Ces "clauses de silence" qui "bâillonnent" les journalistes
Quand Bolloré arrive, on ne peut plus rien dire
En quittant le JDD
après une grève de quarante jours, les journalistes qui s'étaient battus cet été pour que le quotidien dominical ne devienne pas un journal raciste, sexiste et homophobe sous la direction de Geoffroy Lejeune ont dû signer un document légal bien connu de leurs collègues d'autres médias "bollorisés" – et d'autres médias tout court. Ce document ? Une clause de confidentialité.
"Je ne souhaite pas m'exprimer sur ce sujet dans le moment présent
, répond à Arrêt sur images
un journaliste ayant récemment quitté le JDD
. Mais il est très intéressant."
Difficile pour ASI
de trouver des journalistes disposé·es à discuter de ces clauses, dont le principe même est de faire peur et donc de faire taire, bien au-d...
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