Violences en cuisine : comment ce sujet brûlant s'est propagé
Le couvercle vient de sauter. Un commis de Joël Robuchon a porté plainte pour harcèlement moral après avoir été contraint de boire de l'eau salée. Depuis, les témoignages d'employés de la grande restauration se multiplient pour dénoncer les violences morales et physiques dont ils sont victimes. Des violences en cuisine qui étaient connues du petit milieu mais n'avaient encore jamais été médiatisées. Jusqu'à ce qu'un site d'info spécialisé dans la gastronomie soulève le couvercle.
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Derniers commentaires
Il y a pourtant tant à en dire. Sur les brimades, la violence larvée, les nouvelles méthode de "gestion", le stress, la passion qu'on doit avoir pour bien faire notre travail, l'importance de se sentir "unis" dans un même but et son impossibilité récurrente à cause d'une hierarchie vieillissante et butée...
Quelqu'un a-t'il des essais/articles à me conseiller sur ces questions?
Merci.
Je ne suis déjà pas grand fan de la frime ambiante autour de la “grande cuisine”. Mais depuis cet épisode, et le fait que tout le monde le trouve formidaaaaaaable sur Annecy, je vois très bien pourquoi les grands chefs ont tout intérêt à étouffer ces histoires. Bien manger, pourquoi pas, mais alors que tout le monde soit bien traité et pas seulement les clients finaux. Je ne mettrais plus jamais les pieds chez Veyrat ni aucun des chefs qui se feront prendre, comme Robuchon.