Depuis le succès de Sandrine Rousseau et l'envolée d'Éric Zemmour, tout le monde s'arrache la "radicalité". Yannick Jadot est radical. Emmanuel Macron est radical. Tous radicaux. Il faut dire que la radicalité, ça marche, ça se vend bien. Notamment grâce aux réseaux sociaux, toujours eux. Un nouveau fléau ? Non. Devant les dangers qui nous menacent, comment ne pas être radical ? Jean-Lou Fourquet est en quête de la "bonne" radicalité".
Précision :
Jean-Lou évoque dans cette chronique le fait que les contenus d'
Arrêt sur images consacrés au phénomène Zemmour attirent beaucoup de lecteurs et de commentaires. Utilisant l'un des tableaux statistiques à notre disposition, on constate que sur les quinze articles les plus cliqués par nos abonnés de...
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