Du SAC à Mitterrand, les barbouzes des présidents
"L'affaire Benalla", telle qu'on l'appelle désormais, est partout. Et ne manque pas de rappeler certaines heures sombres de la Ve République. Pour Arrêt sur images, notre chroniqueur Georges Marion revient sur quelques autres barbouzes, plus ou moins incontrôlables, plus ou moins arrogants, et plus ou moins maladroits...
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L'histoire vue du côté policier ,
Mise en perspective avec
L'augmentation des inégalités et une politique de plus en plus subordonnée aux intérêts d'une minorité
L'état d'urgence passe dans'la,loi ordinaire
La'répression policière de tout mouvement(...)
Derniers commentaires
Merci, M. Marion, pour cette perspective historique.
C'est toujours un plaisir de vous lire sur ce site.
J'ai compris....c'est mon leitmotiv du jour, le mot clé est mal orthographié d'où le seul "t" modifié maintenant. Il vous suffit de faire de même pour rectifier le mot clé.
Bonne fin de semaine
L'histoire vue du côté policier ,
Mise en perspective avec
L'augmentation des inégalités et une politique de plus en plus subordonnée aux intérêts d'une minorité
L'état d'urgence passe dans'la,loi ordinaire
La'répression policière de tout mouvement de contestation'sociale
Un nombre de tue par la police en fulgurante augmentation suite à un changement de législation quant à l'utilisation des armes
Désolé mais'non l'affaire se place dans un contexte , tout comme le sac qui n'était pas la,même chose que'la cellule de l'élysée.
Notre époque n'est pas celle des années 80 et 90 .
Je n'ai pas lu l'article mais est-il normal, pour un site comme @si, que Mitterrand ne prenne qu'un "t" dans votre titre?
Dur, dur...
Cher camarade PHVirl,
Je ne me fais aucunement "chier".
Après mon commentaire, j'ai lu l'article.
Mé ge reiterre les critures des nons propres est inportente é ateste (d1 cou d'oeil) du cérilleux du travail....et je m'étonne que Marion ait pu laisser passer ça.
Bien à vous l'ami.
Entièrement d'accord.
Même si Marion a sans doute peu à voir avec la rédaction du titre.
Comme pour Mélenchon* misorthographier** un nom propre est un indice sur le jugement que porte le scripteur sur la personne.
*vous avez dit Mélanchon .
**pour Mitterrand c'est même la prononciation" Mitrand' qui dénonçait le haineux compulsif
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