Les ONG françaises timides sur le cas Assange
Les ONG de défense des droits humains ou de la liberté de la presse soutiennent Julian Assange. Mais pas une seule n'a pour l'instant lancé de campagne de soutien au lanceur d'alerte, se contentant de communiqués ponctuels et assez tièdes. Pourquoi ? Arrêt sur images leur a posé la question, et révèle les débats sur le cas Assange à l'intérieur de Médecins sans frontières.
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Commentaires préférés des abonnés
Soutiens non seulement ponctuels mais qui serviront d’alibi quand on leur demande des comptes. Genre « on en a parlé dans 2 communiqués »
Et oui... "Révéler des documents", ce n'est pas du journalisme, ça ne fait que s'"apparenter au journalisme"... :/
Pour faire du journalisme total, il faut feuilletoner, demander son point de vue au ministre, contre-enquêter, interroger le préfet, vér(...)
Si c'est un coup monté (et il semble bien que ça en soit un), il a été et reste particulièrement pervers et efficace pour torpiller Assange dans "l'opinion publique" qui, rappelons le, se construit.
Probable que, en partie, ça explique la timidi(...)
Derniers commentaires
Perso, c'est peut-être un tout petit peu le rôle de wikileaks dans l'élection de Trump (but her emails but her emails lock her up lock her up) qui me désintéresse du personnage...
Qu'en est-il des accusations de viol ? J'avais entendu qu'il s'agissait de relations consenties pour lesquelles il n'aurait pas mis de préservatif (ce qui n'est quand même pas la même chose et qui est improuvable...).
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Soutiens non seulement ponctuels mais qui serviront d’alibi quand on leur demande des comptes. Genre « on en a parlé dans 2 communiqués »
Et oui... "Révéler des documents", ce n'est pas du journalisme, ça ne fait que s'"apparenter au journalisme"... :/
Pour faire du journalisme total, il faut feuilletoner, demander son point de vue au ministre, contre-enquêter, interroger le préfet, vérifier la pertinence des faits, les filtrer bien comme il faut...
Qui a envie de faire du journalisme total, en fait, à part les hommes du président?