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Delphine et Léa font de la résistance

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Cette histoire de "privatisation" de l'audiovisuel public est une douce blague. De la démagogie alors que plus personne ne le réclame.


Et pour cause.


D'abord, le marché publicitaire stagne depuis à peu près 20 ans. Le part de marché de la télévision (c(...)

Un président peut dire "casse-toi pauvre con", "j'emmerde les non vaccinés", mais qualifier un journaliste qui a fait un travail bâclé et malhonnête  , d'abruti , est un délit.

Misère du journalisme et de la justice.

Alors Léa et Delphine....

(...)

En ce qui concerne Mélenchon, certains peuvent penser que le délit de diffamation aurait été nettement  mieux   constitué,  s'il avait  qualifié les journalistes de " compétents " et " d'objectifs "....

Derniers commentaires

En ce qui me concerne, LS ne m’intéressant rarement, je vais me doucher à son moment. Ce matin, je prenais mon temps, télétravail oblige, et la demie seconde m'a sauté aux oreilles. J'ai dit à ma compagne " elle est est un peu em----ée, c'est une de ses patronnes". Je suis un DS en puissance, grâce à son éducation. cela m'a fait plaisir. Et puis j'ai dit à mon interlocutrice préférée, ah au fait, cela fait combien de temps que nous n'avons pas regardé FT.  Nous ne le savions pas, mais notre box tv est en panne depuis 6 mois, nous oublions  d'appeler l'opérateur et la vie continue sans trop de problème.

Dans le genre des discours de haine, et après les mots, il y a les actes, j'ai immédiatement pensé à tout ce que Léa Salamé balance sur les non-vaccinés. Mais bon, j'ai mauvais esprit.

Demain 75 % d'enseignants sont susceptibles de faire grève. Traitement de cette grève par le service public (la 3) : la galère des parents et d'un maire et le point de vue de l'Élysée... le point de vue des syndicats ? Carole Gaessler, les syndicats elle ne connaît pas.

No comment !


Éric Zemmour souhaite plus que jamais entrer en campagne pour les prochaines élections présidentielles.

À en croire les révélations de Libération, dans sa newsletter "Chez Pol" du 10 janvier, Stanislas Guerini, délégué général de LREM, "se dit prêt à publiquement encourager les maires à [lui] donner un parrainage" en cas de non qualification, rapporte L'Opinion, relayé par Libération. 

De quoi rassurer Éric Zemmour, qui en décembre dernier avait déjà lancé un appel à l'aide pour sa campagne par le biais d'une vidéo, dans laquelle il demandait aux maires de France de le soutenir. 


Jean Cocteau avait cette formule : "dans un nougat, on ne trouve jamais deux fois la même praline."

Je pense que nous devrions tous méditer dessus.

C'est marrant. Je trie des disques et tombe sur le lp d'un groupe hard core de la Ouest, Christ On  A Crutch.

Son titre "Crime Pays When Pig Dies"

Carl Jung, je t'aime.


Sur un autre sujet :

Le Monde titre un de ses articles "L’avenir de Boris Johnson compromis après de nouvelles révélations sur les fêtes pendant le confinement"


Certains médias comme Le Monde devrait s'abstenir de telles prédictions à répétition car elles les desservent.


Quand un peuple est arrivé (dans sa majorité) au point d'élire un personnage comme Bojo (surtout après l'autre clown transatlantique et son précédent Italien avec leur numéro de gestuelle se confondant à celui de mussolini de triste mémoire), alors on peut douter que ces révélations qui se suivent auront un quelconque effet


Et maintenant, match serré en France  : à mon extrême droite zob et à mon autre extrême droite Emmanuel


Avec le service public, c'est toujours la même schizophrénie : tu construis un machin comme Zemmour depuis les années 90 et après tu pleures quand il veut te flinguer.

Même chose dans le transport, dans l'éducation nationale, etc.

Eric Zemmour et l’histoire : faux et usage de faux 


Laurent Joly, directeur de recherche au CNRS, publie "La falsification de l'histoire" (Grasset, 2022), qu'il présente comme un livre-riposte à Eric Zemmour et à sa manière d'instrumentaliser l'Histoire. Il nous en parle aujourd'hui.


Z le promoteur d'un regain du nationalisme ethnique

Je propose une conduite. A Daniel Schneidermann, en personne. The man. The Big Boss, still.

Dans un pays ou les grands médias titrent "Faut-il criminaliser les non-vacciné.es ?" plutôt que "La folie autoritaire de Macron face au Covid", je suggère que tout débat, même pertinent, même vital, lancé par un.e enfant de salaud, un.e fasciste ne soit pas évoqué.

Pourquoi ? Parce que la pertinence des débats, des sujets, leur importance (comme celui d'aujourd'hui), disparaîtra comme les larmes dans la pluie.

Car contrairement à nous, les enfants de salaud se moquent bien des débat qu'iels mettent sur la place publique. Ils détruisent tout ce dont ils parlent.

Le service public est corrompu jusqu'à la garde. Sujet intéressant, sauf que c'est un nazi qui lance le sujet.

Mais je suppose que demain, notre Eric Hitler va s’appesantir sur les étoiles de Michelin et tout le monde va se demander si le système n'est pas à réformer. Peut-être même ici aussi.


Zemmour... veut privatiser... France 2... Et Léa, juste Léa..., bref. C'est ça, le sujet du jour ?

Zemmour, c'est celui qui a été condamné cinq fois pour racisme, qui veut interdire les prénoms "étrangers" et qui soutient que Pétain a sauvé de juifs.

En quoi son avis sur France 2 présente un intérêt.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Bonjour,

Il faut effectivement défendre le service public de l’audiovisuel. Et comme le dit très bien Daniel Schneidermann, éviter de prêter le flanc aux critiques de l’entre-soi, de la connivence, de la bien-pensance. Au delà de cette demi-seconde, je voudrais signaler la gêne que j’ai ressentie lorsque lundi, à la fin de la chronique de Sophia Aram sur Laurent Ruquier, Léa Salamé s’est sentie obligée d’intervenir pour défendre son collègue de France 2.  Cette intervention, en réponse à une critique humoristique qui déclenche le plus souvent les fous rires de Léa Salamé, m’a paru totalement déplacée d’autant que, s’il le souhaite,  Laurent Ruquier a les moyens d’y répondre tout seul.

Et contre Delphine Ernotte aussi non?

La télé fait des émissions sur la télé, la radio invite la télé, la télé invite la radio, la radio fait des émissions sur la radio... déclinable à l'infini. L'entre-soi est le quotidien à tel point qu'ils ne s'en rendent plus compte et que s'inviter mutuellement, être dans des conflits d'intérêt ou de pouvoir est une normalité.

La justification d'entrée de Léa Salamé a d'emblée décrédibiliser sa position, sa place et le contenu de l'échange. Elle donne vraiment le grain à moudre, une nouvelle fois... En ma matière, elle est multirécidiviste.

En ce qui concerne Mélenchon, certains peuvent penser que le délit de diffamation aurait été nettement  mieux   constitué,  s'il avait  qualifié les journalistes de " compétents " et " d'objectifs "....

c'est ironique : Delphine Ernotte, qui souhaitait dégager les mâles blancs de plus de 50 ans, pourrait donc elle-même se faire dégager par un mâle blanc de plus de 50 ans.


blague à part, même si je suis Zemmourien, je ne suis pas du tout pour la privatisation de l'audiovisuel public. d'abord parce que l'audiovisuel privé on sait ce que ça donne (c'est à dire quelques trucs bien et beaucoup de trucs très très nazes), et aussi parce que l'audiovisuel public, si il n'est pas parfait, reste de qualité bien supérieure à la plupart des choses existant dans le privé.


il y a certes une coloration soc-dem bon teint dans le service public, mais c'est un moindre mal par rapport à ce que ce serait si c'était privatisé.

C'est vai que défendre l'exceptionnel pluralisme des émissions phares du service public "'c'est dans l'air" ou c'est à vous... ça donne envie de se mobiliser pour le défendre.

Oh oui! Les silences en disent parfois bien plus que les discours d'autosatisfaction des donneurs de leçons aveugles à ce qu'il y a devant leur porte. C'est pas encore aujourd'hui que mon moral va monter...

Cette histoire de "privatisation" de l'audiovisuel public est une douce blague. De la démagogie alors que plus personne ne le réclame.


Et pour cause.


D'abord, le marché publicitaire stagne depuis à peu près 20 ans. Le part de marché de la télévision (contrairement à celle de la presse, qui s'est effondrée au profit du digital), autour de 5 milliards d'euros par an. Ajouter de nouveaux acteurs (qui ne se financeraient plus que par la publicité, donc) viendrait affaiblir les acteurs existants, alors même qu'ils se consolident (cf. la fusion TF1-M6, largement encouragée par le pouvoir d'ailleurs, au point de virer Isabelle da Silva, Présidente de l'Autorité de la concurrence, qui s'opposait à ce projet.


Ensuite, le service public a une spécificité : il est obligé de recourir à de la production externe pour 90% de son temps d'antenne. C'est une obligation nettement plus forte que pour les chaînes privées. Autrement dit, hors de l'information, ce sont des sociétés privées qui facturent (et ne se privent pas de réaliser un certain taux de marge, même si les délires de l'époque Elkabbach semblent révolus). 


Le service public est donc déjà largement privatisé. Mieux, la redevance consiste en fait à subventionner l'écosystème de production privée. Écosystème qui comprend certes des acteurs indépendants (l'agence Premières Lignes de Paul Moreira, par exemple, qui produit Cash Investigation), mais aussi (et surtout !) des mastodontes, dirigés par des "maîtres de la culture", des "scrupuleux de l'information" (la formule est de François Mitterrand, qui critiquait les projets de privatisation du service public par l'opposition RPR-UDF). 

Pour n'en citer que trois : Mediawan (Xavier Niel, Matthieu Pigasse) produit "C à vous", Banijay (Stéphane Courbit, Vincent Bolloré) produit "N'oubliez pas les paroles" et Newen (Bouygues) produit "Plus belle la vie". Les trois programmes principaux d'avant-soirée enrichissent, de fait, des milliardaires privés. Et dans le cas de "C à vous", on comprend mieux la ligne éditoriale pro-gouvernement.


Enfin, le personnel de "service public" n'existe plus. À chaque changement de présidence, c'est une nouvelle écurie issue du privé qui débarque : à Marc Tessier l'esprit Canal+, Patrick de Carolis les anciens de La 5, Rémy Pflimlin la tribu Lagardère, et Delphine Ernotte le pool TF1 époque Le Lay-Mougeotte. Desgraupes et Bourges sont bel et bien morts et enterrés.


L'idée même de "service public" est un doux leurre en 2021. Et ceux qui prétendent le mettre au pas en le privatisant ne sont que des démagogues, surfant sur la promesse de suppression de la redevance. Que les amis milliardaires de Zemmour ne s'inquiètent pas, celui-ci ne mettra pas fin à une ressource annuelle garantie.


Sources :

- l'excellent livre de Marc Endeweld, France Télévisions (Off the record), paru en 2010. Il était invité à Arrêt sur images en 2014.

- l'excellente enquête de Loris Guémart, qui vient apporter du contexte au "conflit" Ruquier/Barma (été 2020).

Delphine Ernotte et Léa Salamé, me semble-t-il, confirment cette théorie selon laquelle ce ne sont pas les plus compétents qui accèdent aux postes de pouvoir, mais les plus ambitieux et/ou les plus serviles. Théorie qui n'a aucune base scientifique, mais qui se vérifie souvent, en politique comme dans les milieux professionnels. 

Le service public serait mieux défendable s'il était réellement pluraliste, et permettait l'expression de l'ensemble de l'éventail politique, et pas seulement celui compris entre l'extrême-droite et la majorité gouvernementale (A de rares exceptions près). Mais naturellement, les partisans d'un PAF monochrome bleu roy en seraient d'autant plus déchainés. Le pognon du contribuable, etc... Comme si ce n'était pas mon pognon qui finançait aussi, indirectement mais sûrement, et bien malgré moi, les guignols de Cnews. Au passage, mon pognon (de contribuable) finance aussi l'expression des Devecchio, Gernelle et autres Thréard qui bénéficient eux aussi de leurs ronds de serviette sur la télé publique. Et j'en passe.

Défendre le service publuc contre la zemmourisation !!!

Avant son meeting on a eu droit 3 jours de suite de la promo pour ce "grand événement " sur la 3.

A chaque déplacement zemmourien on a droit à un reportage de la 3.

On ne doit pas regarder le même service public ou en tout cas pas avec les mêmes lunettes. 

Après votrte émission sur les  Ecoles  journalisme,du 31/12/2021.que dire de 


Léa Salamé.


https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9a_Salam%C3%A9


 


de Delphine Ernotte.


https://fr.wikipedia.org/wiki/Delphine_Ernotte.


C'est un milieu,c'est très mondain,très parisien.

A priori  ils ou elles ne se fréquentent pas,mais se connaissent.




"le service public de l'audiovisuel, ilôt de résistance à la zemmourisation". Faut le dire vite ... Eux, comme les autres, s'empressent, au moins une fois par jour, de commenter la petite phrase, et l’énième petit pet (du moment) sortant de la bouche du personnage.

" Et donneur de séné par désir de rhubarbe "  ( dans Cyrano )


Si tous les Résistants sont comme elles, la guerre  va être très longue  et je ne suis pas assuré  de la Libération !

Un président peut dire "casse-toi pauvre con", "j'emmerde les non vaccinés", mais qualifier un journaliste qui a fait un travail bâclé et malhonnête  , d'abruti , est un délit.

Misère du journalisme et de la justice.

Alors Léa et Delphine....

Dans sa politique de "défense" des Services Publics l'Etat Social Libéral, Libéral  et ses Affidés ont toujours mis en place à leurs têtes ou à des postes clés et charnières les bonnes personnes qu'il fallait pour le miner de l'intérieur.


Que ce soit à Radio Franc ou ailleurs.

Léa (je me permets) et beaucoup d'autres en mangent (avec de bons salaires) en le sapant et le minant avec les plus beaux sourires.


Doivent-ils être appelés traîtres, les "je fais semblant enfantin"?  


défendre le service public de Zemmour 


mais aussi de Mélenchon si on en croit vos confrères  :


Jean-Luc Mélenchon a été condamné mardi pour injure publique et diffamation pour avoir traité des journalistes de Franceinfo d'« abrutis » et de « menteurs » après une enquête de la cellule investigation de Radio France sur sa campagne présidentielle de 2017.

Le chef de file de la France insoumise et candidat à la présidentielle d'avril prochain a été condamné à une amende de 500 euros avec sursis et devra verser 3 000 euros de dommages et intérêts à Radio France.


encore une façon de faire la boucle entre les "extrêmes"

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