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"L'investigation, c'est un bien commun, comme l'hôpital"

La télé publique veut-elle tuer ses émissions d'investigation? Des projets de réduction drastique des effectifs des émissions Envoyé Spécial et Complément d'Enquête, sur France 2, ont suscité une vigoureuse opposition à l'intérieur, et un vaste soutien à l'extérieur de France Télévisions, contraignant la direction du groupe à reculer partiellement. L'investigation est-elle trop dérangeante pour les pouvoirs politiques et économiques? Cherche-t-on à la museler? Pour répondre, trois invités : Jean-Pierre Canet, ex-rédacteur en chef d'Envoyé Spécial ; Thierry Vildary, journaliste investigation pour Stade 2 et Jean-Baptiste Rivoire, ex-rédacteur en chef adjoint de Spécial Investigation (Canal+).

Derniers commentaires

il y a quad même un prblm , les journaleux disent " pour ne pas faire coincider l'agenda politique et l'agenda médiatique..." , ah bon..? parceque vous êtes elus..? vous pensez devoir passer un sujet mettant en cause un politique avant une éléction...?c'est ça l'objectivité..? les journaleux veulent , en fait , le pouvoir....arrêter de penser pour nous
Ce Mardi soir, sur ARTE, passe justement une de ces "émissions d'enquête" intitulée "Les gangsters de la finance"...
On n'est plus chez Elise Lucet...
Sous couvert de nous informer, c'est carrément, à peine dissimulée, une (longue) pub pour HSBC...
A vomir...
Dans la série " mobilisation pour défendre l'investigation", j'ai remarqué que dans la dernière émission de " Retour de terre inconnue", l'animateur, Frédéric Lopez, a fait un sujet avec Elise Lucet qu'il a conlcu en disant à quel point l'investigation était importante et pourquoi elle devait être forte sur une chaîne publique.
L'émission est sur youtube ici et l'extrait commence à 41 minutes et se termine à 47:56 après une digression.

Je ne dis pas ça pour dire que c'est super ou minable, juste pour le signaler.
Après les récentes prouesses de la télé "publique", on se réjouit presque de son sabordage.
Très très bonne émission, effarant. vraiment difficile de faire son métier de journaliste sous la pression des politiques, des industriels, de l'argent.......etc

arrêt nous met encore une petite louche d'insoumis....!!!!! pitié.
Merci ! J'ai l'impression de vivre dans un pays démocratique
quand j'écoute / regarde cette émission ! Vous êtes tous
les quatre beaux - à votre manière - mais (hors extraits vidéo)
le plus important, c'est ce que vous dites et avancez comme arguments.
Formidable et formidables !
Oui , l'information indépendante est vitale...
Dans un paysage audiovisuel fait de connivences,de conflits d'intérêts ,ou l'essentiel des grands médias est détenu par de grands groupes,heureusement quelques "indiens" s' accrochent à des "fondamentaux "...
L'investigation fait partie de ceux ci....et le vrai service public de l'information (différent des quelques "journalistes" sous influence y compris malheureusement dans le service dit public ) doit être défendu par les citoyens. ...
Pour cela,les journalistes concernés doivent faire appel à nous...
Les mouvements spontanés sont rares....
A propos de censure... alors oui je ne vais pas parler de cette émission, mais le sujet qui me fait fumer est pourtant, à mon avis, de cet ordre, s'il fallait ne pas parler de propagande et de malhonnêteté brutale et de fait, totalitaire. Or même si ASI n'est pas fassebouque, puis-je nier l'importance qu'il m'arrive d'y trouver pour exprimer mes états d'âme (car je doute du fondement intellectuel de ces éruptions) ? Et comme il n'existe pas ici de lieu de débauche épistolaire libre, je détourne ce fil sur lequel court la révolte aussi.

Bref, les émissions politiques du "sert-vice public" font-elles partie du bien commun dont la charité se foutrait (pardon, se moquerait) ? Je pense à celle que Mélenchon qualifie de traquenard dans son brûlot (terme choisi pour enflammer qui voudra, c'est stratégique) le plus récent comment se prépare le traquenard de France 2 que j'ai lu cul-sec. Et à la suite de cette lecture difficile, je me disais que décidément Jean-Luc persistait horriblement dans ses explosions langagières et scripturales qui le font tellement mépriser, à l'image du mépris qu'il dit lui-même éprouver parfois – c'est dans l'émission je ne sais plus où – à l'encontre de gens dont il faut hélas reconnaître trop souvent la laideur intellectuelle et humaine. A moins que je n'aie vraiment rien compris au monde "que nous vivons", autre supposition parfaitement recevable, excepté par moi sauf le jour de l'an nouveau.

Je lisais donc ses colères contre la clique pseudo-journalistique, ses dénonciations des tromperies, mensonges, procès, chasses à courre qui lui sont infligés, en pensant : Jean-Luc, tu vieillis mais ne change pas, tu rebutes plus que tu ne convaincs, et je ne donne pas blanc-seing (!) à tous ceux dont par tes violences verbales tu renforces le mépris, la colère, la bêtise et l'indignité , dont je n'ose espérer une humanité a priori meilleure que celle des "ultra" de tous bords qui infestent la planète média et notre quotidien. Enfin, si les justes existaient, la vérité de leur mission aurait tout balayé, n'est-ce pas...

Et comme je m'éloignais moi-même de la vérité (humour de centre doite-gauche molle-mou), quittant les vertes prairies de la militante utopie partageuse que le mouvement (et non le parti) des insoumises et insoumis portent avec passion, abnégation, sincérité et probablement avec excès de bonne volonté et parfois avec par méthode bornée (l'idéologie mise à part), il m'a semblé utile, bien que préjugeant désormais de par ma lecture initiale, d'aller voir l'émission tant détestée par Jean-Luc. Et là tout est remonté du dégout profond, voire viscéral dont il parle dans son blog. Toute la question parallèle de la censure m'a sauté à la gueule encore, à nouveau, et l'historienne (?) Debray m'a achevé à mi-parcours, la nausée me jetant à terre. Et dire que ces salauds se permettent de doubler la charge avec ce qu'ils se permettent de présenter comme un décryptage d'une heure à la suite de cette grotesque sainte scène.

Non, la censure n'est pas la question unique. Le dire n'a pas de sens pour tous ceux qui savent combien la propagande est plus encore dramatique que tout. Mais le répéter procède de la mission de salut publique. Bien qu'avec peu d'espoir, je veux dire combien ce que Jean-Luc désigne comme un traquenard n'est rien d'autre que cela en effet, mais plus encore une épreuve à la fois vomitive, désespérante et révoltante. Je la déconseille aux âmes sincères, et j'ai compris ce que Jean-Luc écrivait, comment et pourquoi. Je n'aime toujours pas cette impression "victimaire" qu'on doit lui accoler ces temps, ni la violence de son propos. Y a-t-il une autre voie ? Il faut en douter.

Pour les téméraires et les combattants Ça prétend s'appeler l'émission politique
J'ai aussi noter cette phrase dite par Canet : "L'investigation, c'est un bien commun, comme l'hôpital"

Il suffit de voir comment on traite l'hôpital pour savoir le peu de cas que l'on peut faire de l'investigation.

Deux raisons : celle de la censure en amont comme dit François Ruffin mais aussi celle toute bête des économies. Car finalement, censure ou pas, ce ne sont pas quelques images chocs qui vont bouger cette masse amorphe à qui on retire petit à petit tout ce dont elle avait droit jusque là. L'émission de Lucet sur Lidl et autres gros entrepreneurs sociaux a eu un effet passager mais je doute que le sort de leurs employés s'en trouve conforté.
Tout comme la mise à jour des conditions de travail des sous-traitants fournissant la compagnie d'Ivanka Trumpitt n'a eu pour effet qu'un "Oh vraiment, c'est épouvantable, nous ne travaillerons plus avec ce sous-traitant là" (info puisée dans le dernier livre de Noami Klein)
Je commence juste à regarder: cibler Delphine Ernotte, quelles que soient par ailleurs ses "non-qualités" fait l'impasse sur "pourquoi elle est là, qui l'y a mise, qui la maintient?".
Mes différents vécus dans différents milieux m'ont convaincue qu'un directeur vécu comme incompétent ou nul est rarement là par hasard. Il "apporte" toujours quelque chose. Reste à savoir quoi et à qui.
Oh Seigneur! Dans votre grande mansuétude épargnez Ruquier, Sébastien, Delahousse, Salamé et quelques autres du même acabit. Le peuple de France les aime.
Comme le dit F.Ruffin : On est face clairement à une tentative de destruction à petit feu, un mécanisme bien décrit par Noam Chomsky à propos de la réduction du financement des services publics dans le documentaire "Requiem For The American Dream",
Cash investigation, fabrication des tee-shirts par de très jeunes gens: comme ils sont courageux tous ces actionnaires qui se mettent à huer Elise Lucet! Ce n'est pas le sort fait à ces enfants qui les indigne, c'est qu'Elise Lucet le mette en lumière et le dénonce. Ah que voilà de braves gens. Bien repus, bien habillés, bien propres sur eux. Contents de leur journée dans l'entre-soi, que cette infâme Elise Lucet est venue troubler.
Vraiment bien comme émission.

Le courageux journaliste de Sport 2 a t-il lu l'interview récente dans la PQR du Professeur Jean CHAZAL chirurgien au CHU de Clermont qui, avant d'opérer un célèbre international grièvement blessé, s'exprimait franchement sur l'évolution du rugby contemporain ?

Et puis pas grande retombée médiatique à ma connaissance après le sort funeste* de l'ancien et célèbre 1/2 de mêlée des springboks que le 20H de France 2 avait montré en son temps en fauteuil roulant, atteint en pleine force de l'age d'une terrible maladie neurodégénérative aux causes potentielles multiples.

* Il est mort depuis...
Excellente émission qui permet de comprendre comment l'investigation est financée, l'organisation de l'info à France Télévision, sa suppression par Bolloré sur Canal, la place essentielle du service public, aujourd'hui seul à même d'enquêter avec des moyens suffisants et une image forte, nationale, qui protège les journalistes. Le futur avec la nécessité de mutualiser les moyens entre médias nationaux pour enquêter sur les dérives économiques d'une économie et d'une finance mondialisée. L'investigation coute cher et il est certain qu'une plateforme internet n'est pas aujourd'hui viable économiquement. A moins que les internautes ne soient prêts à s'abonner ce qui n'est pas gagné, l'info est aujourd'hui gratuite dans l'esprit du grand public.
DS a dit : "La Cour des Comptes n'est pas idiote".

Non, elle impose juste une idéologie.
Excellente emission .


Merci de ce que vous faites et aux invités
Désolée j'ai pas du voir la même émission que vous tous ^^
Je suis capable d'être solidaire des journalistes qui sont en train de subir le couperet, sans hésitation même, mais chanter à la gloire de France Télévision, "chantre de l'information indépendante" - c'est mort


Des journalistes de Canal+ et France 2 qui se chamaillent, gentiment, ces-derniers se désolant de ne pas avoir les moyens de produire ce que produisent les premiers, malgré l'argent du service public ; brandir Elise Lucet comme la chantre de l'investigation, comme si elle l'avait inventée (?) mais surtout - soutenir toute l'émission durant que le service publique n'est pas nécessaire à l'investigation, bien plutôt qu'il est le seul groupe pourvoyeur des moyens nécessaires à la réalisation de cette sorte d'enquêtes - mais sérieusement ?

Et tous les autres jours sans - Elise Lucet - c'est jour maigre : on s'informe pas ?

C'est franchement grossier ; pendant une heure il y a eu un glissement "service publique au sein de l'audiovisuel" vers "service publique au sein du journalisme", et ça n'est pas le fait d'une inattention, ou d'une maladresse
Oui, Elise Lucet qui harponne dans une assemblée d'actionnaires, c'est jubilatoire, c'est jubilatoire seulement de l'entendre ne pas lâcher une question après l'avoir posée ^^ - mais sérieusement... c'est aussi jubilatoire que c'est le b-a ba.se du travail d'un journaliste ^^
L'information sur France 2 est une insulte à tous les gens qui y assistent, et à leur intelligence. Pujadas en maître de cérémonie, ses émissaires Salamé, Lenglet, et Saint-Cricq, à sa suite, qui lui auront survécu, tout autant que lui ; la nouvelle n'est pas mal dans son style ; un soupçon de macronisme, c'est dans l'air du temps

Le "format" que revêtent les magazines dont parle l'émission n'est pas une "autre question", non, le format de ces magazines en détermine le fond, il ne se limite pas à "accrocher l'attention du téléspectateur parce que c'est un peu technique, parce que c'est un peu compliqué" non : la musique omniprésente, la musique systématique, les effets de régie qui donnent la bectée-des- choses-qu-il-faut-comprendre, les mises en avant des manœuvres et des réflexions qu'il a fallu déployer durant l'enquête, autant de choses qui sont loin d'être une façon d'habiller l'image-sinon-y-a-rien-à-montrer, -s'il n'y a rien à montrer, peut-être qu'il faut continuer de chercher ? ^^ - ce format tend à donner les traits de la fiction à une image qui se proposait, au départ, de rendre compte d'une enquête sur des faits non-fictifs. ce format entend mimer les ressorts du film, sinon, "le beauf y comprend pas" - journaliste en protagoniste, comme un héros, ou une star de ciné, ça ne se fera pas impunément. Au regard des instances que supposent la réception de l'information, comme, je sais pas, l'esprit critique ^^ heure de grande écoute ou pas, 21H - 23H après une journée de taff - ça fait un effet dévastateur, si l'optique est toujours d'informer ^^


la cerise, ça reste le "à l'heure où les medias sont détenus par des intérêts privés... vs. le service public"... parce que le service publique, il sauve l'indépendance de l'information, c'est de notoriété com-mu-ne ^^

Franchement, à ce niveau-là, on est au cinéma : « Fance 2 fictions ». entre pleurer sur le sort de feu-Pujadas-à-20H, et pleurer pour de vrai en souvenir du mal que peuvent faire ces "émissions d'investigation" à l'imaginaire de tout le monde quand elle s'occupe de "banlieue" ou de "police" ou de "drogue" ou de "voiles" ou de etc., envoyé spécial en tête - Bernard de La Villardière lui aussi dit faire des enquêtes exclusives - de l'investigation ^^

Mais il faut les défendre, au service publique, parce qu'il subissent en ce moment les effets terminaux du néolibéralisme atmosphérique, donc, il faut promouvoir le journalisme du service publique au motif de la nécessité ; y a pas un hiatus autre part que dans ma syntaxe seule ? le motif de la nécessité d'assurer, de suivre, de gérer - un coup de feu médiatique, un rush dans l'actualité qu'après, 10 ans de sociologie, d'Histoire ou de toute la liste des humanités-acharnées, fictions comprises, n'arriveront pas à défaire.

ça n'est plus du cinéma - la censure économique, c'est pas elle qui fait des films, et pas d'autres ? - c'est une blague. Le spectre de la censure économique traverse l'émission pour exhumer au détour d'une incompréhension son principal ressort, la prod.
Mentionner in fine qu'un journaliste peut risquer de se faire griller definitely s'il parle de censure : "s'il dit un mot, il y a de très très forte chance que le diffuseur ne le fasse plus jamais travailler" - "avez-vous un seul journaliste d'enquête faire un travail pour la télévision en étant dans une agence de presse privée ouvrir la voie, s'exprimer publiquement sur un problème de censure ?"
(non, absolument jamais, personne. ça ne portait pas un nom nonobstant ? "pas vu à la télé" ? - _-.)

Ne pas voir l'ironie dans la déclaration "canal était un peu le service publique à l'époque", puisque c'était avant, plus tôt dans l'émission.

Réfléchir aux possibilité du web pour diffuser et arriver à se souvenir, quand même, qu'on est sur "arrêts sur images" ^^ mais avoir parlé pendant une heure de journalisme d'investigation, - qui restera, malgré la pourriture du paysage médiatique, journalisme inclus, une tautologie-, en parler pendant plus d'une heure et mentionner Mediapart à cinq minutes de la fin l'émission -- c'est une grosse farce


le même journal qui, à quelques jours de ses 10 ans, se voit sommé de rendre gorge, chose qui ne signifie pas en figuré, comme ne l'expliquait pas le philos'off de service sur le service public hier, "ravaler sa salive", ou "faire rentrer les mots dans la gorge", mais l'exact inverse



R e n d r e G o r g e

- Littré -

* se dit de l'oiseau qui rend la viande qu'il a avalée.

* Par extension, rendre gorge, rendre ou vider sa gorge, vomir après un excès.

* Fig. Rendre gorge, restituer par force ce qu'on a pris ou acquis par des voies illicites.
"Ah ! sandis, messieurs les coquins, vous rendrez gorge", [Dancourt, Déroute du Pharaon, sc. 26]

* Faire rendre gorge à quelqu'un, l'obliger à restituer ce qu'il a pris.

- CNRTL -

? Rendre gorge. Vomir. « Notre vie (...) s'empiffre, jusqu'à ce que, comme un chien qui vomit des vers et des morceaux de viande, le ventre bourré se révolte et qu'on rende gorge sur la table! » (Claudel, Tête d'Or,1901, 1repart., p. 180).

https://www.littre.org/definition/gorge

http://www.cnrtl.fr/definition/gorge/substantif
Les coûts salariaux, et ceux des journalistes n'échappent pas à la règle, sont des dépenses de fonctionnement pérennes honnies par les gestionnaires et les financiers. L'externalisation, de l'informatique au nettoyage en passant par la paye et bien souvent aussi une partie du coeur de métier historique (cf la livraison de colis chez la Poste), est donc utilisée à tire-larigot par les grandes entreprises. A la clé, une plus faible taxation, de la flexibilité qui colle avec une gestion court-termiste dans l'air du temps et un potentiel de diminution des coûts (via pression sur le fournisseur) qui serait impossible avec des salariés internes.

Le phénomène obéit toujours peu ou prou à la même logique :

Exigence de rentabilité - faire mieux avec moins - du pouvoir en place (conseil d'administration, gouvernement). Elaboration d'un plan de réduction des coûts par un top management (Delphine Ernotte) qui ne connait souvent rien au métier. Crise du middle management tiraillé entre l'attachement aux équipes et au travail bien fait et la préservation de sa carrière à travers l'accomplissement d'objectifs chiffrés souvent irréalistes. Dégraissement des effectifs, remaniements, recours à l'externalisation. Protestation des salariés. Rétorsion, désignation de coupables "d'immobilisme". Burnouts, baisse de la qualité, de la satisfaction des usagers, etc.

Il me semble aujourd'hui infondé de dire que l'intention derrière la réduction de moyens des rédactions des magazines de France 2 est principalement politique - infondé au sens que nous n'en avons pas la preuve et que des explications beaucoup plus probantes se trouvent sous notre nez. Ces décisions sont avant tout économiques, voulues par des technocrates hors sol enfermés dans un modèle mental façonné par un milieu et une idéologie économique extrémiste nuisibles à l'intérêt général.
Très intéressant !!

Question 1 : Pourquoi une émission aussi courte avec des intervenants aussi intéressants et cashs, qui ont beaucoup de choses à dire et du coup tout le monde a du parler très vite ?

Question 2 : Pourquoi dans les revendications du service public, personne ne dénonce les hauts salaires ?
Aucun pb en streaming malgré une connexion particulièrement lente (Windows 7).

Ah, la standing ovation à Pujadas... Surréaliste.
Aucun problème pour le visionnage.

Il est clairement expliqué dans la troisième partie comment la sous-traitance permet de refuser certaines enquêtes: ça on prend, ça on ne prend pas, un peu comme on fait son marché; du coup il sera plus difficile de parler de censure.
Et cette sous-traitance conduit à des temps d'investigation beaucoup plus courts.
Le visionnage de l'émission téléchargée est parfaite chez moi.

Je signale à Loki qu'il y a plus bas un forum d'entraide spécialement dédié aux problèmes techniques. Ceci permet de ne pas polluer les discussions. J'ai bien noté que vous vous êtes désabonné temporairement. Ne manquez surtout pas de vous signaler lors de la reprise, je ne voudrais pas manquer ça.
Dans chaque émission il est mentionné par qui elle est "décoréalisée" : "réalisée", je crois que je comprends, le "déco" il signifie quoi ?

Pas que le décor est "conçu" par la personne, il l'a été une fois pour toutes.

ça veut dire que le décor est "monté" par les gens cités ?

Quelqu'un pour me sortir de mon ignorance ?
Emission vraiment intéressante.
J'aurais adoré la présence de Lucet, mais bon ....

A notre niveau à nous, on peut agir comment pour signifier à la Delphine qu'on veut pas qu'elle touche à l'investigation ?

En tout cas, la comparaison avec l'hôpital ( et tous les services publics) est très juste.
Le gonflement des services de gestion, management et autre DRH est mis en oeuvre systématiquement par des gens qui ne connaissent pas le métier et se fait partout au détriment de ceux qui savent faire et qui font vivre la structure sur laquelle les autres se gavent. Ce serait un sujet d'investigation assez intéressant à traiter de façon transversale.
Très bon sujet , dans le cœur de métier.

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bon le sujet m'intéresse grandement, mais la vidéo n'est pas regardable.
l'image et le son n'arrêtent pas de sauter, que ce soit en streaming ou avec la vidéo téléchargée.

c'est la deuxième semaine que je n'arrive pas à lire vos vidéos, je me désabonne temporairement.

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