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Commentaires

Merchet : "pourquoi je ferme les commentaires de mon blog"

Il se dit "affligé" par "la vacuité, la bêtise ou la méchanceté" de trop des commentaires de son blog. Le journaliste-blogueur de Libération Jean-Dominique Merchet, à la barre de Secret Défense depuis un an, a décidé (temporairement) de supprimer la possibilité d'y poster des commentaires.

Derniers commentaires

Quels sont les commentaires du lecteur moyen du Monde en 2008 suite à ce drame d'une mère de famille qui se suicide lors de l'expulsion de son appartement ?

"Entendu à la radio que l'appartement de la dame en question était très bien équipé (écran plat, ordinateur, etc ...)." et autres joyeusetés... Tout ça doit acheter Le Monde et voter socialiste... Beurk...

http://www.lemonde.fr/web/article/reactions/0,1-0@2-3224,36-1091816,0.html
Je suis retourné sur le blog et franchement, je lui trouve nettement moins d'intérêt sans les commentaires des militaires ( en activité ou non ). Ces commentaires approfondissaient le sujet traité et nous faisaient partager une autre vision des choses...
Maintenant, JDM semble ne faire que rapporter les infos de l'état-major, infos que l'on peut retrouver sur nombre de sites.

Les trolls, on a l'habitude. On les détecte en une seconde et on peut facilement passer leurs posts. La modération à priori ressemble fortement à de la censure, mais on peut toujours bloquer les adresses IP des récidivistes et modérer à posteriori, je ne vois pas le problème. ( je reconnais quand même que les articles sont très commentés )
Je trouves dommage que l'on supprime les comms à cause de certains individus qui pour la plus-part sont s'en-doute des jeunes de 14/16 ans, ou alors de vieux incultes ?
Par contre je comprends que ça peut devenir problématique pour tout gérer, je le vois avec certaines de mes vidéos que j'ai mis en ligne et qui conçerne l'hommage fait à mes frères d'armes du grand 8. C désolant de voir certaines personnes qui injurent, critiquent et qui vont parfois jusqu'à crachés leur heines envers l'armée dans son ensemble...
Pour ceux-là on est tous des gros "bourrins" prétenticieux, et qui n'aimons que c battre ! C lamentable et parfois même blessant !!!

Mais vous savez ça va faire maintenant 1 an que j'ai arrêter l'armée, et que je peut voir le JT tout les soirs, ou lire les journaux. Si certains pensent ça des Militaires, c peut-être aussi
de la faute des médias qui nous font passer pour de gros bourins juste bon à tiré et à faire la guerre.
L'armée ce n'est pas seulement ça, c aussi de l'humanitaire, de la construction de routes, d'école, d'hôpitaux, etc.
Tout ce que ne montre pas les médias justement.
Prenez l'exemple dernièrement de "Paris-Match" qui offre la parole aux talibans pour leur propagande. Encore certains journalistes prêt à vendre père & mère pour un "scoop" !
De plus ce n'est même pas un scoop ça ne sert à rien du tout de l'acheter, car il nous livre rien de nouveau !
Et toujours pas de réponse à "Qui posait les questions?"
"Ainsi voit-on en un ruisseau coulant,
Sans fin l'une eau, apres l'autre roulant,
Et tout de rang, d'un eternel conduict ;
L'une suit l'autre, et l'une l'autre fuit.
Par cette-cy, celle-là est poussée,
Et cette-cy, par l'autre est devancée :
Tousjours l'eau va dans l'eau, et tousjours est-ce
Mesme ruisseau, et tousjours eau diverse"

Il y a plus affaire à interpreter les interpretations, qu'à interpreter les choses : et plus de livres sur les livres, que sur autre subject : Nous ne faisons que nous entregloser.

Tout fourmille de commentaires : d'autheurs, il en est grand cherté.

Le principal et plus fameux sçavoir de nos siecles, est-ce pas sçavoir entendre les sçavants ? Est-ce pas la fin commune et derniere de touts estudes ?

in: "Les Essais" de Montaigne, Livre 3 Chapitre 13
http://www.bribes.org/trismegiste/montable.htm
Bonjour,
La difficulté, ou le piège de cette décision, c'est qu'il est facile pour un groupe un tant soit peu organisé de polluer un blog, un site, et donc de provoquer la fermeture des débats.
L'armée par exemple? ;o)
(question aux spécialistes, une dizaine de personnes doit suffire, non?)
… ledit journaliste bloggeur pourrait envisager la solution adoptée par une célèbre bloggeuse américaine (évoquée précédemment par @si) qui, après mise en ligne de chacun de ses écrits, ouvre le robinet des commentaires durant un temps déterminé - avec en sus une modération a priori.
Je comprends moi aussi cette décision. Je ne connais pas son blog mais après avoir participé à quelques forums, force est de constater que, confortablement cachés derrière leur écran, un grand nombre d'internautes est grossier, insultant, la plupart du temps sans avoir aucun argument pour justifier leur "colère". On retrouve même ce phénomène sur des forums ou la politique, l'actualité ne font pas parties des thèmes abordés, c'est à dire que même sur des sujet anodins certains se croient autorisés à laisser de côté la plus élémentaires des politesses, celle qui consiste à respecter son interlocuteur. A quoi cela est-il du ? L'impression d'impunité d'un commentaire anonyme ou signé d'un pseudo ? Ces gens sont-ils aussi grossiers quand ils sont face à face avec leur interlocuteur ?

Cette dérive est peut être aussi du au fait que les auteurs de certains blogs se retranchent un peu trop facilement derrière le le principe qui veut que "tout propos n'engage que son auteur". Ils ne font pas de vraie modération de leur site (parfois, ils ne le peuvent pas sauf à en limiter son accès).

Littlehorn
Quand à votre argument que la fermeture n'est pas censure, il est léger. La modération est la censure de quelques commentaires, la fermeture est la censure de tous les commentaires.
Je ne suis pas d'accord. Un blog peut être conçu comme un journal papier où son auteur choisit ce qui y apparaît. Quand tu lis Le Monde (c'est juste un exemple hein !) et qu'un article t'inspire un commentaire tu peux toujours prendre un crayon et le griffonner dans la marge, ça n'engage que toi et le rédacteur en chef du journal ne s'en offusquera pas. Après, rien ne t'interdit d'écrire au journal pour dire ta façon de penser, ou sur un blog d'envoyer un mail.
Comme Anthony, je pense que la modération se rapproche plus d'une censure puisqu'elle consiste à choisir qui peut parler et qui doit être réduit au silence. Mais encore une fois, cela ne constitue pas une censure. L'auteur d'un blog, comme le rédacteur d'un journal, à le droit, et il le doit même, choisir ce qui est publié sur son site.
Ceci n'est que mon avis et n'engage que moi. :-))
[quote=Punaiz]Non, une fois de plus, je ne peux vous laisser faire croire que le groupe des humains ne pourra que s'améliorer s'il est livré totalement à lui même sans contrainte et sans règle. C'est faux, mais surtout c'est dangereux de le croire. Il ne faudra pas re-laisser réaliser des assassinats à grande échelle pour le prouver à nouveau.


J'aimerais bien savoir sur quoi vous vous appuyez pour affirmer un truc aussi énorme?

Pendant des millénaires (pour ce qu'on en connait) les peuples de chasseurs cueilleurs dont quelque exemples ont survécus jusqu'à aujourd'hui (Yanomami, Aborigenes, Bushmen...)
apportent au contraire des indices sérieux du contraire.

Plus prés de nous pendant les deux "communes" ou en Ukraine et à Cronstadt entre février et octobre 17 on à pas vu (que je sache) les populations débarrassés de la tutelle de l'état s'entretuer.

Pour finir un petit témoignage personnel, ayant participé à pas mal de Zones Temporaires d'Autonomie durant les années 90 et au détours des années 2000, je n'ai jamais vu celles-ci dégénérer en jungle où la loi du plus fort s'imposerait aux plus faibles dans un bain de sang généralisé comme votre post pourrait le laisser croire.

Maintenant si vous avez des exemples historique qui viendraient prouver que la "liberté" nuit toujours à la sécurité, je suis tout à fait prêt à réviser mon opinion sur le sujet.

Pendant des millénaires (pour ce qu'on en connait) les peuples de chasseurs cueilleurs dont quelque exemples ont survécus jusqu'à aujourd'hui (Yanomami, Aborigenes, Bushmen...)
apportent au contraire des indices sérieux du contraire.


Il m'étonnerait fortement que ces peuples vivent sans règle. Ces règles sont seulement différentes de nos "us et coutumes".
Je n'ai pas connaissance de groupes ayant véritablement (et longtemps) vécu l'anarchie (sans connotation péjorative).

Anthony
[quote=Antony]Il m'étonnerait fortement que ces peuples vivent sans règle. Ces règles sont seulement différentes de nos "us et coutumes".
Je n'ai pas connaissance de groupes ayant véritablement (et longtemps) vécu l'anarchie (sans connotation péjorative).

Si ils ne vivent pas sans règle (tabous, coutumes, etc...) ils vivent en tout cas, pour ceux que j'ai cité, sans "monopole de la violence légitime" ni structures permanentes et centralisées (police,prisons etc...) pour faire respecter les dites règles.
Etonnement, je ne connais aucun des peuples (sans doute forts sympathiques) que vous citez, et je le regrette amèrement (maintenant que votre culture m'assène son éclatante supériorité), mais ce faisant je m'étonne peu:
Ces peuples sont minoritaires, en voie de disparition ou de dilution dans la société dominante, ou génocidés.

Beaucoup de gens sont formidables. J'en connais pleins. Je leur donnerais la garde de mon gouvernenment (c'est dire si j'ai confiance!), si j'en avais l'occasion (manque de pot ce sont d'autres qui l'ont). Mais quelques rares individus sont incapable de faire passer l'intéret général avant le leur. C'est insupportable, c'est inexcusable et aussi très très méchant. Mais ces gens là existent (parfois mon voisin en fait partie, parfois c'est moi....)et le pire c'est qu'ils changent parfois de "formidable" à "inexcusable" et vis versa, et plusieurs fois dans une vie. Bref, la vrai vie c'est un truc ou parfois on essaie (et souvent on réussi) de prendre un avantage sur la grande masse des autres.

D'ailleurs je vous ai vu, Thurar et Littlehorn, au volant de votre voiture, glisser un stop parceque vous étiez sur que la police ne vous verrait pas. Si, si, je vous assure, le Big Brother présidentiel est beaucoup plus avancé que vous ne le craigniez. Bref, à peu prèt tout le monde transgresse "Les Règles" dans sa vie, plus ou moins conscienmment. Et donc tout le monde (et bon sang, c'est humain, et heureusement que cela perdure!) est à un ou des moments en position de manger sur la liberté d'un ou plusieurs autres.

L'angélisme (et je persiste à accumuler les références aux horribles expériences grandeurs nature du siècle dernier -mais nous nous améliorons, cela n'aura pas lieu au XXIè siècle, promi, juré-) d'une belle idée communiste, et la candeur d'un magnifique non interventionnisme portent en elles le blanc seing pour d'abominable tueries. Certains groupes on su vivre des années, des dizaines d'années, des centaines (?) d'années sans vivre ces tueries. Un exemple ne fait toujours pas une loie. Mais le contre exemple tue la loie.

Votre loie qui édicte qu'un peuple, groupe, ensemble peu vivre sans une organisation qui centralise la force (les forces de l'ordre, la police quoi, n'hurlez pas tout de suite à la dictature) et qui lui même subit un contrôle (IGPN, gouvernement démocratique, que sais-je), est une loie fausse. C'est une loie qui permet de graves dérives dans certains cas (pas tous, je vous l'accorde, mais je ne suis pas prêt à confier mon gouvernement à ceux qui n'ont pas retenus la pénible leçon) et qui ne doit pas continuer à être défendue. Pas même dans un forum. Je m'oppose donc.

Voilà chers amis (!). Ce que je dis est énorme. N'est ce pas? C'est néanmoins vrai: les anges ne sont pas sur terre.
"Les anges ne sont pas sur terre"

Voici un texte qui illustre bien la position de punaiz je pense:

Dans le vaste domaine de la nature vivante il règne une violence ouverte, une sorte de furie normative qui arme toutes les créatures pour leur destin commun. Dès que vous quittez le royaume de l'inanimé, vous trouvez le décret de la mort violente inscrite sur les frontières de la vie. Vous le sentez déjà dans le royaume végétal : de tous les vastes arbres et des herbes les plus humbles, combien de ces plantes meurent, et combien sont tuées ? Mais au moment où vous entrez dans le royaume animal, cette loi est soudain une réalité des plus affreuses. Une violente puissance, à la fois cachée et palpable...a désigné dans chaque large subdivision des animaux un certain nombre d'espèces pour dévorer les autres. Ainsi il y a des insectes de proie, des reptiles de proie, des oiseaux de proie, des poissons de proie, des quadrupèdes de proie. Il n'existe pas un seul instant où une créature n'est pas dévorée par une autre. Dans toutes ces nombreuses races d'animaux, l'homme est placé, et sa main destructrice n'épargne rien qui ne soit vivant.

L'homme tue pour obtenir de la nourriture et il tue pour se vêtir. Il tue pour des ornements et il tue pour attaquer. Il tue pour se défendre et il tue pour tuer. Roi fier et terrible, il veut tout et rien ne peut lui résister... Mais qui [dans le carnage général] exterminera celui qui extermine tous les autres? Il se tuera. C'est l'Homme qui est chargé du massacre des hommes...Ainsi est accomplie... la grande loi de la destruction violente des créatures vivantes. Toute la terre, perpétuellement imprégnée de sang, n'est rien d'autre qu'un vaste autel, sur lequel tout ce qui vit doit être sacrifié sans fin, sans mesure, sans pause, jusqu'à la consommation des choses, jusqu'à ce que le mal s'éteigne, jusqu'à la mort de la mort.

Il s'agit de de Maistre.

Et aussi le bourreau si nécessaire...

Quel est cet être inexplicable ? ... Il est comme un monde en lui-même... A peine a-t-il reçu sa propre maison ... quand d'autres retirent leurs maisons autre part... Au milieu de cette désolation... il vit seul avec son partenaire et son jeune, qui le reconnaît au son de la voix humaine. Mais d'eux il n'entendrait que des cris d'agonie... Un des plus bas servants de la justice frappe à sa porte et lui dit que ses services sont requis. Il part. Il arrive sur une place publique où les gens sont rassemblés, l'attente se lit sur leurs visages. Un prisonnier, un parricide, un homme qui a commis un sacrilège est par terre à ses pieds. Il attrape l'homme, l'étend, l'attache à une croix se trouvant sur le sol, lève ses bras, et il y a un silence terrible. Il n'est brisé que par le son des os brisés par les coups de la masse d'acier, et les cris de la victime. Il délie l'homme, le porte jusqu'à la roue; les membres brisés sont accrochés aux rayons et la tête est abaissée; les cheveux tiennent debout et depuis la bouche -- ouverte comme la porte d'une fournée brillante -- il n'arrive par intervalle que quelques syllabes de supplications avant la mort. Le bourreau a terminé sa tâche; son cœur bat, mais il bat de plaisir; il est satisfait de son travail. Il se dit en lui-même, "Aucun homme ne brise la roue mieux que moi." Il descend de l'échafaud et montre sa main ensanglantée, dans laquelle, de loin, un représentant lance quelques pièces d'or. Le bourreau les emporte entre deux groupes d'êtres humains qui s'éloignent de lui avec horreur. Il s'assit à table et mange, il va au lit et dort, mais lorsqu'il se lève le lendemain matin, ses pensées vont à tout sauf son occupation de la journée d'avant. Est-il un homme ? Oui, Dieu le laisse entrer dans ses sanctuaires et accepte ses prières. Il n'est pas un criminel, et pourtant aucun langage humain n'ose l'appeler, par exemple, vertueux, honorable, ou estimable... Néanmoins, toute la grandeur, tout le pouvoir, et tout l'ordre social dépendent du bourreau; il est la terreur de la société humaine et la corde qui la maintient en place. Retirez cette force incompréhensible du monde, et à ce moment précis, l'ordre est supplanté par le chaos, les trônes tombent, la société disparaît. Dieu, qui est la source du pouvoir du dirigeant, est aussi la source de la punition. Il a suspendu notre monde autour de ces deux pôles, 'car le Seigneur est le seigneur des pôles jumeaux, et autour d'eux il fait tourner le monde.'

Je crois qu'on peut dire que punaiz vient de trouver son maître.

Etonnement, je ne connais aucun des peuples (sans doute forts sympathiques) que vous citez, et je le regrette amèrement (maintenant que votre culture m'assène son éclatante supériorité), mais ce faisant je m'étonne peu:
Ces peuples sont minoritaires, en voie de disparition ou de dilution dans la société dominante, ou génocidés.


Primo je ne voit pas bien en quoi citer le Aborigènes serait vous assener "l'éclatante supériorité de ma culture". Mais je ne doute pas que vous puissiez rapidement démontrer (à l'aide par exemple d'une citation) que j'ai sous-entendu quelque-part que vous soyer d'une "inculture crasse".

Deuxio si ces peuples sont minoritaires ou en voie de disparition c'est bien parce qu'ils ont été "génocidé". Et par qui je vous le demande? Justement par des peuples qui possédaient
cet encadrement des liberté censé, si je vous est bien compris, apporter la sécurité et effacer de l'histoire les massacre à grande échelle.

Beaucoup de gens sont formidables. J'en connais pleins. Je leur donnerais la garde de mon gouvernenment (c'est dire si j'ai confiance!), si j'en avais l'occasion (manque de pot ce sont d'autres qui l'ont). Mais quelques rares individus sont incapable de faire passer l'intéret général avant le leur. C'est insupportable, c'est inexcusable et aussi très très méchant. Mais ces gens là existent (parfois mon voisin en fait partie, parfois c'est moi....)et le pire c'est qu'ils changent parfois de "formidable" à "inexcusable" et vis versa, et plusieurs fois dans une vie. Bref, la vrai vie c'est un truc ou parfois on essaie (et souvent on réussi) de prendre un avantage sur la grande masse des autres.

Et en quoi l'organisation social actuelle (avec un état centralisé et détenant le monopole de la violence légitime) empêche certain de "faire passer leur intérêt avant l'intérêt général" et de "prendre un avantage sur la grande masse des autres"???

De plus prendre arguement que "quelques rares individus" abusent de la liberté offerte à tous pour nuire à l'intérêt général afin de restreindre la liberté de tous me semble, comment dire...
Spécieux (?).

Un peu comme si parce que certains utilisent leur voitures pour assassiner leur belle-mère on interdisait à tout le monde de conduire.

D'ailleurs je vous ai vu, Thurar et Littlehorn, au volant de votre voiture, glisser un stop parceque vous étiez sur que la police ne vous verrait pas. Si, si, je vous assure, le Big Brother présidentiel est beaucoup plus avancé que vous ne le craigniez. Bref, à peu prèt tout le monde transgresse "Les Règles" dans sa vie, plus ou moins conscienmment. Et donc tout le monde (et bon sang, c'est humain, et heureusement que cela perdure!) est à un ou des moments en position de manger sur la liberté d'un ou plusieurs autres.

Pas de pot je ne conduit pas ;)

Mais bon pour vous répondre tout de même. Il me semble que le fait qu'"à peu prêt tout le monde transgresse "Les Règles" dans sa vie,(...)" prouve justement l' inopérance (ça se dit ça ?) des dites règle à réguler efficacement les rapport sociaux.

D'autre part votre lecture du "la liberté des uns s'arrête là ou commence celle des autres" me semble un peu bizarre. Je pourrais vous citer nombre de règles que l'on peut enfreindre sans empiéter sur la liberté des autres (comme ça me vient à l'esprit par ex fumer du cannabis) mais pour reprendre votre parabole automobile: En quoi franchir un stop (si la route croisée est libre bien entendu) "mangerai sur la liberté des autres"?

La maxime sur les limites à la liberté par la liberté des autres n'est en fait qu'une conséquence logique des droits de l'homme fondés sur le droit naturel.

Pour faire court si je veux vivre en paix avec tout les hommes il est indispensable que je reconnaisse les autres comme humain, càd comme un autre moi-même, et partant de la leurs reconnaisse les mêmes droits que ceux que je revendique pour moi-même. D'où le fait que comme la liberté des autres doit s'arrêter là où commence la mienne, ma liberté etc....

L'angélisme (et je persiste à accumuler les références aux horribles expériences grandeurs nature du siècle dernier -mais nous nous améliorons, cela n'aura pas lieu au XXIè siècle, promi, juré-) d'une belle idée communiste, et la candeur d'un magnifique non interventionnisme portent en elles le blanc seing pour d'abominable tueries. Certains groupes on su vivre des années, des dizaines d'années, des centaines (?) d'années sans vivre ces tueries. Un exemple ne fait toujours pas une loie. Mais le contre exemple tue la loie.


Alors déjà les "horribles expériences grandeurs nature du siècle dernier" n'avaient de communiste que le nom, en fait elle se réclament toute, ou à peu prêt, du "marxisme léninisme" ou du stalinisme. Mais bon c'est un autre débat que nous pourrons avoir ailleurs si ça vous chante.

Mais surtout je ne voit pas bien où vous avez prit l'idée que la "belle idée communiste" était "non interventionniste" ou pour l'abolissement des lois et de l'état censé les faire respecter. Au contraire il ont toujours prétendu s'appuyer sur un état fort (tout comme vous) pour apporter la "sécurité" a laquelle le peuple à droit. Donc comme contre exemple désolé mais vous repasserez ;)

Votre loie qui édicte qu'un peuple, groupe, ensemble peu vivre sans une organisation qui centralise la force (les forces de l'ordre, la police quoi, n'hurlez pas tout de suite à la dictature) et qui lui même subit un contrôle (IGPN, gouvernement démocratique, que sais-je), est une loie fausse. C'est une loie qui permet de graves dérives dans certains cas (pas tous, je vous l'accorde, mais je ne suis pas prêt à confier mon gouvernement à ceux qui n'ont pas retenus la pénible leçon) et qui ne doit pas continuer à être défendue. Pas même dans un forum. Je m'oppose donc.

Déjà je ne voit pas où vous avez vu que j'édictais une loi, ne renversez pas le débat, c'est vous qui avez affirmiez que la liberté nuisait (toujours?) à la sécurité et (par antiphrase) que les groupes ou peuples humain livrés totalement à eux même sans contraintes et sans règles ne pourraient que "s'abimer".

Quant à moi je n'ai fait que vous citer de exemples où justement des groupes divers et variés (chasseurs cueilleur, mais aussi ouvriers (pour faire court) russes du début du siècle, ou encore "teuffeurs" contemporain) onts vécu en paix et sans heurts dans ce que l'on appellerait aujourd'hui des zones de non-droit.

Voilà chers amis (!). Ce que je dis est énorme. N'est ce pas? C'est néanmoins vrai: les anges ne sont pas sur terre.


Pour conclure:
S'il est vrai que "les anges ne sont pas sur terre" il n'en ai pas moins faux que "l'homme est un loup pour l'homme" comme pourrait le faire croire votre démonstration
Oulah!

Mais vous êtes deux particulièrement ouverts et tolérants à ce que j'observe.

Je ne me laisserais pas entrainer dans cette spirale de grands posts, ni dans la position du sécuritaire à tout prix. Pour ceux qui vont "simplement" discuter avec les gens en colère, parlez en à Alain Bougrain Dubourg, il discutait jusqu'à ce qu'il prenne une baffe de ses chasseurs de palombe favoris.

Pour ceux qui pensent que c'est une police contrôlée par un état démocratique qui a entraîné la disparition des peuples autorégulés (et l'Australie qui assassine les Aborigènes, bel exemple de totalitarisme), tentez votre propore petite expérience de communautée: je vous promet que si ça marche des millions de gens se joindrons à vous béatement.


Bon week end à vous.
@@@
IIIIIII

Oulah!

Mais vous êtes deux particulièrement ouverts et tolérants à ce que j'observe.

Alors déjà votre ironie pour "nous" traiter d'intolérants, je trouve ça limite.
Ensuite je ne me reconnait pas dans ce nous. Je ne parle que pour moi-même et le fait que vous ayez un autre débat avec Littelhorn sur le même sujet ne vous permet en aucun cas à nous mettre "dans le même sac".
Pour tout vous dire il y a au moins un point sur lequel je serai en désaccord avec Littelhorn, c'est quand il dit que partisan d'un état fort est équivalent a fasciste.
Malheureusement pour le libertaire que je suis, le spectre politique est large entre le fascisme et l'anarchisme et nombreuse sont les tendance entre ses deux là qui préconisent le bien fondé de l'état et de son avatar moderne qu'est la nation. (Mes confuses à Littelhorn si j'ai mal interprété ses propos.)

Je ne me laisserais pas entrainer dans cette spirale de grands posts, ni dans la position du sécuritaire à tout prix. Pour ceux qui vont "simplement" discuter avec les gens en colère, parlez en à Alain Bougrain Dubourg, il discutait jusqu'à ce qu'il prenne une baffe de ses chasseurs de palombe favoris.

Est-ce-que j'ai l'air d'être en colère? Tout ça parce que j'ose dire ici mon désaccord avec vous?

J'ai un tête de chasseur de palombe? Pas de pot pas plus que je ne conduis je ne chasse pas non plus, désolé.

Pour ceux qui pensent que c'est une police contrôlée par un état démocratique qui a entraîné la disparition des peuples autorégulés (et l'Australie qui assassine les Aborigènes, bel exemple de totalitarisme), tentez votre propore petite expérience de communautée: je vous promet que si ça marche des millions de gens se joindrons à vous béatement.


Bon week end à vous.

Vous parliez au départ de la nécéssité d'un état encadrant la liberté et voilà que maintenant vous dites "les démocratie". Pourquoi? Tout état serait-il forcément "démocratique"? mais bon c'est là un autre débat.

Mais sinon et oui les Amerindiens ont bien étés "génocidés", pour reprendre vos terme, par une démocratie. De même l'Australie qui a massacré les Aborigènes était bien sous souveraineté Britannique (la plus vielle des démocratie).

Pour finir je ne vous ai pas attendu pour "tenter" ma propre (pourquoi petite) expérience de communauté, par exemple j'ai participé dans les années 80 à l'ouverture de nombreux "squatts d'artistes" et effectivement ils étaient nombreux à vouloir nous rejoindre.

Mais devinez quoi, l'état toujours prompt a protéger la liberté des propriétaires a joui de leur bien dont ils ne faisaient rien depuis des années parfois, a à chaque fois mis fin à l'aventure.
Et vous n'avez pas pu jouir du bien d'autrui (le vilain, il ne l'utilisait pas lui même!)?

Vous avez raison, c'est insuportable, il n'y à que l'état pour empêcher les gens de bonne volonté de faire le bien.
Il y a un squat juste à côté de chez nous, j'ai une frousse terrible que mes enfants en s'en approchant choppe une des multiples seringues ou mporceau de bouteille cassé qui y foisonnent. Les murs sont couverts de graphes (magnifiques oeuvres d'art à la gloire de la liberté de dégrader le bien d'autrui) et les sols de crottes humaines.

Mais je digresse, je digresse. Nous arrivons un peu là ou arrivent les choses que l'on laisse faire en espérant une belle expérience: une friche tellement insalubre qu'elle doit être démolie pour raison sanitaire. Le résultat d'une absolue et totale liberté. La liiberté est trop belle pour être défraîchie par l'absence des quelques règles essentielles. Celle que n'observent pas les intervenants du forums que M Merchet à fermé. Insalubre=démoli.

CQFD, merci de votre assistance dans cette démonstration.

Et vous n'avez pas pu jouir du bien d'autrui (le vilain, il ne l'utilisait pas lui même!)?

Vous avez raison, c'est insuportable, il n'y à que l'état pour empêcher les gens de bonne volonté de faire le bien.
Il y a un squat juste à côté de chez nous, j'ai une frousse terrible que mes enfants en s'en approchant choppe une des multiples seringues ou mporceau de bouteille cassé qui y foisonnent. Les murs sont couverts de graphes (magnifiques oeuvres d'art à la gloire de la liberté de dégrader le bien d'autrui) et les sols de crottes humaines.

Mais je digresse, je digresse. Nous arrivons un peu là ou arrivent les choses que l'on laisse faire en espérant une belle expérience: une friche tellement insalubre qu'elle doit être démolie pour raison sanitaire. Le résultat d'une absolue et totale liberté. La liiberté est trop belle pour être défraîchie par l'absence des quelques règles essentielles. Celle que n'observent pas les intervenants du forums que M Merchet à fermé. Insalubre=démoli.

CQFD, merci de votre assistance dans cette démonstration.



Votre prose fait preuve d'une telle mauvaise foi et méconnaissance du sujet (les gentils propriétaires qui entretiendraient leur bien tout en le laissant à l'abandon pendant des lustres versus les méchants squatteurs qui dégraderaient les bâtiments alors que bien souvent ils étaient obligés de les rénover)

Je laisserait juge les gens qui à Paris ont pu fréquenter des lieux comme "l'usine éphémère" puis "l'hôpital" du même nom, les "frigos" à bercy ou bien encore la "miroiterie" à belleville.
Voir même à l'étranger ceux qui ont pu visité "Chistiana" de l'inanité de vos propos.

Pour ma part devant tant d'aprioris je rends les armes et n'essayerais plus d'avoir avec vous un quelconque discussion posée et arguementé puisque visiblement vous en êtes incapable.

Au passage je note que vous avez été totalement incapable de démontrer ici que comme vous l'affirmiez péremptoirement que "tout groupe humain livré à lui même en dehors de toute règle et contrainte ne saurait que s'abimer et sombrer dans la "barbarie""

Allez je vous laisse à vos certitudes et à votre bonheur de voir notre Badinguet contemporain restaurer l'autorité de l'état que vous appelez de vos vœux.
A vous aussi, bonne continuation sur les forums. Pourvu que vous n'y fassiez pas trop de mauvaise rencontre, même ces lieux sont farcis de gens peu recommandables.

Merci pour le lien, j'ai encore pu améliorer ma pauvre culture.
J'avais trop rapidement lu vos propos précédents... pardonnez-moi.
Mais je suis plus mitigé concernant lesdites peuplades (en voie d'extinction). La coercition peut être très forte dans les « tribus primitives » (excusez le terme) : non seulement sous le carcan de dieu (ou dieux) et de ses représentants terrestres, mais aussi de rites plus où moins sévères.
Nous avons souvent tendance (moi le premier) à idéaliser l'autre parce qu'il fonctionne différemment (et par là même sans nos propres défauts) : ce qui ne le décharge pas de ses propres vices.

Anthony

J'avais trop rapidement lu vos propos précédents... pardonnez-moi.
Mais je suis plus mitigé concernant lesdites peuplades (en voie d'extinction). La coercition peut être très forte dans les « tribus primitives » (excusez le terme) : non seulement sous le carcan de dieu (ou dieux) et de ses représentants terrestres, mais aussi de rites plus où moins sévères.
Nous avons souvent tendance (moi le premier) à idéaliser l'autre parce qu'il fonctionne différemment (et par là même sans nos propres défauts) : ce qui ne le décharge pas de ses propres vices.

Anthony



Comment dire oui...et non..

Oui je suis d'accord avec vous il ne faut surement pas idéaliser tel ou tel et dans toutes les sociétés il y a des conflits (y compris des conflits de pouvoir), de la violence etc.
Croire qu'une organisation sociale quelle qu'elle soit pourrait éradiquer ce genre de chose serait illusoire bien évidement.

Pour ce qui est des carcans imposés par les chamanes, il faut aussi prendre en compte notre tendance naturelle a utiliser nos grilles de lecture culturelle (ethno-centrisme) pour décrire
ces phénomènes.

Pour être plus claire nourrit comme tous des représentations courantes (je me rappelle par ex les personnages de chamanes dans lucky luke) j'ai été très étonné d'apprendre adolescent qu'en fait le pouvoir de celui-ci n'était pas du tout aussi absolu que je le croyait. Par exemple il n'était pas rare que si celui-ci échouait à guérir un membre de la tribu ou si la chasse avait été mauvaise à cause qu'il ai mal lu les augures il ne soit chasser de la tribu quand il n'était pas purement et simplement occis (il est beau celui-là je l'aime bien).
Je comprends moi aussi cette décision. Je ne connais pas son blog mais après avoir participé à quelques forums, force est de constater que, confortablement cachés derrière leur écran, un grand nombre d'internautes est grossier, insultant, la plupart du temps sans avoir aucun argument pour justifier leur "colère". On retrouve même ce phénomène sur des forums ou la politique, l'actualité ne font pas parties des thèmes abordés, c'est à dire que même sur des sujet anodins certains se croient autorisés à laisser de côté la plus élémentaires des politesses, celle qui consiste à respecter son interlocuteur. A quoi cela est-il du ? L'impression d'impunité d'un commentaire anonyme ou signé d'un pseudo ? Ces gens sont-ils aussi grossiers quand ils sont face à face avec leur interlocuteur ?

Certainement, l'internet permet de se défouler avec l'impression que l'on est à l'abri de toute répercussion. Mais lorsque l'on supprime ces commentaires dûs à la colère, est-ce que l'on supprime la colère ? Lorsque quelqu'un vous crie dessus, est-ce que vous pensez résoudre les problèmes en lui mettant du ruban adhésif sur la bouche pour qu'il ne puisse plus parler ? Moi j'irais parler tout simplement à la personne en question. Beaucoup de disputes pourraient être réglées comme ça, plutôt qu'avec la censure. Ou en laissant un peu d'eau couler sous les ponts, et en demandant des excuses par la suite.

Cette dérive est peut être aussi du au fait que les auteurs de certains blogs se retranchent un peu trop facilement derrière le le principe qui veut que "tout propos n'engage que son auteur". Ils ne font pas de vraie modération de leur site (parfois, ils ne le peuvent pas sauf à en limiter son accès).

Je dirais qu'il n'est pas facile d'avoir des commentaires insultants sur son blog, et que la législation fait qu'il n'est pas facile de se laver les mains de ces commentaires par la suite. Certainement, cela ressemble à de la lâcheté lorsque la norme est la censure. Moi je trouve que c'est très courageux.
Mais lorsque l'on supprime ces commentaires dûs à la colère, est-ce que l'on supprime la colère ?
Le problème c'est que bien souvent ça ne veut pas dire qu'il y a une colère derrière, juste des gens qui n'ont aucun argument et qui, sachant qu'on ne les voit pas, se permettent des propos insultant. Ils sont indéfendables. Les gens vraiment en colère ont des choses à dire et n'ont pas besoin de se défouler sur des inconnus.

Sinon, j'ai du mal à voir ce que tu trouves courageux....
Permettez- moi de percevoir, dans la publication de ce sujet, un avertissement aux forumeurs d'@si suite à un commentaire laissé sur un forum "COUSIN" disparu dont l'article reste (pour le moment) introuvable (ou autocensuré).
Pourriez-vous, à votre tour, percevoir dans l'établissement de cette corrélation que nos yeux demeurent grand ouverts?
Décidément, vôtre;...
Bien à vous, akfak.
le niveau des commentaires s'est considerablement appauvri sur bon nombre de blogs..
Avez vous lu les commentaires sur les BLog Medias.. ( news télé et autre )
Cela devient proprement affligeant... d une betise confondante, avec des commentaires quelques fois d une mechanceté etonnante !!!

Je comprends parfaitement la decision de ce journaliste.

Devoir gerer ( ou faire gerer) des internautes quelques fois "haineux" qui s'invinctivent a longueur d'echanges et de " posts"......!!!
La censure m'horrifie, je préfère avoir des injures parmi mes commentaires plutôt que de priver les gens de leur liberté. Les sentiments d'un colonel insulté nommément ne sont rien en comparaison du principe de liberté qu'on piétine. Qu'on ne s'étonne pas après si les informations sont tellement encadrées, le principe est exactement le même: des personnes proches du pouvoir ne vont pas aimer du tout ce qu'on va dire, donc on ne le dit pas.

La liberté ça se pratique tous les jours, pas simplement quand on va sur Arrêt sur Images lire des articles sur telle chaîne télévisée qui musèle ses reporters, mais aussi et surtout dans la façon dont nous nous comportons, dans les décisions que l'on prend.

Honte à Merchet.
qui pose les questions,
PPDA peut etre
Il y a des adjudants parmi les @sinautes ?

***
Mr Merchet a eu raison de fermer les commentaires. De toute façon cela n'aurait fait qu'empirer.
Nous étions sur la même fréquence que la présidentielle.
Dès qu'un blog de réflexion apparaît et défrise la "nomenklatura" arrive une volée de parasites (trolls) qui viennent régler des
comptes ou venger leurs frustations.
Je vais vous avouer quelque chose, je suis militaire de carrière, lorsque j'ai envie de dire merde, je le dis (en des termes, certes,
politiquement corrects et argumentés), cela m'est arrivé quelquefois.. La seule contrainte, être irréprochable dans le boulot et d'une grande honnêteté
morale. Carcassonne ou l'Afga me touchent, mais le ministère n'avait qu'à mieux communiquer. Après l'affaire "Poncet", l'EMA avait dit : "on a compris",
le constat impitoyable est que "NON".
C'est comme pour l'Adefdromil, au départ seuls les gens qui avaient des soucis avec l'administration militaire la connaissaient, et bien il a fallu que
des "généraux qui sze sont cru un peu PROU PROUT et surtout très malins" (cela existe?) donnent l'ordre (écrit) aux militaires de pas aller sur ce site,
résultat explosion de l'audience.
Que Mr Merchet continue, comme vous ou le canard, a nous informer. C'est la raison pour laquelle je me suis abonné.
Bonne soirée, je vais voir les desperates.
Vincent
il faudrait penser à une modération par les internautes ? du bénévolat, pour la sauvegarde des commentaires, je suis sûre que ça fonctionnerait...
Dommage, mais les explications sont très claires et justifient la décision.
Plus généralement, j'espère que celà ne constituera pas un précédent pour l'évolution du fonctionnement des débats en ligne.
Peut-être à rapprocher de la décision récente de Versac de mettre fin à son blog ? Comme si, à partir d'un certain moment, le blog était épuisé, de lui même ?
Lorsque l'on voit le niveau des commentaires... (sur libération par exemple) : on peut comprendre une telle décision.
Le site a été victime de son succès... porte ouverte à tous les maux.

anthony [ blog à part ]
Il manque une information: Qui pose les questions ? ASI ?

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