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Mendy, Bedos, Depardieu: "Sale été" pour les femmes

Tous les samedis, l'édito médias de Pauline Bock, envoyé la veille dans notre newsletter hebdomadaire gratuite, Aux petits oignons : abonnez-vous !

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ca n'est pas un article mais une chronique  où il est attendu que son auteure mette en perspective un sujet avec une certaine liberté éditoriale. la subjectivité a tout a fait sa place et si l'auteure veut relativiser le verdict je ne vois pas o(...)

Merci Pauline pour ce texte qui met en évidence, tout comme les commentaires, les regards différents selon sa situation!

 Je suis femme et quand on est femme on peut difficilement s'extraire du fait que des attouchements ou des viols sont diffici(...)

Aux petits oignons cuisinés au woke ? 

Quel est l'intérêt d'un "article" qui consiste à recopier Mediapart sur Mendy, Bedos ou Depardieu ?


D'accord, je n'ai guère de sympathie pour Depardieu, et Bedos est quant à lui manifestement space.


(...)

Derniers commentaires

une accusation n est pas une preuve, sauf sous l inquisition, cvhez staline et hitler!pauline bock oublie l affaire d outreau!


Condamnés ou pas, ils sont moins en état de nuire. Donc merci à toutes les personnes qui ont le courage de tenter de faire passer la justice.

On l'espère, que cela devient moins facile pour eux d'abuser. Mais on n'est pas sûr, parce que si la presse entretient la confusion entre le manque de preuve et l'innocence, c'est comme si on effaçait le Ⓜ️ plaqué à la craie sur leur épaule.


La une de l'équipe est quand même magnifique. 

On voit bien que l'histoire racontée par cette illustration devrait être celle d'une émotion de rescapé, indépendamment des titres et des proportions choisies pour la taille des lettres.

Les couleurs, jusqu'à celle de la lèvre inférieure, la non profondeur de champs, enfin un visage foncé dont la peau est respectée, le regard, tout n'est qu'expressivité, harmonie, et volonté.

Mais malheureusement, je ne vois que cette petite zone noire floue sur le col blanc, il me faut la déchiffrer pour comprendre ce qu'elle représente. 

Des poils de barde! 

Comme lespoils du micro du gars du son, qui capte le silence de l'image, et est en survète parce que c'est un magazine sportif.

Je suis quand même gêné par la chronique sur le cas Mendy... Nous vivons dans un état de droit (et le Royaume-Uni où a eu lieu le procès aussi). Il y a eu une décision de justice et elle s'impose à tous. Chacun peut avoir son avis sur la culpabilité de Mendy mais, la réalité est qu'il n'est pas considéré comme coupable par la justice. On ne peut pas dans un état de droit sans cesse critiquer les décisions de justice quand elles ne vont pas dans le sens que l'on souhaiterait. 

Ils me semble par contre qu'il faut soulever le problème de l'absence de preuves suffisante qui fait qu'il y a certainement nombre de violeur qui ne sont pas condamnés par la justice. Et cela me paraît profondément insatisfaisant. Mais je reste dans la généralité et je ne me base pas sur un cas particulier, ici B. Mendy car je ne sais rien de sa culpabilité réelle.


Par contre, concernant la Une de l'Equipe, je la trouve choquante. Je ne suis pas sûr comme le disent certains qu'il y aurait eu une Une "Condamné" en cas de condamnation... Faire un événement de cet acquittement ne me paraît pas conforme à la vocation de l'Equipe qui est un journal sportif (OK, c'est un footballeur de haut niveau mais l'accusation n'a rien à voir avec le foot). Et j'ai l'impression que le titre simplifie tout et joue un peu trop la musique du "plein d'hommes sont accusés injustement"...

Il y a quelques années déjà j'ai lu dans un entrefilet d un journal dont j'ai oublié le nom. Une femme élève vétérinaire fait du stop dans un pays de l'est , elle se fait violer. Trouvant la chose "inoubliable" elle propose  un autre  rdv au soudard pour le jour suivant, celui ci  étonné trouvant la proposition à son goût en redemande et honore le rdv suivant. 

Le lendemain, changement de scénario la " belle" réussit à lui injecter un sédatif puissant et... derechef avec un appareil a castrer les moutons opère sans coup férir sur les parties génitales du triste sire. 

C est pas bien je suis d’accord, d'ailleurs elle a été condamnée pour ça. Je sais pas pourquoi mais ca me fait du bien de le raconter.

Merci Mme Bock pour vos synthèses sur l'information.

N'étant abonné ni à l'Equipe ni au Monde et ayant plus de 60 ans, je suis épargné par la lecture de certains articles (j'espère que vous avez une bonne assurance maladie !)

Continuez à nous informer sur l'air du temps, même si le forum confirme parfois son parfum nauséabond !

Mais bon sang !!! Ou avez vous lue dans cet édito que le verdict de Mendy n'est pas le bon ?  

Oui je crois les victimes, ce qui du coup me fait dire que la justice a raté son coup. Mais c'est comme ça ; et oui, la présomption d'innocence fait qu'il est libre, quoi qu'on en pense (mais on se garde le droit d'en penser qq chose même si ça vous défrise).

Cet EDITO (donc avec un avis...) n'est pas là pour établir si, oui ou non, Mendy est un violeur, mais il analyse le traitement médiatique fait autour des hommes accusé de viol. Traitement qui évolue aussi lentement que certain "patriarche" *  sur ce site...


* a prendre au sens le plus péjoratif que ce terme puisse prendre

Après l'épuisement de toutes les voies de justice, ce n'est pas la présomption d'innocence qui fait que Mendy est libre, c'est le fait que le jugement a échoué à établir sa culpabilité et qu'il a, par conséquent, reconnu (pas présumé) son innocence.

Ce n'est pas la présomption  d'innocence qui fait que Mendy est libre c'est <définition de la présomption d'innocence>.

Difficile de vous contredire sur ce point.... Sinon répondre au vrais question....


Je crois qu'il existe une différence entre "acquitté" et "innocenté", et il me semble que certains articles ou commentaires l'oublient. 

Il me semble que c'est bien la présomption d'innocence qui fait qu'il est considéré comme innocent, faute de preuves — et non le fait que son innocence ait été prouvée (alibi en béton, impossibilité physique de commettre le crime, etc.).


Personnellement, je n'en tire aucune conclusion, ne connaissant pas le dossier. Mais je comprends tout à fait que, sans affirmer sa culpabilités, certains ne soient pas convaincus de son innocence.


De mon point de vue, votre commentaire est l'un des plus sensés qu'on puisse lire sur ce fil.

L'ambiguïté réisde en fait dans le fait qu'il s'agit d'un jugement, c'est-à-dire d'un objet judiciaire. Or, considéré sous l'angle judiciaire, on est innocent si on n'est pas coupable.

En revanche, vous pointez ce qui est problématique, à savoir la conviction de chacun.e. Et là, pour le coup, c'est à chacun.e de se faire son idée... sans toutefois perdre de vue que cette conviction ne peut avoir aucune portée plus lointaine que l'horizon propre de qui s'est forgé cette conviction.

Et pour le coup, je suis comme vous : n'ayant pas d'autre accès au dossier que les articles que j'ai lus (pour l'essentiel sur L'Equipe), je suis incapable de tirer la moindre conclusion. Je me borne à considérer que, sur le plan des principes, c'est plutôt une bonne chose qu'on n'ait pas condamné quelqu'un dont on a été incapable de prouver la culpabilité, sans toutefois balayer d'un revers de main le caractère profondément insatisfaisant (pour dire le moins) de la répression des violences sexuelles par l'institution judiciaire.

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Je sais pas si y a des juristes dans le coin, mais ça me pose question.

En terme de droit est-ce que quelqu'un qui n'est pas reconnu coupable est forcément reconnu innocent ?

Pour autant que je sache, aucun tribunal ne reconnaît formellement l'innocence de personne : si je me rappelle bien, même le procès en révision (le deuxième, celui en appel) de Patrick Dils n'a abouti qu'à un acquittement : techniquement, le même type de jugement que celui de Mendy.

A vrai dire, je ne suis même pas certain que le mot même "innocence" soit présent dans le vocabulaire juridique, hormis dans le cas de la présomption d'innocence.

Néanmoins, si on n'est pas coupable, c'est nécessairement qu'on est innocent.e. Et pour être reconnu.e coupable, il faut avoir été jugé.e.


En droit Français (que je maitrise déjà suffisamment mal pour ne pas m'aventurer dans le droit Anglais -cas de Mendy), sauf erreur de ma part, il n'existe que le non lieu, l'acquittement ou la relaxe.


Le non lieu ce produit lorsque le juge estime qu'il n'a pas -et ne parviendra pas- a réunir des preuves ou éléments suffisant pour même amener la personne a un procès.


J'ai jamais bien compris la différence profonde entre la relaxe et l'acquittement. Je crois que l'un est prononcé par un juge et l'autre par un jury. Peut être d'autre @sinote plus compétent que moi saurons répondre. 


En tout cas (a ma connaissance qui encore une fois est limité) il n'existe aucune distinction entre blanchie totalement et innocent faute de preuve de culpabilité. Les seules indices de cette nuance peuvent toutefois apparaitre dans les attendu du jugement. Mais qui en prend connaissance ?

La "relaxe" s'applique aux prévenus déclarés non coupables par le tribunal de police (pour les contraventions) ou par le tribunal correctionnel (pour les délits).

L'"acquittement" s'applique aux accusés déclarés non coupables par la cour d’assises (pour les crimes).


Ceci pour s'en tenir aux trois juridictions pénales du premier degré.

Pour rappel, les infractions sont classées en trois catégories selon leur degré de gravité : contraventions, délits, et crimes (par ordre croissant).


Il y a aussi le classement sans suite (que peut décider le parquet suite à une plainte), en quelque sorte en amont du "non-lieu" (que peut décider le juge d'instruction).

c'est quoi le problème avec Mendy en fait ? ça a surpris tout le monde mais il a été acquitté. faut bien faire avec. pas la peine de faire un article vengeur avec 2 fois rien ("Mendy se vante d'avoir couché avec 10 000 femmes", ouaouh, incroyable, ça c'est du délit).

et "relancer sa carrière", c'est vite dit. le gars passe de Manchester City à Lorient, à 29 ans et en ayant pas joué depuis 2 ans. il va falloir du travail si il veut retrouver un niveau un tant soi peu correct.

"Personnellement l'article sur Barbie m'a fait levé les yeux au ciel tant je trouvais affligeant que les intervenant et l'autrice considérées comme nouvelles des pratiques anciennes".


C'est sans doute parce que la rédaction est jeune. À ASI, la seule mémoire, c'est Daniel Schneidermann. Embauchez des vieux (de moins de 60 ans tout de même) et si vous en avez un qui traine dans l'équipe, bichonnez-le et faites lui manger du poisson, c'est bon pour la mémoire.

Mendy est acquitté fautes de preuves. Mais croyez vous que les femmes qui ont porté plainte sont des menteuses?Non je ne crois pas.,mais pour avoir des preuves c'est pas facile. Et si en plus l'accusé a les moyens de se payer de bons avocats,l'affaire est pliée.

"Mais avait-on vraiment besoin d'une série en cinq épisodes sur Depardieu ? "

Peut-être pas en effet.

Comme "on" a pas besoin de lire plusieurs articles au traitement similaire sur le même sujet
Comme "on" a pas besoin de 90% de la production journalistique française actuelle
Comme "on" a pas besoin de nombreux articles d'@asi (dernier en date : celui sur la promotion du film Barbie dont je m'étonne que son autrice et ses intervenants découvrent des mécanismes déjà usités dans le milieu depuis de très nombreuses années)

Donc en effet "on" à pas forcément besoin d'articles, de séries d'été (au Monde ou ailleurs) etc. Il fait beau en plus, on peut faire des choses plus productive.

Mais voila, on ne devrait pas être être dans un monde qui juge sur le besoin ou l'utilité supposée. Bref dans un monde productif. D'une part parce que cela sous-entend qu'il y a des juges bon à décrété ce qui est bon ou pas (et, perso, j'ai voté pour personne à ce sujet. Quoique...) mais surtout cela suppose que nous sommes tous égaux face à l'information, face au monde.

Ce qui n'est pas le cas.

Personnellement l'article sur Barbie m'a fait levé les yeux au ciel tant je trouvais affligeant que les intervenant et l'autrice considérées comme nouvelles des pratiques anciennes. Mais......mais en réfléchissant un peu je me dis aussi que beaucoup de personne moins au fait de ces questions, moins passionnés par ces coulisses on pu y trouver des choses. Donc il est bon que cet article existe. Il rempli, peut-être, un besoin. Petit certes, mais réel.

C'est le cas d'une bonne part de la production journalistique. Pour certaines personnes c'est de la redite, pour d'autres c'est le moyen de découvrir quelque chose. Parce qu'on est pas égaux face à l'information, parce qu'on a pas la même vie, le même temps à s'y consacrer, la même manière de s'y attarder.

Et je suis étonné qu'une journaliste d'un média dénoncant à raison l'emballement médiatique récurrent de nombres de ses confrères puisse de poser la question d'un besoin d'une série au long cours prenant, justement, le temps d'aller au fond des choses sur un sujet si important et d'interroger en détail le passé. Ce format long, pour certains, est autrement plus révélateur et plus frappant qu'une énième chronique ou intervention télé sur le sujet noyé au milieu des autres.

En prenant le temps de contextualiser, de reposer l'histoire, de mettre en lumière, cette série démontre par sa forme qu'elle est, bien évidemment, nécessaire. Elle montre l'hypocrisie de plusieurs milieu (ciné, journalistique etc.), elle restitue dans un environnement violent où il n'est pas une exception (Pialat, Weinstein) et comment une histoire personnelle se réécrit,  comment notre vision vis à vis de cela évolue. C'est aussi un miroir sur nous-même et notre rapport à cet acteur mais aussi à des possibles événements similaire dont a pu être le témoin.

Vous n'y voyez pas un besoin du fait de votre métier, de votre expérience, de votre vie, de votre travail sur la question ou que sais-je encore mais pour d'autres personnes (beaucoup d'autres serais-je tenté de dire), soyez en certaine, cette série est bel est bien utile.



Quant à la série de six articles (pas cinq, six, le sixième sera publié aujourd'hui) sur Depardieu dans Le Monde, il faut tout de même avoir l'esprit... bizarrement tourné pour y lire une réhabilitation, même mezzo voce, de l'acteur.

Parfois je me demande vraiment comment Bock lit les articles qu'elle cite. Ne serait-ce que l'inexactitude sur le nombre d'articles que comprend la série sur Depardieu suggère une certaine négligence.

Le commentaire sur la série du monde sur Depardieu me dérange. 1) la série n'est pas finie. il manque le dernzt et l'avant dernier a été publié hier tard. C'est peut être un peu tôt pour faire une critique de série d'articles dans sa globalité.

2) cette série est équilibrée selon moi. Elle a commencé par le présent et l'isolement de Depardieu et refait sa carrière à l'aune de son comportement. Où rien n'est je crois oublié. On mesure l'importance artistique et économique du bonhomme, de ses fêlures et de ses débordements (le dernier épisode j'imagine abordzra  l'aigreur post oscar 1991 et son basculement dans la médiocrité et la provocation)

On pourrait reprocher au journal du soir de faire ce papizr que maintenant, d'être comme les autres, à savoir être en capacité de sortir toutes les anecdotes (vielles de 30ans qd même), détails qui témoignent à charge que lorsque la bête est à terre. Étonnant tout ce savoir qui dort patiemment et qui attend qu'on veuille bien le publier. Une enquête sur la docilité des médias, des puissants devant ce type de comportement serait le bienvenu ? Une enquête sur ce que la société a laissé passer (propos de Marceau très clair en 85 !! les réactions de l'élite devant le scandale des Oscars etc) serait intéressante également. Mais au demeurant cette série est une oeuvre journalisque fouillée et passionnante. Je ne vois pas que ce qu'il fait avec cet article du Parisien (si les extraits sont bien représentatifs de l'article)

Je defens la presse d'opinion mais en tant que lecteur et abonné, je suis à ma place pour vous dire que là il y a un grosse tranche de mauvaise foi.

C'est vrai que l'acquittement de Mendy est un pur scandale : si on ne peut plus condamner les gens par manque de preuves, où va-t-on ? Comme (ne) le disait (pas) Voltaire, je préfère cent innocents en prison qu'un seul coupable en liberté.

Ah, et par ailleurs : la vantardise de Mendy à propos des 10000 femmes avec lesquelles il aurait couché, ou la description de Mendy en prédateur n'ont certes pas fait la Une de L'Equipe, mais on les trouvait dans les articles que ce journal a consacrés au procès. Quant à la Une de L'Equipe, il est loisible d'imaginner que si les preuves avaient permis une condamnation, le titre aurait été quelque chose du genre de "Coupable". Parce que l'information (qui tient en un seul mot), c'est bien le verdict.

Merci Pauline pour ce texte qui met en évidence, tout comme les commentaires, les regards différents selon sa situation!

 Je suis femme et quand on est femme on peut difficilement s'extraire du fait que des attouchements ou des viols sont difficilement prouvables. La déférence fasse aux plus puissants l'est beaucoup plus... et "heureusement" que la fille Kouchner portait ce nom, cela lui a permis d'avoir des oreilles bienveillantes dans les médias qui confirment qu'ils ne font pas mieux que les "réseaux".

Il est de bon ton dans la période de considérer les hommes pour des loups et les femmes pour des agneaux, ASI monte aux crénaux lui aussi avec un article qui a du mal à saisir des propos provocateurs à une véritable agression... Mais comme dit précédemment il faut charger la barque... Pauline Bock ne fait pas dans la nuance c'est tout blanc ou tout gris, peut-être une certaine frustration pourrait justifier cela... Merde " des propos mysogines" ou peut-être une réflexion sur l'attitude comdamnable de mâles précipités mais aussi de femmelles, flattées, en quête d'un rôle, de folles envies d'être dans la lumière... Les secondes n'excusent en rien les premiers mais posent le débat en d'autres termes !! Raymond Mathieu

Mendy recruté par Lorient, Haouas par Biarritz (rugby).
C'est plutôt un bel été pour les violeurs et les violents.

Madame Bock aurait peut-être aimé que Mendy soit condamné, même sans jugement. 

Le féminisme ne devrait pas être un combat contre les hommes, mais pour l'égalité des droits. 

Vous oubliez Jean Lassalle.
L'ex-député fait l'objet d'une enquête préliminaire pour viol et agression sexuelle, des faits remontant à 2010 dont il ne se souvient plus du tout.

La femme qui l'accuse aurait pris contact avec l'homme politique alors candidat MoDem aux élections régionales en Nouvelle-Aquitaine, pour une histoire de changement d'école pour son fils, convaincue qu'il aurait pu l'aider dans sa démarche. C'est dans un hôtel bordelais que Jean Lassalle en aurait profité pour la violer selon elle (LaDépêche.fr).

"La méthode Darmanin", initiée un an plus tôt à Tourcoing.

En 2017, une attachée parlementaire, Julia Castaner, l'accusait de lui avoir mis la main aux fesses alors qu'ils se rendaient tous deux vers l'hémicycle. Mais là encore, il ne garde aucun souvenir de ce geste.

Aux petits oignons cuisinés au woke ? 

Quel est l'intérêt d'un "article" qui consiste à recopier Mediapart sur Mendy, Bedos ou Depardieu ?


D'accord, je n'ai guère de sympathie pour Depardieu, et Bedos est quant à lui manifestement space.


Je ne sais pas quoi penser de Mendy, ne m'intéressant pas au monde du foot, mais l'article laisse entendre de manière à peine voilée qu'il a été acquitté à tort de ses accusations de viol et de tentative de viol.
Non seulement  ASI recopie Mediapart, mais il veut lui aussi mettre le tribunal médiatique au-dessus de la justice ?

Je ne suis pas sûr de suivre...

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