"Ça commence aujourd’hui" : à l’heure du café, la culture du viol passe crème
Trahison amoureuse, infidélités, relations interdites… Dans "Ça commence aujourd’hui", Faustine Bollaert fait la part belle aux familles déchirées et aux histoires d’amour contrariées, à grand renfort de témoignages lacrymaux. Mais sous couvert de proximité et de storytelling romantisant, l’émission alimente allègrement la culture du viol. Quand elle ne banalise pas tout simplement l’inceste.
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Commentaires préférés des abonnés
Tout est bon pour faire du fric en vendant du temps de cerveau disponible.
Wow ! C'est ça une émission de ''service public'' ?
J'ai fort envie de vomir.
Derniers commentaires
nous n'avons là qu'un aperçu de ce que sera France-tv après le rachat de la holding! ces producteurs montrent des signes de bonnes volontés, d'allégeance, dans l'espoir de ne pas figurer à bord de la charrette
Je montrerais plus de circonspection.
Cette émission n'est pas faite pour juger d'un crime mais pour que puissent s'exprimer les victimes collatérales.Il est sûr que si elles n'étaient pas sûres de ne pas être agressées ou mises en demeure par leur interlocuteur , cette émission ne trouverait plus aucun témoin.
Alors "alimenter allègrement" , franchement, je n'adhère pas.
Quant aux "témoignages lacrymaux", je les trouve souvent très contenus, d'autant que raconter, c'est faire remonter l'émotion.
Peut-être faudrait-il trouver une formule plus "politique", mais celle-là a le mérite d'être tous publics pour faire toucher du doigt qu'il y a forcément d'autres victimes que celles que la justice désigne.
Quid de Macron et Brigitte dans ce cas ?
Oui, mais Faustine, elle n'a aucune ambition intime ! C'est toute la différence avec une émission du privé ...
Vidéo non disponible... je ne connaissais ce type d'émission, je ne connaitrai sûrement jamais, et apparemment, ça m'a évité de vomir.
"Et c'est avec mes impôts !" comme disaient ceux qui ne pouvaient pas blairer Guillaume Meurice du temps où il était sur Rance Inter...
On peut peut peut-être parler de pedocriminalité aussi, non ? Des jeunes filles mineures, des plaintes pour viol, des faits récurrents...
Mais qui regarde ce genre de truc…???
Encore une émission de télé de merde qui rend ludique la misère affective et sociale.
À croire qu’on n’a aucun goût et aucune décence dans les médias.
Ça ne donne pas envie de fréquenter ni travailler dans ce milieu.
L'obsession toxique de notre société pour la monogamie et l'angoisse de la tromperie nous rend aveugles à la violence.
Wow ! C'est ça une émission de ''service public'' ?
J'ai survolé trop rapidement le sous-titre : j'ai cru que c'était Brigitte qui s'exprimait...
Tout est bon pour faire du fric en vendant du temps de cerveau disponible.
J'ai fort envie de vomir.