104
Commentaires

Marche des fiertés : "les couleurs arc-en-ciel, je m'en fous !"

Politique, entreprises, police... tous participent désormais à la Marche des fiertés LGBT. Les villes comme Paris se veulent favorables aux LGBT et repeignent quelques éléments de leur mobilier urbain en arc-en-ciel. Vraie avancée ou pink washing ? Sur notre plateau : Arnaud Gauthier-Fawas, administrateur de l'Inter-LGBT qui organise la Marche des fiertés parisienne, "Camille" du collectif de luttes et d'actions queer (Claq), Thierry Schaffauser, porte-parole du Syndicat du travail sexuel (Strass) et Joël Deumier, président de SOS Homophobie.

Commentaires préférés des abonnés

Approuvé 23 fois

Je suis extrèmement choqué (et le mot est faible)

En tout début d'émission, Arnaud Gauthier-Fawas interpelle Daniel en ces termes : "mais je ne suis pas un homme, MONSIEUR"

Je ne sais pas ce qui peut permettre à cette personne de s'adresser à notre Dan(...)

Quand au bout de 5 mn, tu te dis : "Mais c'est qui ce con ?" (1 chance sur 4), il faut vraiment t'accrocher pour continuer à regarder

Non, mais c'est un sketch : "le sponsoring nous permet de garder notre indépendance"


Bravo pour l'accent anglais en tout cas :-)

Derniers commentaires

l'argent n'a pas de sexe donc le capitalisme n'a pas les moyens d'ignorer les LGBT.

L'homo est un bon consommateur alors ils devient le modèle.

Très intéressante émission mais un peu monotone. 


Monotone car ce sont des hommes, représentants associatifs uniquement. Où sont les entreprises ? Où sont les Olivier Ciappa ou autres ? Où sont les Lyonnais, les Bordelais ou les blogueurs papa gay ? Où sont les hétérosexuels inclusifs ? Et surtout, on est bien d'accord, où sont les femmes, les mères lesbiennes ? Le choix des invités n'est pas bon mais ce peut être corrigé assez vite lors d'un débat sur la PMA.


Ceci dit, ça fait du bien de voir des visages. Quels qu'ils soient. Ca fait du bien de les entendre. Quelles que soit leurs points communs ou leurs différences aussi petites soient-elles.


Bravo pour la séquence de 1969 avec eux en premier plan. Les jeunes devant, les vieux derrière. Les novices devant, les pionniers derrière. Cinquante années après Woodstock et le Stonewall, qui je le rappelle ne sont séparés que par 200 km et deux mois à peine. Deux jours qui ont influencés l'histoire sociale du XXIe siècle mieux que beaucoup d'autres jours mieux connus. Deux jours qui ont permis des victoires plus belles encore qu'une coupe du monde. Aujourd'hui, il y a un bébé qui a dit, pour la première fois "papa" à son papa gay blogueur @maviedepapa. N'est-ce pas une victoire de niveau mondial ? :-)

Excellente émission qui permet d'entrer dans des débats parfois superficiels mais dont la superficialité n'est parfois que superficielle (houla...).

Vu de l'extérieur (l'extérieur c'est moi en l’occurrence, hétéro, plutôt tolérant et prêt à défendre les droits des homosexuels mais, je le reconnais sans m'intéresser plus que ça aux différentes "catégories" de LGBT et au détail des discriminations qu'ils subissent et des avancées qu'ils souhaitent), certains débats peuvent paraître secondaires, voire risibles.

Sauf qu'ils représentent de vraies lignes de fractures entre les intervenants (qui, il faut le souligner, même s'ils ne sont souvent pas d'accord, laissent les autres parler et respectent la parole de l'autre).

Leurs différentes approches me paraissent plus complémentaires que réellement antagonistes.


Quand à la séquence qui a fait parler, elle est un moyen un peu spectaculaire (provocante) de faire comprendre à Daniel S. mais derrière lui aux spectateurs, la réalité d'une discrimination qui commence par la non reconnaissance d'une différence.

Cela dit, cela tombe un peu à plat car cela ne répond pas à la remarque de Daniel qui reste juste (l'absence de femme sur le plateau; même si un invité ne se définit pas comme homme, il ne se définit pas non plus comme femme).

D'autre part, ce type d'attitude peut parfois desservir le combat mené car, vu les réactions d'incompréhensions voire d'hostilité face au phénomène LGBT en général, la radicalité de ce discours peut contribuer à d'avantage de rejet comme l'a montré le bruit médiatique sur cette intervention (bruit médiatique largement excessif  car il n'est pas du tout représentatif de l'émission et des positions de ce monsieur)



Bon , on va mettre tout le monde d'accord: https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Homme_qui_prenait_sa_femme_pour_un_chapeau


Pour une fois, j'attaque la vision de l'émission après l'avoir entendue buzzer.

Et bien franchement, je trouve la séquence (désarmante) qui a buzzé très périphérique, et l'émission très intéressante. Avec effectivement de fortes réminiscences de "120 battements par minute", dans ces débats passionnés et bien fondés entre militants d'une même cause, mais avec des visions très différentes.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

L'être humain qui porte des boucles d'oreilles répondant au nom de Camille (ça va, c'est assez neutre comme description ?) emploie le terme "racisé" et "non-mixité" pour décrire son cortège. Ses propos à ce moment ne sont pas explicités.

Je ne comprends pas ces deux notions appliquées à ce cortège. Qu'est-ce que cela veut dire. 

Au cours de cette émission, j'ai eu par moment l'impression de ne pas parler la même langue que les êtres humains réunis sur le plateau. Le sens des mots semblent avoir changé, l'anglais colonise la pensée homosexuelle.


Cela me permet d'ailleurs de faire une remarque concernant cette abomination que représente à mes yeux l'écriture inclusive. Il s'agit à mon sens d'une attaque, que j'espère passagère, contre la langue elle-même. Ce qui me choque, outre le caractère rapidement visuellement illisible des phrases, c'est la disparition des accents qui modifient la prononciation.

Sur une banderole est ainsi écrit : "étranger. eres". 

Je regrette, mais le féminin d'étranger s'écrit avec un accent grave sur le e. Sinon la prononciation est fautive. Comme devra-t-on prononcer "Boulanger.ere" par exemple ? Devra-t-on mettre un point surmonter de l'accent grave au-dessus du "e". On nage en pleine absurdité.

 Vivement que cette mode passe.

Après quatre minutes d'émission, j'ai eu pour la première fois envie d'arrêter immédiatement de m'informer. Tout ça parce qu'une personne portant un nom masculin et ayant la peau claire s'offusquait d'être catégorisé "homme" par Daniel Schneidermann et ce alors que nous (DS inclus) le découvrions à peine.


Quatre minutes pour se rendre antipathique au possible, par grossièreté.


J'aimerais vraiment en savoir plus sur cette ébullition intellectuelle autour des questions de genre, mais je vis la confrontation avec mon ignorance comme une agression par tou·te·s les Arnaud Gauthier-Fawas de la Terre.

Vivement que vous invitiez un·e interlocu·teur·trice plus empathique.


Au sujet du plateau composé par des invités 100% masculins, je vous invite à lire la très interessante réaction d'Alice Coffin.


Post Alice Coffin

Bonsoir,


J'ai le droit de dire que l'homme blanc archétypal (agressif, dominateur,...) Arnaud machin m'insupporte au plus haut point sans être taxé d'homophobe!?


Blague à part, j'aurai apprécié que la personne du Claq ait un temps de parole plus important. Malgré les malheureuses trente secondes qu'il a péniblement réussi à obtenir, il avait l'air autrement plus conséquent que LE/LA prof non-binaire/héxadécimal.

Camille" du collectif de luttes et d'actions queer (Claq) -
Pouvez vous nous confirmer que ce célèbre anonyme est un membre du parti des indigènes comme nous l'avons vu sur twitter. Dans ce cas, l'immunité offerte par son anonymat est selon nous une faute de votre part qui meriterait une explication

Merci pour cette excellente émission.


La question de la non-binarité est intéressante et importante, mais elle trouve à mon avis un bien mauvais avocat (-e?) en la personne d'Arnaud Gauthier-Fawas. Celui-ci invite à distinguer identité de genre et expression de genre, s'identifiant manifestement comme non-binaire. En ce qui concerne ses expressions de genre, ou les performances qu'il donne à voir pour reprendre le terme de la théoricienne queer Judith Butler, qu'il a sans doute lue, celles-ci sont correspondent indéniablement à une forme somme toute assez classique de masculinité : discours d'autorité, ton péremptoire, prétention à représenter l'ensemble de l'interLGBT/de la marche des fiertés... certain-e-s diraient même que ces performances relèvent d'une forme assez toxique de masculinité.


Appeler à dissocier identité et expressions de genre, c'est tout bénèf' pour lui : il peut ainsi bénéficier des avantages sociaux et symboliques de ses performances viriles, tout en endossant le gilet pare-balles de la non-binarité pour le cas où on le lui ferait remarquer.

C'est une attitude assez détestable qu'on retrouve lorsque la question de la race est abordée : Quelles que soient ses origines, ce monsieur est clairement white passing (il passe pour un Blanc). En se prévalant d'une identité racisée, il cumule avantages liés aux assignations raciales dont il fait l'objet du fait de son phénotype (blanc) avec les gains symboliques liés à son identité minoritaire (revendiquée).


Or ce faisant, il contribue à invisibiliser les identités minoritaires. Pourquoi inviter une femme puisque vous m'avez, moi, qui ne suis pas un homme ? Pratique pour éviter d'avoir à se questionner sur sa légitimité à intervenir et sur l'opportunité de laisser sa place à une femme en tant que représentante de l'InterLGBT.

Pourquoi inviter un-e racisé-e puisque vous m'avez, moi, qui suis à moitié libanais ? Même effet de relégation vis-à-vis de celles et ceux subissant le processus de racialisation qui contribue à leur subjectivation comme racisé-e-s.


L'un des intérêts de l'analyse de Judith Butler est justement de faire disparaître toute référence à une supposée "identité" plus ou moins déconnectée des performances de genre. Pour elle, il n'y a pas de femmes ni d'hommes, précisément parce qu'il n'y a que des performances de genre, qui se répètent, se copient et s'inventent mais n'ont aucune "origine" substantielle qu'on pourrait déceler dans une hypothétique essence masculine ou féminine.

Christine Le Doaré, juriste, féministe universaliste et laïque sur les consternants invités d'Arrêt sur Images.

Merci Arnaud, de m'avoir montré l'exemple et aidé à révéler ma vraie nature !

Trop longtemps qu'on se fie bêtement à mon apparence et qu'on m'appelle "Monsieur".

Aujourd'hui, je fais mon coming out de femme noire, et me prénomme désormais Nafissatou.

il reste des manques a cette parade de l'égalité.... Ou est le char des myhopathes transexuels ? Celui des juives lesbiennes ? Celui des noir roux a lunettes et bisexuels ?


Parodie mise a part cette marche représente pour moi la bêtise des combats pour l'égalité d'aujourd'hui. Parce que justement c'est "des" combats pour l’égalité des lgbt, ou bien des femmes, ou bien des noirs, ou bien des juifs, ou bien....


A quand un retour d'une vision générale de l'égalité, qui ne se battra pas pour la faveur de la prochaine mini avancée sociale qui ne changera rien au fond du problème ?


L'égalité se joue d'abord et avant tout dans les droits du travailleur face au patronat. Quand on a reussi a mettre de l'équité dans ces rapports de force là, qu'on en aura fini pour de bon avec l'aristocratie (et si quelqu'un a la recette miracle qu'il la donne) alors on en aura fini de la meme maniere avec le facisme sous toutes ses formes, que sa tête de turc soit une couleur de peau, une nationalité, une religion, une sexualité, une idée politique.........


Seulement voila pour repenser a ce combat la en priorité il faudrait d'abord commencer par arrêter de se prendre le chou au jeu du kikalplus de droits

Des problèmes des LGBT, des femmes, des noirs ou bien des juifs sont spécifiques.

Vous n’avez pas suivi l’émission ?


Quand un adolescent ou une adolescente homosexuelle est virée de la maison par ses parents, et donc se retrouve SDF, il ne s’agit pas d’un problème de droit du travailleur face au patronat.

Quand une femme est violentée, il ne s’agit pas du tout d’un problème de droit du travailleur face au patronat.

La personne de peau noire qui est discriminée à l’embauche quand la personne à peau blanche ne l’est pas, etc., etc., etc.


D’ailleurs, certains pays ont réglé les rapports travailleur / patron tout en exerçant une violente oppression contre les LGBT.


(J’ai l’impression d’écrire des évidences, mais je pense qu’il vaut mieux le rappeler sur ce forum, certaines personnes étant carrément à l’ouest…)

La question est de trouver la cause des oppressions et je pense que la cause est la même partout: la propriété privée des moyens de production, l'appropriation par le patronat de la coopération sociale, le patriarcat et l'accumulation. Il ne faut pas regarder le doigt quand l'on vous montre la lune.

et le but est de mener une vie libre et digne, avec un salaire descent, du temps libre, un logement correct... des conditions de vie qui ne nous oblige pas à nous marier.

Le nationalisme, l'oppression des femmes, l'antisémitisme, l'homophobie, c'est le socialisme des cons, pour plagier Bebel.

le discours tristement commun du cassouleft (aussi appelé brocialist outre-atlantique). changez rien surtout. dans toutes les luttes révolutionnaires les femmes et les racisés sont en premières lignes et passent leur temps à expliquer aux hommes blancs que leur oppression compte aussi et qu'ils y participent, mais ils ne veulent jamais entendre, c'est toujours la même chanson. (révolution et commune de Paris, entre autres).

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Quand on aura plus de Bolloré pour payer des Zemmour a raconter de la merde facisante dans tous les médias, on aura vachement moins de problèmes en général, oui, même pour le pauvre type qui est juste viré de chez lui par ses parents qui refusent son homosexualité. Parce que le jour ou ça arrivera enfin, alors l’éducation et l'information pourront faire leur véritable travail et la haine de l'autre parce qu'il est différent finira par disparaitre, sous toutes ses formes.


Vous remarquerez d'ailleurs que les périodes les plus fastes en ce qui concerne la lutte contre le pouvoir de l'argent, sont également celles qui ont été le plus prolifiques en ce qui concerne l'avancée des droits de toutes les catégories de population.


Donc oui la lutte pour l'égalité des droits passe d'abord et avant tout par la lutte contre Bolloré et ses copains, parce que c'est eux le nœud du problème, fondamentalement. L'oublier, se contenter de luttes a petites échelles pour les droits de ceux qui vous ressemblent (moi et mes copains lgbt voulons plus de droits, moi et mes copines femmes voulons plus de droits, moi et mes copains hindouistes voulons plus de droits, et ainsi de suite a n'en plus finir), c'est se diviser entre nous, et jouer le jeu des fachos. C'est tout.

Pffff c'est pas le jeu du kikalplus. D'abord, l'égalité n'est pas un jeu. C'est un droit.

universel non justement ? Donc pas besoin de le dissequer en combat pour l'egalité des uns ou des autres. Combattons ensemble pour l'egalité de tous. Ca sera vachement plus productif.

sans compter que bon... "c'est un droit".... C'est un peu court jeune homme. Un droit a quoi exactement ? Réfléchissez bien a cette question. Commencez a parcourir la pente glissante du "tiens mais au fait ? Ça veut dire quoi égalité ? Ça veut dire quoi être égaux ? Et d'abord et avant tout... Comment on fait ?"


Quand vous aurez bien réfléchi a la chose comme beaucoup de philosophes l'ont déjà fait depuis longtemps,  vous comprendrez enfin que la racine de toute inégalité, ce n'est pas le sexe, ni la sexualité, ni la couleur de peau, ni l'origine, ni la couleur de cheveux, d'yeux, de poils de couilles, ce n'est rien de tout ca. L'origine de l'inégalité ce n'est que le fric et le pouvoir. Et la propriété.


Le reste n'est qu'un papier peint plaqué sur la réalité pour vous aveugler tous.

et avant que vous me rangiez simplement dans la case "communiste forcené" pour considerer mes arguments comme nuls et non avenus, sachez que c'est précisément autour du désaccord sur cette notion philosophique et ses consequences que tourne toute la politique.


soit vous considérez simplement que l'égalité n'est simplement pas possible dans une société, et c'est réglé, pas besoin de se poser plus de questions, soyons des enculés, ne pensons qu'a nos gueules, et que le meilleur gagne. De toutes facons paraitrait il que le pognon qu'on se fait en etant un enfoiré de la pire espece "ruisselle" miraculeusement sur tous ceux que vous avez entubés. En mode gueux qui a droit aux restes des repas du seigneur. et la vous etes de droite. Complexez pas c'est a la mode depuis 20 ans, même plus. Au point que meme ceux qui se reclament de la lutte pour l'égalité sont aussi individualistes que ceux qu'ils combattent (voyez l'exemple frappant du guignol invité ici). Au point que le parti qu'on nous vend partout comme "le principal parti de la gauche" a précisément volé en éclats parce qu'ils n'etait plus de gauche depuis un bail.


soit vous pensez au contraire qu'il faut se battre pour diminuer les inégalités, qu'on pourra un jour peut etre les faire disparaitre, a condition de changer completement de modele de société, alors vous etes de gauche. Mais dans ce cas la faites gaffe, et précisez a quel modele de société vous adherez derriere. C'est pas parce qu'on se rejoint sur le constat "cette forme de société c'est de la merde, l'égalité dans ces conditions ca ne peut pas exister", que pour autant on se rejoint forcément sur le modèle de remplacement. Mais forcément a un moment ou a un autre vous allez devoir réfléchir a cette question : quel modele pour remplacer notre monde capitaliste de merde ? Et la y'a aucune réponse simple, mais en tout cas si vous vous posez cette question, bienvenue a gauche.


Par contre si vous ne vous posez pas cette question et que vous imaginez, comme l'autre couillon qui etait invité, ou comme ce crétin de Macron, ou de Hollande, qu'on peut trouver une forme de juste milieu petite maison dans la prairie, et que oui on peut continuer a vivre dans une société de gros connards individualistes tout en reflechissant a la notion d'égalité en la prenant petit bout par petit bout pour donner une croquette satisfaisante a chacun.... eh ben vous etes de droite tout pareil que les enfoirés de la premiere option. On vous offrira un joli passage piéton arc en ciel pour vous montrer qu'on "pense a vous", et vous serez satisfait, parce que vous aurez fait "changer les choses". ouéééééé. cotillons et serpentins, sortez le champomy.

et pourquoi des lors, le direz vous, si vous etes dans le troisieme cas, vous classè-je ainsi comme "de droite", et pas, de facon plus politiquement correcte, "centriste", "ni de droite ni de gauche", "de la gauche de la droite", "de la droite de la gauche"... Eh bien tout simplement parce qu'en croyant pouvoir résoudre le probleme de l'égalité en le disséquant, vous ne faites rien avancer a rien sur aucune des questions les plus importantes liées a l'égalité universelle, vous faites a la rigueur avancer un petit chouille les choses pour vous et ceux qui vous ressemblent pour que la merde soit a peine plus supportable a l'avenir, point barre, et surtout, vous faites bien plaisir a votre égo que vous pouvez ainsi rassurer par un "mais si je me bats pour l'égalité". Sauf qu'en definitive, du coup, vous n'avez apporté un bénéfice, par votre combat, qu'a : -votre ego

-un tout petit peu vous et ceux qui vous ressemblent en tout point

-..... c'est tout merci d'avoir participé. l'égalité universelle vous doit tellement !


donc vous etes individualiste tout pareil que les individualistes que vous combattez. Meeerde, dommage ca partait d'une tellement bonne intention et ca donne une tellement grosse caricature.


Pour vous donner un ordre d'idées... eh ben c'est tout pareil que le mec qui se dit chrétien pratiquant, adhérant a fond au message de jesus, et qui crache a la gueule du mendiant a la sortie de l'eglise. Et qui fera bien sa confession tous les dimanches mais sans mentionner qu'il a cracher a la gueule du gueux parce que c'était juste normal. Le mec qui a rien capté a rien mais qu'est fier de lui parce qu'il a une religion tolérante vous savez ? Ben voila. Tout pareil. D'ailleurs, au fond, je crois en l'egalité universelle, et je crois en jesus, quand on a bien capté les deux, c'est pareil, vous remarquerez. le probleme c'est que tellement de gens les arborent comme un blason ridicule sans capter qu'ils font exactement l'inverse de ce dont ils se réclament

J'espère que les élèves d'Arnaud Gauthier-Fawas ne font pas la même erreur que Daniel, en confondant identité de genre et expression de genre, et ne commettent pas non plus l'affront de l'appeler "monsieur".

Pas de femmes ? Pas de lesbiennes ? Faut mettre le Bondy Blog sur l'affaire...Comme au sujet du café PMU de Sevran.Si l'interdiction n'est pas formelle ,ne serait-elle pas sociale ,et au-delà ne participerait-elle pas du sexisme génèral ? On ne voit jamais aussi peu que ce qui est juste devant nos yeux ! Une lesbian pride le 8 mars :pourquoi pas ?


"Nos invités déplorent ...." C'étaient donc tous des hommes ?  L'orthographe "inclusive "n'a pas fini de vous piéger.


Fiers marcheurs, pensez à vous hydrater ! 34°c prévus à Paris cet après-midi.

Buzyn vante son action sur Twitter : A l'hôpital de Versailles André Mignot pour rencontrer les équipes des urgences et du SAMU, et évoquer avec eux les dispositifs mis en place pour faire face aux fortes chaleurs.

Réplique de Sabrina AliBenali, interne en médecine : Comme n'avoir à présent qu'un seul urgentiste de garde partagé entre le SMUR et le service des urgences comme le prévoit votre nouveau décret du 1er juin ?

Très difficile de prendre l'émission au sérieux après la première intervention d'Arnaud Gauthier-Fawas .

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Quand il est dit "on a marché après Orlando", rien à voir avec le frère de Dalida ?

Est ce que sur Tinder, il y a la définition "pauv 'type" ?

Non, mais c'est un sketch : "le sponsoring nous permet de garder notre indépendance"


Bravo pour l'accent anglais en tout cas :-)

Super important le sens du drapeau. Je dois dire que à la fin de l’émission, je crains de  finir Humanophobe

Quand au bout de 5 mn, tu te dis : "Mais c'est qui ce con ?" (1 chance sur 4), il faut vraiment t'accrocher pour continuer à regarder

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

je n'ai regardé que le début, mais je suis choqué. Pourquoi avoir invité un syndicats de prostitués de tous les sexes. Qu'elle est le rapport entre l'homosexualité et la prostitution? Hein Daniel? Il est où le lien? Auriez vous invité des prostituées pour parler d'hétérosexualité? d'avortement? Invitez vous des notaires pour parler mariage?

La prostitution est une violence faites aux femmes comme aux hommes. 

Pourquoi n'avez vous pas inviter d'organisations féministes? L'oppression des femmes et des homosexuels n'a t elle pas la même source: le patriarcat et la transmission de la propriété?

bonjour, les fichiers à télécharger sont en ligne, vous pouvez rafraîchir la page de l'émission pour les retrouver
navré pour le retard dû à un problème réseau

Bonjour, 

Comme tout le monde je n'ai pas le lien de téléchargement mais de plus il doit y avoir un problème avec internet explorer car la fenêtre ne s'ouvre pas. 

Sur google chrome oui mais je ne l'utilise jamais...

Je n'ai regardé que le début (le reste attendra ce weekend) et ça commence sur les chapeaux de roue ! C'est franchement passionnant de voir comment toutes ces "nouvelles" manières de se définir peuvent désarçonner. Hâte de voir si le débat est à la hauteur.

Je ne trouve pas le lien pour le téléchargement, y a un soucis? ou on ne peut plus télécharger?

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Bonjour pas d 'accès à l émission malgré mon abo. normal ?

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Offre spéciale
3 mois pour 3 € puis 5 € par mois

ou 50 € par an (avec 3 mois offerts la première année)

Sans engagement
Devenir
Asinaute

5 € / mois
ou 50 € / an

Je m'abonne
Asinaute
Généreux

10 € / mois
ou 100 € / an

Je m'abonne
Asinaute
en galère

2 € / mois
ou 22 € / an

Je m'abonne
Abonnement
« cadeau »


50 € / an

J'offre ASI

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.