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Comment filmer les prisonniers russes exhibés par l'Ukraine ?

Protégés par les Conventions de Genève, les prisonniers de guerre peuvent-ils être filmés ou photographiés par la presse ? Au respect des textes internationaux, la profession oppose le droit à l'information, mais use de procédés différents pour rapporter le sort des soldats russes capturés par l'Ukraine. De son côté, la télé publique ukrainienne diffuse des images non floutées de prisonniers, parfois alités et blessés.

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Mais les soldats russes ne sont pas des prisonniers de guerre pour la Russie puisqu'elle n'est pas en guerre. Non ?

Il est assez curieux de voir à quel point les « États de droits » ont des  difficultés à appliquer ledit droit (dans le cas précis, je parle de  La France).

Faites ce que je dis…

Depuis quelques jours, YouTube passe une publicité montrant Poutine et Hitler sur la même image ainsi que des prisonniers de guerre russes en situation de détresse.

YouTube, après avoir fermé RT pour cause de propagande, gagne de l'argent en violant l(...)

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Clairement une atteinte à la dignité. Ces gens sont déjà des militaires Russes, donc soumis à l’autorité militaire de leur pays qui n'est pas le plus humaniste comme on sait. On sait aussi que des soldats Russes envoyés en exercice dans les zones séparatistes ont découvert qu'ils allaient en réalité à la guerre. Ils peuvent être de fiers combattant volontaires et patriotes, mais c'est loin d'être une certitude. Ensuite ils se sont fait capturer par les ukrainiens, donc ils sont aussi sous l'autorité et la surveillance de l'armée Ukrainienne. Bref, étant déjà doublement passibles des pires condamnations de la part de leur patrie et de la part de leur geôliers, on les livre en pâture aux caméras par dessus le marché. Les filmer et les cuisiner alors qu'ils sont déjà doublement sous emprise n'est peut-être pas la meilleur chose à faire.

Pour Yann Guégan, journaliste pour Contexte et vice-président du Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM), la question n'est pas si simple concernant les journalistes : "Il est important de rappeler que  ces obligations concernent les pays signataires des Conventions, pas les journalistes", dit-il à Arrêt sur images.  


Chacun aura reconnu ici la défense habituelle des pédophiles lorsqu'ils se font choper avec des images de viol d'enfant sur leur ordinateur :

"Mais monsieur l'agent je n'ai touché à aucun enfant, je n'ai fait que télécharger des photos"

Une chose est certaine : on ne risque pas de voir des prisonniers ukrainiens capturés par les russes.


Paix à leurs âmes et mort à Poutine.

Mais les soldats russes ne sont pas des prisonniers de guerre pour la Russie puisqu'elle n'est pas en guerre. Non ?

La question c'est pourquoi exhiber des prisonniers russes ?

Depuis quelques jours, YouTube passe une publicité montrant Poutine et Hitler sur la même image ainsi que des prisonniers de guerre russes en situation de détresse.

YouTube, après avoir fermé RT pour cause de propagande, gagne de l'argent en violant les Conventions de Genève.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Il est assez curieux de voir à quel point les « États de droits » ont des  difficultés à appliquer ledit droit (dans le cas précis, je parle de  La France).

Faites ce que je dis…

A un moment ou à un autre il y en a qui devront passer à la caisse...

Wait & See...

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