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Dette : infortune d'une bonne nouvelle

Tiens, pendant ce temps-là, on a perdu le triple A.

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J'ai aussi un livre, je peux aussi le dire via cet article ? ;)
http://cogito.no-ip.info/cogito/zapping/
Quelqu'un peut-il rappeler depuis quand les USA ont perdu leur triple A ?
[quote=d.schneiderman] Il fait beau, certes, mais il pourrait brutalement pleuvoir, et alors ça mouillerait grave.
:D
On en fait pas tout un plat parce que :
1) la perte de triple A, c'est comme beaucoup de choses : ça ne fait mal que la première fois
2) effectivement ça a pas fait très mal pour l'instant
3) la première était un enjeu du gouvernement: la perte de cette notation était un camouflet pour lui.
la seconde est un non évènement pour l'actuel gouvernement : imputable a des externalités, elle sert à la fois d'argument vers sa gauche "vous voyez bien qu'on doit faire un peu de rigueur" comme d'habituel flan à la critique sur sa droite "ce n'est pas sérieux de faire aussi peu de rigueur". Bref un point sans potentiel politique, et on comprend que ça laissa Apathie apathique.

Les taux ne resteront pas comme ça jusqu'en 2019. Par ailleurs, le bon calcul se faisant en fait sur le dos des taux exigés par des pays encore moins solvables que nous à qui nous prétons, je doute qu'à T +quelques années on soit dans un calcul positif. Mais je dois être comme la presse économique !
Les analystes financiers racontent n'importe quoi quand on parle d'avenir? Surtout ceux qui passent à la télé ( ceux qui sont convaincus d'avoir raison )?

Un autre Daniel l'a prouvé, statistiquement. Il a même eu un prix nobel d'économie. Et écrit un bouquin l'année dernière.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Thinking,_Fast_and_Slow
Bonjour
Puisque nous ne sommes pas loin de l'éconaute, Anne-Sophie pourrait-elle nous expliquer comment marche la Cotisation Foncière des Entreprises (CFE pour les technocrates) parce qu'ici à Montpellier c'est le pataquès.
Je pense d'ailleurs que le problème est plus large que ce qui se passe ici.
Pour avoir les bonnes infos c'est la cacophonie sous forme d'arguments politiques, les uns disant que c'est la faute de la suppression de la Taxe Professionnelle par machin (les édiles PS locaux), les autres disant que c'est la faute de l'agglomération qui a appliqué sans modération la taxe CFE remplaçante (les commerçants plutôt UMP du coin).
Dans tout ça, la presse papier et TV locale ne trouve pas le moyen de nous expliquer le fond des choses.
Merci d'avance Anne-Sophie.
Bon, comme @asi est venu me chercher sur Twitter, j'ai lu cette mise en cause, en l'occurrence, et pour ce qui concerne BFMbusiness. totalement infondée. Il se trouve que le 5 juin dernier, nous ouvrions toutes nos éditions sur "la bonne nouvelle des taux d'intérêts en baisse", rebelote le 20 juillet, ensuite nous avons à deux reprises fait la une avec les "taux d'intérêts négatifs" etc... je ne signalerai pas à l'auteur docte qui nous met en cause que l'ensemble de ces gains ont été mangés, et même au-delà, par une nouvelle facture présentée par DEXIA, puis une autre présentée par la Grèce, ce serait une perte de temps. Je comprends (et encourage) le soucis commercial (vive le business) de vendre un livre sans doute très pertinent. Mais s'il vous plait, les errements économiques de mes confrères sont à ce point nombreux, évitez de le faire sur notre dos, même en nous épargant, vous n'avez que l'embarras du choix
Stéphane Soumier. BFMbusiness
Humm... que vous en ayez parlé et que cela ai même fait vos unes, pas de problème on vous crois... le problème c'est le ton et les tournures que vous employez pour présenter la chose ou les choses et le "oui mais" qui viennent tout de suite pondérer les moins mauvaises nouvelles que vous énoncez (comme vous le faites du reste dans ce post... oui mais dexia... oui mais la Gréce... oui mais... toujours "oui mais").
Vous me faites penser aux vautours dans Lucky Luke...

--
mal placé, sorry
Et, quoi que vous semblez en pensez, il y a des gens qui écrivent des livres pour qu'on les lise avant de penser à les vendre et d'espérer un retour sur investissement... j'ai l'heur, en suivant régulièrement ses chroniques, de penser que c'est est le cas d'Anne-Sophie, mais bon je comprends que ça doit être une chose qui doit vous paraitre plus qu'ubuesque !

--
Pourquoi parlez vous de ce que vous ne connaissez pas? C'est étrange. Vous ne m'avez jamais écouté, jamais regardé, mais vous avez un avis. Pauvre de nous
Merci Stéphane Soumier, de vous risquer dans ce mauvais lieu, et bienvenue.

Il est vrai que je suis venu "vous chercher sur Twitter", qui n'est pas le meilleur endroit pour engager un débat. Il se trouve que je vous suis sur Twitter. Et que je vous y entends chaque matin, avec la verve qui fait votre charme, vitupérer les impôts trop élevés, les charges démoralisantes, les obstacles de toutes sortes qui cassent les jambes des entrepreneurs, etc. Bref, tenir un discours rappelant celui de The Economist, sur cette France qui refuse obstinément de se réformer.

Bon. Là-dessus, nos taux baissent, comme l'explique le papier du Monde. Puisque vous êtes ici, puis-je vous demander votre explication sur cette baisse de taux ? Croyez-vous sérieusement aux explications des banquiers cités par Le Monde, sur le thème "c'est parce que les prêteurs n'ont pas bien regardé les comptes français ?" Et ce fait (car c'est un fait) ne vous amène-t-il pas à nuancer votre sombre peinture des conditions dans lesquelles on entreprend en France ?
Le maître de céans a mauvais esprit. Peut-être est-ce ce qu'on attend de Lui.
"Merci de vous risquer dans ce mauvais lieu "
Au moins.
Espérons que Soumier va encore venir au bordel pour répondre aux questions précises du tenancier !
J'ai fait provision de goudron et de plumes. C'est pas tous les jours qu'on peut alpaguer un libéral. Parce que bizarrement, les speechs contre le SMIC trop élevé, les charges des entreprises qui freinent les ambitions entrepreneuriales et le manque de flexibilité de l'emploi de cette France qui refuse la mondialisation heureuse et ses bienfaits, ils les tiennent toujours bien au chaud à la téloche, à la radio ou sur Touiteur, jamais à la sortie des usines devant de vrais gens...
Comme quoi, le courage.
Vous pouvez refourguer votre came au drugstore, il ne reviendra pas car c'est mercredi et il a piscine.

Comme quoi, le courage...

Espérons que DS va le touiter, ksss ksss !
Je viens de regarder votre lien plus haut. Pour 2012, quatre vite-dits, sans forum, sans décryptage, une vingtaine de lignes en tout et des scans de Unes. Le dernier "arrêt sur images" remonte au 10 octobre.. 2011 dans une (excellente) enquête de Sébastien Rochat.
Entre-temps, on a eu pas mal de billets-chroniques et d'émissions de type "people", avec forums.
Sans vouloir absolument qu'@si devienne "@si international", je sais que les moyens sont limités, mais n'est-il quand même pas possible d'envisager un meilleur équilibre dans le traitement des sujets, comme mettre en avant ceux qui sont vraiment importants - comme ici - plutôt que l'inverse, à savoir, des émissions sur les milliardaires à la TV, la TV réalité, Delarue qui eux, ont toujours été déclinés plusieurs fois pour la plupart - et toujours avec forums associés ?

Pour le fun, j'ai fait comme vous, une recherche avec mot-clef. J'ai choisi le mot "Honduras".
Devinez combien de billets j'ai trouvé en 2012.
non, ce n'est pas parce qu'ils n'ont pas regardé les comptes ;)) (c'est même sidérant que Le Monde ait pu écrire une ânerie pareille) , c'est bien le signe d'une solidité réelle de la France, de la diversification de son économie... et de sa capacité à lever l'impot. Le geste sur la TVA est très important parce que c'est l'arme absolue, si nous avons un pb de tension, la TVA à 25% le règlera en 2 secondes (je sais, vous hurlez, mais vous me demandez des mécaniques de marché, jeDé vous les donne)
Désolé d'avoir mis du temps à répondre, mais les deux derniers jours sont très utiles pour comprendre un élément qui échappait encore: les marchés nous ont lié à l'Allemagne. Après la dégradation de Moody's, nos taux sont très légèrement remontés, ceux des allemands aussi (c'est vraiment l'épaisseur du trait) pendant que l'Italie baissait. On a donc là, de la part des investisseurs, la claire conscience que le problème lie français et allemands pour le meilleur et pour le pire. Un scénario très noir circule sur 2013 (je devrais dire circulait, parce que le gvt français n'a visiblement pas l'intention de se laisser faire) : la france ne parvient pas à lever les 200mds dont elle a besoin, elle fait appel au MES, c'est impossible (puisque nous en sommes le garant) et le truc explose pour de bon. Chacun comprend que c'est impossible et qu'à ce moment là l'allemagne lachera tout ce qu'il faut lacher. Voilà. Nous sommes un grand pays, c'est ce que reconnaissent les investisseurs, ça n'a rien à voir avec Hollande ou avec Sarkozy d'ailleurs.
Enfin oui, je suis abonné (comme à Mediapart), sans vous lire, parce que j'aime votre courage d'entreprendre! C'est la phrase de Voltaire pour 10€, luxe accessible ;)
n’empêche que vous avez écrit une ânerie nous concernant, et que la moindre des choses, pour rester cohérent avec votre exigence de vertu, aurait été de la corriger

Pourquoi parlez vous de ce que vous ne connaissez pas? C'est étrange. Vous ne m'avez jamais écouté, jamais regardé, mais vous avez un avis. Pauvre de nous


Votre drame cher monsieur Soumier, ce n'est pas qu'on ne vous écoute ou regarde pas, mais c'est justement que l'on vous écoute, qu'on vous regarde et que l'on vous lit. Et que l'on constate que vous nous vendez sans trêve la même pâtée ultralibérale pré-mâchée.

Mais n'ayez crainte, votre employeur est fier de vous. Vous êtes tout à fait dans la ligne [s]du parti[/s] de la rédaction...
alors ça va ;) 1/ oui, ma pâte est ultra libérale 2/ je suis le commissaire politique en chef, c'est moi qui définit la ligne du parti (et vous pouvez enlever rédaction, je n'ai pas de carte de presse) Hasta Siempre
"Je comprends (et encourage) le soucis commercial (vive le business) de vendre un livre sans doute très pertinent. Mais s'il vous plait, les errements économiques de mes confrères sont à ce point nombreux, évitez de le faire sur notre dos,"

Et moi qui pensais que le business ne pouvait se faire que sur le dos de quelqu'un (mais pas le votre bien entendu)... ça perd de suite tt son charme.
et non!! c'est ça la magie de la vraie création de valeur, elle ne se fait sur le dos de personne, et tout le monde y a droit
J'avais bien compris le coté magique du concept de "création de valeur", avec tout ce que cela implique de croyances.
Mais pour être plus clair:
Peut on s'enrichir sans prendre a quelqu'un ou a quelque chose? (matériellement bien sur)
Et si oui comment ?
Je sais qu'un magicien ne dévoile jamais ses tours, mais a ce niveau là, un peu de concret ne me ferait pas de mal.
"la magie de la vraie création de valeur", c'est un peu comme "la main invisible du marché".
Puisqu'on vous dit que l'économie, c'est du rationnel !
Nota (juste pour le fun) : selon le lexique de Trader Finaces.fr :
"La création de valeur consiste, d'une part, à accroître la productivité de l’entreprise et, d’autre part, à rechercher une croissance durable et rentable.
La création de valeur peut s’apprécier à travers la capacité de l'entreprise à effectuer des investissements, plus ou moins risqués, avec une rentabilité qui est supérieure au coût moyen pondéré du capital.
La création de valeur s’effectue au profit de l’ensemble des investisseurs, actionnaires et créanciers (amélioration de la structure financière), de la société".
http://www.alternatives-economiques.fr/que-l-argent-soit-francois-rachline_fr_art_66_6690.html
Puisqu'on vous dit que l'économie, c'est du rationnel !
Le pire, c'est que je crois que sa répond effectivement a certaines règles, mais pas celles que l'on croit.
Suggéreriez-vous que les actionnaires qui grossissent pile comme les licenciements créent de la valeur sur aucun dos ?

J'le crois pas, hé...
Il ne faut pas s'arrêter au terme "magique". L'économie est basée sur les mathématiques, il ne faut pas l'oublier. Ce "tout le monde y a droit" est d'ailleurs tout à fait dans les thèses libérales et n'ont surtout, surtout rien à voir avec la redistribution et un quelconque fantasme socialiste, ces fumisteries pour les petits enfants.

Il se base sur une démonstration rigoureuse qui aboutit à la conclusion logique et imparable que tout le monde peut, et même à le droit, de faire partie des 1%. Mais ce résultat, pourtant évident, se heurte à un facteur réducteur : la nature humaine. Celle-ci, entachée de feignantise, de médiocrité ou de simple bêtise, empêche l'admirable équation 1% = 100% de se réaliser.

Faut se remuer le cul, les gens, vous donnez une mauvaise image aux mathématiques.

Faut se remuer le cul, les gens, vous donnez une mauvaise image aux mathématiques.


:)))

et non!! c'est ça la magie de la vraie création de valeur, elle ne se fait sur le dos de personne, et tout le monde y a droit

Vous vivez en plein féérie.

Le plus drôle avec votre idéologie, c'est que vous assénez des idioties avec un tel aplomb que c'en est presque touchant.
en fait c'est passionnant asi! Nous sommes là au coeur de ce qui oppose les libéraux et, pour aller vite, les économistes sociaux de marché. Vous considérez que la croissance, le travail, la valeur, est un gâteau qui se partage, nous considérons, que c'est une force dynamique, d'où le nom de croissance. Vous êtes donc dans des logiques de rationnement, (35heures, pour "partager le travail") nous sommes dans des logiques d’addition, plus de travail, parce qu'il crée plus de richesse, amène encore plus de travail etc... si l'un de nous deux avait raison ça se saurait! les cycles économiques sont évidemment plus complexes du fait notamment des poliotiques publiques qui peuvent être menées ici ou là, et l'on peut parfois donner raison à une politique de restriction (il semble qu'effectivement, par exemple, les heures sup défiscaliées aient été une erreur, alors qu'elles collent parfaitement à la théorie de la dynamique de croissance). c'est bien pour cela qu'il faut un pilotage fin. Mais sur le cadrage fondamental, je crois effectivement davantage à la croissance qu'au rationnement, et, point fondamental, la plus grande partie du monde le pense aussi.
Durée individuelle annuelle moyenne du travail: environ 3000 heures vers 1850, environ 1500heures actuellement. Cela s'appelle un trend séculaire, une tendance lourde, de celles qui rendent les idéologies obsolètes. Le libéralisme a quelque part cessé d'exister intellectuellement, théoriquement, culturellement. Stéphane Soumier, votre courage est poignant.
Pour Noël, faites vous offrir "Le droit à la paresse", Stéphane. Ça vous changera les idées.
Pour ceux qui en bénéficient, les 35 heures ne sont pas un "rationnement", mais un allègement.
Des décennies que votre sauce arrose le monde avec les résultats que l'on sait.
Essayons, juste une fois, de partager le gâteau, le résultat ne pourra pas être pire, et sinon, ben chacun aura eu sa part, ce qui sera une première.
Peu de chance que vous votiez pour cette vision libéralement révulsante j'imagine, mais comme vous imaginez que votre mode opératoire est la volonté de plus de la moitié des milliards d'individus qui habitent ce monde, on peut aisément imaginer la rigueur scientifique qui vous anime dans vos.. "démonstrations".. à base d'éléments de langage ("rationnement").
On se sent rassuré. J'imagine que les solutions libérales, qui ont inventé la crise actuelle et mis tout le monde dans la merde, vont également nous sortir de ce mauvais pas.
Comme disait Einstein, "il ne faut pas compter... "...
au titre des come back...remarquées hier soir après la "victoire" de leur chouchou,les duettistes blondasses de l'UMP:Rosso et Morano.Rigolade assurée.
[quote=Daniel Schneidermann]Anne-Sophie Jacques qui, heureuse coïncidence, publie ces jours-ci un petit manuel de résistance au matraquage médiatico-économique,

En dévoilant, dans votre préface, au feu de quelle expérience Anne-Sophie Jacques a forgé son écocritique compétence, vous avez fourni à son livre l'argument de vente le plus intelligemment motivant.
Si ça ne fait pas plus de vague, c'est parce que comme l'expliquait Delamarche sur BFM Business, aucun pays ne mérite le triple A et que les vampires des marchés le savent tous.
Pourquoi lémédias n'en parlent pas ? Facile : parce que ça prouverait que l'austérité ne marche pas, et que la plupart des éditorialistes sont pour "une réduction des déficits parce que mon bon Monsieur ça peut plus durer comme ça; la gabegie" sauf quand il s'agit de subventions à la presse et de niches fiscales pour les journalistes mais de ça, ils ne parlent pas non plus.
Les mauvaises nouvelles n'arrivent jamais seules... Donc on a reperdu le A perdu en janvier mais dans une autre boutique.
Donc on a hérité du même patron de l'UMP qui n'a pas perdu sa grande gueule et qui joue ce matin le rassembleur de pacotille.
Tout va bien!
Si ça avait suscité un certain émoi c'est aussi parce que les palefreniers du Pmu l'avaient instrumentalisés en disant que si Hollande et les socialistes passaient , on allait perdre notre Triple A, pas de bol pour eux, le tripe A a été perdu pendant leur mandature, ce qui a déclenché un certain rétropédalage, mais c'était un peu tard.
C'est pas nouveau le AAA
Distribution de pains au chocolat au siège de l'ump aujourd'hui ?
je suppose que s'il y a moins d'émotions aux annonces économicocomiques de nos journaleux préférés, c'est peut-être parce depuis la dernière annonce le peuple est allé voir sur le net d'autres infos et a pigé que Ze Dette n'était pas SA dette, que banquiers et politiques ne formaient qu'une seule et même caste uniquement interressée par son financement perso, et que surtout le peuple ne devait définitivement rien comprendre aux notations mais devait surtout continuer à avoir peur.....

petit apport à la compréhension de ce monde capitaliste créé de toute pièce par des politicards véreux :
" Dette publique et "loi Rothschild" : le silence des médias
Contraint d'emprunter aux banques privées
En clair et pour faire simple, la Banque de France a désormais interdiction de faire crédit à l’État, le condamnant à se financer en empruntant, contre intérêts, aux banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la banque de France qui lui appartient. Depuis l'application de ce principe, la finance et son infime oligarchie donnent la pleine mesure de leur asservissement des peuples, en une spirale exponentielle d'accroissement des inégalités."


et je ne parle même plus de la révélation de Guy Abeille qui a avoué que le chiffre de 3% de déficit autorisé était né (un soir de beuverie ??) sur un coin de table sous Mitterand 1er : 3% de déficit : «Le chiffre est né sur un coin de table»

"leur dette n'est pas notre dette"
qu'ils aillent chercher le pognon ailleurs que dans nos poches s'ils ne veulent pas que le tiers état envahisse à nouveau leur petite cour !.....

on est bien d'accord : il y a les journalistes et il y a les journaleux....
" "Vous n'avez peut-être pas eu les dernières informations ?
Donc pouvez-vous me poser une autre question avec les dernières informations ?"

Sarkosy à Reuters le 16 janvier, après l'annonce de Standard and Poor's.
, L'élection de Copé a été annoncée après l'annonce de Moody's , non ?

Mais qui se rappelle quelles étaient les dernières infos auxquelles faisait allusion Sarkosy ?
(Moody's avait maintenu son AAA)
Caramba ! Encore raté !
C'est pas aujourd'hui qu'on parlera en Une d'ASI de Gaza !
Et pourtant, il y aurait de quoi, par exemple :
Gaza, assassinats et désinformation
La sourde oreille des grands médias sur la situation à Gaza
Premiers éléments d'analyse sur l'offensive israélienne contre Gaza

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