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Dans les corps triomphants, soudain le doute

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La situation est désespèrée mais n'est pas grave !....


Cette phrase pourrait résumer la situation qui ressemble à un concert cacophonique, où tout est dit y compris son contraire.
Tout d'abord les propos imbéciles. "Le virus n'a pas besoin de passeport(...)

Ma mère est caissière au Monoprix de ma petite ville de province. Elle va avoir 60 ans et je suis inquiet pour elle. Et aussi pour mon père, qui heureusement est confiné, mais vit avec ma mère et fait de l'hyper-tension.

Ma mère bosse depuis l'âge de(...)

Qu'une PENICAUD, qui peut chipoter nonchalamment sur la durée du congé pour la perte d'un enfant, s'intéresse aux salariés, aux sans grades, aux petits ce n'est pas grâce ou à cause d'une prise de conscience humaniste.

Elle les voit juste comme des co(...)

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Et aussi :


https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/document-etat-d-urgence-sanitaire-libertes-individuelles-municipales-ce-que?fbclid=IwAR1z7cokm1jKI_Y7Mb5YNs6M0RFa5HrC9Jd386QG-0OwbzIIUQIqI0WKygg

ça y est :l'initiative a été prise d'une pétition en ligne en faveur des  caissières; A signer

Reste en effet comme dit Tony A les risques que Naomi Klein a mis en lumière : La Stratégie du choc


Soyons vigilants contre le virus et faisons attention à toutes les décisions prises qui nous priveraient de certains droits et avantages sociaux

"Pour combien de temps ?"


Et oui...


Je ne compte plus autour de moi les "tais-toi, ce n'est pas le moment". Et demain, je sais, il faudra être joyeux, "ce n'est plus le moment". En fait, ce n'est jamais le moment.


Je vais en profiter pour m'isoler un petit peu. Musique le matin. Boulot et famille le reste de la journée.

Quelle pitrerie l'orthographe inclusive !!!  "les caissières sans protection, les détenus privés de parloir et de promenade, les confiné.e.s avec conjoints violent "

Ah ! bon ? on peut être confiné, ou -ée, mais avec un conjoint forcément mâle (de genre ou de sexe ?) et les caissières sont toutes femelles, et les détenus, tous mâles...

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vous avez bien raison de n'écouter que d'une seule oreille ! ils ont remplacé France Culture par France Inter pour tous ! Du coup, Demorand nous braille dans les oreilles dès 7h. Insupportable ! Donc, moi, j'eteinds.

Sinon, très bon article ce matin M. Schneidermann; merci.

Et demain ? On essaie la dictature ?


L'occasion faisant le larron, le gouvernement va se faire voter les pleins pouvoirs.


Bien sûr, en novlangue, cela s'appelle l'état d'urgence sanitaire.


Bienvenue en dystopie.

J'ai parfois des bouffées d'optimisme(s) de cet ordre. La reconfiguration due au coronavirus (oh comme je suis déjà las de ce mot-ci) semble tellement propice à des changements de regard sur le sens de la société, de la collectivité, des distributions de ressources. Et les réquisitions, nationalisations, semi-nationalisations des biens privés (hôpitaux, compagnies de transport) pour le bien public pourraient en être une amorce. C'est bizarrement sous cette pandémie que je rêve le plus, qui je me dis qu'il serait si simple, aujourd'hui, de se rendre compte de nos aberrations. Collectivement, à tous nos niveaux, et spontanément, naturellement. Je me fais des romans, où égocentrismes et solipsismes tombent comme des dominos, de redistributions en entraides en mises en commun.


Et puis je me rappelle quelques bases. Les mises à sac des supermarchés, chacun pour soi, les plus forts écrasant les plus âgés. Le me rappelle à quelle point la solidarité nationale est compatible avec le fascisme, et même centrale, parce qu'il n'y a pas de contradiction entre esprit de corps et exclusion de tiers, l'un renforçant l'autre. Je me rappelle que les exilés, demandeurs d'asile, migrants, criminalisés par l'UE et stockés comme des détritus dans les camps de concentration des frontières européennes vont mourir en silence, au plus grand soulagement de tout le monde. Je me rappelle que les gens sont les gens. Que leur souci d'autrui (ou le la vérité, ou de l'honnêteté) reste à géométrie variable, toujours, partout. Et que le mot le plus mobilisateur, le plus galvanisateur, reste "guerre" (qu'il est bon, qu'il est libérateur, de se sentir "faire la guerre à", "faire la guerre contre").   


Bref, que l'humain n'apprend pas. Que la devise de cette espèce est "tout ça pour ça". Que là-bas, au mieux, le Trump sera remplacé par un Biden. Qu'on oscille toujours autour des mêmes choses. Et que la déception est toujours plus épuisante que le désespoir.





Bonjour,

il serait temps d'une explication circonstanciée du "droit de retrait" car Radio Paris esquive consciencieusement la question depuis deux jours.

Je tends l'oreille à mon cor de chasse !


Le matin, j'éternue au moins trois fois violemment. 


Mon nez coule régulièrement toute la journée.


Je n'ai pas de fièvre.


Mais cela fait des années que ces phénomènes sont mon lot quotidien. 


J'ai juste la rhinite du fumeur avancée.


L'intérêt général de la chose ?


Baissez le prix de tabac et foutez la paix au ouvriers exposés et forcés !!!



Très bel article, merci DS. 

A propos de comportements, petit témoignage de ma promenade à J+2 après le début du confinement : dans les rues du 5ème arrondissement parfaitement silencieuses, je croise 1 passant tous les 100 ou 200m environ. Il n'y a pas le frétillement de la commissure qui signale habituellement, en période de faible densité (nuit, août, etc) une sorte de vague intention de sourire. Et surtout les gens fuient le regard. Comme si le regard était contaminant. Bon sang mais c'est bien sûr ! une regard EST une interaction sociale ! le virus guette les interactions sociales ! Le regard, c'est le début de l'incivilité en temps de contagion. Qui sait? si on se regarde, peut-être devra-t-on se saluer d'un hochement de tête, puis c'est la porte ouverte à tout : on va se sourire, se parler, au risque de se postillonner à la figure...

Et voilà comment le confinement mental s'ajoute au confinement physique...

Ma mère est caissière au Monoprix de ma petite ville de province. Elle va avoir 60 ans et je suis inquiet pour elle. Et aussi pour mon père, qui heureusement est confiné, mais vit avec ma mère et fait de l'hyper-tension.

Ma mère bosse depuis l'âge de 16 ans, au smic depuis toujours, toujours rabaissée, traitée avec dédain, comme tous les "sans-dents", "les gens qui ne sont rien". Et aujourd'hui, à cause de l'incompétence criminelle de nos "élites" combinée à celle de nombre de nos journalistes, experts en tout mais incapable de percevoir une dynamique plutôt qu'une situation à un instant t (ici y compris, relire la chronique Coronawak. Au passage, il va falloir nettement renforcer le programme de maths dans les écoles de journalistes.), voilà que tout ce petit monde en appelle avec ferveur aux premiers de corvées qui , comme les paysans de 1914, sont sommés de mettre la baïonnette au canon et de monter au front pour sauver la nation. Pendant ce temps là, les habitués des plateaux de télé qui nous expliquaient il y a à peine une semaine que des mesures à l'italienne étaient très néfastes à l'économie  et donc pas souhaitables,  comme les planqués de 14, montent dans leurs SUV et vont rejoindre leurs résidences secondaires en Bretagne ou en Haute Savoie. Quand la crise passera, nul doute que ces planqués reviendront à Paris nous expliquer comment ils avaient tout prédit avant tout le monde, et célébrerons les grands maréchaux et leurs plans de bataille audacieux. Mais dans les villages de France, nous saurons que les vrais héros, les vrais indispensables à la nation, sont tous ces gens qui ont dû aller travailler malgré le confinement (il paraît qu'on dit Opérateur d'Importance Vitale), et qui en temps normal sont pour la plupart les gens qu'on montre du doigt à son enfant en disant "Si tu travailles mal à l'école, tu finiras comme la dame...". Et l'enfant de répondre désormais: "Opératrice d'Importane Vitale ?"

 merci de témoigner vrai. mal payées, pas protégées mais corvéables les caissières. Elles sont tristes derrière leur caisses, fragiles et sans pouvoir choisir. C'est lamentable et culpabilisant. comme toujours on se sent impuissants.

si à la réflexion, on pourrait exiger qu'elles reçoivent un double salaire de ces exploireurs de grandes surfaces au moins.

L'URSS, avec Tchernobyl, a eu ses "liquidateurs"... La France aura ses caissières de super-marché.


(J'espère grandement me tromper).

Dans deux paradigmes différents , les mêmes "solutions" , mais une différence , les russes eux se souviennent des sacrifiés (malgré les tentatives de dénis).

on leur doit beaucoup (énormément), ces temps-ci, aux gens "qui ne sont rien". On attend tout d'eux : qu'ils se /nous protègent, qu'ils continuent à faire tourner le minimum vital, qu'ils nous soignent.

Comment ça, ils et elles ne sont pas pris(es) en compte. Dans Ouest France de ce mercredi 18 mars 2020 :

Geoffroy Roux de Bézieux à Ouest-France : « Nous avons besoin des héros quotidiens de l’entreprise »

Un très beau texte qui devrait remettre plus d'un à sa place et résume en quelques signes la totalité de la "situation" ! Merci !

Merci pour ce texte viscéralement authentique et lucide !


Je fais partie de ces "riens" qui continuent à sillonner le pays malgré le confinement, sans masque, sans gel hydroalcoolique (on en trouve plus nulle part !) et désormais sans moyen de pouvoir me laver les mains puisque tous les établissements sont fermés. La seule chose que je peux faire, c'est éviter au maximum tout contact humain dans mon travail puisque je suis à peu près persuadé d'être porteur (sain pour l'instant)...


Et tous les jours, je ne croise dans les rues et sur les routes que des "riens", livreurs, ouvriers, techniciens, caissières, petits commerçants alimentaire, etc.

On se croise et on se salue de loin. On sait qu'on vit la même chose, sans avoir à prononcer le moindre mot. Une évidente connivence. C’est peut-être ça au fond la fameuse conscience de classe. Si seulement elle pouvait grandir et ne plus s'arrêter...

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

La société francaise mais surtout la masse se rend compte qu'un grand nombre de Décideurs, ces grands capitaines, ne sont en fait que des pantins incapable de décider quoi que ce soit. Paralyser par le fait qu'ils ne décidaient rien qu'ils ne suivaient que des consignes .

Maintenant à tous les échelons, ils faut décider des choses et les assumer. Peu de Décideurs assument. La France se rappelera de cela que ce soit un ministre ou un petit directeur d'administration locale.

J'ai vu le début de l'entretien avec Edouard Philippe sur France 2 et clairement il n'était pas à l'aise avec la question des Municipales : il esquive longuement la question dans une première réponse alambiquée avant que la journaliste ne revienne à la charge sous un autre angle. Il est évident que ce sujet va rebondir les prochains jours avec l'accroissement des cas positifs. 

Le doute il va surtout s’immiscer quand les gens vont se rendre compte qu’on peut continuer à vivre pas si mal que ça en trimant deux fois moins. Que non le système ne va pas « s’effondrer » si on ne bosse plus 45h par semaine. Que tout ceci permet même assez rapidement de respirer un air plus pur dans les grandes villes.


C’est surtout ce doute là qu’il faudra cultiver, pas le psychotage de petit bourgeois pour savoir si sa toux est le signe d’un cancer de la gorge ou non.

Il serait temps en effet "d'écouter nos corps", d'arrêter de courir après des performances imbéciles de soi-disant toujours "meilleurs... cela nous empêchera-t-il de mourir? non, de vivre mieux ? pour toujours les mêmes oui, pour beaucoup d'autres non.

Je viens d'écouter cette interview d'un chercheur publiée par le Média à propos de ce que nous, citoyens, laissons faire à ces politiciens, sans contrôles aucun, alors que nous voilà contraints à cette ridicule autorisation auto signée de circulation !

Ecoutez ce que dit ce chercheur (comme le Dr Salachas par ailleurs et bien d'autres) sur cette pandémie, parce qu'il s'agit de pandémie et pas de GUERRE !!!

Mon corps, que j'écoute, me dit d'évacuer la violente colère qui vit en moi face à ce monde "inhumain" où l'argent prend le pas sur le "bien commun et le vivre ensemble. 

Il faudra une pandémie qui isole pour enfin se préoccuper de l'état de ses voisins !!!

Réjouissons nous et tirons en les conséquences quand nous serons sortis de cette saloperie !


https://www.youtube.com/watch?v=QwFKTE7XfEw

Pour le contraire du mot "insouciance" je suggérerais le beau néologisme de Fernando Pessoa, traduit en français par "intranquillité". 

Pourquoi, par la même occasion, ne pas (re)lire son beau Livre de l'intranquillité, propice à bien des méditations, hors du flux médiatique?

La situation est désespèrée mais n'est pas grave !....


Cette phrase pourrait résumer la situation qui ressemble à un concert cacophonique, où tout est dit y compris son contraire.
Tout d'abord les propos imbéciles. "Le virus n'a pas besoin de passeport"ou"ne connait pas les frontières"! Que de fois n'a t on entendu ces propos. Certes ,le virus, non, mais ses porteurs, oui ! Et après avoir énoncé ce dogme, que fait on ? On ferme les frontières. Enfin, modérément. Faut pas effrayer le virus


"Se protéger avec un masque ne sert à rien", alors que les médecins en réclament, pour protéger les patients, certes, mais aussi se protéger eux mêmes. Le meilleur que j'aie entendu à ce propos, par une experte ou une politique ou une experte en politique: " Le masque ne sert à rien, car on peut attraper le virus de bien d'autres manières" !! Transposé en langage autoroutier: "Les contrôles d’alcoolémie ne servent à rien, car on peut se tuer de bien d'autres manières..."

J'en viens à regretter que ma grand-mère ne fût pas prof à l'ENA. Face au transfert de notre industrie à l'étranger, pharmaceutique mais pas que, elle aurait pu leur dire: "On ne met pas tous ses œufs dans le même panier" ! Eh oui, 

et il leur faut "une guerre" pour s'en apercevoir ?

Et à Mme Buzin, mais pas que,: " Il faut tourner 7 fois sa langue dans sa bouche avant de parler" Buzin qui après avoir dénigré le gouvernement, comme même Mélenchon ne se le serait pas permis, publie en soirée un autre message pour dire que tout a été parfait !...

J'ai vécu une période où la parole était sacrée. D'ailleurs n'est on pas amené ces jours ci à "Attester sur l'honneur ..." Mais les VIP peuvent dire n'importe quoi. Suffit de dire après: "Je regrette" C'est ainsi qu'un publicitaire à la renommée surfaite ( Un clocher et un slogan !) peut décider des conditions de la réussite de sa vie sur... une montre ! Ce qui n'empêche pas qu'il soit convoqué comme expert !


De façon générale, les politiques ont trouvé un coupable: Le CONTEXTE ! Contexte, que de crimes n'a t on commis en ton nom. Alors qu'avec un peu d'expérience du verlan, ils pourraient s'apercevoir que leur con-texte n'est souvent qu'un texte-con !

·


L'interdiction des licenciements est une des mesures les plus anticapitalistes qui soient. Le patronat ne la tolèrerait pas, même à titre provisoire, tant cette mesure est symboliquement forte.


Exemple historique: Le simple contrôle administratif des licenciements économiques entre 1975 et 1986 fut un drame pour le patronat français. Bien que les autorisations de licencier fussent très largement accordées par l'administration, ce contrôle était symboliquement insupportable pour le CNPF (ancêtre du Medef), qui en obtint la suppression contre la promesse de créer des centaines de milliers d'emplois... (on connaît la suite: plus de trente ans de déréglementation du droit du travail et de montée du chômage)


On imagine mal la macronie revenir à un tel système, quand on voit leur propension à mener une politique pro-business jusque dans la gestion du coronavirus (exemples: report de l'exigibilité des cotisations sociales, facilitation du chômage technique au profit des entreprises, création d'un fonds de solidarité pour les entreprises, interdiction des déplacements non-nécessaire sauf lorsqu'ils mènent le travailleur en direction de l'entreprise, etc.).

Franchement, je doute qu'ils doutent  :  la certitude  ( qu'ils devraient avoir ) d'être nuls , les  met à l'abri des affres du doute .


Une preuve de leur con( fi )nerie , c'est ,quand même :   " l'auto-attestation " ( avec les sanctions pénales, dont la validité juridique parait , pour le moins,  contestable ).


Je pense, bientôt, pouvoir attester que je vais recevoir le Prix Nobel de la Paix ( en allant à la boulangerie ).






Qu'une PENICAUD, qui peut chipoter nonchalamment sur la durée du congé pour la perte d'un enfant, s'intéresse aux salariés, aux sans grades, aux petits ce n'est pas grâce ou à cause d'une prise de conscience humaniste.

Elle les voit juste comme des consommateurs qui doivent pouvoir dans quelques semaines ou quelques mois relancer l'économie.

Le "quoiqu'il en coute", les dizaines de milliards débloqués par magie révèlent la gravité de la situation économique.

Que l'URSSAF, d'initiative, décide de ne pas prélever la mensualité du mois de mars pour les indépendants est, en soit, la preuve de la trouille de liquidation en cascade.

C'est ça qui les fait flipper : l'après CORONA.



Bon ce qui me sidère c'est histoire d'autorisation de circuler. Il faut avoir une attestation que l'on signe soi-même pour ne pas prendre un PV. C'est sûr que ce gros microbe de PV aurait manqué au gouvernement. Kafka doit vraiment rigoler. Si je ne me suis pas signé mon autorisation (chaque jour une autorisation différente, merci ma planète) pour aller chercher mon pain je prends un coup de bâton. J'y crois pas.

Daniel, je comprends l'attention portée à votre corps, au moindre frémissement d'une possibilité d'infection. C'est pareil pour moi.

Cependant, j'ai remarqué que mon corps me fait mal, rate qui s'dilate, foie qu'est pas droit, après avoir terminé une revue de presse 100% coronavirus.

Aussi, je me dis que pour notre santé physqiue et mentale, faire un léger break dans la consultation des infos en direct n'est pas ridicule.

Bonjour Daniel Schneidermann, pouvez vous svp corriger l'énorme erreur de chiffres que plusieurs d'entre nous dans les commentaires, avons souligné en vain sous cet article .? Nous avons été réactifs mais sans effet : depuis de nombreuses heures désormais vous diffusez une information fausse qui revient à annoncer des millions de morts en Grande Bretagne. Merci, bonne journée.

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