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Marche des fiertés : "les couleurs arc-en-ciel, je m'en fous !"

Politique, entreprises, police... tous participent désormais à la Marche des fiertés LGBT. Les villes comme Paris se veulent favorables aux LGBT et repeignent quelques éléments de leur mobilier urbain en arc-en-ciel. Vraie avancée ou pink washing ? Sur notre plateau : Arnaud Gauthier-Fawas, administrateur de l'Inter-LGBT qui organise la Marche des fiertés parisienne, "Camille" du collectif de luttes et d'actions queer (Claq), Thierry Schaffauser, porte-parole du Syndicat du travail sexuel (Strass) et Joël Deumier, président de SOS Homophobie.

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Approuvé 23 fois

Je suis extrèmement choqué (et le mot est faible)

En tout début d'émission, Arnaud Gauthier-Fawas interpelle Daniel en ces termes : "mais je ne suis pas un homme, MONSIEUR"

Je ne sais pas ce qui peut permettre à cette personne de s'adresser à notre Dan(...)

Quand au bout de 5 mn, tu te dis : "Mais c'est qui ce con ?" (1 chance sur 4), il faut vraiment t'accrocher pour continuer à regarder

Non, mais c'est un sketch : "le sponsoring nous permet de garder notre indépendance"


Bravo pour l'accent anglais en tout cas :-)

Derniers commentaires

l'argent n'a pas de sexe donc le capitalisme n'a pas les moyens d'ignorer les LGBT.

L'homo est un bon consommateur alors ils devient le modèle.

Très intéressante émission mais un peu monotone. 


Monotone car ce sont des hommes, représentants associatifs uniquement. Où sont les entreprises ? Où sont les Olivier Ciappa ou autres ? Où sont les Lyonnais, les Bordelais ou les blogueurs papa gay ? Où sont les hétérosexuels inclusifs ? Et surtout, on est bien d'accord, où sont les femmes, les mères lesbiennes ? Le choix des invités n'est pas bon mais ce peut être corrigé assez vite lors d'un débat sur la PMA.


Ceci dit, ça fait du bien de voir des visages. Quels qu'ils soient. Ca fait du bien de les entendre. Quelles que soit leurs points communs ou leurs différences aussi petites soient-elles.


Bravo pour la séquence de 1969 avec eux en premier plan. Les jeunes devant, les vieux derrière. Les novices devant, les pionniers derrière. Cinquante années après Woodstock et le Stonewall, qui je le rappelle ne sont séparés que par 200 km et deux mois à peine. Deux jours qui ont influencés l'histoire sociale du XXIe siècle mieux que beaucoup d'autres jours mieux connus. Deux jours qui ont permis des victoires plus belles encore qu'une coupe du monde. Aujourd'hui, il y a un bébé qui a dit, pour la première fois "papa" à son papa gay blogueur @maviedepapa. N'est-ce pas une victoire de niveau mondial ? :-)

Excellente émission qui permet d'entrer dans des débats parfois superficiels mais dont la superficialité n'est parfois que superficielle (houla...).

Vu de l'extérieur (l'extérieur c'est moi en l’occurrence, hétéro, plutôt tolérant et prêt à défendre les droits des homosexuels mais, je le reconnais sans m'intéresser plus que ça aux différentes "catégories" de LGBT et au détail des discriminations qu'ils subissent et des avancées qu'ils souhaitent), certains débats peuvent paraître secondaires, voire risibles.

Sauf qu'ils représentent de vraies lignes de fractures entre les intervenants (qui, il faut le souligner, même s'ils ne sont souvent pas d'accord, laissent les autres parler et respectent la parole de l'autre).

Leurs différentes approches me paraissent plus complémentaires que réellement antagonistes.


Quand à la séquence qui a fait parler, elle est un moyen un peu spectaculaire (provocante) de faire comprendre à Daniel S. mais derrière lui aux spectateurs, la réalité d'une discrimination qui commence par la non reconnaissance d'une différence.

Cela dit, cela tombe un peu à plat car cela ne répond pas à la remarque de Daniel qui reste juste (l'absence de femme sur le plateau; même si un invité ne se définit pas comme homme, il ne se définit pas non plus comme femme).

D'autre part, ce type d'attitude peut parfois desservir le combat mené car, vu les réactions d'incompréhensions voire d'hostilité face au phénomène LGBT en général, la radicalité de ce discours peut contribuer à d'avantage de rejet comme l'a montré le bruit médiatique sur cette intervention (bruit médiatique largement excessif  car il n'est pas du tout représentatif de l'émission et des positions de ce monsieur)



Bon , on va mettre tout le monde d'accord: https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Homme_qui_prenait_sa_femme_pour_un_chapeau


Pour une fois, j'attaque la vision de l'émission après l'avoir entendue buzzer.

Et bien franchement, je trouve la séquence (désarmante) qui a buzzé très périphérique, et l'émission très intéressante. Avec effectivement de fortes réminiscences de "120 battements par minute", dans ces débats passionnés et bien fondés entre militants d'une même cause, mais avec des visions très différentes.

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L'être humain qui porte des boucles d'oreilles répondant au nom de Camille (ça va, c'est assez neutre comme description ?) emploie le terme "racisé" et "non-mixité" pour décrire son cortège. Ses propos à ce moment ne sont pas explicités.

Je ne comprends pas ces deux notions appliquées à ce cortège. Qu'est-ce que cela veut dire. 

Au cours de cette émission, j'ai eu par moment l'impression de ne pas parler la même langue que les êtres humains réunis sur le plateau. Le sens des mots semblent avoir changé, l'anglais colonise la pensée homosexuelle.


Cela me permet d'ailleurs de faire une remarque concernant cette abomination que représente à mes yeux l'écriture inclusive. Il s'agit à mon sens d'une attaque, que j'espère passagère, contre la langue elle-même. Ce qui me choque, outre le caractère rapidement visuellement illisible des phrases, c'est la disparition des accents qui modifient la prononciation.

Sur une banderole est ainsi écrit : "étranger. eres". 

Je regrette, mais le féminin d'étranger s'écrit avec un accent grave sur le e. Sinon la prononciation est fautive. Comme devra-t-on prononcer "Boulanger.ere" par exemple ? Devra-t-on mettre un point surmonter de l'accent grave au-dessus du "e". On nage en pleine absurdité.

 Vivement que cette mode passe.

Après quatre minutes d'émission, j'ai eu pour la première fois envie d'arrêter immédiatement de m'informer. Tout ça parce qu'une personne portant un nom masculin et ayant la peau claire s'offusquait d'être catégorisé "homme" par Daniel Schneidermann et ce alors que nous (DS inclus) le découvrions à peine.


Quatre minutes pour se rendre antipathique au possible, par grossièreté.


J'aimerais vraiment en savoir plus sur cette ébullition intellectuelle autour des questions de genre, mais je vis la confrontation avec mon ignorance comme une agression par tou·te·s les Arnaud Gauthier-Fawas de la Terre.

Vivement que vous invitiez un·e interlocu·teur·trice plus empathique.


Au sujet du plateau composé par des invités 100% masculins, je vous invite à lire la très interessante réaction d'Alice Coffin.


Post Alice Coffin

Bonsoir,


J'ai le droit de dire que l'homme blanc archétypal (agressif, dominateur,...) Arnaud machin m'insupporte au plus haut point sans être taxé d'homophobe!?


Blague à part, j'aurai apprécié que la personne du Claq ait un temps de parole plus important. Malgré les malheureuses trente secondes qu'il a péniblement réussi à obtenir, il avait l'air autrement plus conséquent que LE/LA prof non-binaire/héxadécimal.

Camille" du collectif de luttes et d'actions queer (Claq) -
Pouvez vous nous confirmer que ce célèbre anonyme est un membre du parti des indigènes comme nous l'avons vu sur twitter. Dans ce cas, l'immunité offerte par son anonymat est selon nous une faute de votre part qui meriterait une explication

Merci pour cette excellente émission.


La question de la non-binarité est intéressante et importante, mais elle trouve à mon avis un bien mauvais avocat (-e?) en la personne d'Arnaud Gauthier-Fawas. Celui-ci invite à distinguer identité de genre et expression de genre, s'identifiant manifestement comme non-binaire. En ce qui concerne ses expressions de genre, ou les performances qu'il donne à voir pour reprendre le terme de la théoricienne queer Judith Butler, qu'il a sans doute lue, celles-ci sont correspondent indéniablement à une forme somme toute assez classique de masculinité : discours d'autorité, ton péremptoire, prétention à représenter l'ensemble de l'interLGBT/de la marche des fiertés... certain-e-s diraient même que ces performances relèvent d'une forme assez toxique de masculinité.


Appeler à dissocier identité et expressions de genre, c'est tout bénèf' pour lui : il peut ainsi bénéficier des avantages sociaux et symboliques de ses performances viriles, tout en endossant le gilet pare-balles de la non-binarité pour le cas où on le lui ferait remarquer.

C'est une attitude assez détestable qu'on retrouve lorsque la question de la race est abordée : Quelles que soient ses origines, ce monsieur est clairement white passing (il passe pour un Blanc). En se prévalant d'une identité racisée, il cumule avantages liés aux assignations raciales dont il fait l'objet du fait de son phénotype (blanc) avec les gains symboliques liés à son identité minoritaire (revendiquée).


Or ce faisant, il contribue à invisibiliser les identités minoritaires. Pourquoi inviter une femme puisque vous m'avez, moi, qui ne suis pas un homme ? Pratique pour éviter d'avoir à se questionner sur sa légitimité à intervenir et sur l'opportunité de laisser sa place à une femme en tant que représentante de l'InterLGBT.

Pourquoi inviter un-e racisé-e puisque vous m'avez, moi, qui suis à moitié libanais ? Même effet de relégation vis-à-vis de celles et ceux subissant le processus de racialisation qui contribue à leur subjectivation comme racisé-e-s.


L'un des intérêts de l'analyse de Judith Butler est justement de faire disparaître toute référence à une supposée "identité" plus ou moins déconnectée des performances de genre. Pour elle, il n'y a pas de femmes ni d'hommes, précisément parce qu'il n'y a que des performances de genre, qui se répètent, se copient et s'inventent mais n'ont aucune "origine" substantielle qu'on pourrait déceler dans une hypothétique essence masculine ou féminine.

Christine Le Doaré, juriste, féministe universaliste et laïque sur les consternants invités d'Arrêt sur Images.

Merci Arnaud, de m'avoir montré l'exemple et aidé à révéler ma vraie nature !

Trop longtemps qu'on se fie bêtement à mon apparence et qu'on m'appelle "Monsieur".

Aujourd'hui, je fais mon coming out de femme noire, et me prénomme désormais Nafissatou.

il reste des manques a cette parade de l'égalité.... Ou est le char des myhopathes transexuels ? Celui des juives lesbiennes ? Celui des noir roux a lunettes et bisexuels ?


Parodie mise a part cette marche représente pour moi la bêtise des combats pour l'égalité d'aujourd'hui. Parce que justement c'est "des" combats pour l’égalité des lgbt, ou bien des femmes, ou bien des noirs, ou bien des juifs, ou bien....


A quand un retour d'une vision générale de l'égalité, qui ne se battra pas pour la faveur de la prochaine mini avancée sociale qui ne changera rien au fond du problème ?


L'égalité se joue d'abord et avant tout dans les droits du travailleur face au patronat. Quand on a reussi a mettre de l'équité dans ces rapports de force là, qu'on en aura fini pour de bon avec l'aristocratie (et si quelqu'un a la recette miracle qu'il la donne) alors on en aura fini de la meme maniere avec le facisme sous toutes ses formes, que sa tête de turc soit une couleur de peau, une nationalité, une religion, une sexualité, une idée politique.........


Seulement voila pour repenser a ce combat la en priorité il faudrait d'abord commencer par arrêter de se prendre le chou au jeu du kikalplus de droits

J'espère que les élèves d'Arnaud Gauthier-Fawas ne font pas la même erreur que Daniel, en confondant identité de genre et expression de genre, et ne commettent pas non plus l'affront de l'appeler "monsieur".

Pas de femmes ? Pas de lesbiennes ? Faut mettre le Bondy Blog sur l'affaire...Comme au sujet du café PMU de Sevran.Si l'interdiction n'est pas formelle ,ne serait-elle pas sociale ,et au-delà ne participerait-elle pas du sexisme génèral ? On ne voit jamais aussi peu que ce qui est juste devant nos yeux ! Une lesbian pride le 8 mars :pourquoi pas ?


"Nos invités déplorent ...." C'étaient donc tous des hommes ?  L'orthographe "inclusive "n'a pas fini de vous piéger.


Fiers marcheurs, pensez à vous hydrater ! 34°c prévus à Paris cet après-midi.

Buzyn vante son action sur Twitter : A l'hôpital de Versailles André Mignot pour rencontrer les équipes des urgences et du SAMU, et évoquer avec eux les dispositifs mis en place pour faire face aux fortes chaleurs.

Réplique de Sabrina AliBenali, interne en médecine : Comme n'avoir à présent qu'un seul urgentiste de garde partagé entre le SMUR et le service des urgences comme le prévoit votre nouveau décret du 1er juin ?

Très difficile de prendre l'émission au sérieux après la première intervention d'Arnaud Gauthier-Fawas .

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ben c'est pratique comme ça avec le dico on règle tout le débat sur la transidentité, le genre et le sexe, pourquoi on s’embête.

Et sinon, iel (oui pronom neutre, moi non plus j'ai pas l'habitude) est tout à fait légitime pour se dire racisé-e (ou non-blanc-he), même si son expérience du racisme n'est surement pas du tout la même que celle d'une personne noire. et même si à première vu c'est un "homme blanc" (voir principe du "passing"). ça n'en fait pas un caprice.

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et de toute façon il est socialisé comme homme (et blanc) donc le vécu des femmes (et non blanches) il ne connaît pas.

Oui mais non, justement il fait la distinction entre la «réalité biologique» et la «réalité sociale». La seule chose importante ici étant l'aspect social puisque pour autant que je sache, aucune manipulation génitale n'est prévue pendant la discussion.


Il reproche le fait qu'on appose sur lui un genre (Masculin) alors qu'il exprime (ou essaye d'exprimer) un genre différent qu'«on» essaye (inconsciemment) de réduire à l'un des deux dans lequel notre société nous construit. La tuyauterie est profondément non-signifiante ici.


C'est la même chose, il distingue la couleur effective de la peau de la façon de socialisé qui y est associée (ce que je trouve plus contestable, l'oppression raciste s'accrochant à des marqueurs physiques, mais il y a des exemple historiques montrant différentes approches de la question [on pensera a la généalogie que regardaient les nazi ou aux nuanciers de couleurs utilisé en Afrique du sud.])


Dans tout les cas, si D.S. à commit une maladresse (évidement involontaire), et la réponse de l'invité, excessivement agressive, ne sert pas son point de vue. C'est il me semble un trait courant chez ce genre de militant que d'antagonizer les comportements résultants de notre société comme s'ils étaient une prise de position volontaire.

la réalité sociale dont il s'estime victime n'est que notre réalité sociale a nous. Une autre culture nous apporterait un tout autre regard sur la notion sociale de la masculinité ou de la féminité. Le problème n'est pas qu'il soit discriminé parce que sa "nature sociale" est différente de sa "nature biologique", le problème, c'est simplement qu'il puisse exister une "nature sociale" de la masculinité ou de la féminité.  Le combat que devrait mener "monsdame" n'est pas celui pour revendiquer son genre a lui bien particulier comme étant aussi légitime que n'importe quel autre, mais celui pour déconstruire, délégitimer et finalement faire disparaitre la notion même de "genre", qu'il soit masculin ou féminin, comme construction sociale de l'identité sexuelle.


Il est effectivement ridicule, pardon, de demander a son interlocuteur de deviner d'instinct que la personne qu'on a en face de soi ne se revendique pas comme appartenant a un moule préconçu pour lui par une histoire sociale contre laquelle il ne peut rien. Il n'en reste pas moins qu'il est un homme blanc, biologiquement, et que sans cette construction sociale de ce qui est un homme blanc, bien plus large que le simple fait biologique, eh bien... il n'aurait aucun problème a se vivre comme homme blanc et ne ferait pas chier des le début de la discussion simplement parce qu'on l'a appelé monsieur. C'est pas que ça tue toute tentative de débat mais un peu quand même. Ça déstabilise, on sait plus comment s'adresser a "lui/elle/ça", c'est fait pour, et ça sert a rien parce que ça fait pas avancer le schmilblick pour un sou, pour lui comme pour nous. Ça ne fait que rajouter de la confusion, ça ne le fait pas avancer d'un pouce dans son combat minable qui se réduit du coup a "acceptez moi malgré que je n'accepte pas votre manière de faire société et que je refuse de faire société avec vous", et ça sort totalement le débat des rails de ce qu'il devrait être, a savoir, comme je l'ai dit au début, un combat pour la déconstruction de toute notion de genre.


Donc oui, un représentant ridicule d'un combat ridicule mené par des associations ridicules. Ne vous en faites pas j'en ai autant pour touche pas a mon pote le crif les femen et toutes les autres merdes de ce genre. Même combat. Même parodie de lutte pour l'égalité.

Et de fait il se comporte sociologiquement comme un homme blanc : c'est-à-dire capable de monopoliser la parole, de parler avec assurance, de faire du mansplaining... Je comprends respecte évidemment la non-binarité mais je ne peux m'empêcher de penser que là, cela ressemble à une posture de légitimation. Presque violent de voir une personne qui a hérité des privilèges des hommes blancs se dérober de cette image et de cette identité. Alors que quand on est une femme on n'ose pas aller sur le plateau car, à cause de notre éducation, on se sent non-légitime.

J'aurais tendance à abonder dans votre sens, mais une vidéo d'une heure dans un contexte non-naturel me tend à relativiser mes impressions.


Après, il est très possible que ce soit un «reflexe» de récupération de légitimité : on lui probablement déjà souvent reprocher de ne pas être légitime pour parler d’oppression et du coup il blinde sa position en expliquant qu'ielle les combine toutes.

 ce serait donc une réaction bête à une injonction bête.

Je suis extrèmement choqué (et le mot est faible)

En tout début d'émission, Arnaud Gauthier-Fawas interpelle Daniel en ces termes : "mais je ne suis pas un homme, MONSIEUR"

Je ne sais pas ce qui peut permettre à cette personne de s'adresser à notre Daniel à nous en supposant que DS se définisse comme un "MONSIEUR". Quel raccourci ignoble ! Que d' aprioris ! Mais qu'esst ce qu'il en sait, fichtredieu, si Daniel se définit comme un Monsieur !  (A moins que Daniel, en off, ait éclairci ce point avant le lancement de l'émission)

De mémoire d'Asinaute, je ne me souviens pas avoir vu ou lu une déclaration de Daniel se définissant formèllement comme un Monsieur (dans le cas contraire,merci de m'indiquer toute source qui m'aurait échapper)

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"Accessoirement quel est le rapport entre "être à moitié libanais" et la couleur de peau ?"

Hé hé Bonne question!

J'ai répondu, ailleurs, à des connards qui déblatéraient sur les Tchéchènes que: plus "blanc" que les Tchéchènes ya pas, vu qu'il n'y a pas plus caucasien qu'eux. 

MDR :-D

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Quand il est dit "on a marché après Orlando", rien à voir avec le frère de Dalida ?

Est ce que sur Tinder, il y a la définition "pauv 'type" ?

Non, mais c'est un sketch : "le sponsoring nous permet de garder notre indépendance"


Bravo pour l'accent anglais en tout cas :-)

Super important le sens du drapeau. Je dois dire que à la fin de l’émission, je crains de  finir Humanophobe

Quand au bout de 5 mn, tu te dis : "Mais c'est qui ce con ?" (1 chance sur 4), il faut vraiment t'accrocher pour continuer à regarder

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je n'ai regardé que le début, mais je suis choqué. Pourquoi avoir invité un syndicats de prostitués de tous les sexes. Qu'elle est le rapport entre l'homosexualité et la prostitution? Hein Daniel? Il est où le lien? Auriez vous invité des prostituées pour parler d'hétérosexualité? d'avortement? Invitez vous des notaires pour parler mariage?

La prostitution est une violence faites aux femmes comme aux hommes. 

Pourquoi n'avez vous pas inviter d'organisations féministes? L'oppression des femmes et des homosexuels n'a t elle pas la même source: le patriarcat et la transmission de la propriété?

bonjour, les fichiers à télécharger sont en ligne, vous pouvez rafraîchir la page de l'émission pour les retrouver
navré pour le retard dû à un problème réseau

Bonjour, 

Comme tout le monde je n'ai pas le lien de téléchargement mais de plus il doit y avoir un problème avec internet explorer car la fenêtre ne s'ouvre pas. 

Sur google chrome oui mais je ne l'utilise jamais...

Je n'ai regardé que le début (le reste attendra ce weekend) et ça commence sur les chapeaux de roue ! C'est franchement passionnant de voir comment toutes ces "nouvelles" manières de se définir peuvent désarçonner. Hâte de voir si le débat est à la hauteur.

Je ne trouve pas le lien pour le téléchargement, y a un soucis? ou on ne peut plus télécharger?

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Bonjour pas d 'accès à l émission malgré mon abo. normal ?

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