de Balzac. J'explique que l'argument d'autorité c'est une voie qui ne mène à rien. Il y a une légère différence. 



Mais vous préférez les chiffres, c'est votre droit. Comme c'est le mien de penser le contraire.


C'est ce qu'on appelle un argumentum ad nauseam. Vous pouvez répéter cet argument absurde à l'infini ca n'en fera pas une réalité. Je dis: croire que les études scientifiques ont plus de poids que l'expérience personnelle quand on veut expliquer le réel. 

Croire aux chiffres ca ne veut strictement rien dire. Vous même utilisé ces "chiffres"(mot fourre tout) qui disent qu'aujourd'hui plus d'enfants ont vu des images pornographiques. Donc vous croyez aux "chiffres" quand ca semble vous arranger. D'ailleurs avez-vous sous le coude, une étude ou des travaux qui montrent une corrélation entre les films pornos et la hausse du harcèlement sexuel au travail?



Une définition de la décadence, me demandez-vous ? Je vais vous proposer un petit effort. Faîtes un tour dans Wikipedia et regardez la production littéraire, artistique, scientifique, politique, intellectuelle de la France dans les vingt premières années du Siècle dernier.  


Merci de votre condescendance, mais je connais cette "littérature" et j'ai même déjà lu des études sur le sujet. Je vous met encore une fois un lien, c'est ma manière courtoise de débattre. Je préfère que la personne en face ne perde pas son temps à faire des recherches à partir d'une phrase extrêmement vague. 

https://www.persee.fr/doc/mots_0243-6450_1999_num_58_1_2530

C'est la définition que je connais. Maintenant vous en avez peut-être une autre? Si c'est le cas, ca serait extrêmement sympathique de votre part, de me la donner. 


Et un dernier mot: une grande preuve de décadence à mes yeux, c'est la difficulté qu'on a de débattre avec sérénité, gentillesse et courtoisie.


Il semblerait que vous soyez atteint par cette fameuse décadence, vu votre propension à déformer les propos des gens avec qui vous débattez.



Hou, la, la, la, la... Bonsoir.

C'est dommage de ne pas vouloir répondre à mes interrogations. J'ai été tout à fait courtois dans cet échange.

Vous pourriez facilement définir ce qu'est pour vous la décadence? ou répondre à mes questionnements sur vos affirmations et démontrer vos thèses?


Parce que là, tout votre propos se résume à:

Aujourd'hui c'est la décadence. Avant c'était beaucoup mieux. Avant on ne harcelait pas autant au travail. Je le sais parce que je n'ai jamais été témoin d'harcèlements sur mon lieu de travail. 


C'est quand même vachement faible comme argumentaire.

Bonjour,


Je vous retrouve pour mettre fin à cet échange. Je crains que nos façons de voir soient décidément incompatibles. Les démonstrations universitaires me rebutent le plus souvent et me convainquent assez rarement. 


C'est une question de forme d'esprit. On n'y peut rien et je ne veux surtout pas être blessant quand je l'exprime. J'ai plaqué la fac après la licence et j'avais vraiment l'impression que je n'y serais jamais à ma place. 


Voici un texte qu'on m'a adressé tout récemment ( deux jours ) et qui illustre mieux que tout ce que je pense ( ou, mieux, ressens ) sur ces questions. Il s'agit d'une pensée de Malraux datant des années 50. Je ne sais pas exactement dans quel cadre il l'a exprimée, mais elle est avérée. Voilà:


Malraux à propos de l'Islam
"C'est le grand  phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique.  Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l'islam  est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine.  Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l'origine de  la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des  solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales  ou ouvrières n'ont trouvé la réponse. De même aujourd'hui, le monde  occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l'islam. En  théorie, la solution paraît d'ailleurs extrêmement difficile. Peut-être  serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l'aspect français de  la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme  d'Etat. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes  variées de dictature musulmane vont s'établir successivement à travers le  monde arabe. Quand je dis "musulmane", je pense moins aux structures  religieuses qu'aux structures temporelles découlant de la doctrine de  Mahomet. Dès maintenant, le sultan du Maroc est dépassé et Bourguiba ne  conservera le pouvoir qu'en devenant une sorte de dictateur. Peut-être des  solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l'islam,  si elles avaient été appliquées à temps Actuellement, il est trop tard ! Les  "misérables" ont d'ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur  misère à l'intérieur d'une communauté musulmane. Leur sort sans doute  restera inchangé. Nous avons d'eux une conception trop occidentale. Aux  bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront  l'avenir de leur race. L'Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à  ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c'est prendre conscience de la  gravité du phénomène et tenter d'en retarder l'évolution?".
Le 3 juin 1956


Si je cite Malraux sur ce sujet, c'est pour le mettre en contraste avec la pensée dominante si souvent exprimée par les démographes ( Hervé Le Bras singulièrement, mais bien d'autres ).


Cela va vous conforter, je le crains, dans l'idée que je suis un suppôt d'extrême-droite. Il n'en est rien. Mais je pense, pour me référer à votre propre citation, que des penseurs ou écrivains qualifiés d'extrême-droite peuvent très bien avoir exprimé certaines intuitions qu'on a trop facilement disqualifiées sous ce seul prétexte.


C'est vous dire que votre démonstration sur la décadence, étayée par un mémoire universitaire conséquent, ne m'a nullement convaincu.


Ce n'est pas grave. C'est une bonne chose, en démocratie, que la divergence des opinions. Cela ne m'empêche en tout cas pas de vous souhaiter un beau dimanche en dépit de la dureté des temps.


Je vous retrouve pour mettre fin à cet échange. Je crains que nos façons de voir soient décidément incompatibles. Les démonstrations universitaires me rebutent le plus souvent et me convainquent assez rarement. 


Vous ne pensez pas que la science permette d'obtenir la moins mauvaise représentation du réelle. Oui, on a des façons de voir incompatibles. 


Ce texte de Malraux parle d'islam... alors que l'on parle d'harcèlement sexuel au travail.
J'ai envie de dire quel rapport? Qu'est ce que ca à voir avec l'augmentation présumée du harcèlement du à la décadence actuelle? Qu'est ce que les musulmans ont à voir tout ça? Est ce que d'après vous la "poussée islamique" présumée par Malraux augmenterait le harcèlement sexuel au travail?


Surtout que ce texte date de 1956, or vous avez expliqué que lorsque vous travailliez (de 1968 à 2010), les choses étaient différentes. Donc ce texte date d'avant cette présumée décadence qui a entraîné l'augmentation présumée du harcèlement sexuel au travail.
Je dois bien vous dire que je ne comprends absolument pas ce que vous avez voulu exprimé ici. 



C'est vous dire que votre démonstration sur la décadence, étayée par un mémoire universitaire conséquent, ne m'a nullement convaincu.


Je vous ai dit voilà la définition que je connais. Donnez moi la votre si elle est différente. Je ne cherchais à démontrer rien du tout ou à vous convaincre de rien du tout. Je cherchais juste à comprendre ce que vous dites, ce que vous appelez "décadence"


Vous ne m'avez toujours pas donné de définition de la "décadence". Donc j'en déduis que vous utilisez la même définition que l'extrême droite de l'époque.



Cela va vous conforter, je le crains, dans l'idée que je suis un suppôt d'extrême-droite


Je n'utilise jamais le mot suppôt. Mais oui d'après moi, (et beaucoup d'autres sur ce forum) vous relayez la propagande d'extrême droite.

Décidément, nous ne  nous comprendrons jamais.  En citant ce texte de Malraux, j'essayais d'élargir le débat et de le faire décoller ce ce strict problème du harcèlement sexuel ( homosexuel en l'occurrence  ) qui ne m'intéresse pas énormément.


Dans un premier temps, je me suis efforcé  de montrer que certains emballements actuels pouvaient être  correllés à la question sociale ((augmentation de la précarité dans ces professions ). Apparemment en vain, personne n'a relevé.


Ensuite j'ai changé de pied en essayant d'expliquer pourquoi les approches universitaires, ou purement scientifiques, me semblaient insuffisantes pour appréhender la complexité des choses. Et, incidemment, le texte de Malraux me semblait une preuve flagrante que ce genre d'esprit, tout d'intuition, pouvait être plus pertinent que nombre de nos Trissotins sur-diplômés, labellisés, officialisés.


Et je savais pertinemment que j'avais changé de sujet mais que l'approche était logique.


Visiblement, je ne suis pas suivi.


J'avoue aussi être un peu fatigué par votre méthode d'analyse critique de mes propres textes qui, je vous l'assure, ne méritent ni cet excès d'honneur ni cette indignité.


Je vous dis donc: merci pour tout et à une prochaine fois. Le rugby m'attend cet après-midi.

 



Ensuite j'ai changé de pied en essayant d'expliquer pourquoi les approches universitaires, ou purement scientifiques, me semblaient insuffisantes pour appréhender la complexité des choses.


Vous avez juste dit: "moi j'y crois pas". Vous avez pas expliqué en quoi votre intuition*/intelligence/sensibilité ou celle d'auteurs célèbres serait une meilleure représentation du réel que les études universitaires sur le thème du harcèlement sexuel et de la décadence de notre époque. 



  En citant ce texte de Malraux, j'essayais d'élargir le débat et de le faire décoller ce ce strict problème du harcèlement sexuel ( homosexuel en l'occurrence  ) qui ne m'intéresse pas énormément.


Elargir au musulman


Donc je résume votre pensée jusqu'à présent.


Maintenant c'est la décadence. Avant c'était mieux. C'est pour ça qu'il y a une augmentation du harcèlement sexuel. Et regardez j'ai un texte de Malraux qui parle des musulmans.


C'est sur nous ne pouvons pas nous comprendre.


Bon week end

Sans vouloir vous flatter, vous avez toutes les qualités pour faire un honorable sophiste.


Bon week-end à vous.

Ne vous en faites pas, je prends votre attaque ad personam pour un compliment. 

Rideau.

" Sur les noires couleurs d'un si triste tableau

"  Il faut  passer  l'éponge  ou  tirer  le  rideau ; ( Corneille )

" Faire l'impasse sur Rémy

" Et , enfin   oublier  Loury ....

 Quelle décadence Ata Raxie,. Voilà un bel exemple de poème totalement décadent. 

Même pas un petit passage sur les dangereux musulmans.

" Malraux : un tiers génial, un tiers faux, un tiers incompréhensible " ( Aron ).


C'est assez drôle que dans une rubrique consacrée aux agressions sexuelles, vous arriviez à disserter sur les musulmans


Mais loin de moi l'idée de vous considérer comme un suppôt  d'extrême droite.


Quoique ?


 Bien cordialement, et protégez-vous  des virus et des idées nauséabondes  et du déclinisme ambiant

Eh bien, en l'occurrence, il s'agit bien du tiers génial


Quant à l'accusation d'extrême-droite, j'y suis accoutumé depuis 68. Elle m'est si souvent revenu dans la figure. 


J'en ris ici, comme toutes les autres fois.

L'erreur comme le rire est humaine :


 errare humanum est 

  


perseverare diabolicum

de jeune écervelé à vieux ......


Portez vous bien

Et bien, je vous crois. Suivant le milieux dans lequel vous avez évolué, vous n'avez jamais été témoin d'une main dans la pantalon. Ces personnes semble-t-il ont vécus d'autres expériences.

La ligue du LoL au hasard

Je ne comprends pas vraiment votre commentaire. La ligue du LoL est une forme nouvelle/récente de harcèlement (groupe privé sur les réseaux sociaux, utilisation des réseaux sociaux) mais ca ne dit rien de l'augmentation présumée par Rémy Loury du  nombre harcèlement ces dernières années, ni d'une quelconque corrélation avec la "décadence" actuelle (terme non défini par Rémy Loury)

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