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Ersilia Soudais : au "Parisien", l'exclu plutôt que le consentement

Le "Parisien" a révélé le 5 mars 2024 que la députée LFI Ersilia Soudais a porté plainte pour viol contre son ex-conjoint, le militant LFI Damien Cassé. Sans penser à la contacter, ni la prévenir, avant publication. Cas d'école d'un "journalisme de préfecture" où l'exclu prime sur la déontologie.

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Contacté, Jean-Michel Décugis a refusé de nous répondre : "Je ne parle jamais à Arrêt sur images. Vous vous êtes très mal conduits avec moi."  


Rappeler un confrère à la déontologie journalistique, vous n'avez pas honte ?

(...)

<< Comment une plainte peut-elle fuiter d'un commissariat jusqu'au journal Le Parisien ? >>, se demande LFI dans son communiqué

Ça rappelle une fuite de commissariat concernant un certain Quatennens il y a un an et demi, non ?

Quand (...)

Un fait-divers de plus permettant de décrire LFI comme un repaire d'abuseurs en tout genres, ils n'allaient pas s'en priver.

Et le pire c'est que les réactions condamnant l'article vont probablement être exploitées genre "encore une affaire que LFI vo(...)

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Je suis content parce que Mediapart préserve bien l'anonymat des victimes qui le souhaitent. Par exemple, on ne saura jamais qui est "la plaignante, Sarah*, troisième assistante réalisatrice sur le tournage du film Les Volets verts en 2021". 


"* Prénom modifié à sa demande pour protéger son identité."



On soulignera au passage l'élégance du Monde qui en plus d'exploiter directement cette affaire en la mélangeant à celle de Bayou sous forme d'un article titré "LFI et EELV encore rattrapés par metoo" et trouve en plus le moyen de placer dessous sur la même page un article sur le livre "l'Amour et la Révolution", de Johanna Silva, une ex-petite amie et collaboratrice de François Ruffin, qui, si elle semble plutôt regretter cet amour de jeunesse et avoir maintenant des désaccords politiques avec lui, ne l'accuse de rien.

Ca ne m'étonne pas venant du Parisien...

La source de Dupont de Ligonnès a encore frappé.

Ce que je retiens de l'affaire : il ne fait toujours pas bon être une femme  qui veut quitter son compagnon par les temps qui courent,  publique ou pas. Flippant ! J'exagère ?

Ce n'est pas pour défendre le Parisien, mais depuis quand un journaliste doit avoir le consentement d'une personne pour écrire sur lui ?!


Si c'est le cas, aucun article n'aurait parlé des plaintes contre Sarkozy, Cahuzac, Depardieu, etc. 

Idem sur le couple Mélenchon / Chikirou par Mediapart. Vous croyez qu'ils ont demandé l'avis d'une des deux parties avant ? Bien sûr que non ! 


Juste que c'est une information d'intérêt public. Et c'est le cas ici aussi (ça concerne une députée LFI).


Et de manière plus générale, un journaliste publie l'information qu'il juge utile, c'est tout. Personne ne devrait trouver à y redire. 


Si un journal enfreint la loi, il aura des compte à rendre à la justice. Mais jusqu'à preuve du contraire, ici, aucune loi n'a été enfreinte. 

A force de taper sur Décugis, vous prenez le risque d'en faire un de cujus

Mais je ne comprends pas pourquoi avec un tel passif il ne soit pas interdit de journalisme. De même pour les flics qu'il serait sans doutes facile à retrouver. Cette délinquance tolérée dans certains métiers quand on fait la chasse aux petits délinquants pourtant  à "circonstances sociologiques défavorables" (contrairement à ces gens là) me dégoûte (et ne parlons pas à fortiori de la délinquance par faux  alibi économique pratiquée par Bruno Lemaire et compagnie qui, en diminuant l'argent pour la transition écologique ou autre besoin urgent comme l'éducation, vont enfoncer un peu plus nos banlieues dans la misère). Il n'y a pas une chasse à la violence dans notre pays. On lui demande seulement d'opérer dans certains secteurs où de prendre une certaine forme acceptable, par exemple celle d'apparentes raisons économiques ( pourtant démontées par les économistes atterés mais qu'on ne verra pas dans des conditions d'explication minimales dans les médias).

Les commissaires lui refilent tout et n’importe quoi qui les amusent - imaginez l’ambiance- et il leur fait encore confiance. Malgré le ridicule qu’il a du supporter avec le scoupeu " Ligonnès est l’avion de Galway ", sans compter levpréjudice de la personne qu’il a ainsi exposé a la meute et jeté en pature à l’opinion.  

Y a-t-il eu au moins des excuses ?

Lol mais ici en l'occurrence le policier lui a refilé visiblement une bonne info qui aurait dù rester privée. Ceci dit il a raison de récidiver puisqu'il n'y a pas de vraie sanction 

<< Comment une plainte peut-elle fuiter d'un commissariat jusqu'au journal Le Parisien ? >>, se demande LFI dans son communiqué

Ça rappelle une fuite de commissariat concernant un certain Quatennens il y a un an et demi, non ?

Quand la flicaille a l'occasion de foutre le boxon à LFI, elle ne se prive pas. Elle sait qu'elle peut compter sur les journaleux pour donner de l'écho à ce genre de trucs.

Minable, et lamentable…



Si la victime ne voulait pas  que l'information se diffuse, pourquoi vous en faites, vous aussi,un article ?

Il y aurait bien une solution pour que les flics respectent un tant soit peu quelque chose dans un cas comme ça .Le commissariat où a été déposé la plainte reçoit des bons points pour les bons services rendus ,des bons points qui se transforment en image des nouveaux saints du neolibéralisme , dans un cas comme ça si fuite il y a , on sucre tous les bons points  de l'année , vous allez voir comment ils vont faire le ménage . Après c'est sur , si ils z'ont plus leur susuc , macron il est a porté de baffe ..... Moi où je me délecte c'est de voir l'acharnement sur la LFI  de la part du figaro et du parisien , j'adore voir les bourgeois trembler , c'est mieux qu'un sondage !

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Un fait-divers de plus permettant de décrire LFI comme un repaire d'abuseurs en tout genres, ils n'allaient pas s'en priver.

Et le pire c'est que les réactions condamnant l'article vont probablement être exploitées genre "encore une affaire que LFI voulait étouffer".

Contacté, Jean-Michel Décugis a refusé de nous répondre : "Je ne parle jamais à Arrêt sur images. Vous vous êtes très mal conduits avec moi."  


Rappeler un confrère à la déontologie journalistique, vous n'avez pas honte ?

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